Histoire d’une Pony-girl

Histoire d’une Pony-girl

Proposée par Natalie sur le groupe Mots-blancs (Détruit par Yahoo)

A plusieurs reprises il lui avait parlé d'un week-end sportif. Il la savait vigoureuse en dépit de sa petite taille et de la finesse de son corps, rompue à la gymnastique qu'elle exerçait régulièrement quand elle était encore une jeune femme libre, amoureuse de longues courses à pied en forêt. Il lui avait promis de l'amener à un week-end au cours duquel elle pourrait entièrement satisfaire son goût de l'exercice et de la compétition. Néanmoins elle ne put en savoir plus.

Finalement il lui annonça que le week-end prochain ils iraient quelque part en Espagne où se déroulait une compétition un peu spéciale et pour laquelle elle ferait bien de s'entraîner par quelques exercices d’assouplissement.

Lorsque l'avion se posa à Séville elle n'en savait toujours pas plus. Un chauffeur vint les prendre ainsi que leurs bagages et après une bonne heure de route ils se retrouvèrent dans une vaste propriété, trônant au milieu de vastes étendues et jouxtant ce qui paraissait être une sorte d'hacienda.

Alors que son maître retrouvait au salon le maître des lieux, un grand espagnol à la fière allure et au regard souverain, elle fut conduite par une jeune servante à sa chambre. Tout de suite elle remarqua que la jeune fille portait une chemisier blanc, largement échancré laissant voir ses jeunes seins balotter lorsqu'elle se déplaçait, et une jupette minuscule, descendant à peine plus bas que son tablier de servante découvrant de longues jambes nues sur des chaussures à talons hauts d'au moins huit à dix centimètres avec lesquels elle se mouvait sans aucune difficulté.
La soubrette se présenta (elle s'appelait Dolores, ce qui ne laissait guère de doute sur l'activité de la maison) et l'introduisant dans sa chambre l'invita à prendre un bain et à rejoindre les convives dans le salon dès qu'elle serait prête. Elle ajouta :

-mademoiselle doit savoir qu'elle devra être entièrement nue, bien entendu.

Malgré une première réaction de surprise, Maud ne fut guère étonnée. Elle savait que son maître l'emmenait dans un but bien précis. Aussi, dès qu'elle fut apprêtée, elle se disposa à descendre. Connaissant son maître, elle s'était légèrement maquillée et s'était parée de quelques bijoux discrets qui, ainsi que ses talons hauts, rehaussaient en fait sa nudité. Avant de quitter la chambre elle jeta un coup d'oeil au miroir sur pied pour s'assurer qu'elle était convenable : Son corps était impeccable, ne portait plus la moindre trace des coups et sévices qu 'elle avait subis, ses bouts de seins et son clitoris expansés suite au traitement du docteur Blanchet pointaient comme au comble de l'excitation.

Elle plairait à son maître. C'est ainsi qu'elle descendit le grand escalier, fière d'elle, essayant d'oublier que la jeune fille sage qu'elle était il n'y a encore que quelques semaines, exposant ses seins et son ventre nus à quiconque elle croiserait. Un frisson parcouru toutefois son échine quand, avant même de voir, elle entendit de nombreuses voix masculines dans le salon.

Quand elle apparut en haut de l'escalier, le silence se fit et une dizaine d'homme la regardèrent descendre. Ils n'étaient pas seuls, au fond de la salle alignées contre le mur autant de femmes, intégralement nues, se tenaient droites et silencieuses.

Dès qu 'elle fut descendue, un homme basané, habillé de bottes et de jeans et que les hommes appelaient José la conduisit à sa place, entre deux autres femmes. Celle de gauche était frêle et paraissait très jeune et baissait le regard. Elle essayait de dissimuler maladroitement de petits seins blanc et ronds. Celle de droite au contraire présentait la beauté épanouie d'une femme mure. Elle était visiblement musclée, ses seins étaient très développés mais aussi très fermes et se tenaient très bien sans nul soutien. Son ventre s'ornait d'un véritable " tablier de sapeur " dénonçant, si besoin était, son origine méditerranéenne.
Quand elle fut en place, José prit la parole :

