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Cuckold dégustation sadique cum eating

Par Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

Jacques voulait que sa femme devienne sa Maîtresse, il l’a souvent ennuyée avec ça, mais aujourd’hui, cela dépasse de très loin ce qu’il avait imaginé. Même si elle est parfois d’une cruauté mentale extrême, il l’aime dix fois plus qu’avant, ces changements ont sauvé leur couple. Plus elle l’humilie plus il est heureux, c’est devenu leur drogue sa drogue.

Ce soir, elle va recevoir son amant rencontré sur Fessestivites.com. En tenue de soubrette imposée le matin même, Jaco se devait de préparer un repas de fête. Enfermé dans sa cage de chasteté depuis plus de quinze jours, nu sous sa robe à froufrou, il n’a plus aujourd’hui qu’un droit : obéir et souffrir. Souffrir quand elle s’amuse à lui claquer les fesses quand elle passe près de lui quand elle ne s’amuse pas à lui broyer les testicules entre ses ongles délicieusement manucurés.

- Ce soir tu assureras le service et mangeras après la soirée. Pour la circonstance, tu porteras ton gros rosebud, peut-être aurais-je envie de lui offrir ton cul.

- Bien Maîtresse. Répond Jaco habitué aux frasques délirantes de sa maîtresse femme surexcitée chaque fois que son amant vient la voir.

Lorsque la sonnette retentie, Jaco se doit d’aller accueillir celui qui sans aucune gêne va le cocufier sous ses yeux et peut-être prendre plaisir à l’humilier. Il se précipite dans l’entrée, ouvre la porte et fait une révérence à Paul qui, sans plus de considération que pour un portemanteau, lui jette son sac et son blouson dans le bras avant de venir embrasser sa femme.

Pendant l’apéritif, Paul et Virginie se roulent des pelles et se caressent sous les yeux de Paul assurant le service. En guise d’apéritif, sa Maîtresse renverse un peu de champagne sur le carrelage en lui disant « à la tienne chien ». Sans s’offusquer il s’agenouille et lèche le champagne à même le carrelage entre les pieds de Paul, il sait que la soirée lui sera difficile mais en même temps si grisante.

L’ambiance du repas est en totale adéquation avec celle de l’apéro et de la soirée qui s’annonce chaude pour ne pas dire brûlante. Jaco assure le service sur assiette, remplit les verres et n’a pas plus de considération qu’un simple serveur. Sa Maîtresse lui demande de débarrasser puis de servir le café au salon où, lorsqu’il s’y présente avec son plateau, les hostilités câlines sont largement entamées. Les amants font une pause café, Virginie s’étale sur le canapé en écartant les jambes en demandant à Paul de venir lui lécher la « choune » pour la préparer pour son amant.

Il s’agenouille donc entre ses jambes pour entreprendre consciencieusement et avec amour de lécher le sillon de tantale lui étant interdit depuis quinze jours. Les lèvres intimes de sa femme sont très généreusement mouillées, ses sucs sont goûteux, elle est très en forme et motivée pour une soirée sexe. D’une main elle l’attrape soudain par les cheveux pour le guider entre les jambes de son amant en lui intimant l’ordre de le sucer pour le faire bander.

C’est la première fois qu’elle lui impose cela, psychologiquement la marche est haute mais il prend la verge déjà en demi forme entre ses lèvres pour lui faire une fellation. Ses gestes peux habitués lui valent des remarques désobligeantes, il ferme les yeux et s’active en essayant de mieux faire. La hampe prend vie, se gorge comme un glaive sous les sarcasmes de sa femme le traitant de véritable pute. Cette insulte le perturbe et anime à la fois sa libido, son sexe se déploie inutilement dans sa cage de chasteté.

- Allonge-toi sur la table larbin, mon amant a envie de moi, tu seras notre voyeur aux premières loges du cocu ! Ordonne soudain Virginie en le tirant par les cheveux.

Une fois allongé sur le dos à même ta table basse du salon, Virginie passe au-dessus de lui comme pour lui faire un 69, position si connue mais qui pour un cocu sous cage ne chasteté ne rimera pas avec plaisir physique. Les yeux rivés sur le sexe de sa femme, Jaco voit arriver le sexe bandé de Paul, il fouille un instant les lèvres intimes pour y trouver la faille et s’y enfoncer brusquement arrachant à sa Maîtresse un « hum » de plaisir non dissimulé. Les mouvements s’accélèrent, au-dessus du visage de Jaco les testicules tendues s’agitent d’avant en arrière. Il ne loupe rien de la pénétration de sa femme qui se cambre pour s’offrir au Priape pour aller au devant de ses mouvements.

Les mouvements s’accélèrent encore pour devenir plus violents. Sans même sans rendre compte, Virginie s’agrippe au sexe encagé de son mari et tire dessus au gré des mouvements du sexe la pourfendant. La chevauchée dure un long moment, Paul aime prendre son temps et pousser Virginie dans ses retranchements. Au plus il la prend, au plus Jaco souffre et bande au point qu’il est à deux doigts de jouir dans sa cage de chasteté s’agitant dans tous les sens. Soudain, Paul s’enfonce profondément dans le sexe de Virginie et s’immobilise en criant son plaisir. Sa semence jaillit généreusement car cela fait une petite semaine qu’il n’a pas jouis.

Lorsqu’il se retire, Paul présente son sexe devant le visage de soumis Jaco en lui intimant l’ordre de lécher la goutte. Jaco entrouvre la bouche dans laquelle le membre humide s’engouffre sans plus attendre. Après quelques mouvements Paul se retire et s’assoie sur le canapé pour fumer une cigarette pendant que Virginie se remet de ses émouvants plaisirs. Quelques instants plus tard, elle se redresse et pose sa chatte gluante de sperme sur le visage de son mari.

- Lèche cocu, lèche là où mon amant m’a comblée, je veux que tu lèches et que tu boives son sperme de vrai mâle ! Crie Virginie en attrapant les testicules de son mari qu’elle se met à serrer fermement.

Jaco le cocu n’a pas d’autre choix que lécher le sexe englué de sperme de sa femme car d’une main elle lui broie les testicules, de l’autre elle tire fortement sur sa nouvelle cage de chasteté Snake à lui en arracher le sexe. Le nez logé entre les fesses de sa femme, il lèche l’entrée de son vagin trempé comme un perdu, la mouille se mélange au sperme, Jaco le cocu lape en plongeant sa langue dans un véritable marécage parfumé aux odeurs de l’amour.

- Profite et savoure, ce soir j’ai envie qu’il m’encule quand il sera en forme, tu lècheras aussi mes fesses et mon trou du cul ! Crie Virginie totalement déchaînée mais avant je te ferai sauter comme une salope que tu es.

Au plus Virginie en rajoute dans ses propos vulgaires et humiliants, au plus Jaco est heureux, cela peut aussi être cela le cuckold, du moins cela l’est pour Jaco qui cette nuit-là dormira sur le canapé pendant que sa femme s’envoie en l’air.

Ecrivaillon