Vendue dans un club BDSM libertin
Auteur : Ecrivaillon
Rassurez-vous chers lecteurs, nous ne parlons pas de prostitution mais d’un jeu nous convenant pleinement. Mon mari est adorable, généreux et ultra protecteur mais lorsque nous jouons, il est un Maître entier et va toujours jusqu’au bout. Comme j’aime être soumise en amour et les situations inextricables cela me convient pleinement.
Hier soir, nous étions dans un club libertin pour la soirée BDSM mensuelle et j’ai été vendue à des inconnus. Le jeu commence lorsqu’il me pose mon collier, à partir de cet instant je n’ai plus aucun droit, le lui appartient corps et âme, le mot « non » m’est totalement interdit.
Perchée sur mes bottes en cuir et vêtue de la sublime robe noire en satin d’ABCplaisir.com que mon Maître m’a offert la semaine précédente beaucoup d’hommes me mataient avec des yeux envieux. Lorsque j’ai vu Paul discuter avec le patron, il m’a semblé qu’il complotait et je ne me suis pas trompée. Ce dernier est venu me voir avec une coupe de champagne offerte par la maison pour me demander si j’étais d’accord avec les projets de mon Maitre. Lorsque je lui ai répondu que je lui appartenais corps et âme et qu’il avait tous les droits, il m’a demandé de passer derrière le bar pour lui faire une pipe. Paul d’un hochement de tête me fit comprendre que je devais obéir à cet homme.
Très gênée je fis donc le tour du comptoir pour faire ce que l’on attendait de moi. Le patron du club me testait plus qu’il ne me désirait, non pas que je sois moche mais il voulait s’assurer que notre jeu ne déclencherait pas un scandale. La chose entre mes lèvres prit rapidement forme mais assurer le service en même temps généra de multiples coupures dans la fellation demandée. Rassuré, il m’ordonna de monter sur le comptoir et de me coucher sur le dos pour attendre les instructions. Pour s’amuser, provoquer, faire monter la pression, il posa un plateau sur mon ventre et une soucoupe de cacahouètes entre mes jambes. J’étais gênée d’être ainsi exposée mais en même temps grisée par le ton qu’il donnait à la soirée s’annonçant prometteuse.
- Cette salope de soumise est à vendre pour trente minutes, vous pouvez user de tous ses orifices, comme vous l’entendez et lui chauffer les fesses si le cœur vous en dit ou si vous estimez qu’elle le mérite. Les conditions de vente sont les suivantes : préservatif obligatoire pour les pénétrations, un verre à offrir à son Maître, le produit de la vente doit être consommé sur la scène devant tout le monde. Il n’y a pas de restriction de nombre ni de remise, si vous être deux ou trois c’est le même prix.
Ce que je venais d’entendre me glaça le sang. Lors d’une de nos discussions le fantasme de la prostitution par jeu avait été abordé et dans mes délires fantasmagoriques, je me souvenais lui avoir dit que d’avoir plusieurs mâles en pleine forme usant de moi l’un derrière l’autre devrait peut-être assouvir ma gourmandise.
En disant cela, je ne m’étais pas rendu compte que cela pouvait blesser Paul qui me comble en amour comme dans la vie, ce n’était qu’un délire sauf qu’il ne l’avait pas vraiment apprécié. L’heure de payer l’addition venait de sonner pour sa soumise.
Quelques minutes plus tard, une espèce d’armoire sur pattes s’approcha du bar et me prit sur son épaule comme s’il jetait un sac de farine. La salle se mit à applaudir. J’étais blême. Lorsqu’il me déposa sur la scène, je vis aussitôt qu’ils étaient trois. Ils détachèrent ma robe qu’ils retirèrent avec attention mais qui fut quand même jetée par terre dans un coin. Ne portant aucun sous-vêtement, j’étais donc la blondasse nue qui va se faire baiser aux yeux de tous et je n’en menais pas large. Ils m’ont mise à quatre pattes avant de s’amuser à me caresser les fesses et l’entre jambe, je ne me suis jamais sentie aussi mal. Face à la scène, assis sur les minis canapés, un certain nombre de personnes me regardait. Les filles avaient soit un regard inquisiteur, soit un regard vide me laissant à penser qu’elles s’imaginaient être à ma place, d’autres avaient un regard dédaigneux qui me gêna fortement.
