L'Alibi d'Ô martyrisée

L'Alibi d'Ô martyrisée

L'Alibi d'Ô est le pseudo d’une soumise qui s’est lancée dans le BDSM il y a quelques années après une vie vanille décevante. Son parcours dans le BDSM a commencé avec un Maître « adorable » très fourbe qui lui a fait miroiter une vie de couple alors qu’il était marié. Excellent charmeur il a su l’emmener où il voulait comme il le désirait et s’amuser avec elle en l’emmenant à la limite de l’esclavage.

L’amour étant aveugle L'Alibi d'Ô s’est donnée corps et âme même dans les moments les plus durs, que n’aurait-elle pas fait pour son Maître ? Aussi fourbe soit-il, son Maître lui a fait connaître des jouissances extrêmes en la poussant souvent au bord du vertige que ce soit en SM pur sous ses fouets ou en s’occupant de son sexe. Entre les promesses, les jouissances extrêmes et la manipulation mentale elle a tout accepté, même d’être confiée pour une soi-disant formation longue durée chez deux dominatrices lesbiennes et sadiques n’ayant qu’un seul but : « se faire du pognon en s’amusant au dépends des autres ».

Dans le style d’un mauvais remake d’Histoire d’O, il l’a conduite chez les Anges sadiques dans sa BMW pour sa formation. Il n’est pas descendu du véhicule et lui a simplement demandé de ne pas le décevoir. L'Alibi d'Ô n’a pas vu lorsqu’il est parti qu’il avait un sourire malsain sur les lèvres.

Aussitôt prise en charge par les Anges sadiques, elle a été dépouillée de ses vêtements, on lui a mis une chaîne et un cadenas en guise de collier, pour la conduire dans un cachot dont la literie se résume à de la paille jetée sur le béton. Dans le cadre de sa « formation de soumise», elle n’en est sortie que douze heures plus tard pour être fouettée. Quasiment pendue par les poignets, elle a enduré une séance de fouet extrême en hurlant à s’en déchirer les cordes vocales pour une vidéo vendue en sex-shop aux avertis. Une fois décrochée d’un palan, elle a du se donner en spectacle et se branler la chatte avec un gros gode pendant que les Anges sadiques faisait une vidéo de son exhibition de « soumise salope ».

Pour la préparer à leurs projets, les Anges sadiques lui mirent un gros plug dans chaque orifice malgré les cris et suppliques pour le gros cône enfoncé au creux de ses reins. Afin qu’elle ne les retire pas pendant la nuit, elle lui ont mis une ceinture de chasteté, cet accessoire pouvant être aussi très utile pour le contraire de la chasteté en maintenant des choses en place. En guise de repas, elle dut manger une infâme bouillie sous la table à quatre pattes comme une chienne et sans les mains aux pieds des Anges sadiques.

Reconduite à sa niche comme une chienne, elle put enfin s’étendre et se retrouver seule, seule cela avait l’énorme avantage de plus souffrir. Dans sa solitude elle se mit à penser à son Maître, à ce stage très dur qu’il lui faisait vivre. Aussi paradoxalement que l’on puisse penser L'Alibi d'Ô se conforta dans sa soumission au point de caresser la ceinture de chasteté maintenant en place les gros plugs en éprouvant une certaine excitation. Sa nuit fut aussi longue que difficile, déjà pour ses besoins naturels en étant obligée d’uriner dans un coin de sa cellule à même la paille avec son plug vaginal et sa ceinture. Le plug anal quant à lui, se rebellait, à chacun de ses mouvements, la ceinture le repoussait dans les profondeurs alors que son anus voulait le rejeter.

En guise de croissants, elle eut droit à une gamelle de café et un morceau de pain avant d’être conduite à la toilette, un moment très dur à vivre à cause du retrait du plug anal. Lavée au jet et de loin à cause des effets salissants, elle endura fièrement l’épreuve en pansant que son Maître serait fier d’elle. Ce qui la surpris le plus, c’est que dans l’après-midi on l’autorise à se faire belle, se coiffer, se maquiller, que lui valait cet honneur après avoir été traitée de la pire des façons ?

Un corset et une simple robe noire comme atour lui fut donnée, rien de plus, pas de bijou pas de chaussure, il fallait juste ne pas attirer l’attention pendant le trajet qu’elle dut faire jambes écartées comme dans Histoire d’O. Arrivée devant une battisse ressemblant plus à une usine qu’une habitation, elle fut invitée à descendre. On lui banda les yeux puis la guida pour la conduire dans un sous-sol. Marcher pieds nus sur un escalier de béton ers un destin inconnu l’excita malgré la peur, la peur de l’inconnu, la peur de décevoir. Soudain sous ses pieds, elle reconnu de la paille, on l’invita à se dévêtir puis à se mettre à quatre pattes et à attendre sans bouger. Un parfum de bougie anima ses pensées, aurait-on préparé une cérémonie pour elle ?

Pendant que mentalement L'Alibi d'Ô se faisait des scénarios érotiques, les Anges sadiques recevait la contribution financière de clients venus s’éclater avec une chienne soumise sexuelle qu’ils avaient le droit de forcer comme bon leur semble. Avec leur air hautain, les Anges sadiques vêtues de cuir contractaient avec les lieux, rien que leur tenue imposait le respect aux mâles présents. Elles accompagnèrent le premier client en lui indiquant que la chienne était encore pucelle dans ce monde dur, qu’une aide lui serait utile.

