La fessée d’une espiègle

La fessée d’une espiègle

Par Ecrivaillon

Malgré ses 24 ans, Alice en parait à peine 18, on lui demande parfois sa carte d’identité à l’entré des boite de nuit quand elle va danser avec ses copines. D’un naturel très espiègle, elle ne cesse de provoquer les hommes sur leurs paroles, leurs tenues vestimentaires leur attitude et parfois leur âge. A l’entrée de la boite de nuit où elles sont allées la semaine, elle a demandé au videur lui intiment de présenter sa carte d’identité s’il avait été recruté dans une centre pour non-voyant. Si elle n’avait pas été une femme, cette question aurait été très osée face au bouledogue d’un mère quatre-vingt dix devant la porte. Elle joue beaucoup du fait d’être une femme, taquiner, ennuyer les hommes n’est pas qu’une distraction pour elle, ses fantasmes portent sur la fessée.

Au hasard de ses surfs sur Internet, Alice a découvert fessestivites, le jeu de mots l’a amusée. Si elle s’est inscrite sur ce site de rencontres, ce n’est pas réellement pour faire des rencontres, c’est surtout pour avancer dans ses réflexions sur ces pulsions qui la poussent parfois à se faire fesser par des hommes mûrs rencontrés sur le net.

Comme toujours sur ce type de site, les rapaces masculins prêts à changer de fantasmes pour séduire…. se sont jetés sur elle, les profils opposés à son fétichisme furent rapidement reconduits et les « collants » bloqués après s‘être fait recadrer. L’un d’eux est parvenu à attirer son attention, il prend le temps d’écrire des mots en entier, semble ultra respectueux mais très ferme sans pour autant être inquisiteur. De fils en aiguilles, entre le chat et les forums, Fesseur2F et Alice communiquent autour de la fessée mais pas seulement étant capables tous deux d’avoir des sujets de conversation plus larges.

La confiance virtuelle s’installant, l’idée d’une rencontre mûrit entre eux. Alice très prudente revient plusieurs fois sur le « sexe » qu’elle refuse catégoriquement. Fesseur2F ne confondant pas la fessée et le sexe, commence à s’énerver en lui indiquant qu’il n’est pas sénile ni intéressé par la chose. Il lui annonce clairement que si elle revient encore une fois sur ce sujet, elle sera privée de ses fessées et qu’il ne la recevra pas.

Cette réponse interpelle Alice, d’habitude les hommes jurent qu’ils ne la toucheront pas, aucun jusqu’à présent la envoyée balader ainsi. Terriblement espiègle, lors de leurs échanges sur Internet, elle s’amuse à indiquer x et x fois « je sais que vous n’êtes pas intéressé par le sexe ». Une rencontre se précise, Alice propose à Fesseur2F un scénario très précis pour réaliser ses fantasmes, la réponse ne tarde pas.

- Mademoiselle, dans le cadre de la discipline domestique ou de la fessée, ce n’est pas à la vilaine de dire ce qu’elle veut comme fessée. Elle peut indiquer ses interdits et ses tabous mais pas donner le scénario complet à un éventuel fesseur. Vous n’êtes pas à Mac Do pour passer commande, seul le fesseur décide du contenu de la punition. Si cela ne vous convient pas, achetez une machine à fesser, vous pourrez alors la commander à votre guise. Si je dois vous donner la fessée et vous punir, cela sera à ma guise pas à la votre.

Cette dernière phrase accompagnée d’un smile titille Alice et la rassure, en d’autres temps, les fesseurs disent souvent « oui » à tout, là Fesseur2F lui fait carrément toucher du doigt son autorité sans faille. Elle finit donc par accepter de se rendre chez lui pour une punition.

LA RENCONTRE FESSEE

Toujours aussi Espiègle, Alice se présente au domicile de Fesseur2F avec dix minutes de retard, histoire de le provoquer. Au moment d’appuyer sur le bouton de la sonnette, son doigt tremble, elle hésite, se traite de folle, sa gorge se serre soudain. Comme une désespérée se jetant à la mer, elle enfonce le bouton de la sonnette, son corps est parcouru d’un frisson malgré la douceur de ce printemps 2014.

- Entrez mademoiselle ! Lui dit simplement Fesseur2F en lui ouvrant la porte.

Pas de bises, pas de serrement de main, pire, il tourne les talons en lui indiquant de fermer la porte et de le suivre. Dépitée par cet accueil froid, Alice lui emboîte le pas pour le suivre jusqu’au salon où il s’installe sur son canapé sans l’inviter à s’asseoir.

- Posez votre sac à main et présentez-vous devant moi petite capricieuse. Vos espiègleries sont allées bien trop loin, vous serez punie pour cela. Assumez vos bêtises, tenez vous droite devant moi et mettez vos mains derrière votre dos. Je subodore que vous avez d’autres âneries à votre actif, indiquez-les moi je vous prie.

