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Club de fitness BDSM de Fessestivites.com

La publicité de ce club de fitness pour masochistes m’est apparue comme une blague mais la visite de leur site m’a fait halluciner ! Les renseignements donnés étaient cohérents tout comme le fait que par discrétion, ils ne proposaient que la photographie des lieux.

L’approche de ce club de fitness est dès plus conventionnelle, avec des forfaits plutôt onéreux promettant des résultats mais avec des garanties dès lors que la personne respecte le nombre et la régularité des séances. Les variables par rapport à un club de fitness conventionnel portaient sur le coaching et le choix entre deux jours possibles sur la semaine, les autres jours étant dédiés au public « conventionnel ».

Pour y adhérer, j’ai donc téléchargé le dossier d’inscription et la fiche de renseignement sur <!-- w --><a class="postlink" href="http://www.fessestivites.com">www.fessestivites.com</a><!-- w --> et comme ce dossier m’a semblé lui aussi cohérent, je me suis rendu chez mon médecin pour me faire délivrer une attestation médicale sans lui donner les informations concernant les variables « SM »…..

…………………

Une magnifique blondasse bardée de cuir mesurant au bas mot un mètre quatre-vingt dix m’accueille avec un sourire radieux. Ses muscles saillants trois fois plus gros que les miens, me laissent à penser qu’elle pratique le fitness depuis des années. Pendant qu’elle étudie mon dossier, l’imaginer étendue nue soulevant des altères avec moi comme coach armé d’un fouet m’enflamme les sens même si pour elle, je serai prêt à faire des efforts physiques……

- Bienvenue chez Fessestivites.com, nous allons vous prendre en charge selon vos souhaits. Vous allez perdre du poids mais également prendre un peu de volume musculaire. Il va de soit que vous vous engagez entre les séances à suivre notre régime alimentaire pour ne pas grossir et si vous ne respectez pas vos engagements, nous saurons vous le faire regretter tout en gérant vos excès. Signez ici !

Le paiement de l’abonnement effectué, me voilà parti dans les couloirs pour suivre des yeux le délicieux fessier du plus beau coach. Nous entrons dans un des salles de sport ressemblant à s’y méprendre à une salle de sport conventionnelle au premier abord. A sa demande, je retire mes vêtements pour me présenter intégralement nu à mon coach de rêve, avec une verge affichant fièrement mon intérêt pour elle. Etant adepte des jeux de contrainte, me laisser menotter mains dans le dos par cette bombe sexuelle décuple mon excitation. Elle me fait un string avec une petite chaînette qu’elle passe dans mes menottes, plaquant ainsi mes mains contre les fesses.

- Bien, nous allons commencer par le tapis de marche histoire de vous dérouiller un peu. Montez dessus, je vais vous expliquer son fonctionnement. Attachée par les parties sensibles du corps, la personne est obligée de marcher pour ne pas tomber lorsque le tapis roulant sous ses pieds se met en route comme vous allez le constater. Il est alors possible de définir le nombre de kilomètres à parcourir en fonction de ses désirs ou de ses besoins. Nous recommandons cet accessoire pour contraindre les personnes lascives à faire du sport ce qui semble être votre cas. Si vous équipez le personne entravée sur cette machine d’accessoires comme plug ou gode, la marche forcée avec les orifices comblés permet d’assouplir les zones désirées. L’ajout de grelots aux seins offre une agréable mélodie proche de celle du traineau du père Noël. J’adore ! Tournez-vous vers moi un instant.

Sans me aucune gêne, elle empoigne mon service trois pièces pour isoler les précieuses en les serrant comme si elles ne l’étaient pas. (ouf) Elle saisie un bracelet relié à la machine qu’elle serre comme une malade à la base de mes testicules en rébellion. Elle fait de même avec deux pinces à sein s’avérant être crantées. Par une main experte, mes tétons inquiets sont étirés pour être pincés en profondeur. Comprenant qu’elle fait le réglage de la pression au « bruit » je me mets rapidement à gémir.

-Voilà, il ne reste plus qu’à vous mettre bien en face. Me dit-elle en tirant sur les grosses ficelles pour faire les réglages m’obligeant à rester sur le tapis de marche. Si vous ne voulez pas perdre vos testicules ou vous arracher un téton, vous devez absolument rester sur le tapis. Rassurez-vous vous ne pourrez ni tomber sur le côté ni vous échapper, les deux barres latérales que je place sont électrifiées. Ajoute-elle avec un sourire sadique. Attention je le mets en route, vous allez faire cinq kilomètres pour commencer.