- Met-toi à quatre pattes et tend ton cul chienne ! Fut l’ordre froid donné à leur arrivée.

L'Alibi d'Ô sentit aussitôt que la suite allait être horrible, un pressentiment lui glaça le sang. Il n’allait pas lui imposer ça à elle qui n’était pas libertine. On lui retira son bandeau, voir le visage et les yeux des filles forcées plait aux hommes. Entourée par les Anges sadiques elle hésitait à essayer de fuir quand soudain un homme lui attrapa les hanches pour se plaquer contre ses fesses qu’il malaxa comme s’il pétrissait de la pâte à pain. Quand l’homme chercha la faille de son sexe, l’une des Anges sadiques du enjamber sa tête pour qu’elle cesse d’avancer et de fuir. Lorsque de la pointe de son sexe bandé il la trouva, il s’enfonça en elle durement, sans pitié pour ses chairs tendres. Prise comme une bête, elle ne put que gémir en serrant les dents pour ne pas crier.

L’homme décida d’explorer entre ses fesses, de visiter sa caverne secrète uniquement réservée à son Maître. Elle se coucha dans la paille pour fuir l’horrible intrusion, les Anges sadiques durent intervenir pour l’empêcher de fuir en écrasant ses bras dans la paille de leurs bottes de cuir. Comme cela ne suffisait pas pour maintenir la proie souffrant sous la pression du gland impitoyable, elles durent lui plaquer les épaules dans la paille et lui écarter les fesses pour faciliter sa sodomie. La sentir souffrir et se rebeller excita plus encore l’homme sadique qui parvint à s’engouffrer en elle d’un grand coup de rein qui lui arracha un cri de bête que l’on égorge. Pourfendue jusqu’au plus profond de ses reins et à sec, L'Alibi d'Ô hurlait, pour apaiser ses cris, l’une des Anges sadiques la bâillonna de sa main gantée. Par chance, il vint rapidement avec grognements de bête. Après s’être retiré, il lui mit de claques sur les fesses en guise de remerciement et laissa la place au client suivant.

L’homme cagoulé la voulut couchée sur le dos jambes écartées bien offerte, les Anges sadiques la retournèrent prestement avant d’attraper ses chevilles pour les soulever et l’offrir au mâle. Comme le premier, il prit comme un fou sans précaution, comme si pour avoir du plaisir il fallait faire mal. Au bout d’un moment, il la voulu comme une chienne, lui aussi prit le chemin de ses reins. Cette sodomie fut un peu moins douloureuse que la première le chemin était fait. Maintenant mâté, elle accepta ensuite sans être forcée tout ce qu’on lui demandait. Elle accepta même sans sourciller de sucer la queue venant de la sodomiser sans se révolter, sans même y penser tant elle était cassée, brisée psychologiquement.

Le troisième homme vint se servir tout seul, lui aussi était cagoulé, cette fois les Anges sadiques n’avaient plus à être présentes, L'Alibi d'Ô était matée. Au moment où il allait la prendre à quatre pattes comme une chienne à baiser, il s’arrêta net puis l’appela par son prénom.

- Michèle ?

- Oui monsieur. Répondit L'Alibi d'Ô

- Mais que fais-tu là ? Comment se fait-il que tu sois tombée si bas ?

- Je ne vous comprends pas monsieur, je suis ici sur l’ordre de mon Maître qui m’a envoyé en formation.

- En formation ? Sais-tu qu’ici tu es dans une sorte de bordel où l’on paie pour venir baiser des filles ?

- Je ne vous crois pas.

- J’ai payé 150 euros pour te baiser, ne penses-tu pas que cette soi-disant formation est lucrative ?

- Regarde-moi ! Dit l’homme en retirant sa cagoule.

Aussitôt L'Alibi d'Ô reconnu Jean, son ancien compagnon un peu dominateur. Ils discutèrent un moment, leurs yeux coulaient à tout deux devant le triste constat de prostitution. Aussitôt L'Alibi d'Ô cessa d’être la femme soumise pour redevenir l’être libre et rebelle capable de commander des hommes avec une telle détermination qu’aucun d’eux jusqu’à présent n’avait osé lui manquer de respect. Trente minutes plus tard, elle quittait les lieux accompagnée de Jean la soutenant pour marcher jusqu’à sa voiture.

EPILOGUE

L'Alibi d'Ô eut beaucoup de mal à se remettre de cette triste aventure, sa rage après son ex maître puis sa déception lui permirent de passer au dessus de toute l’affection qu’elle avait pour lui. Depuis elle porte le collier de Jean, mais il n’est pas en chaîne, il est en or, seule une petite boucle portée comme un pendentif lui rappelle qu’elle lui appartient.

Deux mois plus tard, les Anges sadiques tombaient pour prostitution. Dans la prison où elles se trouvent, elles ne font plus les reines, elles cousent dans des ateliers pour gagner de quoi s’offrir des cigarettes. L’un d’elle a une balafre sur la joue, une des détenues n’a pas aimé qu’elle essaye de la dominer.

Les photos de L'Alibi d'Ô martyrisée sont ici [img:1ncehqwn]http://www.fessestivites.com/f/articles/6102-La-cave-des-abus-sexuels[/img:1ncehqwn]

La vidéo de L'Alibi d'Ô martyrisée est ici
il y a 10 ans

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