Switch à hauts risques

Switch à hauts risques

Par Ecrivaillon
Résumé :

Un Maître switche avec son ami soumis bien décidé à lui faire vivre un stage d’enfer.
HH/ BDSM/ ABDL/ entraves/contrainte

Nous nous sommes rencontrés sur <!-- m --><a class="postlink" href="http://www.fessestivites.com">http://www.fessestivites.com</a><!-- m --> un site qui, chose rare, permet pour ceux qui le désirent de croiser leurs fétichismes et d’en découvrir d’autres.

Je venais de lui faire vivre un stage BDSM et soumission de deux jours non stop quand lors du débriefing amical à la fin du dernier jour, nos discussions me conduisirent à lui avouer que j’aimais aussi les plaisirs de la soumission. Il me proposa aussitôt de switcher et de me prendre en main le week-end suivant. Et là, tout excité à l’idée de m’éclater un peu en soumis, j’ai répondu oui. Les choses sont allées très vite et je me suis laissé embarquer dans une aventure BDSM qui allait changer ma vie.

Lorsque Guy est parti avec les clés de ma cage de chasteté, je me suis demandé un instant si je n’étais pas fou, car quoi qu’il arrive pendant la semaine, je ne pouvais me libérer sans couper le cadenas au risque de me blesser ou de détruire la cage. Le lendemain il m’adressa la fiche « limites et interdits » que je lui avais fait compléter avant qu’il ne vienne pour son stage. Cette fois, c’était à mon tour de fixer mes limites. La problématique est que je l’ai remplie en étant particulièrement excité et que je n’ai presque pas mis d’interdit hormis les marques définitives et la scato. Jusqu’au jour J, chaque matin, mon Popaul en sa cage criait sa colère, c’était grisant car chacun de ses emails m’excitait au plus haut point. Comme nous avions sensiblement les mêmes goûts, sauf que lui est totalement gay et moi seulement bisexuel, ses questions m’amusaient car j’essayais de deviner ce qu’il me préparait comme surprise. Le fait qu’il m’impose un test HIV me rassura dans un sens mais laissait apparaître qu’il désirait peut-être des rapports non protégés. A mes questions sur ce sujet, Guy me rassura en m’indiquant qu’il me garantissait une sécurité totale et qu’en tant que gay, il connaissait particulièrement le sujet. Que je puisse douter de sa prudence vis-à-vis du sida me vaudrait une punition exemplaire.

Le jour J et ce vendredi !!!!!!!

Depuis ce matin je suis en effervescence intellectuelle et physique car après 5 jours de cage de chasteté et de fantasmes délirants, l’excitation est à son comble malgré les petites inquiétudes me venant parfois. Etant prévenu qu’un email me serait adressé à midi avec des consignes, je suis devant l’ordinateur depuis 11 heures en gambergeant comme une puce excitée ! L’email arrive vers 13 heures, monsieur avait sûrement décidé de me faire languir.

« Tu dois mettre les clés du portail dans la boite à lettre sans la fermer à clé puis te féminiser en te faisant belle pour moi avant de t’entraver debout contre le canapé à placer au centre du salon avec ton cul bien offert et la tête sur le dossier. Par sécurité tu dois faire un bloc de glace avec les clés des menottes mais si quand j’arriverai à 18 heures le bloc de glace est fondu ou si tu ne t’es pas bien entravéE nous ne jouerons pas et je repartirai purement et simplement car je ne peux concevoir que ma « soumise » désobéisse dès les premiers ordres. Je te garantis ta sécurité morale, physique, le respect de ton intégrité puis de respecter les limites et tabous que tu as indiqués mais sache que je ne suis pas un Maîtresse tendre et facile. Chaque manquement sera fortement sanctionné, (évite la provoc, elle te sera douloureuse) si tu me résistes, tu seras forcée et battue. En guise d’acceptation, imprime cet email puis ta fiche limite que tu signeras avant de les poser sur la table de ta cuisine je veux que la table soit mise et qu’un repas pour deux soit prêt ».

OUF OUF OUF ! Ca, c’est de l’entrée en matière !

Etant assez fou de nature surtout quand je suis excité, j’ai suivi ses ordres à la lettre. A 17h30 j’ai donc mis des bracelets à mes chevilles, je me suis penché sur le canapé puis j’ai fermé les menottes bloquées par une chaîne sur mes poignets. Les clés des menottes reliées emprisonnées dans un bol d’eau congelée posé sur le canapé et reliés à mes menottes par de la ficelle me permettront de me libérer s’il advenait qu’il ne vienne pas ou ait un accident. La robe rouge que j’ai enfilée après m’être maquillée, dévoile la culotte en dentelle ainsi que les jarretelles maintenant mes bas achetés pour la circonstance. Comme j’ai passé mes chaussures à talon aiguille, la vue qu’il aura en entrant devrait lui faire chaud au cœur et lui donner des envies. Hummmm, mes neurones s’emballent au fur et à mesure que les minutes s’égrainent lentement, trop lentement....