Le patron du club est monté sur scène avec une chaise, en invitant mon Maître à prendre place pour qu’il soit aux premières loges de ma déchéance. C’est comme ç que je le vivais à ce moment là….. Les choses sont allées très vites, l’armoire sur pattes m’a prise cash sans plus de préliminaire, étant encore un peu « sèche » cela m’a fait mal, du moins au début car sous ses asseaux je me suis rapidement perdue en suçant la bite qu’un des autres hommes a logé dans ma bouche en me tenant par les cheveux. Quelques minutes plus tard, alors que je commençais réellement à tout oublier pour me concentrer sur le plaisir d’une verge généreuses, il s’est mis à jouir en me claquant les fesses comme un malade.
L’armoire a rapidement passé ses mains sous mes cuisses puis m’a soulevée en me retournant comme si je n’étais qu’une simple poupée. Le dos contre sa poitrine avec ses bras maintenant mes cuisses écartées, je ne pouvais pas être plus offerte. Cet enfoiré a montré ma chatte à tout le monde avant de la présenter à l’un des deux hommes qui m’a prise aussitôt. Entre les bras de l’armoire jambes maintenues écartées, hormis subir le va et vient d’un nouveau « client » je ne pouvais rien faire. Pourquoi les hommes cherchent à faire un marathon quand ils baisent ainsi ? Est-ce pour faire voir leur virilité ou parce qu’ils sont en manque ?
Alors que mon plaisir commençait à monter son nez, le marathonien s’est envoyé en l’air avant d’attraper ma tête pour coller sa bouche contre la mienne et d’y fourrer sa langue pour me rouler une pelle. L’armoire décidé à participer à tout, m’a déposée sur le sol et faite tourner puis m’a soulevée par les cuisses pour me plaquer face à lui. Pour une question de confort, j’ai passé mes bras autour de son cou, en me serrant contre lui. Le troisième homme avait décidé de m’enculer, par chance mon Maître l’a vu et l’a interrompu pour aller chercher du lubrifiant dans notre sac. J’ai bien essayé de lui faire comprendre que je n’en avais pas envie, mais il n’en avait rien à faire, il m’avait « « « vendue » » ».
Je me souviens avoir serré très fort l’armoire qui me tenait quand le troisième homme m’a sodomisée. Cet enfoiré y est allé franco ou presque, comme si une femme devait souffrir. Et là, dans ma tête et dans mon corps il s’est passé quelque chose pendant son va et vient dans le creux de mes reins. Le rustre « « « client » » » avait décidé de prendre son temps et de jouer les spéléologues émérites en allant le plus loin possible. Je me souviens avoir crié « oui » ou des choses comme ça, sous ou plutôt sur sa bitte extrêmement dure, je me suis envolée en m’accrochant au cou de l’armoire comme une dégénérée. A ce moment là, mon cerveau était focalisé sur mon anus profondément « visité » ravagé, « défoncé » entre leurs mains, je n’étais plus qu’un pantin de chair soumis à un plaisir incontrôlable. J’ai jouis comme jamais, car jamais jusqu’à ce soir là, je n’ai été ainsi possédée.
Quand ils m’ont déposée sur la scène, j’étais épuisée. Cela n’a pas empêché un autre homme de porter un verre à mon Maître qui n’a rien fait pour l’arrêter. Couchée sur le dos avec les jambes derrière sa tête, je me suis laissée prendre devant tout le monde, lorsque je ne fermais pas les yeux, mon regard fixait le plafond quand une vague de plaisir enivrant m’a soudain envahie avant de me terrasser sous ces asseaux de plus en plus violents.