Les mains d’Alice sont moites, elle se tord les doigts comme si cela pouvait l’aider à se confesser mais les mots ne sortent pas de sa bouche. Pour la première fois, sa superbe semble s’envoler, cet homme l’impressionne.

- Bien puisque vous ne voulez pas parler quand on vous le demande, contrairement à vos habitudes qui sont de ne pas savoir vous taire, vous allez être punie. Vous serez également punie pour l’article que vous deviez rédiger et que vous n’avez pas fait.

Fesseur2F lui attrape le bras et l’attire fermement vers lui pour la coucher sur ses genoux. Il relève sa jupe lentement en lui indiquant qu’elle va goûter à la fessée de celui qu’elle appelle souvent « vieil homme ». Sans en dire plus, il claque soudain le délicat fessier exposé en passant d’une fesse à l’autre. Sa main est ferme mais sans excès mais le rythme soutenu échauffe rapidement les fesses d’Alice qui commence à gesticuler et à geindre.

- Il est un peu tôt pour geindre, vous avez bien le temps, nous n’en sommes qu’aux préliminaires de votre punition.

Alice est à la fois troublée, excitée mais commence à avoir un peu mal aux fesses car la giroflée à cinq branches tombe maintenant comme un battoir. La fessée devient cuisante, le fin rempart de dentelle encore sur ses fesses n’apaise en rien la puissance des claques données. Lors d’une claque un peu plus appuyée, elle envoie la main pour protéger ses fesses, mains aussitôt happée et ramenée dans son dos.

Fesseur2F fait une pause, Alice s’imagine sa fessée terminée, quelle erreur ! Il passe sa jambe sur celles d’Alice pour les bloquer, puis entreprend d’étirer la petite culotte entre ses fesses comme s’il voulait en faire un string ! Si sa pudeur va être respectée, ses délicates rondeurs fessières vont l’être nettement moins.

- Nous allons maintenant passer aux choses sérieuses, le vieil homme va vous apprendre la politesse mademoiselle. Vous pouvez crier ou pleurer, cela ne changera rien.

Si Alice aime la fessée avec ses sensations agréables physiquement et psychologiquement, cette fois elle sent bien qu’elle va s’en prendre une sérieuse ce qui l’inquiète un peu. Lorsque la main fesseuse reprend son ouvrage, la sonorité des claques change tout comme la voix d’Alice commençant à crier et à gesticuler. Entre le bras et la jambe qui la maintiennent, elle se sent prise comme dans un étau. Ses mouvements désespérés sont aussitôt réprimandés par une claque très douloureuse sur le haut des cuisses. Elle crie et se débat réellement puis le supplie d’arrêter mais il lui rappelle que dans le scénario adressé, elle parlait de sévère fessée sans possibilité de fuite. Il ne fait que réaliser sa demande et ne tiendra donc pas compte des suppliques. Alice prend conscience qu’elle s’est piégée toute seule et qu’elle ‘nest pas tombée sur un rigolo.

- Nous allons passez aux séries, ce type de fessée est assez dur à supporter, mais comme vous avez quinze jours de retard pour l’article, vous aurez cinq séries de cinq claques par fesses.

Lorsque Fesseur2F entreprend de donner cinq claques rapides et appuyées sur la fesse gauche d’Alice, elle en a le souffle coupé. Sa fesse droite subit le même sort, cette fois, elle se débat réellement, elle veut qu’il arrête mais quand Fesseur2F dit, Fesseur2F fait. Comme il sait qu’au bout d’un moment les fesses « s’habituent » il claque maintenant sur le côté des fesses rouges écarlates et lui arrache des cris bien réels. Les yeux d’Alice commencent à mouiller, de petites larmes perlent sur le carrelage du salon. Perdant pieds, l’espiègle maintenant pleure à chaudes larmes sans gêne ni pudeur, en serrant les dents lors que la dernière série la pousse dans ses grands retranchements.

Fesseur2F l’aide à se relever pour la conduit dans le coin du salon où il bloque sa jupe relevée et cette fois baisse la culotte jusqu’au genoux en lui ordonnant d’écarter les jambes. Alice s’exécute aussitôt, l’idée de se rebeller ne lui vient même pas à l’esprit.

Si la culotte tombe jusqu’à vos chaussures, vous aurez un autre rendez-vous punitif. Ici c’est comme ils disent à la télévision : « c’est vous qui voyez », je ne suis pas avare de fessées. Quoi qu’il en soit, vous allez rester jambes écartées et mains sur la tête quinze minutes puisque vous avez quinze jours de retard pour l’article demandé.

A suivre
il y a 10 ans

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