La cloche du portail se met à tinter vers 18h15, ses quelques minutes de retard ont été difficiles à vivre car le doute m’est venu. Lorsqu’il entre dans la maison, j’ai honte mais en même temps, l’excitation et la situation génèrent en moi de troubles émotions. Qu’il pose immédiatement sur mes yeux un bandeau qui me fait carrément décoller. Privée de mouvement et de la vue je me sens vraiment soumise offerte et prête à tout. Ses mains baladeuses caressant l’intérieur de mes cuisses puis mes fesses on ne peut plus offertes me font frémir de bonheur.

- Elle est belle ma salope hein ?

- Hum, hum. Lui répond soudain une voix inconnue.

Mon sang se glace dans mes veines. Cet enfoiré ne m’avait pas demandé s’il pouvait venir avec quelqu’un. Juste retour des choses de sa part car je ne me suis pas privé quand je le dominais de lui imposer des visites surprises en le plaçant dans des positions humiliantes. Une vague d’inquiétude me submerge même si j’ai confiance en Guy. En guise de présentation, il m’ordonne d’ouvrir la bouche et de présenter mes « hommages » à son ami. Le bruit caractéristique d’une fermeture éclair devant mon visage me fait frémir, une bite se pose sur lèvres entre-ouvertes et s’y enfonce de toute sa longueur sans plus de préliminaire pendant que Guy malaxe gaillardement mes testicules comme pour me dire que j’ai intérêt à m’appliquer. La verge prend rapidement de l’ampleur sur ma langue, le mec se sert de mes oreilles comme des poignets de maintien et s’accorde quelques instants de plaisir en un va et vient de plus en plus brutal.

- Elle suce bien, je crois qu’on va bien s’amuser avec elle ce week-end.

- Oui, c’est une belle salope, mais j’ai aussi quelques comptes à régler avec elle et il vaut mieux pour elle qu’elle soit très obéissante. Lui répondit Guy en me filant une grande claque sur les fesses qui me fait bondir en avant.

Ils me laissent soudain en plan comme si je n’étais pas là, pour s’offrir un apéro et discuter de leurs contacts et rencontres sur sensationsm et autres puis au bout d’un moment ils sortent de la maison. Où vont-ils ? Que vont-ils faire ? Attendent-ils d’autres personnes ?

A leur retour une dizaine de minute plus tard je comprends qu’ils ont visité le donjon et ramené avec eux quelques accessoires quand ils placent les fers de bagnard autour de mes chevilles avant de s’amuser à claquer mes fesses à coup de cravache. Si Guy frappe modérément, son ami n’y va pas de main morte et m’arrache des cris de douleur ce qui me vaut de me faire traiter de « chochotte » puis des promesses de bien pire à venir. Lorsqu’ils décident de me libérer, mes fesses sont en feu mais la libération n’est que de courte durée, Guy me passe les menottes dans le dos avant de m’ordonner de venir lui présenter mes hommages.

Pendant qu’ils se vident allègrement mes bouteilles d’apéro et s’alcoolisent bien trop à mon goût, je dois officier à genoux pour les servir de ma bouche à tour de rôle. Dans leur grande mansuétude, ils m’accordent un pataga bien trop chargé et servi dans un bol posé à même le sol que je dois boire comme un chien, ou plutôt chienne d’après eux. Guy me demande ce qu’il y a à diner, je lui indique qu’une quiche est prête dans le frigo et la marmite sur la gazinière. Histoire de se distraire pendant le service, Fred relie ma cage de chasteté par une chaine de mes fers de bagnard avant de me libérer les poignets pour que je les serves à table. La chaine bien trop courte m’oblige à marcher en canard, genoux fléchis et rend mon service médiocre d’après eux. Outre l’humiliation, marcher ainsi est délicat car les mouvements trop brusques se répercutent sur mes testicules.

En guise de repas, Guy m’autorise à manger leurs restes directement dans leurs assiettes posées à même le carrelage mais sans les mains. En me regardant laper et plonger ma figure ils fument une cigarette et se moquent de moi. Ils décident soudain de passer au salon en m’ordonnant de leur servir le café. En manque de tabac, pendant que le café coule je prends une cigarette sans le demander. Fred débarque par surprise et me voit fumer.

Tu l’as autorisé à fumer ?

- Non ! Répond Guy

- Alors comme ça petite salope, tu me tapes des clops quand j’ai le dos tourné et sans même me le demander. Vient ici ! M’ordonne Fred en tirant une des chaises de la table.

Attrapé par la main et aussitôt basculé sur les genoux de ce mec qui a une force herculéenne, je n’en mène pas large. La robe courte lui offre une vue imprenable sur mon fessier sûrement encore rouge de leur distraction à la cravache. Il la trousse encore puis la bloque en me serrant de son bras gauche se transformant presque en étau. Les premières claques s’abattent aussitôt, elles sont rapides, fortes et sonores, c’est une véritable fessée.

Je serre les dents mais lorsque ni tenant plus sous la douleur je tente de le freiner de mes mains, Guy intervint pour me les tenir en m’annonçant que cette tentative de fuite me vaudra dix coups de ma cane préférée. Cet enfoiré n’a pas oublié les marques que j’ai faites sur ses fesses le week-end d’avant……

Sous la fessée de plus en plus forte, des larmes mouillèrent mes yeux, une première pour moi dans un jeu BDSM. La fessée s’achève enfin, mes poignets sont menottés dans mon dos par Fred pendant que Guy nous laisse seul pour chercher des trucs qu’il a oubliés au donjon. Conduit au salon et forcé à m’agenouiller aux pieds du canapé, j’attends sans bouger d’un pouce de peur de prendre une autre fessée. Guy revenu avec ma chaise percée me libère de la chaîne reliant mes chevilles à mes testicules et m’oblige à me lever pour étaler une couverture par terre puis à y prendre place pour une « dégustation ». La tête placée sous la chaise percée, je vois arriver le cul de Fred invité à passer le premier pour mon « test linguistique », quel humour….

