Furlong Pony-girl

Furlong Pony-girl

Auteur : inconnu
C'était le père de Tom Payton qui avait introduit son fils dans le monde des courses à chevaux. Pendant des années, Tom avait écouté son père discourir des chevaux, des pistes de course et bien sûr, du pari mutuel. Combien de fois le vieux Monsieur Payton avait-il été jeté hors des officines des bookmakers locaux parce qu'il était « trop » chanceux? Ce n'était pas un tricheur, loin de là, mais il s'était procuré un « système » plusieurs années auparavant qu'il avait par la suite testé, puis perfectionné à un point tel qu'il ne perdait plus que très rarement. Toutefois, il n'était jamais devenu riche, ne jouait qu'avec parcimonie et il ne pariait que pour les besoins de sa maisonnée. Madame Payton voulait une nouvelle lessiveuse, le père de Tom se rendait au champ de course, plaçait quelques paris durant la soirée et il gagnait presque toujours l'argent nécessaire à l'achat.
Tom accompagnait rarement son père à la piste de course. Bien qu'il sut à peu près tout du système de son père, pour lui, parier demeurait une chose « mauvaise » en soi et il préférait demeurer loin du danger le plus possible. Après le décès de son père, Tom Payton se retrouva par hasard à New York où son père avait séjourné à quelques reprises. Voulant en quelque sorte marquer l'événement en son honneur, il loua une voiture et la conduisit jusqu'à Yonkers en mémoire de lui.
Après avoir payé son billet d'entrée, Tom se dirigea vers les estrades régulières car il ne s'était jamais senti à l'aise au Club House et son luxe. Il trouva une place libre, acheta un programme et s'efforça de se rappeler l'essentiel du système mis au point par son père. Avant même son arrivée à la piste de course, Tom avait décidé qu'il ne dépenserait pas un sou de plus que les 40 dollars qu'il destinait à la mémoire de son père. Comme lors de son unique visite à un champ de course plusieurs années auparavant, la chance du débutant était de son côté et avant même la huitième course, il était déjà plus riche de 100 dollars. Un instant, il pensa quitter pendant qu'il était toujours dans les bénéfices, mais il se souvint que son père attendait toujours la dernière course pour placer un dernier pari. Tom décida donc de patienter et il laissa passer la neuvième course sans parier. Ensuite, il passa de nouveau en revue le programme de la dixième course pour sélectionner les chevaux qu'il allait jumeler pour l'exacta.
C'était durant la neuvième course que Tom Payton avait remarqué les deux grandes filles dans la rangée voisine, à quelques cinq ou six sièges de lui sur la droite. Malgré qu'il ne fasse pas vraiment froid, toutes deux portaient de longs manteaux de fourrure blancs, chose un peu étonnante en cette fin d'octobre. La plus rapprochée était une blonde aux cheveux longs et apparemment dotée d'une forte poitrine. Sa copine était une mulâtre, probablement en partie afro-américaine, décida Tom, qui portait ses longs cheveux d'ébène jusqu'au milieu du dos. Lorsqu'elles se levèrent pour assister à la fin de la neuvième course, Tom s'aperçut qu'elles étaient toutes deux plus grandes que lui, bien qu'à six pieds, il n'avait rien d'un nain lui-même.
Tom Payton n'arrivait pas à détacher les yeux des deux filles et il en oublia son dernier pari. Il nota quelque chose d'étrange chez elles : elles ne regardaient que devant elles, sans jamais tourner la tête, même pour bavarder ensemble. Si une seule avait démontré une telle faculté, Tom n'en aurait pas fait de cas, mais que toutes deux agissent ainsi lui parut tout de même bizarre.
Aucune des deux filles ne paria lors de la dixième course, pas plus que Tom qui n'arrivait toujours pas à détacher les yeux de l'étrange duo. Après l'ultime course, alors que les deux filles se préparaient à quitter les lieux, Tom décida de les regarder un peu mieux et de plus près. Il les devança en courant vers la sortie qu'elles ne manqueraient pas d'emprunter. Il se cacha dans un coin désert et il attendit qu'elles passent à proximité. Rapidement, elles marchèrent dans sa direction et il put les détailler plus à loisir. La noire apparut encore plus grande que sa compagne, probablement dans les 6 pieds 4 pouces ou 5, jaugea-t-il. Elle marchait avec assurance sur des escarpins dont le talon devait bien faire 5 pouces, regardant toujours droit devant elle, insensible à tout ce qui l'entourait. Elle semblait très musclée, sans aucun embonpoint, à la différence de la blonde qui marchait à ses côtés.
