Le tucking m'a rendue soumise

Le tucking m'a rendue soumise

En pleine transformation, je me complais à pratiquer le tucking en attendant l'opération visant à faire de moi une femme.
Le tucking est la technique qui permet de dissimuler les testicules dans l'abdomen.
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Sans la bosse créée par ce truc que j'ai encore entre les jambes, il devient difficile de savoir que je suis une trans. Les hormones m'ont permis d'avoir une belle poitrine, un collier de soumise très large me permet de cacher ma glotte et l'épilation totale de faire disparaître ma pilosité. L'orthophoniste a eu du travail pour me faire travailler sur ma voix.

Vêtue d'une jupe courte et de mes bottes à talon, mes fesses sont un appel au vice, ma poitrine en 95 C dans chemisier très échancré un appel aux regards des hommes. Me promener ainsi en ville me permet enfin d'exister.

Louis, un bi très actif dans le monde de la nuit et des rencontres m'a proposé une idée folle, sortir avec lui en club libertin. Son idée était très simple, en pratiquant le tucking avec du sparadrap médical noir pour faire disparaître totalement mes testicules et mon sexe dans mon abdomen en me faisant une forme de string très épais sur le devant. A partir de là, en me mettant un collier de soumise je pouvais devenir l'espace d'une nuit une vrai femme en attendant mon opération. Mon pseudo serait la chienne, je n'aurai qu'à jouer la soumise et à me laisser aller.

Si son plan pouvait marcher, je me doutais bien que son intérêt n'était pas que je m'éclate. A f o r c e de persuasion, Louis étant très convainquant, j'ai accepté un vendredi soir qu'il me fasse le tucking à sa façon pour voir ce que cela pouvait donner. Après trente minutes de préparation, de découpe de sparadrap médical mon ventre était aussi plat que celui d'une femme, aussi plat que celle que je serai bientôt. Devant ma joie, il m'a rappelée que cela me vaudrait une pipe à la demande. L'enfoi.....

Deux heures plus tard, nous arrivions devant la porte du club libertin, descendre de la voiture fut une étape difficile pour moi même si j'étais déjà sortie en femme des centaines de fois. Il me posa un large collier de soumise, y attacha une laisse et me fit sortir de la voiture en me traitant de petite chienne. L'entrée au club se déroula sans incident, tout comme le passage au bar où il a commandé pour moi sans me demander mon avis. C'est pour te mettre dans l'ambiance petite chienne m'a t'il dit. L'enfoi..... bis !

Assis dans un petit box joliment décoré avec des tissus colorés et illuminés par deux bougies, nous prenions notre verre en observant les couples ci et là quand il m'a demandé de me mettre à quatre pattes sur le banquette d'en face. Mon coeur s'est mis à battre la chamade et ma gorge s'est serrée! Légèrement bousculée je n'ai pas eu d'autre choix que de m'exécuter, Louis n'étant pas un homme à qui on dit non, son mètre quatre-vingt dix et ses yeux suffisent à vous convaincre même dans la pénombre. Ma robe ultra courte dévoilait mes fesses, j'avais honte d'être ainsi exposée mais en même temps, un trouble m'envahissait. La position dura un moment sans que rien ne se passe quand il a eu une idée saugrenue pour les lieux.

Louis m'a faite descendre de la banquette pour me mettre à quatre pattes dans l'allée, il prit la coupelle de mon verre et la posa sur le sol devant moi. Deux minutes plus tard, son pied posé sur ma tête m'imposait de laper le contenu de mon verre vidé dans la coupelle. Je l'ai haï de faire de moi une chienne devant tout le monde, cela me perturbait même si j'aime être prise comme une petite chienne. La présence des clients, dont certains ne devaient passer que pour voir la scène, était très humiliante, l'intimité n'a rien à voir avec une exhibition publique.

Jugeant qu'il était temps de passer aux choses sérieuses, il m'a conduite aux coins câlin à quatre pattes, quelle horreur. Vautré sur une banquette, Louis a ouvert son pantalon pour sortir son sexe avant de tirer sur ma laisse pour m'imposer de lui tailler une pipe. Il a dégrafé le haut de ma robe pour dévoiler mes seins qui n'étaient protégés par aucun soutien-gorge. Sur mon dos il a posé des préservatifs et des sachets de lubrifiant, la scène ne pouvait pas être plus claire dans son message : servez-vous ! Un homme, sûrement invité d'un geste s'est approché, il a commencé à caresser ma croupe offerte avant d'envoyer la main entre mes jambes. J'avais une peur bleue qu'il découvre le subterfuge et qu'il y ait des problèmes mais non, il n'a rien décelé.

- Pourquoi sa chatte est fermée avec du sparadrap ? Lui a demandé l'inconnu.

- Parce qu'elle est punie, seul son cul sera en libre service ce soir ! A répondu Louis.

L'homme, un véritable queutard n'a pas tardé à lubrifier mon anus puis à poser son gland entre mes fesses très écartées de par la position. Il a joué quelques instant à provoquer ma rondelle avant de s'enfoncer en moi sans plus de précaution. La rudesse de sa pénétration m'a fait serrer les dents, une claque derrière la tête m'a rappelée que j'avais le sexe de Louis dans la bouche. Quelques minutes plus tard, sous les ruades de l'inconnu mon anus s'extasiait pendant qu'un autre homme malaxait mes seins. Dans les méandres du plaisir sodomite et des attouchements je n'ai pas réagi tout de suite quand Louis a déchargé dans ma bouche. Il m'a forcée à tout avaler en me tenant la tête pendant que l'homme me sodomisant n'arrêtait pas de dire comme un disque rayé &quot;qu'elle est bonne cette salope&quot;.

Louis a laissé sa place au deuxième inconnu qui, d'après ses propos, apprécia ma fellation. Assis sur la banquette Louis orchestrait la mise en abattage de sa chienne. Celui que je suçais a pris le relais de celui qui me baisait, la place n'est pas restée libre longtemps, un autre s'est installé pour se faire sucer en malaxant mes seins. Leur vocabulaire très pauvre se limitait à elle est bonne cette chienne ou une bonne salope ou l'équivalent proche du plus vieux métier du monde.

Quatre mecs m'ont sodomisée sans plus d'attention que de profiter d'un cul offert. Au cinquième j'ai eu envie de faire une pause et j'ai commencé à résister. Louis m'a attrapée et couchée sur ses genoux, je m'attendais à un peu de réconfort, c'est une fessée qu'il m'a donnée ! Sa main est un véritable battoir, chaque claque me faisait bondir, quand j'ai essayé de me protéger, il a bloqué mon bras pour continuer sans aucune pitié pour mon fondement. Au bout d'un moment, je ne sentais presque plus les coups, j'étais dans un autre monde, j'aurai bien aimé qu'il continue un peu.

Remise en position j'ai été offerte à deux autres hommes en taillant une pipe à un mec qui n'a jamais bandé mais qui semblait apprécier. Le spectacle de ma déchéance a donné soif à Louis, il m'a remmenée au bar où j'ai eu droit de boire une flutte de champagne debout avant qu'il propose ma bouche à un client près de nous. Pendant que j'officiais à genou j'ai pris conscience que je devenais sa pute soumise sans m'en rendre compte. Il a fait tout ce qu'il a voulu de moi sans jamais me demander mon avis. Le pire est que j'ai aimé.

Il m'a fallu trois jours pour que mon petit cul se remette du passage de ses visiteurs. Louis m'a faite vivre la soumission mais quelque part je peux dire que le tucking m'a rendu soumise

Ecrivaillon
il y a 9 ans

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