Alors que je lèche ses couilles avec la conviction d’un soumis pas tranquille, ils ouvrent le haut de ma robe pour placer des pinces à mes seins. Guy reprend mes délires en expliquant à Fred que les pinces sont « l’accélérateur » et qu’il n’y a qu’à tirer dessus pour que la langue aille plus vite. Il teste alors aussitôt comme une brute qui ne sent pas sa force. Si j’aime bien que l’on me fasse les seins, là pour diminuer la douleur de la traction sur mes tétons, je me mets à lécher comme un malade les couilles puis l’anus qu’il m’offre pendant que Guy lui confie la chaîne de mes fers de bagnard pour me maintenir jambes écartée cul bien offert.

Pendant que Fred se fait bouffer le cul en jouant des pinces à seins, Guy travaille le mien de ses doigts en criant que j’ai un cul de grosse gourmande. Ses doigts se retirent soudain, quelque chose de froid et gros entre en contact avec mes fesses. Il le pousse, cela me dilate trop vite, je crie « doucement » mais il m’oblige à respirer fortement puis me force d’un gros plug que j’ai du mal à prendre malgré une généreuse lubrification. La parie évasée franchit mon sphincter comme brulant et s’enfonce ensuite en moi en m’arrachant un râle de soulagement. Les jambes maintenues écartées offrent une vue imprenable ou plutôt prenable à Guy qui s’amuse à tirer sur ma cage de chasteté ou à malaxer mes précieuses en même temps qu’il fait entrer et sortir le plug. Les claques qui s’abattent fortement sur mes fesses ou plus légèrement sur mes testicules génèrent des contractions de douleur se répercutant sur le missile logé en moi. J’ai l’impression d’imploser sous des sensations multiples qui m’embrasent et me font couiner comme une « truie » d’après eux.

Mon cul rouge bien offert et les divertissements lui donnent des envies de plus « concret ». Il retire le plug pour y loger sa verge qu’il enfonce d’un seul coup m’arrachant un gémissement de surprise. Les mains dans le dos, la tête sous la chaise et les jambes relevées, je ne suis plus qu’un pantin de chair dont ils peuvent jouer à leur guise et ils ne s’en privent pas. Les asseaux de plus en plus rudes dans le creux de mes reins et sur mes seins commencent à me faire transcender, à me faire gémir, le cul à lécher devient bon, je m’y noie totalement sans comprendre pourquoi. Par le rond de la chaise percée, je peux les voir s’embrasser à pleine bouche pendant qu’ils jouent avec moi.

Ils échangent les places en m’indiquant que leurs tests HIV faits cette semaine sont négatifs et qu’ils me les laisseront pour me rassurer. Guy s’installe et m’ordonne de lui lécher le cul pendant que Fred lui confit mes pieds. Son gland se posant sur ma rosette me fait frémir, j’ai fantasmé sur du sexe non volontaire et présentement, je suis servi. Il s’enfonce en moi d’un seul trait en m’arrachant un cri malgré le fait que mon anus ait déjà été bien préparé puis me prend comme un forcené m’empêchant de lécher Guy tant c’est fort et sauvage. Sa verge me laboure trop profondément m’arrachant des cris mais en même temps elle me rend fou. Je pousse des « ah » sans discontinuer quand les pinces tirant sur mes seins obligent mes lèvres et ma bouche à reprendre leur travail. Le ramonage par cette belle bite me rend dingue. C’est à la fois trop fort, trop rapide et si bon que je me perds.

Épuisé de me baisser en restant en appuis sur les bras, Fred se retire et demande à changer de position. La chaise percée retirée, ils me couchent sur le dossier du canapé le « cul bien offert » comme ils se plaisent à le dire. La verge de Guy debout face à moi affiche une forme éblouissante. Cet instant me fait chavirer de plaisir, mon fantasme de me faire prendre en sandwich sous la contrainte va se réaliser et avec de belles verges en pleine forme. Hummmmm, dans ma cage de chasteté, mon Popaul semble partager mes délires tant il subit la crise du logement. En pleine crise de délirium, j’agite mes fesses sous les yeux gourmands de Fred qui me traite de « grosse salope » en ajoutant que je vais « morfler ». J’allais répondre « des promesses, des promesses » mais Guy me fourre sa bite dans la bouche m’interdisant de dire des bêtises que j’aurai pu regretter. En guise de pénétration virile, Fred accroche une de mes cordelettes de shibari à mon service trois pièces puis y suspend un poids. Le retour du flux sanguin de mon Popaul emprisonné dans sa cage est grandement freiné ce qui a pour effet de me faire bander plus encore. C’est au tour de mes testicules de se révolter car après la cage c’est le poids qui les étire à outrance. Des gouttes de transpiration perlent sur mon front mais je ne dis rien sur les douleurs générées par les étirements testiculaires devant brûlantes, de toute les façons, ils n’en tiendraient pas compte.