Lorsque le tapis se met en mouvement, elle n’a nullement besoin de m’expliquer ce que je dois faire surtout que mes tétons commencent déjà à se rebeller !!!!! Planté là, face à moi-même, il ne me reste plus qu’à marcher en espérant ne pas broncher. A peine est-elle sortie de la pièce, qu’une musique assez dynamique est diffusée dans la salle. Tout en marchant, l’idée d’étudier le paysage me vient, cette distraction a rapidement un prix ! Les barres latérales sont effectivement électrifiées. Le contact avec celle de droite m’envoie à celle de gauche, la marche perturbée par les décharges électriques est aussitôt rapporté à mon service trois pièces et à mes tétons en me faisant un mal de chien. Je n’ai jamais été aussi concentré pour faire de la marche et même si je suis nu, au bout de quelques minutes, des gouttes de transpiration commencent à couler sur mon visage.

Je ne saurai dire si les appareils sont reliés à un tableau de contrôle ou si je suis observé par caméra, mais le tapis à peine arrêté, mon coach débarque en affichant son éternel et cruel sourire en me demandant si je vais bien. Et moi, en guise de réponse, (quel con) je me suis mis à la draguer. Si cela m’a permis d’apprendre qu’elle se prénomme Laura, cela m’a valu une « putain » de claque sur les fesses pour l’avoir tutoyée.

- Allez un va maintenant faire un peu de vélo, je suis sure que vous allez aimer. Je vous explique son fonctionnement. Dit Laura en libérant mes précieuses puis mes seins de leur pince sans plus de ménagement. ARfAAAA

Laura m’aide à monter sur le vélo en me soulevant presque pour me poser sur les pédales de ce vélo équipé d’une petite roue ne touchant pas le sol mais équipée de trucs ressemblant à des martinets et d’un godemiché de taille raisonnable passant à travers la scelle. Elle passe un préservatif sur le petit gode, le lubrifie puis m’indique que je peux m’asseoir. Mon humour étant débordant, (et parfois débile) la féliciter sur le choix des mots usités pour me dire que je peux m’encu… me semble de bon goût. En guise de réponse, cette sal… pardon ce super coach appuie de tout son poids sur mes épaules. ARffffAA ouf… Sanglé en un rien de temps sur la scelle, il me semble de bon aloi de me taire.

- Ce vélo électrique fonctionne à l’envers sur le plan musculaire. Votre objectif ne va pas être de le faire avancer mais de le freiner. S’il se met à aller trop vite, les lanières de la roue arrière vous fouetteront et le gode vous apportera sûrement quelques plaisirs brulants pour cause de vitesse excessive.

- C’est en quelque sorte le nouveau radar ! Vous devriez être très belle en uniforme, est-ce que vous retirez des points si on se fait flasher ?

- Ecoute-moi du con, je ne suis pas ta copine et je suis lesbienne jusqu’aux oreilles. Les dragueurs pédants comme toi, je m’éclate à les faire marcher droit surtout que je parie que tu es marié.

- Excuse-moi, c’était pour plaisanter un peu et non, je ne suis pas marié ou en concubinage.

- Juste comme ça, entre-nous, tu viens de me tutoyer pour la deuxième fois, nous en reparlerons tout à l’heure. Pour l’instant, essaie de ne pas jouer le rôle de la pucelle effarouchée ! M’indique Laura en mettant l’appareil en marche.

Oh putain con, ça démarre vite ce truc. Les premiers coups reçus sur mes fesses sont à peine supportables et mon fondement vient de se prendre trois allers-retours de mammouth. Freiner des deux jambes est aussitôt mon ultime et unique préoccupation. Histoire de se distraire en me faisant souffrir, cette salop.. (pardon) sadique de coach ne trouve rien de mieux que de venir poser de nouvelles pinces sur mes tétons déjà bien martyrisés par les précédentes. Par sécurité, en plus de la sangle m’en plus de la sangle m’obligeant à rester assis, elle passe ensuite une autre attachée au plafond sous mes bras pour que je ne puisse m’écrouler.

- Ah tu fais moi le malin maintenant ! Hein ? Et si je te faisais un croche-patte qu’on rigole un peu ?