-Bien, vous êtes au complet. Si vous ne le savez pas, vous êtes ici dans l'hacienda San Miguel qui est célèbre pour une spécialité : l'élevage et le dressage de femmes-pouliches. Nous organisons un stage ce week-end à l'issue duquel il y aura une compétition. Vous avez été, toutes les neuf, engagées pour courir et participer aux épreuves. Maintenant soyons clairs. J'ai dressé beaucoup de femmes-pouliches dans ma vie et je ne tolèrerai pas la moindre incartade de votre part. Désormais, avec l'autorisation de vos maîtres respectifs, vous obéirez aveuglément a tout ordre qui vous sera donné par un humain, homme ou femme appartenant à l'hacienda ou s'y trouvant comme visiteurs. L'usage de la parole vous est formellement interdit. Si cela vous est impossible, nous vous poserons un bloque-langue. Un nom de pouliche vous a été attribué, on vous en informera. Un valet vous est également affecté. Il sera préposé à votre dressage et à votre entraînement, il vous nourrira vous soignera et vous bouchonnera matin et soir. Je tiens à être assuré que vous êtes consentantes. Que celles qui renoncent avancent d'un pas, elles seront immédiatement raccompagnées dans leur chambre et pourront passer le week-end ici comme invitées et spectatrices si elles le souhaitent.

Un léger flottement affecta le groupe des filles. L'une d'elle, la voisine de Maud, aux petits seins frêles esquissa un mouvement mais finalement se retint. José attendit quelques secondes puis il claqua dans les mains et les valets entrèrent. Ils vinrent se placer devant les pouliches et passèrent à chacune d'elle une corde autour du cou soutenant un petit panonceau de bois ou figurait le nom de la pouliche. Celui de Maud portait le nom de "Elegante ".

-si vos maîtres le désirent nous pourrons vous marquer au fer rouge ce nom sur la fesse ou le ventre. Ils en décideront. Ici nous sommes équipés pour cela.

A ces mots, les jeunes femmes frémirent. Visiblement certains des maîtres, dont celui de Maud, étaient intéressés. Les valets ne laissèrent pas aux pouliches le temps de réfléchir. Ils leur passèrent prestement une longe au cou et les entraînèrent. Ils sortirent et se dirigèrent vers des box. L'un d'entre eux portait également le panonceau "d’élégante ", celle-ci et son valet y entrèrent.
De la paille au sol, un anneau au mur, du matériel de brossage et de bouchonnage, des harnais de cuir accrochés au plafond constituaient l'unique ameublement.

Le valet accrocha " Elegante " à l'anneau et entreprit de la brosser énergiquement avec une poignée de paille. Rapidement le sang circula et la peau devint rouge, surtout celle des seins et du ventre sur lesquels il s'attardait particulièrement. Puis il passa l'étrille, bien inutilement car la peau fine de Maud ne le demandait pas, mais plutôt pour la mettre à l'épreuve. Elle cria d'ailleurs lorsqu'il la passa énergiquement sur les fesses et se raidit pour esquisser un mouvement de recul : immédiatement, il saisit la cravache et en asséna plusieurs coups à la volée sur son postérieur rebondi. Elégante comprit rapidement qu'elle devrait se taire, subir et obéir.

Le valet retourna la pouliche et lui plia une jambe en arrière qu'il accrocha avec une lanière au plafond pour l'immobiliser. Il lui enfila alors une sorte de chaussure qui enserrait son pied en le maintenant fortement cambré.
> Si la semelle, de bois ferré, était particulièrement épaisse de cinq à dix centimètres, il n'y avait pas de talon et l'ensemble ressemblait fort à un sabot. Il serra l'ensemble de manière à ce que le pied ne puisse se dégager et lui fit poser son pied à terre et saisit l'autre pour l'agrémenter de la même manière.
> Quand Elégante pu poser ses deux pieds elle faillit chuter. Elle était en fait obliger de marcher sur la pointe des pieds, ce qui l'obligeait à cambrer fortement les reins et redresser la poitrine. Sans ménagement il la tira alors et, toujours à la longe, il la conduisit sur un terrain d'entraînement circulaire. Au début Maud avait du mal à marcher mais rapidement elle du reconnaître que pour peu qu'elle adopta la bonne posture, elle pouvait avancer convenablement.


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Il se mit au centre de la piste, tendit la longe et SSSCHLAC ! Armé d'un long fouet il venait de lui cingler les fesses
-trot !
SSSCHLAC !
Elle se mit à courir de manière éperdue, la longe la tira à gauche afin qu'elle tourne à bonne distance du valet SSSCHLAC !
-J'ai dit " trot "
SSSCHLAC !

Elle comprit et se mit à trottiner sur un rythme de plus en plus régulier, ses seins ballottant de droite et de gauche. Puis ainsi, il lui apprit à galoper, à tourner, à saluer.

Elle avait appris vite : un claquement de fouet en l'air : elle prenait le trot. Deux : elle galopait. Un léger coup de fouet sur la gauche (le sein ou la fesse, selon) : elle tournait à droite. Le fouet claquait sur le sein droit : immédiatement elle obliquait à gauche. Le valet levait la longe et le fouet : Elegante stoppait et faisait la belle, tête haute, poitrine tendue en avant, un genou légèrement fléchi.

