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BDSM soumission le tube de l’extrême

Maîtresse m’avait annoncé une soirée particulière avec un timbre de voix qui m’inquiétait un peu car je sentais que cela allait être ma fête. J’étais loin de m’imaginer qu’elle pouvait être aussi perverse.

Après avoir préparé le buffet d’un apéro dînatoire pour 15 personnes, je suis allé comme demandé prendre une douche totale, traduire par totale que je devais être propre de partout et donc me faire un lavement. Pour cette soirée spéciale, elle m’a retiré ma cage de chasteté ce qui m’inquiéta d’autant plus car en règle générale nous ne faisons pas de sexe lors des soirées.

Maîtresse m’a mis mon collier de soumis puis des bracelets permettant d’entraver mes bras derrière ma tête. Elle m’a passé une grosse cagoule en cuir avec des caches amovibles au niveau des yeux, permettant d’aveugler ou non la personne qui la porte puis a introduit un tube dans ma bouche qu’elle a fixé solidement avec du scotch et du cellophane. Avec ça, rejeter ce tube était impossible.

Et là, elle m’a carrément annoncé que pendant cette soirée, ma vie dépendrait du tube !!!!!!!!!

Au début je n’ai pas compris le sens de ses propos mais ce fut réellement le cas. Lorsqu’elle bouchait le tube je n’arrivais pas à réellement respirer par le nez car mon visage était entouré de cellophane et l’effet assourdissant de la cagoule rajoute grandement à l’inquiétude. Le pire a été quand elle m’a aveuglé, là j’étais réellement dans un état second.

Entravé sur la table basse du salon, j’ai entendu les invités arriver mais il m’était impossible de savoir qu’il ils étaient hormis un couple dont j’ai reconnu la voix malgré la cagoule et le cellophane. Je leur ai servi de table ou ne nappe, au choix et apprécié que moyennement les verres posés sur mon ventre et ma poitrine à cause des glaçons...

Plusieurs fois on m’a donné à boire par le tube mais comme il y avait des alcools différents, j’en déduis que plusieurs des invités m’ont donné la becquet à travers le tube. Cela semblait les amuser car à un moment je me suis demandé s’ils ne voulaient pas me saouler ! Ils m’ont aussi fait fumer en soufflant leur fumée directement dans le tube.

Soudain Maîtresse s’est occupé de mon sexe pour m’enfiler ce que j’ai pris au début pour un préservatif mais qui en fait s’est avéré être un penilex. J’étais horrifié quand compris ses intentions : me faire boire mon urine. Comment allais-je pouvoir respirer si le tube était relié à mon sexe ? ? ? ? Là j’ai commencé à avoir peur mais elle a rusé de la pire des façons en enfonçant (je l’ai compris après) un entonnoir dans le tube me permettant de respirer. Le tuyau pour l'urine était scotché à l’entonnoir mais ne le fermait pas. OUF ! Pour que ma tête ne bouge pas et que je ne puisse pas échapper à ses projets de toilettes humaines, elle a attachée ma tête fortement à la table ce qui m’empêchais de la tourner sur le côté en cas de rébellions.

Me rebeller avec Maîtresse, je ne m’y aventurerai pas, trop risqué, mais comment faire si je m’étouffais ? Cette question m’a franchement inquiétée !!!!!!!!!!!!!!!!

Cette soirée fut la plus dure que j’ai eu à vivre jusqu’à présent car je n’ai participé à rien, je n’ai rien vu, je n’ai pas pu discuter avec les invités on ne s’est pas occupé de moi hormis me faire boire du champagne doré ou commenter quand j’ai fini par craquer et uriner tout seul dans ma bouche. Pendant la soirée, je ne sais pas si j’ai bu de l’urine d’hommes ou de femmes, les goûts étaient différents et jusqu’à présent, mes expériences et pratiques s’étaient limitées au champagne doré de ma Maîtresse.

Je ne pense pas que les personnes se soient totalement soulagées quand elles m’ont fait boire car il y en aurait eu trop, peut-être serais-je mort noyé mais ce fut pour moi vraiment dans mes limites extrêmes ! Je n’ai jamais eu le moindre geste de rébellion, je n’ai jamais tapé sur la table basse pour demander grâce (notre saferword) car si ma Maîtresse estimait que je pouvais le faire, je n’avais qu’un objectif y arriver.

Lorsque les invités sont partis, Maîtresse a libéré mon visage et mes mains. Pour ma récompense elle s’est assise sur mon visage pour un facesitting et m’a offert son champagne doré et son sexe à lécher en m’accordant le droit de me masturber si je buvais tout sans en perdre une goutte.

Ce soir là, je n’ai pas dormi dans le placard, j’ai même eu le droit de dormir sur le lit à ses pieds. C’est dire si Maîtresse était fière de moi.

Ecrivaillon