N'ayant rien de mieux à faire, Tom Payton leur emboîta le pas, quittant le champ de course en direction du stationnement des visiteurs. Il remarqua une limousine qui roulait vers les deux femmes et qui s'arrêta près d'elles. Elles montèrent derrière et la voiture s'éloigna rapidement. Tom courut à sa voiture, quelques centaines de mètres plus loin, et il décida de les suivre, priant intérieurement qu'il puisse regagner l'écart qui le séparait de la limousine. Toujours sous sa bonne étoile, Tom put rejoindre la voiture qui emportait les deux filles et qui roulait à bonne vitesse vers la banlieue nord, le long de la rivière. Les deux voitures finirent par quitter l'autoroute, puis continuèrent dans la campagne dégagée; Tom s'assura de laisser la limousine gagner de l'avance car il ne voulait pas que son petit manège fut découvert trop vite. La route était presque déserte, aussi y avait-il peu de chance qu'il soit semé. Au terme d'une balade qui se poursuivit une vingtaine de minutes, la limousine tourna à droite et s'arrêta devant un portail contrôlé électroniquement qui s'ouvrit pour la laisser passer.
Tom se garda bien de ralentir son allure, mais il prit soin de jeter un long coup d'œil au portail où il vit l'inscription suivante : « Heather's training academy ». De chaque côté de la grille s'étendait à perte de vue un haut mur de brique qui devait encercler la propriété. Tom en fit le tour, attentif au moindre détail qui aurait pu lui en apprendre davantage sur les occupants du domaine; en particulier, il s'interrogeait sur le type d'entraînement que l'on pouvait bien prodiguer à l'Académie Heather's. Tout à coup, il remarqua un endroit où le mur de brique s'était écroulé en partie, aussi il arrêta sa voiture et stoppa le moteur. Il descendit pour se rendre compte, marcha jusqu'à la muraille pour se rendre compte, se demandant s'il pourrait s'en coup férir jeter un coup d'œil de l'autre côté.
Tom Payton était sur le point de gravir l'amoncellement de briques lorsqu'il s'arrêta, percevant le bruit familier d'un cheval tirant une remorque.




Pony_girl_2.jpg
- Ainsi, pensa-t-il, l'Académie Heather's est destinée aux chevaux!
Tom allait tourner les talons lorsqu'il se remémora les deux filles entrevues à Yonkers. Quelle pouvait bien être le rapport entre ces filles et l'Académie Heather's? Étaient-elles elle-même entraîneuses? Tom Payton avait bien des défauts dont celui de la curiosité, ainsi il retourna vers la partie de mur écroulée et il se mit à la gravir. Attentif à ne pas tomber, il progressa d'un niveau à l'autre en zig-zag. Quand il eut atteint le sommet du mur, il remarqua qu'il se trouvait dans un coin presqu'abandonné de la propriété, plutôt boisé. Comme il n'y avait pas d'amoncellement de briques du côté opposé, Tom résolut d'utiliser une branche d'un arbre voisin pour se hisser au-delà du mur et pénétrer dans l'Académie Heather's. Comme il avait un physique d'athlète, Tom n'eut aucune difficulté à passer d'une branche à l'autre. Mais soudain, il se figea, percevant de nouveau le bruit de chevaux venant dans sa direction. Peu désireux d'être surpris par les propriétaires du domaine, il s'efforça de demeurer immobile, mais prêtant attention au genre de chevaux qui allait apparaître.