Fred se positionne contre mes fesses et du gland fouille mon pertuis pour une recherche rapide de ma petite rondelle qui n’a plus peur, bien au contraire. Quand il me pénètre, la petite douleur s’efface aussitôt pour faire place à un grand moment de béatitude, oh putain que c’est bon. Sans même me laisser savourer la sensation d’être « comblé » il se remet à me pilonner comme un malade. Mes râles ne sont pas des râles d’après eux mais des couinements de femelles. A cet instant peu m’importe leurs commentaires, je m’éclate à en jouir du cul, le seul bémol vient de la douleur de mes testicules puis de mes pinces à seins qui commencent à se faire cruelles. Entre mes lèvres, Guy s’emballe un peu, j’ai peu qu’il me jouisse dans la bouche, je ne l’ai jamais fait et même si cela compte de mes fantasmes, j’ai bien peur de défaillir. Il part en jouissance sans crier « gare » ! Sa verge tressaute puis à propulse sa semence. Si ces mains ne me plaquaient pas fermement pour maintenir sa verge profondément enfoncée dans ma bouche, j’essaierai de fuir mais pris de force et dans la tourmente générale j’avale tout très rapidement sans rechigner en continuant de le pomper.

- Cette salope a une bouche adorable ! Tu devrais l’essayer. Lance Guy en se retirant.

Ses propos me glacent le sang car, l’idée de boire du sperme à gogo ne me branche. Fred se retire aussitôt de mon fondement pour contourner le canapé mais je le supplie d’aller se rincer quand il se présente face à moi chose qu’il accepte par bonheur en me traitant de chochotte. Pendant ses ablutions, Guy me parle de comptes à régler en massant mon fessier toujours aussi offert.

- Tu ne sais pas ce qu’il m’a fait cet enfoiré et qu’il va me payer maintenant ? Lance Guy au retour de Fred. Il m’a piégé en body de bébé avec le cul à l’air en m’entravant solidement couché sur la table du jardin et il m’a laissé mariner presqu’une heure jusqu’à l’arrivé d’un couple d’amis à lui. En fait, ils étaient invités sans même que je le sache à découvrir les effets de sa cane anglaise. Le mec s’est éclaté à me pourrir pendant qu’elle me traitait de vilain bébé. Je ne te dis pas la honte…. Ensuite, il leur a fait une démonstration en leur expliquant comment manier la cane. Au bout d’un moment j’avais le cul en feu et l’impression d’avoir des milliers de fourmis sous la peau. Sa femme faisait les photos pendant qu’il me tannait les fesses en me promettant de bien s’occuper de moi après ma punition. Je n’aime pas trop les femmes mais celle-là je l’ai détestée car elle est diabolique. Non seulement elle s’éclatait à me voir déguster mais en prime elle en rajoutait. Histoire de parfaire mon humiliation, il lui a demandé de me langer. Cette garce m’a mis une couche puis une culotte en plastique en me traitant de gros merdeux comme si j’étais gros, puis elle m’a collé une sucette de bébé en me promettant une autre raclé si je la faisais tomber. Ensuite, elle a fermé le body et ils m’ont entravé sur le canapé pour prendre un apéro riche en commentaires. J’étais blême. A mon tour, je vais me servir de lui pour te faire une petite démo de cane anglaise.

- Pourquoi petite démo ? Demande Fred en rigolant.

L’énoncé de cette histoire et de ses projets me laisse à penser que sa vengeance sera rude même si pour l’instant, les coups de cane qu’il me donne sont plus que doux. Un sifflement suivi d’un trait de feu se dessinant sur ma fesse droite m’arrache un cri de douleur. L’enfoiré n’y est pas allé de main morte.

- Suce mon ami avec conviction, j’adapterais ta punition en conséquence. Me crie Guy.

Fred s’avance vers moi le sexe à la main en m’indiquant que si je le mords, il m’arrachera les couilles. Avant même que je n’ai le temps de réagir un autre coup s’abat sur mes fesses. Comme s’il profitait que j’ai la bouche ouverte, Fred me fourre sa verge au parfum de savon entre les lèvres puis s’enfonce profondément en moi en maintenant ma tête fortement plaquée contre son ventre. Les petits coups que Guy me donne annoncent un orage, avec la conviction d’un désespéré, je me mets à pomper la bite de Fred comme un fou quand un trait de feu cisaille mes fesses et m’arrache un « ouf » étouffé. Si la fin de ma punition est conditionnée par la jouissance de Fred comme il ma bourré longuement sans jouir cela me laisse à penser que je vais avoir du mal à m’asseoir demain et qu’il doit être long à venir. Au bout d’un certain nombre de coups, mon masochisme me permet de transcender la douleur, de m’enfermer dans une bulle mentale loufoque me permettant de savourer réellement la verge que je suce et les fourmillements montant de mes fesses. Les minutes s’égrainent sans même que je les vois passer, mes neurones ne fonctionnent plus vraiment, c’est comme si j’étais sous l’emprise de l’alcool alors que je n’ai rien bu.