Au bout d'une heure, elle était épuisée, en sueur, ses muscles des jambes tremblaient d'avoir été trop sollicités. Le valet la laissa enfin souffler.

Durant son entraînement, des maîtres s'étaient approchés et semblaient s'accorder sur le fait qu'elle était prometteuse . Ils s'approchèrent d'elle et l'examinèrent de près : mâchoire, intérieur de la bouche, vagin?Il tâtèrent ses seins pour s'assurer de leur fermeté, il s'amusèrent à pincer les bouts, s'étonnant d'en voir d'aussi énormes pour une poitrine si menue. Ils prirent des paris sur sa réussite dans les courses du lendemain. A quelque mètres de là cependant, les choses ne se passaient pas aussi bien. Une pouliche en cours de dressage, comme elle, s'avérait rétive.

C'était une rousse flamboyante, grande, élancée, à la poitrine plantureuse, mais qui ,pour l'heure courait à grands sabots pour éviter les coups de fouet qui pleuvaient.

Le valet qui la dressait, voulait lui faire sauter une barrière d'environ une mètre de haut. La fille avait du mal à courir et à s'élancer en raison de ses sabots qui l'obligeaient à trotter plutôt qu'à galoper.
A chaque tentative de saut, elle accrochait le barre de bois et tombait lourdement dans le sable. Le valet la faisait alors rapidement relever à coups de fouet et l'obligeait à recommencer. Son corps strié de coups de fouet attestait qu'elle n'en était pas à la première tentative.

A la suite d'un nouvel échec, elle s'écroula sur le sol en terre battue et se mit à pleurer doucement, hoquetant, désormais indifférente aux coups qui redoublaient. Soudain, alors que voulant se relever, elle écartait les jambes, le valet en profita adroitement pour cingler son sexe infortunément ouvert. La fille beugla puis soudain s'élança vers le valet en hurlant sa douleur et dans l'intention de le griffer. A peine était-elle sur lui qu'il la maîtrisa d'une clé au bras et la força à s'agenouiller au sol. La fille comprit alors qu'elle avait commis une faute qu'elle devrait chèrement payer.

Deux autre valets accoururent, l'emmenèrent et la suspendirent par les poignets à une poulie qui se trouvait à quelques mètres de là. Ils la hissèrent ensuite de manière à ce que ses bouts de pieds affleurent le sol sans qu'elle puisse vraiment s'y reposer.

La pauvre fille était morte de peur ; déjà une assistance d'une quinzaine de personnes s'était formée autour d'elle, maîtres, valets et servantes. Elegante, pour sa part, profitait de ce moment d'accalmie pour reprendre son souffle.
Le maître de la rousse s'approcha d'elle, furieux que la fille ait voulu lui résister, humilié devant ses collègues goguenards. Il s'avança devant la fille qui pendait devant lui, un balancement léger reflétait les efforts qu'elle faisait pour toucher terre. Les mouvements qui l'animaient en se débattant faisaient trembler ses seins qui s'épandaient comme des fruits mur, déjà rougis par les coups de cravache. Il prit lentement son élan et d'un geste large et violent il cingla affreusement le ventre de la femme sur lequel immédiatement vint s'imprimer un trait rouge, bien large et bien net qui, rapidement, s'étendit jusqu'à son bas ventre pour aller se perdre dans la toison, rousse elle aussi, et fournie de son sexe. Quelqu'un cria alors :

- Tu n'as qu'à la marquer au fer ! Ainsi elle prendra conscience de sa condition de pouliche !

A ces mots la fille se mit à hurler de plus belle, à supplier qu'on l'épargnât, à jurer qu'elle allait faire encore d'autres efforts pour devenir une belle et brave pouliche, mais, de grâce, qu'on ne la marque pas au fer rouge !
On la fit descendre un peu en donnant du mou à la corde qui la suspendait et on lui plaça une barre d'environ un mètre de large entre les deux chevilles afin de lui maintenir les jambes bien écartées et on fixa cette barre au sol afin que la fille ne puisse plus bouger. Pendant ce temps là, deux valets apportèrent un brasero où, du charbon rougi, émergeaient plusieurs tiges?