Tom Payton était tellement certain de voir apparaître un pur-sang qu'il failli tomber de son arbre quand il fut témoin du spectacle devant lui. Il y avait effectivement un sulky qui roulait bruyamment, conduit par un jockey féminin. Pourtant, ce n'était pas ce qui avait attiré son attention. Plutôt qu'un cheval, c'étaient deux femmes qui tiraient l'attelage. Malgré l'étrangeté de l'apparition, quelque chose s'avérait encore plus incroyable. Toutes deux étaient presque nues, ne portant que des lanières de cuir enjolivées de rivets, ce qui mettait en valeur leurs formes généreuses. Leur tête était ceinte d'un harnais à plumeaux, leur mâchoire mordait un mors de caoutchouc et elles portaient des œillères pour orienter leur vision directement vers l'avant.
L'équipage ne tirait pas avec une puissance égale comme en témoignait la direction aléatoire du sulky. Le jockey devait être habitué à cette situation car elle demeurait en complet contrôle. Elle leva son fouet et frappa gentiment la retardataire au derrière pour l'obliger à augmenter son pas.
Camouflé dans son arbre, Tom Payton attendit patiemment que les trois femmes eurent disparus pour descendre de son perchoir, rassuré qu'on ne pourrait l'apercevoir.
- Voilà qui est pour le moins étrange! se dit-il.
Tom savait que certaines personnes avait le fantasme d'être entraîné comme des chevaux ou plutôt en tant que poneys. Les femmes qui souscrivaient à cette forme de fétichisme portaient le nom de « ponygirls », il en avait été témoin en surfant sur le web. Mais jusqu'ici, il aurait juré que ce n'était qu'un vulgaire fantasme doublé d'une farce. Mais maintenant…
Il se rappelait l'étrange fixation du regard des deux filles à Yonkers qui jamais ne regardaient de côté, tout à fait comme si elles portaient des œillères. Se pouvait-il qu'elles fussent toutes deux des ponygirls. Il se devait de le découvrir.
Tom Payton se mit en marche dans la direction du portail d'entrée où avait pénétré la limousine, ce qui lui prit une bonne demi-heure car il devait demeurer sous le couvert sylvestre. À son arrivée, Tom remarqua un grand manoir de trois étages et juste à côté, une étable de dimensions encore plus imposantes.
- Si les filles sont des ponygirls, elles doivent se trouver dans l'étable, pensa Tom. Je vais devoir patienter jusqu'au coucher du soleil pour pouvoir vérifier!
Tom se résolut à battre en retraite pour trouver un endroit isolé pour se cacher et observer les lieux. Il choisit un endroit qui lui permettrait d'observer l'ensemble des lieux, à la fois pour des raisons de sécurité ainsi que pour son plaisir personnel. De temps en temps, un groupe de femmes, deux ponygirls tirant un sulky conduit par un jockey de sexe féminin, comme l'attelage entrevu précédemment, passait devant lui, apparemment soumis à un entraînement sévère. Les coups de fouet retentissaient fréquemment, mais rarement atteignaient la peau.
Juste avant le crépuscule, Tom Payton remarqua un regain d'activité devant le manoir. Trois femmes apparurent sur le perron dont les deux filles de Yonkers, toujours vêtues de leur manteau de fourrure. Elles discouraient d'un quelconque problème avec la troisième qui portait des vêtements semblables à tous les jockeys rencontrées jusque là : bottes aux genoux, culotte d'équitation et un chemisier à manches longues. Apparemment, la blonde était celle qui en avait le plus à redire et pour faire un coup d'éclat, elle jeta par terre le manteau de fourrure, apparaissant maintenant aussi peu vêtue que les autres ponygirls. Plantant là ses compagnes, elle se dirigea d'un pas assuré vers l'étable. L'inconnue se pencha pour ramasser le précieux manteau, disant quelques mots à la mulâtre, faisant montre d'un certain amusement dans son regard. L'autre lui répondit sur le même ton, apparemment aussi amusée qu'elle, puis elle quitta les lieux dans la même direction que sa prédécesseure, mais conservant son manteau blanc.