Mon Maître a pris le verre d’un autre homme, j’en avais assez mais ils n’en avaient que faire. Il a voulu me prendre en levrette, s’il est arrivé à me pénétrer, quelques minutes plus tard il s’est retrouvé en difficulté, son sexe bandait mou. Comme pour se venger de son manque de vigueur, il m’a traînée au bord de la scène pour me coller son sexe dans la bouche et la forcer comme s’il voulait visiter mon estomac en me tenant par les cheveux. Plus d’une fois j’ai failli vomir, si j’ai luté contre ça, c’était pour ne pas décevoir mon Maître.
Lorsque l’homme a éjaculé dans son préservatif, Maître s’est levé puis m’a attrapée par les cheveux pour me faire descendre de la scène. A quatre pattes tirée comme une traînée, je suis passée entre les clients sans même penser à quoi que ce soit. J’étais matée, vidée, réduite à un simple corps que l’on peut vendre ou offrir. Maître a retiré sa chemise pour la poser sur le sol et m’y faire asseoir dessus. D’un geste il a commandé à boire, à ses pieds j’ai eu le droit de boire une coupe de champagne, pendant qu’il caressait ma tête en me souriant. Quand il a ouvert sa braguette, j’ai compris ce qu’il attendait de moi. Il ne bandait pas et n’y est pas arrivé malgré la fougue que je pouvais avoir. Quelques dizaine de minutes plus tard, nous somme partis, Maître ne parlait pas, je ne me suis pas aventurée à troubler son silence.
Arrivés à la maison, il m’a immédiatement conduite au donjon, mise nue et attachée face à la croix. J’avais peur, j’étais mal dans ma peau, quelque chose n’allait pas. Il a attrapé son fouet et m’a regardé dans le yeux en l’obligeant à le regarder.
« Je vais te récompenser au fouet comme tu l’aimes, parce que je suis fier de toi, tu n’as jamais essayé de te soustraire aux hommes pendant la soirée. Je vais aussi te punir parce que tu as jouis sans ma permission, ensuite, nous ferons l’amour parce que j’ai envie de toi, mais pas comme une pute ! Ma soumise n’est pas une pute, j’ai accédé à tes fantasmes une fois, il n’y aura pas de deuxième. Ce n’est pas de la jalousie puisque nous sommes quand même un peu libertins, mais parce que j’ai une tout autre image de toi. Je t’aime en soumise et non pas en pute, même en jeu je ne supporte pas de voir ton image ainsi dégradée ». M’a expliqué mon Maître d’une voix calme et très posée.
Maître me connaissant bien, il a commencé à me « « chauffer » » au fouet, mais comme je n’arrivais pas à entrer dans la bulle plaisir après ce qu’il m’avait dit, il m’a logé deux sextoys vibrant dans les orifices et du lubrifiant qui chauffe. Maître a fini par « m’avoir », et moi par jouir et faire fontaine. Il m’a détachée et mise à quatre pattes en forçant ma tête sur le sol mouillé en m’ordonnant de lécher. Cet ordre je ne l’avais jamais eu, cela me répugne, trois coups de fouet m’ont terrassée et pliée de douleur, j’ai cédé et léché, sa punition venait de tomber. J’ai gardé les marques du fouet trois semaines, c’était vraiment une punition.
Il m’a ensuite soulevée et portée dans notre chambre avant de me déposer sur le lit. Maître m’a câlinée et prise avec douceur. Quand j’ai voulu parler il me l’a interdit. Avec la patience d’un ange, il s’est acharné à me conduire à nouveau au plaisir, un ange « oui » mais un démon aussi quand il décide de me mettre en face mes réalités ou de me punir.
Cette soirée sera je pense la plus dure et la plus belle que je vivrai.
La plus dure parce que je me suis pris une sacrée gifle et une sacrée punition, la plus belle parce que j’ai pu voir à quel point mon Maître m’aime. Quand je regarde les trois marques sur mon corps, je ne suis pas fière de les avoir méritée, j’aurai du savoir qu’il me veut soumise mais pas pute même en jeu. En même temps, je suis fière de ces marques, elles sont le signe de mon appartenance et de son amour puis du respect qu’il a pour moi et qu’il compte m’imposer malgré moi et mes folies.
Ecrivaillon
il y a 10 ans
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