On courba la fille sur un chevalet où on la fixa. Les jambes bien écartées, les bras retournés et tendus vers le haut par des cordes. Elle hurlait à perdre haleine, elle hoquetait, cela semblait au contraire réjouir l'assistance.
Le valet sorti un fer du feu pour voir s'il était à point : il dessinait les deux lettres SM (curieusement) reprenant le nom de l'hacienda. Il l'approcha des fesses de la fille qui se mit à hurler de plus belle. Mais le fer n'était pas assez rouge, la marque n'aurait pas été assez nette car il aurait fallu laisser le fer trop longtemps sur le peau.
Il le remit donc dans la fournaise et actionna le soufflet. Pendant ce temps, la fille tremblait de tous ses membres sans pouvoir bouger d'un millimètre. Seuls les seins, qui pendaient libres, étaient agités de forts soubresauts. L'assistance commençait à s'impatienter, les hommes présents avaient repris leurs conversations courantes en dépit des cris de la fille. Seules les servantes se taisaient, impressionnées ou réjouies qu'elles étaient de voir ainsi asservie et tourmentée une de leurs congénères, issue probablement d'un bon milieu bourgeois, car cela se voyait à ses manières hautaines lors de son arrivée.
Enfin le valet ressortit le fer qu'il trouva, cette fois-ci, rougi à point. Il l'approcha du derrière de la fille qui se mit à beugler et tortiller de l'arrière train pour tenter désespérément de le soustraire au brandon rouge. Un hurlement de goret traversa l'espace. La pouliche se débattait, secouait ses fesses et ses seins pour tenter de se détacher ou peut-être pour essayer de soustraire son arrière train à la chaleur si proche qu'elle en était insoutenable.
Le valet suspendit alors son geste et dit à la pouliche :

-Ton maître ne souhaite pas que je meurtrisse souhaite ta chair, mais il n'hésitera pas si tu te montre incapable d'obéir !

Il la détacha en silence alors que la foule présente marquait sa désapprobation d'une telle clémence, fit claquer son fouet en l'air et instinctivement, la pouliche se redressa. Elle " fit la belle ", comme on le lui avait appris, le visage plein de sanglots, les cheveux collés au front et sur la nuque par les larmes et la sueur . Au deuxième claquement elle démarra, pris son élan et dans un saut élégant et racé sauta cette fois-ci aisément la barrière. Le valet la fit alors venir près de lui, et, à la fois pour juger de la souplesse de la peau et pour marquer sa satisfaction, d'une tape légère, flatta le postérieur de la fille. Finalement, elle apprenait vite !
Elégante, pour sa part, attendait debout, toujours nue, bien sur, que son maître revienne. Elle en profitait pour se reposer, finalement satisfaite de s'être pliée à tous les ordres de son valet. Ce n'est pas, en effet, sans frémissement qu'elle imaginait être à la place de sa pauvre congénère, et avoir à subir le marquage au fer rouge. Le valet qui s'occupait de son dressage, revenant du spectacle qu'avait constitué le martyre de la rousse, s'intéressa de nouveau à elle, avec, dans le regard, une lueur nouvelle allumée par ce qu'il venait de voir. Il la tira par la laisse, avec la ferme intention de lui faire subir, à elle, un petit marquage. Maud se mit à glapir, sans toutefois chercher vraiment à se débattre. Le valet la traîna devant le brasero et entreprit de la fixer à un poteau. En quelques minutes, elle était entravée étroitement, saucissonnée, à tel point que seuls ses seins apparaissaient libres de toute contrainte. Elégante comprit donc immédiatement où le valet avait l'intention de la marquer.
Celui-ci se saisit du fer et l'approcha de son sein gauche. Du doigt, il repéra l'endroit exact, juste au-dessus du mamelon et s'apprêtait à apposer le fer quand le maître d'Elégante le surpris et, d'un seul coup de cravate, le balafra au visage :

-sale porc ! On t'a demandé de la dresser ! Pas de la faire souffrir sans utilité éducative !

Il obligea le valet à détacher la pouliche et à la ramener à son box. Le valet l'attacha à l'anneau, lui apporta une écuelle remplie d'une nourriture non identifiée et la laissa la pour la nuit, non sans lui avoir laissé entendre que, le lendemain, il trouverait bien une occasion de se satisfaire?

Le lendemain, il la réveilla avant même l'aube. Il la tira vers une grande baignoire centrale ou déjà deux autres pouliches étaient plongées. Il l'immergea complètement à plusieurs reprises, puis entrepris de la brosser énergiquement. Comme la veille, c'est sur les parties les plus sensibles de son corps qu'il insista particulièrement au point que ses seins, son ventre et ses fesses exposaient une chair rougie à l'extrême. Puis, après avoir rempli d'un liquide moussant le vagin de Maud, il la pénétra vigoureusement, et à plusieurs reprises à l'aide d'un écouvillon, semblable à ceux utilisés pour le nettoyage des bouteilles mais d'une longueur moindre. Après avoir rincé, il la retourna pour procéder de même avec son anus. Toutefois, il dut forcer le passage avec son doigt, car l'orifice était trop serré. Néanmoins après plusieurs passages, l'écouvillon circulait bien. Il n'en pesta pas moins en grommelant qu'il faudrait appareiller Elégante pour ménager un orifice convenablement ouvert en permanence.