Les endomorphines et les évènements me font planer, je suis bien, la douleur des coups de cane devient monstrueusement agréables et me donne envie de plus. Je me noie mentalement dans la fellation que je fais, ce sexe est doux, bon, il est mentalement un peu comme une branche à laquelle je m’accroche. Les tressautements de la verge gorgée prête à exploser ne me gênent pas. Comme venue dans un autre monde, mes oreilles perçoivent des râles, ma bouche se remplit d’un liquide que je bois avec conviction sous des coups à nouveau plus appuyés. Lorsqu’il se retire de ma bouche et me lâche, ma tête se pose sur le canapé, je me sens vide, vide d’énergie, vide de tout mais aussi bizarre que cela puisse paraître je suis bien.

On délivre mes poignets et mes chevilles puis on me relève pour m’étendre sur le canapé. Je me laisse porter comme noyé dans une forme de bulle psychologique étrange. Le retrait des pinces à seins me fait un mal de chien, leurs mains caressant mes seins m’apaisent à peine. Guy très banché ABDL me met une couche puis une culotte en plastique. Sans aucune gêne ou pudeur je l’aide tant bien que mal en soulevant mes reins. Quelques minutes plus tard, (combien je ne saurai le dire car j’ai l’impression de m’être endormi) ils me forcent à me lever pour me passer la camisole de force dans laquelle j’ai fait séjourner Guy le week-end d’avant. Les sangles fermées, Guy me conduit à ma chambre, vire la couette et m’oblige à m’allonger sur le ventre au milieu du lit. Il prend dans ma caisse à jouets une corde qu’il fixe à la tête du lit puis aux sangles de la camisole de force en me faisant descendre pour que mes jambes dépassent du pied du lit.

- Comme ça, tu seras sur place demain matin pour tailler les pipes. Allez, dors bien, demain sera une journée difficile pour toi !

La couette se rabat sur moi, créant un voile noir à peine utile pour que je sombre dans les bras de Morphée pendant qu’ils achèvent une de mes bouteilles de whisky.


CHAPITRE DEUX

Au milieu de la nuit une monstrueuse envie d’uriner me tenaille, comme si cela ne suffisait pas pour me réveiller mon Popaul en crise dans sa cage étire durement mes testicules. La camisole de force et la corde me maintenant couché entre eux dans le lit me laissent guère de marge de manœuvre pour trouver une position pas trop inconfortable.

Ils sont là, à côté de moi, enfin, un de chaque côté. Une jambe est posée sur mon dos, la position est inconfortable mais je n’ose bouger de peur de les réveiller. Cela sent un peu le fauve là-dessous, hormis essayer de me lâcher dans ma couche malgré l’érection étirant douloureusement mes testicules je ne peux rien faire. La vessie soulagée, mon érection se calme un peu, la couche ne fuit pas et absorbe tout. Le sommeil me cueille à nouveau.

Pendant un instant, je ne sais si c’est un rêve ou si je suis éveillé mais je déguste le sexe de Guy avec un plaisir immense et surtout une conviction et tendresse que je ne me connaissais pas. Dans ma cage de chasteté c’est Beyrouth. La peau de la verge que je suce m’apparaît d’une douceur si extrême que si une main ne venait pas de se poser derrière ma tête pour me caresser la nuque je penserai être en train de rêver. Son sexe me fait chavirer dans un sentiment affectif nouveau envers un homme. Je me délecte à le sucer, à frotter mon visage contre lui, si je pouvais l’étreindre je le serrerai comme un fou. C’est la première fois qu’une fellation me fait cet effet. Est-ce l’effet cage de chasteté, l’effet bondage, les baises sadiques d’hier soir je ne saurai le dire mais je le trouve divin et me délecte de son heureuse conclusion que je garde en bouche un instant avant d’avaler sa semence. Lorsqu’il se retire, j’éprouve comme un sentiment de frustration alors que jusqu’à présent, je n’étais jamais allé jusqu’au bout d’une fellation hormis hier soir.

Fred, réveillé par les râles de plaisir de Guy désire sa part de « gentillesse » mais par chance il me repousse lorsqu’il est au mieux de sa forme pour s’approcher de Guy. Les bruits et gestes me laissent à penser qu’ils ont envie de baiser. Quelques instants plus tard, leurs déplacements et les mouvements du lit me le confirment. Mon p’tit cul serait presque jaloux. Le lit s’arrête de bouger, auraient-ils déjà terminé ? Leurs murmures me laissent à penser qu’ils complotent, j’entends un « pourquoi pas » suivi de « hummmm c’est une bonne idée », je m’interroge sur l’idée.

- Met-toi sur le dos salope, mon ami a encore envie d’une gâterie ! M’indique Fred.

