Les légendes ?

Les légendes ?

Connaissez vous bien toutes les légendes ? Voici une petite histoire peu banale et d'un autre temps.

En cette belle matinée de juin et au bord d'un petit lac, le roi Arthur (oui le même que celui de la table ronde) tentait d'acquérir l'acquiescement d'une jeune pucelle pour venir lui tenir chaud au soir.

_ Allons demoiselle, pensez donc aux avantages d'être parmi mes favorites et de partager ma couche.
_ Mais mon seigneur, ce serait avec joie... Mais il semblerait que votre verge n'est pas aussi magique que votre Excalibur...
_ D'où sors tu un ânerie pareil ?

Bref tout allait bien dans une petite joute verbale des plus respectueuses... Jusqu'à ce que la dame du lac se mêle à la discussion. N'oublions pas qu'elle n'est entendue et visible que par Arthur !

_ C'est Myriam qui me l'a dit.
_ Cette peste ! Mais elle est juste jalouse de votre beauté....
_ Pfff, penses tu, tu n'as même pas été capable de tenir plus de dix minutes tellement t'avais abusé de l'hydromel de Merlin... (Bien sur, c'est la dame du lac qui se permettait d'être aussi franche avec le Roi Arthur)
_ Ha ! Vous ! La ferme ! C'est pas le moment hein !
_ Comment ça mon Roi, je ne comprend pas.... s'étonnait la pauvre pucelle.
_ Je ne vous parle pas à vous, mais à la dame du lac !
_ De toute façon, c'est jamais le moment... Elle a raison la petite Myriam, j'aurais mieux fait de vous doter d'un bâton magique que d'une épée magique... Au moins vous auriez quelques qualités au pieu...
_ Mais c'est finit oui ! S'écria Arthur. Vous pouvez pas retourner au fond de votre lac, plutôt que de me casser les pieds avec de telles conneries ! Que ce soit Myriam ou cette pucelle, de toute façon j'en fais ce que je veux et quand je veux ! Ce ne sont que des amuse gueules....

Dans son emportement, Arthur avait oublié la présence de la jeune fille. Mais elle, elle avait très bien compris ses paroles et se leva d'un coup avant de s'enfuir à pleines jambes.

_ Ben voilà, maintenant elle est parti...
_ Tu n'avais qu'à te retenir...
_ Toi tu as de la chance que les autres ne te voient pas, ou je te punirai en place publique !
_ Pfff, même en privé tu n'oserais pas...

Sur cette dernière parole, Arthur se leva et retourna à son cheval pour galoper vers son château. Il fallait qu'il trouve un moyen de calmer cette dame du lac... Il alla donc trouver son vieil ami Merlin L'enchanteur. Il lui raconta toute l'histoire et toutes les farces et mauvaises plaisanteries que la dame du lac avait peu lui faire... Merlin, lui conseilla de punir réellement l'effrontée pour la remettre à sa place. « Et si tu lui rougis assez les fesses, les autres pourront la voir momentanément », ajouta t-il.

Arthur repris son cheval et il était bien décidé à suivre les conseils de son ami. Il tendit donc un piège à la dame du lac pour la forcer à se montrer. Et une fois qu'elle apparue il lui sauta dessus. Rapidement il leva sa grande robe pour découvrir un fessier à nu et non protéger comme s'il n'attendait que cela...

_ Arthur ! Arthur ! Mais qu'es ce que tu fais.
_ Voyons très chère... Ce que j'aurais du faire depuis longtemps ! Vous punir convenablement !

Et sur ce, il joignit le geste à la parole et entama une grande série de claque ponctuée par quelques petits cris de la dame... Les fesses de la fée prirent très vite une belle couleur rouge, mais Merlin avait dit à Arthur que pour qu'elle soit visible par tous, il fallait que ce soit vraiment bien rouge ! Alors il coucha la dame du lac sur un arbre tombé et ramassa quelques branches pour réaliser un beau bouquet cinglant. Le cul tendu ver le ciel et déjà bien chauffé, la dame n'osait bouger...

_ Vous m'avez assez provoqué ces derniers temps, alors voilà pour vous !
_ ... Pitié...

Arthur ne pris pas pitié et bien au contraire, il profitait de ce moment et en jouissait presque. Chaque marques laissées par les verges lui rappelait une provocation de la dame et l'encourageait à continuer la punition. Punition qui continua avec quelques orties fraîches cueillies juste à coté. Cette fois, la dame demanda pardon et plus encore quand Arthur la traîna au château avec une culotte réalisée à l'aide des même orties maintenues en place par quelques morceaux de tissus.

Bien sur quand il arriva en son fief, personne ne pouvait voir la dame du lac dont le visage exprimait du regret mais avec un sourire intérieur. Arthur alla trouver Merlin et lui dit que pourtant la belle avait eu les fesses bien rouge, mais que personne ne la voyait encore et toujours... Merlin répondit simplement « Peut être, mais elle a eu ce qu'elle voulait.. Et toi, tu auras la paix durant quelques jours... »

C'est du Filou :D
il y a 8 ans

Bonjour,

Je ne connaissais pas du tout, cette version d'Arthur et la Dame du Lac. Cela dépasse Kaamelott en terme de plaisir de lecture ^^
Merci infiniment d'avoir partager cette perle de récit !!!
il y a 1 an

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