Puis, la traînant par la laisse il l'emmena à la réserve. Là une grosse femme habillée d'un tablier de cuir l'attendait. Elle commença par s'assurer que ses sabots, étaient toujours correctement assujettis et qu'ils ne s'étaient pas déboîtés pendant la nuit. Elle en profita même pour les resserrer encore. Puis elle prépara l'équipement qui harnacherait Elégante, afin, dit-elle en riant, de lui faire mériter son nom. L'équipement en question se composait d'un ensemble de courroies harnachant le corps de la pouliche, dégageant ses attraits afin, éventuellement, de pouvoir les travailler, et permettant, par une série d'anneaux fixés aux courroies d'accrocher des accessoires.

La femme fit enfiler l'ensemble à Maud. Une fois fixé, le harnachement croisait entre les seins, les faisant ainsi ressortir. Il est vrai que la poitrine de Maud était menue et qu'un tel effet était bienvenu. Il croisait également à l'entrejambe, mais permettait l'accès au sexe ; La femme s'en assura en tirant sur les grandes lèvres de manière à bien les dégager au-dessus des courroies.

Ensuite elle fit pénétrer la " queue ", indispensable à toute pouliche. Non seulement cet appendice avait une qualité esthétique et donnait belle allure à la pouliche, mais encore elle lui permettait d'écarter les mouches par un simple mouvement de l'arrière train, lorsque celle-ci, inévitablement attirées par les secrétions vaginales que provoquaient les efforts en course, venaient tourner autour de son sexe sans que la pouliche, dont les bras étaient généralement entravés, puisse les chasser. Cette queue, faite à partir de cheveux de femme, châtain, pour être assortie à la toison d'Elégante était fixée au bout d'un manche, que la femme fit pénétrer dans l'anus de Maud, après avoir bien séché l'orifice pour qu'il ne ressorte pas, même en cas d'efforts. Par ailleurs, la queue était également maintenue par le harnachement qui passait entre les fesses. La pouliche cria un peu lorsque la femme fit pénétrer le manche, sans ménagement aucun pour l'orifice de la jeune femme, mais une bonne paire de gifles la fit rapidement taire. En effet, elle se souvenait, pour avoir vu la punition infligée à la pouliche rousse hier, ce qu'il en coûtait de désobéir. La femme fixa ensuite sur la tête de la pouliche une sorte de têtière. Celle-ci était composée d'une courroie horizontale qui enserrait le crâne et à laquelle une courroie verticale était fixée et passait sous le menton pour maintenir l'ensemble. Cette courroie verticale permettait d'assujettir les oeillères qui empêchaient la pouliche d'être distraite lorsqu'elle courrait, et d'autre part, d'accrocher une " poire d'angoisse " qui préservait des cris lorsque cela n'était pas apprécié.

La femme fixa alors les deux bras de Maud serrés le long de son corps par des courroies supplémentaires rattachées aux anneaux et prit ensuite du recul pour juger de l'allure générale de la pouliche.
Il faut dire que celle-ci faisait de l'effet. Avec sa têtière, agrémentée d'un toupet également assorti à sa toison, sa queue fournie, et ses seins pointus dont les bouts, on le sait, avaient été artificiellement expansés. La femme pesta en regrettant que les bouts ne fussent pas percés et assortis d'anneaux, qui auraient permis d'y fixer les rênes, lors de l'utilisation de la pouliche en trot attelé. Elle dut en effet poser des pinces auto serrantes pour les remplacer. Bien sur la pouliche hurla à en perdre haleine lorsqu'elle les lui posa, mais il était indispensable que ces pinces soient très serrées de manière à ce que les rênes ne se détachent pas du sein au cas où le driver devrait donner un coup sec pour la stopper ou la faire tourner. Ainsi agrémentée, Maud était prête et le valet alla l'attacher à un arbre en attendant que l'ensemble des pouliches soient rassemblées.
Le soleil s'était levé de puis peu lorsque les pouliches furent rassemblées, après avoir été attachées, les unes aux autres, en file indienne, par leur collier. Elles furent conduites au centre d'une sorte de stade, et alignées devant la tribune où, déjà, se massait une foule de plus d'une centaine de personnes, paysans du voisinage ou invités. La tribune d'honneur était réservée aux propriétaires des pouliches parmi lesquelles, Elégante reconnut son maître.

