La fessée d’une espiègle 2 (Récit réalisé à deux)

[b:2ddvrktx]La fessée d’une espiègle 2 (Récit réalisé à deux)[/b:2ddvrktx]

[b:2ddvrktx]Ce récit est réalisé par deux membres du réseau Fessestivites à travers une correspondance privée.

La discrétion m’interdit de vous dévoiler son pseudo, mais cette Dame existe bel et bien, nous avons parfois des entretiens téléphoniques très sympas et sur de multiples sujets.
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Le premier chapitre est ici
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Ecrivaillon

[size=150:2ddvrktx]La fessée d’une espiègle 2[/size:2ddvrktx]
[size=150:2ddvrktx]Par Alice
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Les mains sur la tête, dans cette position piteuse qu'il lui avait imposée, les pensées d'Alice se bousculent dans sa tête, tandis qu'elle ravalait ses derniers sanglots. Personne ne l'avait traitée avec autant de sévérité, auparavant. Les fesseurs s'étaient toujours pliés à ses quatre volontés, se laissant avoir dès qu'elle commençait à chouiner un peu. Et pourtant, celui-ci... Fesseur2F, quel pseudo ridicule ! Le pseudo était la première image que l'on donnait de nous, sur ce genre de sites. A quoi pensait-il donc en adoptant un pseudo aussi peu imaginatif. Un ricanement rauque s'échappa de sa gorge.

-Puis-je vous demander, mademoiselle, ce qui vous amuse ?
Elle sursauta en sentant son souffle sur sa nuque. Depuis combien de temps était-il là, derrière elle ? Pire encore : avait-il remarqué l'humidité qui envahissait son entrejambe ? Une pensée étrange lui traversa l'esprit : avait-il entendu ses insolentes réflexions ? Se traitant d'idiote d'imaginer de telles choses, elle tenta de se recentrer sur ses idées. Son côté espiègle reprit le dessus, et elle glissa effrontément :

-Votre pseudo, Monsieur.
Elle l'entendit presque lever le sourcil.

-Et... Puis-je demander en quoi mon pseudo est-il amusant, Miss ?
-Avouez qu'il n'a rien de très imaginatif ! Répondit-elle, toute sa morgue retrouvée.
Sans pouvoir résister à la tentation de contempler l'expression outrée qu'elle s'attendait à trouver sur le visage de son punisseur, elle tourna la tête, effectuant malgré elle le mouvement de bassin de trop. Sa petite culotte glissa misérablement à ses chevilles, tandis qu'elle découvrait, déconfite, le petit rictus de satisfaction flottant sur les lèvres de Monsieur. Il lui saisit les poignets, les tira à lui, les emprisonnant tous deux dans une seule de ses immenses mains.

-J'ai eu peur un instant d'avoir été trop dur avec vous, mais il semblerait que j'ai au contraire été bien trop laxiste. Vous souvenez-vous de ce que je vous avais promis, si votre comportement ne s'améliorait pas ?
Le ton de menace dans sa voix ne pouvait totalement dissimuler la satisfaction sadique qui l'habitait. Alice frémit. Elle se souvenait très bien. Cette promesse, elle l'avait haïe comme elle l'avait secrètement espérée, le soir, seule dans son lit, en se remémorant leurs échanges outrés. A présent qu'elle se trouvait au pied du mur, cependant, rien ni personne ne pourrait lui faire elle-même prononcer la sentence.

-J'attends !
Une claque sèche s’abattit sur son derrière encore chaud, et elle gémit.

-Je... Je ne me souviens pas...
Tirant sur ses poignets, il la décala légèrement vers sa gauche, la penchant en avant, puis lui asséna quatre fortes claques sur l'arrière des cuisses, la faisant gigoter inutilement alors qu'elle tentait de leur échapper.

-Je vous avais promis la ceinture, Alice. Cul nu !

Cette expression la renvoyait tant d'années en arrière, à ses propres souvenirs de fessées punitives, et la plongeait dans une abîme honteuse. La voyant rougir, Fesseur2F la releva, saisit son menton, et la força à le regarder dans les yeux.

-Et comme je vous soupçonne de faire preuve de mauvaise foi, je doublerai le nombre de cinglées que j'avais prévu de vous donner.
Sans plus attendre, il la mena vers le canapé, ignorant sa démarche tremblante, et la força à se pencher sur l'accoudoir. Retroussant sa jupe, il releva même le bas de son chemisier, découvrant le dos, ajoutant à son anxiété ainsi qu'à la honte qu'elle ressentait déjà. Elle l'entendait déjà dégrafer sa ceinture, enfouissant son visage dans le creux de son coude. Dans cette position, le sang lui remontait au cerveau, battant à ses tempes.