Lorsqu’elle me dit ça en s’approchant de moi avec ses yeux magnifiques d’un bleu profond, il me semble y voir briller un éclair sadique.

- Le gode est monté sur un variateur, si tu vas doucement, il ne bouge presque pas, par contre, si la machine s’emballe, il s’emballe aussi. Regarde ! Me dit-elle en bloquant ma jambe gauche en haut.

L’effet de surprise ne me permet pas de freiner le vélo avec une seule jambe. Le gode s’emballe dans mon fondement en même temps que les lanières me lacèrent les fesses. Mes cris quelle qualifie de « couinements de pucelle » l’amusent. Comme à regret, elle lâche ma jambe. J’ai beau essayer de freiner la machine je n’y arrive pas, les coups de bélier et de lanières s’amplifient encore, m’arrachant maintenant de véritable cris. Elle coupe la machine un instant pour que je puisse remettre mon pied en me demandant ce que je dois lui dire.

- Merci madame.

- Bien, je vois que tu progresses aussi en politesse. D’ici la fin de la séance tu seras un véritable petit soumis attentionné. Allez Paulette, pédale doucement.

Concentré sur mes pieds avec la peur au ventre qu’ils ne glissent, je commence réellement à me demander si j’ai bien fait de venir ici. Si je suis un brin masochiste et que les jeux de contraintes m’excitent, je crois qu’ici le côté « machine » castre totalement mes plaisirs. Au bout d’un moment, je n’en peux plus, je suis crevé, épuisé, vidé, il me tarde que la séance se termine pour aller prendre une douche car je coule l’eau. Avec leur programme on ne peut que maigrir c’est sûr !

Un quart d’heure plus tard, Laura vient arrêter la machine et me libérer des sangles de sécurité. Porté par une nana, jusqu’à une table de massage, c’est avec un immense soulagement que je m’allonge sur le ventre. Entre ses bras, il m’a semblé que je n’avais pas besoin de faire un régime tant elle m’a soulevé et porté avec une aisance surprenante. Ses mains massant mes jambes sont un pur moment de bonheur. Enfin un peu de douceur dans ce monde de brutes. Hélas, cela ne dure pas…. Il y a des moments comme ça dans la vie où les minutes ne semblent durer que 30 secondes.

Laura m’aide à me lever pour me conduire à un banc de musculation où elle m’invite à m’étendre sur le dos après m’avoir retiré les menottes. Cette liberté ne dure pas, mes poignets sont aussitôt entravés sur une barre transversale tout comme mes jambes elles liées sur des poutres soudées en V. Lorsqu’elle attrape mes testicules, une angoisse me submerge car elles sont comme du cristal entre les mains d’une furie sadique. Tout comme pour le tapis, elle les entoure d’un bracelet relié à un câble. Elle fait ensuite rouler une grosse partie métallique dont je vois un long plug fait de plusieurs boulles allant de petites très grosses. Sans comprendre l’objectif de cette machine de musculation particulière, je regarde ma tortionnaire installer son matériel.

- Tend les bras et soulève la barre. Tiens la bien ou tu vas souffrir.

Laura saisie de poids qu’elle bloque à chaque extrémité de la barre qu’elle relie ensuite à son dispositif de câbles dont elle affine les réglages. Sur mes tétons en feu, elle place ensuite de nouvelles pinces puis un siège percé au dessus de mon visage.

- Alors je t’explique « Paulette », tu vas faire ta séance de musculation avec une attention particulière. Si tu laisses descendre la barre, le dispositif équipé de contrepoids t’enfoncera les boulles du plug dans le cul et en même temps tirera sur les couilles et tes seins. Comme tu m’as manqué de respect en me tutoyant deux fois, tu vas en plus de ta séance de musculation me lécher le cul. Si tu parviens à m’exciter, tu auras en récompense le droit de me lécher la chatte et si tu es bon de me faire jouir. Oui c’est vrai, je suis une grosse salope et j’en suis fière et j’avoue humblement que faire souffrir des mecs m’excite au plus haut point.

Mes yeux s’étonnent du spectacle qu’elle leur offre soudain en s’asseyant sur le siège au-dessus de mon visage. Nue sous sa jupe, lorsqu’ils ont vu arriver son anatomie aussi soignée que jolie, ils ont transmis quelques informations excitantes à mon Popaul. Hummm, la peau de ses fesses est aussi douce que de la peau de pèche. Le nez dans la sublime vallée délicatement parfumée à la rose, je ne peux maintenant voir que le tissu de sa jupe mais cette position m’émeut aussitôt au plus haut point.