L'arrivée du petit troupeau fut saluée par une salve d'applaudissements, ce qui provoqua une réaction de crainte chez les pouliches qui, pour la plupart, étaient mises en compétition pour la première fois. Pedro jouait le maître de cérémonie.Au micro il présenta chaque pouliche en indiquant pour chacune d'entre elle, le nom de son propriétaire, son âge, et ses caractéristiques physiques particulières.
Pour Elégante, il signala son âge, vingt-neuf ans, et le fait que ses bouts de sein et son clitoris avaient été " retravaillés ", ce qui causa un remous de curiosité dans l'assistance. Il souligna également sa musculature fine et racée la prédisposait à la course.
Au fur et à mesure qu'il les passait en revue, un valet inscrivait le numéro de la pouliche a l'aide d'un gros feutre sur le sein et la fesse droite. Maud portait le numéro huit.
Il rappela les enjeux de la compétition et les prix qui seraient remis aux propriétaires des pouliches qui se distingueraient. Puis commença la première épreuve.

Les pouliches furent amenées dans leur box de départ et, au signe du starter elles s'élancèrent.
Les spectacles étaient enthousiasmant. Il est vrai que les neuf femmes étaient superbes : même si les âges étaient différents, les corps étaient magnifiques et racés. Leur harnachement et leur décoration, les queues qui flottaient au vent, les seins, plus ou moins lourds selon la pouliche, bien exposés du fait que les bras étaient maintenus fixés le long du corps, ballottaient au rythme de leur galop. Les filles avaient fière allure : le fait de courir avec des sabots leur faisait dégager le torse et même si la foulée de certaines d'entre elles n'était pas encore complètement décontractée notamment du manche de leur queue enfoncé profondément dans leur anus, le fait de voir ces femmes aussi soumises et bien dressés excitait visiblement les spectateurs.

Le démarrage de la course n'était pas très rapide. En effet, la longueur à parcourir, cinq tour de piste, incitait les pouliches à ménager leurs forces. Maud, en particulier, habituée dans sa vie de femme libre à faire de la course à pied était en avant dernière position. Bien lui en pris, car à l'issue du premier deux valets capturèrent la dernière afin de lui ficher dans les fesses une sorte de " banderille ",ou d' " aigrette ", en fait une longue aiguille agrémentée de rubans de couleur. Cette pratique était destinée à stimuler les pouliches et à maintenir une allure rapide. L'effet fut immédiat. La première pouliche ainsi stimulée, une fille blonde à la poitrine particulièrement développée et à l'arrière train lourd, hurla sous l'effet de la surprise et de la douleur lorsque la banderille fut plantée dans sa fesse, mais, accéléra immédiatement et, rubans flottant au vent, seins ballottant à droite et à gauche dépassa ses congénères et vint se placer en deuxième position. Elégante, força également l'allure, et vint se placer en milieu de peloton, si bien qu'au passage devant les tribunes, ce fut la fille rousse, si maltraitée le jour d'avant qui vint récolter l'aigrette.
Au troisième et au quatrième tour, ce fut la fille blonde qui vit à nouveau les valets lui planter les banderilles. Les qualités athlétiques de Maud firent qu'elle était intacte. Elle arriva finalement deuxième.Les filles furent alors alignées de dos afin de montrer leurs aigrettes : la grosse blonde arborait trois aigrettes et pleurait doucement, la rousse une, et une jeune noire au corps pourtant fluide, une aigrette également. Elégante, essoufflée mais intacte dans sa chair, se sentait fière d'avoir honoré son maître par une course réussie.José annonça alors que conformément à la tradition les récompenses allaient être attribuées :

Les trois dernières pouliches furent appelées et sortirent du rang. Des valets s'en saisirent alors les placèrent au centre de la piste et trois spectateurs furent tirés au sort pour les fouetter durant cinq minutes.
Les volontaires se bousculaient et deux hommes et une femme furent tirés au sort. Sans aucune pitié, ils fouettèrent les filles à bras raccourcis, sans se soucier de leurs cris, qui réjouissaient plutôt l'assistance, et sans manquer de s'attarder sur les parties les plus fragiles de leur corps. Un d'entre eux, la femme en particuliers, concentra exclusivement ses coups sur les seins de la blonde, dont on sait qu'ils étaient particulièrement développés, animée probablement par une sombre jalousie. A l'issue de la séance, les seins de la fille étaient en sang, au point qu'il fallut lui administrer quelques soins à la poitrine pour qu'elle put continuer la compétition. Puis, ce fut la remise des récompenses aux trois premières.

Juchées sur un podium, accompagnées de leur propriétaire, elles se virent décerner des médailles, ou plutôt accrocher des médailles, car celle ci furent fichées dans leurs seins, le ruban et la médaille étant suspendus à une petite aiguille, qu'en parfait maître de cérémonie José enfonça lentement dans la chair fragile des seins des filles. Le nombre de médailles étant proportionnel à la place à l'arrivée, Elégante, (Maud), subit l'accrochage de deux médailles dans son sein gauche, sous l'oeil fier de son maître.