Tom se trouvait beaucoup trop loin pour entendre les échanges entre les trois protagonistes, mais il ne perdit pas la mulâtre des yeux pendant qu'elle marchait. Elle pénétra dans l'étable par une petite porte de côté, puis disparut. Tom attendit qu'il fasse encore plus noir avant de s'approcher de l'étable. Il s'assura que personne ne pouvait le voir et prit la peine de progresser lentement, se cachant derrière tous les obstacles à sa disposition. Finalement, il parvint à la petite porte qui avait avalé les deux filles de Yonkers. Heureusement, celle-ci n'était pas verrouillée et Tom put pénétrer à l'intérieur. L'étable se révéla effectivement très vaste, partiellement éclairée par des ampoules suspendues au plafond et Tom dut attendre que ses yeux s'ajustent au faible éclairage. Contrairement à toute étable normale, aucun animal n'occupait les lieux, aucune odeur particulière n'était perceptible et tout était propre.
Tom Payton progressa d'un endroit sombre à un autre, toujours camouflé, cherchant à découvrir où pouvaient se trouver les ponygirls. Il avait crû que l'étable serait remplie de filles nues, mais ce n'était pas le cas. La grande majorité des cases était vide, du moins par où il était entré, aussi résolut-il de pousser un peu plus loin, silencieusement. À peu près à mi-chemin dans l'étable, Tom commença à entendre des voix et des bruits étranges. Il continua plus avant et soudain, il fut le témoin d'un étrange spectacle : la blonde de Yonkers était ligotée et suspendue à une poutre du toit, au milieu d'un enclos.
Ses bras étaient attachés dans son dos, liés à une barre d'écartement fixée aux coudes et tendus par un levier électrique. Elle portait un mors et des œillères. Deux autres femmes, vêtues en entraîneuses, se trouvaient à ses côtés, bavardant comme si de rien n'était et prenant de nombreuses photographies de la troisième. Ceci ne semblait guère être à son goût car elle bougeait constamment, malgré son peu de liberté de mouvement. Riant aux éclats, la jockey qui n'était pas occupée à prendre des photos lui claqua les fesses sèchement. La blonde marmonnait entre ses dents, mais ne pouvait rien y faire. Saisissant l'occasion, l'autre entraîneuse prit quelques poses supplémentaires de la ponygirl.
Peu désireux d'être surpris, Tom Payton s'éclipsa et s'éloigna en se demandant où pouvait bien être l'autre fille de Yonkers. Il la découvrit à peine cinq enclos plus loin. Incapable de voir sa compagne, elle témoignait pourtant d'un calme déconcertant, considérant qu'elle se trouvait dans une position semblable, suspendue comme elle à une poutre du plafond. Presque nue elle aussi, ne portant plus que ce que les ponygirls étaient autorisées à arborer, elle regardait de l'autre côté, les sens aussi entravés par un mors et des œillères. Tom se cacha dans un coin pour la détailler, obnubilé par cette vision. Elle ne semblait nullement alarmée par le sort de sa compagne tout comme si cela ne la concernait en rien. Allait-on la soumettre au même sort? Tom Payton décida d'attendre un moment pour s'en rendre compte.
Les yeux rivés à la croupe foncée, Tom commença à ressentir un certain effet. En vérité, la fille était une beauté, musclée et si grande de taille. Attentif à ne produire aucun son, Tom abaissa sa fermeture-éclair et sortit sa queue, les yeux toujours pointés vers le fessier invitant. Incapable de s'en empêcher, il commença à se caresser. Juste à ce moment, les lumières baissèrent d'intensité et les deux entraîneuses quittèrent l'étable, abandonnant les deux ponygirls et leur invité. Tom pouvait percevoir les jérémiades de la blonde, mais il ne s'intéressait pas à elle, du moins à cet instant-là. C'était la mulâtre qui occupait ses pensées. Sa main allait et venait sur son membre, caressante.
- Quel plaisir ce serait de lui enfoncer ça dans la chatte! pensa-t-il en reluquant son pénis durci.
L'idée commençait à prendre forme dans la tête de Tom. Quels risques y avait-il qu'il soit surpris? Elle était ligotée, suspendue par ses poignets et ses coudes attachés dans le dos, muselée et partiellement aveugle. Il pourrait l'approcher par derrière, elle ne le verrait jamais et personne n'en saurait jamais rien. Tom prit sa décision : il cessa sa masturbation de crainte d'éjaculer trop vite et il s'approcha silencieusement de la fille. Courbée comme elle l'était, son postérieur était mis en évidence de manière fort agréable, très invitante pensa-t-il.