Se tourner lorsque l’on est en camisole de force n’est pas aisé, ils m’aident brusquement sans plus d’explication puis enroule le traversin autour de ma tête. Guy m’enjambe puis s’installe sur moi en dirigeant sa verge vers mon visage en me disant « bouffe-moi ». Je prends dans la bouche son sexe mou quand il s’allonge sur moi, son ventre légèrement bedonnant s’appuie sur mon front et le traversin pendant que Fred m’enjambe à son tour. Comprenant soudain leur idée, la peur de mourir étouffé sous eux me vient à l’esprit. Tant bien que mal, je force sur ma nuque pour garder un peu d’espace pour respirer pendant que Fred entreprend de prendre Guy. La pression sur mon visage est énorme, rien de leurs mouvements ne m’échappe. Je suce à nouveau mon Maître du week-end pendant que son ami le prend de plus en plus vite, de plus en plus fortement en lui arrachant des râles de plaisir. La verge de Guy se raffermie, gonfle peu à peu sous le coït sauvage. S’il n’y avait pas le traversin, je mourrai sûrement étouffé par un sexe enfoncé au plus profond de ma gorge. Les vas-et-viens de Fred se répercutent sur ma tête et dans ma bouche, se faire prendre ainsi en éprouvant du plaisir des deux côtés de son anatomie doit être torride. Les cris et gémissements de Guy me le confirment tout comme sa verge tendue à rompre navigant entre mes lèvres. Les beuglements et l’arrêt des mouvements me laissent à penser que Fred est en train de s’envoyer en l’air pendant que je me meurs presque d'étouffement sous eux. Le poids diminue, Fred se retire et s’écroule à côté de nous. Guy au comble de l’excitation se sert de ma bouche comme d’un sexe à la recherche de son plaisir qui ne tarde point à venir à nouveau en déversant sa semence par saccades. L’avaler est quasiment impossible mes mâchoires sont comme bloquées, ma langue et ma gorge n’y parviennent pas, je m’étouffe, tousse et crache en essayant de me dégager. Par chance il comprend qu’il y a un problème et se soulève pour me laisser respirer.
…………….

Je suis en nage, monstrueusement essoufflé. Ils se lèvent et m’abandonnent toujours entravé sur la couette ou je pisse de rage dans ma couche. Je m’ennuie et peste un peu, une petite pose ne nuirait pas. Une dizaine de minutes plus tard, ils me libèrent de la camisole de force, le sourire banane qui se dessine sur leurs visages ne me rassure pas, cela sent l’embrouille.

- Habille-toi et va chercher des croissants ! Me lance Guy.

- Oui Maître avec plaisir, mais il faudrait peut-être que je change la couche car elle menace.

- Non, va d’abord chercher les croissants, je n’aime pas attendre.

Sortir en couche sous des vêtements amples je l’ai déjà fait mais avec une couche pleine, l’idée m’inquiète. Sous leurs yeux amusés, je prends dans l’armoire un long tee-shirt puis mon pantalon de survêtement, il est large et ne devrait pas dévoiler ma tenue. Fuir la maison, ma maison sans tarder me semble une priorité car leurs sourires ne me rassurent guère. D’un pas décidé, je fonce presque ouvrir le portail avant de monter prestement dans la voiture pour aller leur chercher des croissants. Cette étape me permet de souffler un peu, par chance, il n’y a pas trop de monde à la boulangerie. Le tabac me « tend les bras », j’y fais une étape éclair pour me prendre un paquet de cigarette que j’ouvre dès que je suis assis dans la voiture. Il y a longtemps que je n’ai pas trouvé autant de plaisir à fumer assis tranquille et en sécurité loin des regards.

A la maison, les rustres se sont recouchés dans mon lit et fument dans notre chambre. Ils me crient de me « manier » à leur apporter le p’tit déjeuner au lit. Quelques minutes plus tard, me voilà à nouveau tout tremblant près d’eux, un plateau à la main avec les croissants et deux bols de café.

- Va te laver et fait-toi belle pour nous ou se sera ta fête. M’ordonne Guy.

La douche me fait un bien fou mais elle n’empêche pas mes neurones de gamberger sur la tenue que je pourrai mettre pour leur plaire. C’est un peu fou, mais je pense en femme. La robe de soubrette achetée sur ebay devrait faire l’affaire. Simplement vêtu de mon peignoir, je fonce au donjon avec la cage de chasteté qui ballotte pour prendre la tenue. Une robe de collégienne rouge en bas et noire en haut me tend les bras, avec les escarpins rouges, cela devrait leur donner des envies. Cette idée me fait frémir de plaisir mais en même temps, je me traite de fou, de kamikaze et de maso inconscient. Et merde, on ne vit qu’une fois me dis-je en attrapant la robe de collégienne.

Perché sur les escarpins rouges sur des bas blancs et revêtu de la robe de collégienne, c’est à petits pas que je reviens vers la maison. La perruque noire me gratte un peu, je suis gêné de me présenter travesti mais en même temps, très troublé.

- Olé ! Que tu es belle ainsi, tu fais vraiment la petite gourde avec ton air coincé. T’es trop mimie comme ça ! Me dit Guy en me voyant entrer.

- Merci.

- Fait-voir, tourne-toi ! Voyons voir ce qu’il y a dessous. Dit Fred complètement nu en sortant de la chambre. Oh, elle a mis une jolie petite culotte rose.

Ils s’amusent un instant avec moi comme des gamins qui s’en prennent à la tête de turc du collège. Quelques claques s’abattent sur mes fesses, je me débats un peu en râlant puis en les traitants de « méchants » pour jouer leur jeu mais je suis terriblement gêné.

- Tu es une grande fille maintenant, alors tu vas ranger un peu la maison puis nous préparer un bon repas pour midi. Je sais que tu cuisines bien, alors applique-toi ou se sera ta fête.