Les pouliches furent amenées dans un enclos afin qu'elles puissent boire et se reposer. Les spectateurs furent invités à venir les voir afin de repérer celles qui leur semblaient en forme. En effet, des paris étaient pris et les enjeux grimpaient vertigineusement pour certaines d'entre elles. Maud était bien placée, première ex-æquo de la cote : Elle avait fait forte impression dans la première course en raison de sa capacité à remonter le peloton des pouliches. De même elle paraissait fraîche en dépit de sa performance précédente. Certes elle n'était pas très grande mais la finesse de sa ligne à la poitrine menue et à la taille fine alliée à une musculature fuselée des cuisses et des mollets semblaient la prédisposer à la compétition.

La deuxième course s'effectuait sur la même distance mais après l'élimination de trois pouliches, le peloton ne se composait plus que de six filles. D'autre part, elle avait pour particularité d'être une course de trot " lesté ". A cette fin, les filles se voyaient accrocher à leurs bouts de seins des poids de deux cent grammes. Ce type de course avait pour objet de privilégier l' "allure" des pouliches. En effet, les poids ballottant au rythme de la course exerçaient une traction douloureuse sur les extrémités mammaires des filles. Afin de limiter la douleur, ces dernières avaient donc tendance à courir de manière plus coulée, moins violente, en essayant de bouger le moins possible le corps, l'effort portant essentiellement sur les jambes. C'était une course très élégante, agréable aux yeux des spectateurs, mais extrêmement fatigante pour les pouliches

Le système de stimulation était le même, à chaque tour, deux valets étaient chargés de ficher une aigrette dans la fesse de la dernière du peloton. Généralement, l'effet était garanti, la pouliche, hurlant de douleur, faisait un bon en avant et dépassait les filles qui la précédaient.
Toutefois, dans cette course-ci, le phénomène était beaucoup plus amusant car la fille ainsi stimulée criait d'abord sous la piqûre, puis quelques secondes plus tard sous la douleur des pinces fichées dans les bouts de seins qui menaçaient de s'arracher sous la traction des poids bringuebalant en tous sens du fait de la brusque accélération. Evidemment, celles qui préalablement avaient été infibulées étaient mieux préparées à cette course, car les poids étaient mieux arrimés aux seins et l'arrachement était moindre.
C'est pourquoi la fille qui gagna l'épreuve avec trois bonnes longueurs d'avance sur Maud était favorisée. C'était une grande noire, complètement rasée, aux seins menus (et donc ballottant peu) et infibulés de gros anneaux d'or. Elle était visiblement faite et techniquement bien préparée pour cette course.
Elégante, de nouveau deuxième, récolta donc deux médailles dans les seins, pendant que comme dans l'épreuve précédente, des spectateurs tirés au sort s'acharnaient sur les trois dernières.

Seules trois filles demeuraient donc en course pour la troisième et dernière épreuve : le trot attelé. Pour cette course-ci, le harnachement des filles prenait tout son sens. Elles étaient en effet attelées à des sulky légers, montés par leur valet. Les brancards du sulky étaient fixés à leur lanières de ceinture, leurs bras étaient toujours entravés le long du corps mains les mains pouvaient se saisir des brancards. On leur avait disposé leurs oeillères pour qu 'elles puissent se concentrer sur la course. Enfin les extrémités des rênes après être passées dans un anneau à la hauteur des épaules étaient fixées à leur seins. Pour Maud sur les pinces, pour les deux autres filles aux anneaux de seins. Ainsi elles pouvaient être guidées de manière fine et précise.
Les attelages avaient vraiment fière allure. Quand les trois sulky firent un tour de présentation au pas devant la foule, celle-ci applaudi à tout rompre. Le valet de Maud tira alors un ou deux coups secs sur les rênes pour qu'Elégante dresse son torse et salue, ce qu'elle fit de bonne grâce en dépit de la douleur, fière qu'elle était d'être aussi belle devant son maître.

Son valet était un homme grand et lourd. La charge était pénible à tracter, mais après un bon coup de fouet sur les fesses et quelques coups secs des rênes sur les seins, le valet pouvait facilement emballer sa monture. Ses concurrentes étaient deux femmes noires. L'une d'entre elles était la grande pouliche rasée qui avait gagné précédemment : elle était dotée de longues jambes qui lui donnait une foulée longue. De plus, elle n'était pas embarrassée par ses seins qui étaient petits et fermes. Elle semblait très à l'aise sur ses sabots. Elle réagissait rapidement aux sollicitations de son driver, qui pouvait facilement actionner les seins de la fille du fait de leur infibulation. L'autre était beaucoup plus lourde, voire grasse, mais elle paraissait très puissante et très musclée. Quand elle trottait, ses seins se balançaient de manière ample, ce qui devait la gêner et s'avérer un peu douloureux, ses fesses tremblaient de manière impressionnante, et globalement, la grosse pouliche n'était pas très élégante mais devait être efficace.