Tom Payton tendit l'oreille pour se convaincre que personne n'allait surgir à l'improviste. Tout ce qu'il percevait encore, c'étaient le marmonnage frustré de la blonde à quelque distance. Encore une fois, il songea à ce qu'il s'apprêtait à faire, de plus en plus persuadé de la justesse de son plan. Aussi, il progressa de nouveau de quelques pas, s'arrêtant à moins de trente centimètres derrière la mulâtre. Tom tremblait peut-être d'excitation ou de peur. Sa queue se dressait droit devant, pointant vers la fente baveuse. Il se précipita sur elle, l'empoigna par les hanches et il s'aperçut avec une pointe de surprise que la position indécente qu'on lui faisait prendre l'avait déjà rendue toute humide.
La femme se crispa sous l'assaut. Pour la calmer, il lui caressa le dos et les fesses, lui murmurant, trop bas pour que qui que ce soit d'autre puisse entendre :
- Restes tranquille, bébé! Personne ne viendra à ton secours, alors tu ferais mieux d'y prendre plaisir!
Elle ne lui résista pas, mais il la sentit plus tendue et tremblante. Se concentrant sur son propre plaisir, il entreprit de s'enfoncer plus à fond dans sa chatte ce qui engendra une réponse immédiate sous forme de mouille abondante. Il n'arrêta pas de la caresser et de la cajoler même s'il s'ingéniait dans un mouvement aller-retour intensif; il lui parlait même amoureusement comme on ferait à un cheval familier :
- Tranquille, bébé! Ne résiste pas!
Il avança les mains vers l'avant, alternant les caresses aux seins à celles aux cuisses fermes. Elle était formidable, un vrai pur-sang!
À travers son mors qui agissait comme bâillon, elle commença à gémir de manière à peine audible.
- C'est ça, bébé, ajouta-t-il. Laisses-toi aller!
Soudain, il se trouva incapable de se retenir davantage et il entreprit un pilonnage en règle de la mulâtre, sentant son orgasme à la portée. Guère plus d'une minute plus tard, il déversait sa semence dans sa chatte, se vidant sans autre forme de procès. Il s'arrêta et quitta le fourreau dégoulinant. La femme rageait de frustration car on l'avait privé d'un orgasme et elle essayait de regarder derrière elle pour voir le visage du dégoûtant personnage. Tom s'assura de demeurer hors de portée et il décida de vider les lieux séance tenante de peur d'attirer du monde. Tom rentra son pénis devenu flasque dans son pantalon, remonta sa fermeture-éclair et il se prépara à partir.
Tom Payton recula prudemment vers la porte qu'il avait utilisée précédemment pour pénétrer dans l'étable. Comme l'éclairage avait été éteint, ce ne fut pas une mince tâche, mais il prit son temps et finalement il réussit à atteindre la sortie. Il respirait très fort, aussi s'accorda-t-il un moment pour récupérer avant d'ouvrir la porte. Il ne semblait y avoir personne, aussi décida-t-il de piquer un sprint pour rejoindre le couvert des arbres en face du manoir pour ensuite rejoindre sa voiture, ce qui lui prendrait vraisemblablement une demi-heure au moins.
C'est alors que tout tourna mal pour Tom Payton. Apparemment, son escapade ne s'était pas déroulé de manière aussi secrète qu'il l'avait crû car, à peine avait-il fait quelques pas hors de l'étable, une paire de lassos lui tombèrent dessus, l'emprisonnant et le jetant par terre. Quelques lumières s'allumèrent et deux femmes apparurent, tenant avec dextérité l'autre extrémité de chacune des cordes. Si l'une n'était pas connue de Tom, bien qu'habillée comme toutes les entraîneuses, il n'en allait pas de même de l'autre dans laquelle il reconnut aisément celle qui s'était disputée avec la blonde plus tôt, sur le perron du manoir. Elle arborait un sourire étrange lorsqu'elle se pencha vers lui, le fixant de ses yeux moqueurs en déclarant :
- Hello, cowboy! Comme ça, tu aimes chevaucher les ponygirls!
il y a 10 ans

Publicité en cours de chargement