Pendant que je m’attèle en cuisine, Guy utilise l’ordinateur de la maison pour lire ses emails. Fred s’est enfermé aux toilettes. Un moment plus tard, il m’appelle à la salle de bain pour que je lui savonne le dos. Fred sort des toilettes et nous rejoint, en demandant à Guy s’il pourra aussi utiliser mes services et s’il peut utiliser mon ordi pour lire ses emails. Il lui répond immédiatement par l’affirmative avant même que je réponde pour l’ordi, en fait, je n’ai plus mon mot à dire pour quoi que ce soit. Entre la cuisine, le ménage et la douche de ses messieurs, je ne vois pas passer la mâtiné. Je ne suis plus vraiment dans le jeu, je travaille pour leur plaire. Pendant que je rince la salade, Guy s’approche de moi, soulève la robe et claque fortement mes fesses.

- L’apéro sur la terrasse, c’est moi qui le sers ?

- Non monsieur, je vais le servir, installez-vous, j’arrive de suite.

- Tu as intérêt à nous faire un bon service, avec plateau et tout le tsoin, tsoin ou il va t’en cuire.

J’assure donc le service de ces messieurs installés confortablement sur les transats mais au moment de repartir vers la cuisine, Guy m’attrape le bras pour me retenir près de lui. Sa main s’insinue sous ma robe, caresse mes cuisses puis ma cage de chasteté à travers la culotte.

- Va chercher un gros plug et de la corde, j’ai envie de travailler un peu ton ouverture d’esprits.

- Je crois connaître cette expression Maître.

- Oui tu l’as connaît effectivement, cela fait drôle n’est-ce pas de l’entendre quand elle t’est destiné. Allez petite sotte, presse-toi pour ne pas nous faire attendre.

Détalant comme un lapin, je repense aussitôt à Guy, cet enfoiré s’amuse à reprendre mes mots, mes tirades humoristiques pour bien me faire comprendre qu’il n’a rien oublié de son week-end soumission. Dans un sens c’est grisant mais dans l’autre c’est un peu inquiétant vu ce que je lui ai fait subir. A mon retour avec les accessoires demandés, je constate qu’ils ont approché la vieille table en bois. Fred m’ordonne de poser les choses sur la table, de retirer ma culotte puis de les resservir. Pendant le service, il s’amuse à questionner la collégienne sur ses petites distractions intimes.

- Je suis sûr que tu te mets des choses dans les fesses puis que tu te branles en te caressant les tétons en imaginant des choses comme une grosse gourmande que tu es. Alors pour nous distraire, tu vas le faire devant nous.

L’enfoiré ! Oui certes, il m’arrive de me faire plaisir, de jouer avec mon corps, mais jamais devant quelqu’un. Présentement, ma gorge se serre, je suis mort de honte devant leurs visages amusés. Un claquement de cravache sur ma cuisse me presse, je mets du gel sur le plug en prenant tout mon temps comme pour repousser l’échéance. Guy fait siffler la cravache en fendant l’air comme pour me dire de me presser puis me désigne la table.

- Pose le plug dessus et empale toi petite salope !

Malgré les sodomies de la veille, mon anus est serré et un peu irrité, même si j’aime le plaisir anal m’empaler n’est pas très agréable.

- C’est bien, caresse-toi les seins maintenant, mime-nous un beau coït ! Lance Fred.

Les yeux fermés pour m’isoler un peu, j’entreprends des mouvements sur le plug pendant que mes pinces digitales titillent les tétons à travers le fin tissu de la robe. Malgré l’humiliation quelques instant plus tard, le plaisir pointe son nez et Popaul en sa cage commence à se développer et à vivre à nouveau la crise du logement. Je ne me connaissais pas exhibitionniste, peut-être est-ce la succession des évènements qui commence à agir et à me faire regretter de ne pas avoir pris un plug plus gros. Présentement, s’il leur prenait des envies de sauter la collégienne, je ne crierai pas au scandale mais il n’en est rien, ils discutent de choses et d’autres. Soudain, Guy m’appelle à lui en m’ordonnant de garder le plug puis de prendre la corde. D’une main, il attrape la mienne pour que je maintienne la robe relevée puis entreprend de me faire une ceinture avec la corde qu’il fait passer ensuite entre mes fesses pour maintenir le plug après l’avoir enfoncé profondément. Je découvre qu’il est plutôt habile en shibari, mes testicules sont étirées et maintenues au-dessus de mon sexe encagé. La corde passe à nouveau entre mes fesses, il la tire fortement en m’arrachant un gémissement de douleur plus pour la cage de chasteté et mes testicules malmenées que pour le plug profondément enfoncé en moi.

- Tu peux lâcher la robe et nous servir petite garce, tu es maintenant comblée dans tous les sens du terme.

Le mot enfoiré m’échappe.

- Comment ?

- Merci monsieur.

Pendant que je les ressers, Guy se lève pour aller chercher quelque chose. J’en profite pour « m’échapper » et foncer en cuisine mais c’est inutile, ils me rappellent quelques instants plus tard. Sommé de me mettre à genoux devant Guy, je m’exécute aussitôt. Il écarte la robe pour accéder à mon téton sur lequel il pose une pince à sein. Le deuxième téton, même s’il n’était pas jaloux subit le même sort.