Les équipages, après leur tour de présentation, s'alignèrent pour la course finale, puis le départ fut donné !
Maud démarra comme à son habitude en ménageant ses forces. Ses deux rivales par contre partirent très vite, stimulées par leur driver. Rapidement, Maud perdit deux longueurs. Son driver réagit très rapidement : il tira de grands coups secs sur les rênes, martyrisant les pauvres seins de Maud. Heureusement, les pinces étaient bien serrées et solidement ancrées dans la chair des bouts de seins de la pouliche, si bien que même quand le driver tirait fortement, elles ne s'arrachaient pas. Par contre la pouliche ne pouvait retenir des cris de douleur. Ces tractions, associées aux violents coups de fouets qui lacéraient les fesses bien exposées de la fille eurent tôt fait de lui faire accélérer le rythme et prendre l'avantage. Dès lors la course prit un tour frénétique : les driver s 'acharnaient pour stimuler les montures, ils s'étaient dressés sur le sulky pour pouvoir plus facilement manier le fouet, se cramponnant aux rênes et s'arc-boutant ainsi terriblement sur les bouts des seins des filles. Ceux de la grosse noire se trouvaient tirés en arrière par leurs anneaux, les bouts affreusement distendus à la limite de la rupture. La fille beuglait mais galopait de plus belle, se cabrant, lorsque le driver, qui ne voulait pas se considérer comme hors-course, donnait un coup sur les rênes.
L'autre fille ne criait pas mais, élancée, rapide et bien drivée par son jockey, elle se rapprochait dangereusement de Maud.
Au dernier tour elles étaient cote à cote, cravachées en permanence par leur driver. Maud sortait la langue pour pouvoir reprendre haleine, ne hurlant même plus lorsque les rênes tiraillaient les seins à la limite de les arracher. La grande noire se déhanchait pour allonger sa foulée. Le public enthousiaste hurlait des encouragements aux jockey, le claquement des fouets se mêlait aux cris de joie des spectateurs ou de douleur des pouliches. Dans les derniers mètres ces dernières firent des efforts surhumains pour gagner, avançant le torse en avant pour gagner quelques centimètres, laissant leurs dernières forces dans cet affrontement.

Elégante passa la ligne d'arrivée avec à peine une poitrine d'avance et finit sur sa lancée au petit galop.
Des valets lui passèrent alors au coup des colliers de fleurs et l'essuyèrent pour la rendre plus présentable avant de la conduire sur le podium. Pendant que le maître de la grande noire se laissait aller à fouetter sauvagement sa pouliche de dépit d'avoir perdu, et que sa grosse concurrente franchissait péniblement la ligne d'arrivée à son tour.
L'excitation était à son comble, le public fit irruption dans le centre du stade pour approcher la belle pouliche que son maître promenait fièrement. Puis on lui enleva son harnachement pour la remise des prix. Elle fut ainsi mise nue et présentée à la foule, en même temps qu'on lui épinglait sa médaille.
Elle était fière. D'avoir gagné, d'avoir gagné au prix de la souffrance, devant son maître et devant des dizaines de personnes, fière de son corps, fière de sa nudité exposée devant tous, de sa toison luxuriante trempée de sueur, de ses seins pointus vers lequel convergeaient les regards et quelle montrait comme en guise de défi, symbole de beauté et d'indépendante soumission.

Très rapidement on montra pour elle de la considération. Sa victoire lui conférait un nouveau statut, fruit des épreuves affrontée avec succès. Elle fut reconduite à sa chambre avec désormais les égards dus à une " dame ". Le soir, elle fut le centre de la réception, invitée d'honneur. Elle qui avait été ravalée au rang d'un animal, humiliée, mise à nu, battue, sodomisée, portait ce soir là une robe longue en lamé griffée Saint-Laurent, dont le col la couvrait très haut et dont seule une fente montant à mi-cuisse découvrait un peu de chair rare.
Son maître la promenait parmi la foule des invités en tenue de gala. Les hommes étaient très empressés autour d'elle. Seules les femmes n'osaient réellement l'approcher et lui réservaient une sorte de déférence comme si la somme de souffrances et d'humiliation qu 'elle avait publiquement subi la recouvrait d'une curieuse aura de respectabilité.
Dans les jardins, à quelques mètres de Maud et du reste des invités, on avait parqué les autres pouliches. Nues, mais lavées et bouchonnées, elles se remettaient de leur fatigue et léchaient leurs plaies, dans l'indifférence distante des convives qui les considéraient de loin, en sablant leur champagne.
Ainsi se terminait un week-end initiatique.
il y a 10 ans

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