-Vingts coups. Je veux vous entendre compter, à moins que vous n'ayez perdu votre langue ?

Alice serra les dents. Elle ne lui donnerait pas cette satisfaction supplémentaire. Sa témérité forcit, et elle serra les dents.

-Comme vous voulez.
Le premier coup claqua sur ses fesses. Elle serra ses paupières fermées, le souffle coupé. Ses ongles s'enfoncèrent dans le tissu du canapé, comme si elle cherchait à les amarrer fermement, retenant ses mains de s'envoler vers son derrière pour le protéger des assauts du cuir mordant. Avant même qu'elle n'ait pu reprendre une inspiration, la ceinture retomba, puis, retomba de nouveau.

-A combien en sommes-nous, petite effrontée ? Demanda son bourreau, de l'agacement dans la voix.
-T..Trois, monsieur, s'entendit-elle répondre malgré elle.
Deux nouveaux coups tombèrent sur son derrière.

-Mais comme je ne vous ai pas entendue compter, comment pourrais-je être sûr ? Nous allons recommencer à un, n'est-ce pas ? Cela me paraît plus... Prudent.
Des larmes perlèrent à nouveau aux yeux d'Alice, qui, éperdue, compta les vingt coups suivants sans plus résister. Lorsque le vingtième tomba, elle n'aurait plus su dire comment elle s'appelait. Redevenue petite fille justement châtiée, elle se laissa aller à pleurer, jusqu'à ce qu'il la relève et l'asseye sur ses genoux, sa petite culotte glissant finalement au sol. Elle se blottit contre lui, savourant ce plaisir coupable et honteux qui l'envahissait à présent, s'interrogeant un peu au sujet de cet étrange réconfort qui la saisissait à présent. Il ne s'étala cependant pas en démonstrations affectives, se contentant de lui caresser le dos vaguement avant de la remettre sur pieds, encore reniflante.

-Eh bien, j'espère avoir été clair sur ce qui vous attend avec moi, n'est-ce pas, jeune fille ?
Elle hocha la tête, piteuse.

-C'est tout de même étrange, comme vous semblez perdre votre langue dès lors que vous n'avez plus la protection de l'écran de votre ordinateur entre vous et moi, n'est-ce pas ?
-Pardon, Monsieur.
-Je pense que vous pourriez me présenter des excuses bien plus éloquentes, compte tenu de votre.. Situation, Miss.
-Je vous prie de bien vouloir m'excuser, Monsieur, répondit-elle, sans pouvoir toutefois se retenir de lever les yeux au ciel.

La réponse ne se fit pas attendre et elle se retrouva de nouveau le nez en bas et le ventre sur les genoux de Fesseur2F qui lui claqua rapidement ses fesses à vif. Elle ne put retenir des glapissements, bien qu'il se contenta de les tapoter, la peau étant déjà bien colorée, bleuissant par endroits.

-Je m'excuse !
-Non, je suis le seul à pouvoir décider si JE vous excuse ou non ! Faites un petit effort !
-Je vous présente mes plus sincères excuses, Monsieur ! S'écria-t-elle, éperdue.
-Tout de même !
Il la remit sur pieds encore une fois, et saisit son menton, l'obligeant à le regarder.

-Que je sois bien clair. La prochaine fois, je ne serai pas aussi gentil.
Il laissa planer la menace quelques secondes avant de relâcher la pression sur le petit menton.

-Rhabillez-vous, intima-t-il en désignant sa petite culotte abandonnée au sol.
Alice l'aperçut enfin et s'en saisit, ses joues aussi rouges que ses fesses. L'humidité de son sexe traversa bien vite son sous-vêtement, lui donnant une délicieuse sensation de gêne.

-Je vais à présent vous raccompagner. Je pense qu'il ne m'est pas nécessaire de vous enjoindre d'être prudente sur la route ?

Tout en bafouillant un « Non monsieur » étouffé, Alice reprit son sac à main et sa veste, puis franchit le seuil. «

« N'oubliez pas d'écrire cet article que je vous avais demandé ! » fut la dernière parole qu'elle entendit de sa part. Déjà, la porte se refermait derrière elle. Quel goujat. Il ne lui proposait même pas un verre d'eau avant de partir. Qu'il n'espère pas qu'elle fasse des efforts à l'avenir. Elle aurait dû s'en douter. Elle lui montrerait, qui devait respecter qui. Alors même que son insolence menaçait de poindre à nouveau, elle sentit la brûlure de ses fesses lorsque celles-ci se posèrent sur le siège de la voiture. La prochaine fois... elle en rêvait déjà. De nouvelles idées d'espiègleries se bousculaient déjà dans sa tête. La prochaine fois, il devrait sortir la canne anglaise, elle s'en faisait la promesse.

A suivre ………
il y a 9 ans

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