- C’est pour « l’enfoiré » tu les garderas jusqu’à la fin du service. Dit-il en me congédiant.

Un moment plus tard, je les informe que le déjeuner est prêt. Par principe j’ai mis trois couverts, mais Guy en retire un immédiatement pour le poser sur le plan de travail. Je mange donc debout entre les moments de service. Pendant qu’ils fument leur cigarette sur la terrasse en savourant le café, j’assure à nouveau l’intendance. Guy m’appelle à nouveau sur la terrasse, à mon arrivé je découvre le sulky et le matériel pour le pony-play. Rapidement équipé du mors et de sa longe, je suis « invité » à prendre les bras du sulky pour qu’il puisse s’y installer.

- Voyons-voir ce que cela fait de se faire promener ! Lance Guy en me donnant un fort coup de cravache qui me fait un mal de chien.

Nous voilà partis sur le gazon, mes talons s’enfoncent un peu, par chance, les divertissements de la veille font fait oublier l’arrosage. Il me guide pendant un petit moment, nous commençons à communiquer à travers la longe, s’il savait bien guider, fermer les yeux me permettrait de m’envoler un peu, de savourer les effets de l’exhibition et de sa domination. Ses gestes deviennent plus précis et me conduisent à nouveau vers la terrasse. Fred accepte avec plaisir de faire un tour mais cela ne m’enchante guère car avec sa corpulence, je vais peiner. Il monte sur le sulky comme une brute, tire sur le mors trop fortement puis me donne de la cravache sans relâcher la longe. Pour ne pas le contrarier, j’avance même si ma tête est en arrière. Pour parvenir à le tirer dans le gazon, je force comme un malade pendant que Guy fait des photos. L’air même s’il est chaud en passant sur ma peau transpirante me fait du bien, les pinces à seins commencent à me faire mal, le plug s’échappe mais ils ne le voient pas.

Nous revenons sur la terrasse, je n’en peux plus, je suis essoufflé et épuisé. Guy nous abandonne à nouveau puis revient avec ma cagoule en cuir. Il retire le mors, me l’enfile puis remet le mors en place. J’espère qu’il n’aura pas envie de me faire galoper car je vais mourir de chaud là-dessous. Je comprends qu’il a d’autres projets lorsqu’il me fait poser le sulky pour me mettre des menottes. Il me conduit au portillon du jardin où il accroche la longe. La collégienne cagoulée et transformée en pony-girl patiente donc debout en savourant la brise. Ses pores apprécient et deviennent comme des capteurs sensoriels. Petit à petit, j’entre dans la bulle cérébrale d’une « jument » soumise à l’attache.

Ils viennent me chercher un bon moment plus tard pour me conduire au donjon. Mon cerveau s’emballe aussitôt en imaginant de tonnes de choses plus ou moins excitantes ou inquiétantes. La longe est accrochée aux anneaux de la poutre verticale boulonnée dans le mur, une corde est passée sous mes bras puis aux anneaux de la poutre horizontale et fortement tirée. Debout et plaqué le visage contre la grosse poutre, je ne peux plus vraiment bouger. Ils soulèvent ma robe pour entreprendre de me libérer du shibari et découvrent que le plug est tombé. Je me fais incendier et fesser, les coups rudes et sévères me font bondir contre la poutre.

- On va aller faire une ballade et toi, tu vas rester là et être sage. Ce soir nous aurons peut-être une surprise pour toi. me dit Guy.

Je pousse alors des « humm ins, hummm, inss » désespéré pour leur faire comprendre que je ne supporte plus les pinces à seins et qu’il faut qu’ils me les retirent. Par chance ils comprennent ma demande mais leur retrait est abominablement douloureux, je me vrille de douleur et me fait traiter ce « chochotte ». A cet instant, je déteste Guy à un point qu’il ne peut pas imaginer. Histoire de rajouter à ma douleur, ou de la détourner que sais-je, de grands coups de martinet s’abattent sur mes cuisses plus que sur mes fesses. Dans un réflexe de défense, je ne peux me contenir et botte comme une jument furieuse. La sanction ne tarde pas. Fred soulève ma robe pour bien exposer mes fesses à la cravache de Guy. Ils me placent à nouveau un plug. Je crois reconnaître le double boule, cela m’affole un peu car il est vraiment de bonne taille. Le passage de la première boule est délicat et me fait mal.

Pour le maintenir en place, ils accrochent une chaîne à un des anneaux de la poutre verticale qu’ils font ensuite passer entre mes jambes et de chaque côté de ma cage de chasteté puis ils l’accrochent à la poutre du plafond en m’obligeant à me mettre sur la pointe des pieds. L’appareil photo crépite, ils se font des souvenirs de Marcy en péril.

Quand je pose les talons au sol, le plug s’enfonce très profondément dans mon cul, m’obligeant aussitôt à me remettre sur la pointe des pieds. Putain qu’ils sont durs avec moi, c’est bien le double, la deuxième est énorme. Le bruit de la porte me fait comprendre qu’ils quittent le donjon, je suis blême de rage car s’ils partent des heures, je vais trouver le temps long.

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il y a 10 ans

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