La violente douleur que j’éprouve aux tétons ma fait comprendre qu’il faut que je me mette au travail, tant sur le plan musculaire que « l’linguistique ». Putain con, je la déteste ! Se sustenter du sexe d’une aussi belle fille n’est pas possible en même temps que l’on fait des efforts physiques considérables pour ne pas se faire arracher ses bijoux. C’est monstrueusement castrateur de plaisir. Lorsqu’elle agite ses fesses, je comprends aussitôt ce qu’elle attend, et, pour ne plus souffrir, m’attelle à lui laper le fion.

Accompagné d’un « plus vite et plus profond », le poids soudain sur mes bras augmente considérablement. Je ne peux que m’exécuter si je veux rester un homme. Pour la satisfaire, ma langue joue maintenant le rôle d’un petit pénis sur son œillet, fleur qui en d’autre circonstance est le symbole de l'amour.

- Fait-en encore dix de plus et je te laisse lécher ma chatte.

Que ne ferais-je pas pour qu’elle soit de bonne humeur ? Les muscles de mes bras entrent aussitôt en rébellion avec mes neurones. (Font chi…) Epuisé mais ravi, elle laisse mes babines attentionnées remplacer mon « groin ». Le jardin des délices offre à ma gourmandise la rosée des pétales aussi chaude que son écrin de velours. Ma langue y entreprend une sarabande coquine générant rapidement une petite reptation me permettant d’atteindre le délicat émonctoire exposant la perle clitoridienne exacerbée.

Elle en oublie ma séance de musculation, et avec une indicible joie je peux savourer les adorables odeurs et saveurs féminines de Laura se laissant porter par les vagues semblant monter en elle. Réellement trempée de désirs, elle ne tarde point à se cabrer de volupté puis soupire en ondulant du bassin. Ses soupirs se transforment en expirations bruyantes. Elle se met à jouir dans une longue plainte de louve ses deux orifices palpitent, mon visage s’englue pendant l’orage orgasmique d’une puissance surprenante. Cette fille est un sacré numéro ! Elle s’éclate totalement et se frotte sur mon visage comme une damnée.

- Ne bouge plus ! Crie-t-elle pour savourer à loisir la fin de l’orage.

Perdu (pour ne pas dire noyé) sous sa jupe, je suis dans un état d’excitation monstrueux.

- Ouvre grand la bouche, j’ai envie de faire pipi !

- Non !

- Comment ?

- Non !

- Ah bon ! Dit elle en appuyant d’un seul coup sur la barre déjà bien trop chargée de poids.

Une douleur fulgurante aux seins et aux testicules m’arrache un « A » se transformant rapidement en « O » sous la pression des boules du plug forçant mon anus. Une petite ondée commence à sourdre au-dessus de ma bouche. Mes bras ne pouvant lutter contre sa force herculéenne, j’abdique aussitôt à sa requête de la boire pour ne plus souffrir. Cette sadique s’emploi à ne rien me laisser perdre en se contenant pour me délivrer son « champagne dorée » par petite ondées contrôlées. Sous la douleur extrême et la pénétration profonde des boulles du plug, mon corps tout entier et pris de convulsions proches de la jouissance. Laper ses lèvres pleines d’urine ne me pose à cet instant aucune gêne, aucune aversion.

Rapidement libéré de mes poids et entraves je n’ai plus une once de courage quand elle me demande de me lever. Presque arraché du banc de musculation je suis conduit à la douche sous laquelle elle me jette en appuyant sur le bouton. L’eau tiède m’extirpe aussitôt de ma torpeur. Face à moi, la géante me fait face avec cette fois un véritable sourire en me tendant une serviette.

- A vendredi même heure ?

- Oui madame.

- La semaine prochaine, on passe à la suite du programme. Si tu grossis d’un seul kilo, je te file une fessée maison en plus de ta séance.

- Bien madame.

Fin

TSM

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Trop bon !

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Il existe ou ce club? en tout cas c'est une idée qui pourrait sans doute marcher! qui sait! :mrgreen:

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en cas de création du club de fitness je veux bien prendre un abonnement

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Si c'est pas trop loin j'm'abonne aussi