Un chef disparait, une soumise nait. INTEGRALE
Compte anonymisé
Tout commence dans le service administratif d'une entreprise commerciale. Un service composé d'un responsable masculin et de trois femmes.
Le chef du service est bien vu par la direction. Car il sait s'accaparer le mérite de ses trois agents. Oh, il n'est pas méchant, il ne les harcèle pas, mais il prend tous les mérites. Sans compter qu'au WC, il ne rabaisse jamais le battant et vise quelques fois mal.
C'est tout ça, qui, petit à petit au fil du temps a énervé ces trois employées modèles et qui a tout déclenché.
Tout est venu des deux plus jeunes qui vivaient ensemble. Un soir bien arrosé, un soir, où, aidées par l'alcool, les idées folles prennent vies. Les deux jeunes femmes ont monté un plan pour se venger.
Elles se sont débrouillées pour faire terminer de temps en temps leur chef, assez tard. Elles se sont débrouillées pour lui faire signer des papiers qui détournent un peu d'argent. Elles se sont débrouillées via un téléphone portable à cartes pour éveiller des soupçons chez sa femme. Puis avec l'argent détourné, une bague et de la lingerie ont étés achetées. Et les reçus, discrètement placés dans sa voiture qui allait être nettoyée par sa femme sous peu.
Pendant ce temps elles finirent de convaincre leur collègue plus âgée et un soir le piège a été refermé.
Elles ont drogué leur chef grâce au café. Et une fois bien endormit, elles l'ont mis nu, attaché dos sur le bureau et bâillonné. Elles ont alors fait intervenir un prostitué payé avec l'argent détourné qui enfourna dans sa bouche la queue du chef alors qu'il émergeait. Les filles prirent de nombreuses photos. Le prostitué fut royalement récompensé de son aide pour la vengeance des "attouchements sexuels qu'elles avaient subies". Ce qui était faux mais éviterait bien des questions.
Une fois seuls, tous les quatre, lui toujours attaché, elles lui expliquèrent ce qu'il en était. Qu'il détournait de l'argent, qu'il cocufiait sa femme et qu'il harcelait la plus jeune des trois. Bien sûr tout ça était faux, mais elles avaient des preuves du contraire, de quoi l'envoyer à l'ombre ou faire de sa vie un enfer. Elles lui mirent le marché entre les mains: leur obéir en tout et sans rechigner ou faire face.
N'ayant guère le choix, il accepta.
Première chose qu'elles firent, c'est de lui poser une ceinture de chasteté. Il grognait, mais elles lui rappelèrent ce qu'il risquait et argumentèrent qu'ainsi, les WC resteraient propres par la force des choses.
Ce soir-là, la plus jeune s'en alla mettre en lieu sur les photos. Et pendant ce temps, Alicia, sa compagne appela la femme de leur proie en se faisant passée pour sa maitresse. Elle lui expliqua que son homme ne reviendrait pas, qu'il la quittait. La rupture fut rapide, le terrain ayant été préparé bien avant. Il n'en croyait pas ses yeux, ni ses oreilles.
Et pour finir la soirée, elles lui expliquèrent ce qu’elles attendaient désormais de lui. Qu'il se trouve une chambre de bonne comme logement, qu'il divorce en reconnaissant ses torts et laisse une jolie pension à son ex-femme et enfin qu'il les serve et leur obéisse à tout moment, y compris au travail. Elles lui donnèrent une paire de ciseaux pour qu'il se libère et s'en allèrent en lui souhaitant de passer une bonne nuit au bureau car n'ayant pas encore sa chambre de bonne, il n'avait guère d'endroits où aller.
Le lendemain matin, à 6H du matin, Noémie, la plus jeune des trois entra au bureau et réveilla théodore, son chef qui dormait tout habillé sur la banquette, en lui balançant un sac de sport sur le ventre. Elle lui expliqua, qu'elle avait 1H30 pour le préparer. Ainsi il dut se dévêtir devant elle, avant de devoir se rendre aux WC.
Là, Noémie brancha un tuyau au robinet, le fit se retourner et lui enfonça l'autre extrémité dans le fondement, non sans avoir due lui rappeler ce qu'il risquait. Elle ouvrit ensuite le robinet et gonfla ses intestins d'eau en provoquant de violentes crampes. Elle le libéra du tuyau et le fit patienter quelques minutes en se régalant de ses larmes avant de l'autoriser à se soulager devant elle. Une fois propre, il dut enfiler un slip de caoutchouc serré munis d'un gode qui le pénétra profondément, un collant de nylon couleur chair, un body gainant et un serre taille que Noémie prit un certain plaisir à serrer. Après quoi il eut droit de se laver au lavabo des WC et de renfiler son costume.
Elle lui expliqua que dorénavant il devrait faire ça tous les matins et gare à lui si lors d'un contrôle, l'une d'entre elles se rendait compte d'une erreur.
La matinée se déroula normalement si ce n'est qu'il travaillait réellement cette fois-ci, surveillé et contrôlé qu'il l'était par les trois femmes.
Ce midi-là, il apprit une nouvelle règle imposée par ses trois marraines comme elles aimaient le dire. A savoir qu'il ne serait plus autorisé à manger à l'extérieur, qu'il devrait manger avec elles au bureau, ce qu'elles voudraient bien lui donner. Cette fois-là, il eut droit comme très souvent depuis à une soupe faite avec les restes de repas de la veille des deux jeunes femmes en couple. Durant le repas, Alicia prit possession des cartes de crédit de théodore pour qu'il soit dépendant à 100% d'elles.
Durant l'après-midi, Alicia et lui se rendirent chez un avocat pour lancer le divorce puis à l'agence immobilière qui s'occupait de la maison que possédait Louise, la plus âgée des trois. Cette maison qu'elle avait héritée de ses parents comportait quatre appartements qui étaient déjà loués et deux chambres de bonnes qu'elle n'avait jamais songée à louer puisqu'elles lui servaient de greniers d'appoint.
Alicia et lui passèrent la fin d'après-midi à courir les boutiques et enchainer les essayages et les achats en faisant chauffer sa carte bleue. Après tout, c'était pour le rhabiller et l'équiper. Au final, il se retrouvait avec de nombreux habits féminins (pantalons moulants ou non, chemises et blouses, quelques vestes de tailleur, quelques jupes et robes, de nombreux sous-vêtements), mais aussi des produits d'hygiène et de beauté, du maquillage, un parfum féminin, des ustensiles nécessaire à sa future éducation (collier, laisse, écuelles, menottes, chaussures de contrainte, cagoule, bâillon, plugs et godes, pinces, cravache...). Le reste était composé de quelques boites de conserve, d'une tête de balais, d'une serpillère, d'une bassine, d'un seau, de draps, couverture et sacs poubelle. Rien qui coupe, pour l'obliger à garder les cheveux longs (le rasoir restant au travail sou clef), qui puisse l'aider à manger, rien qui puisse le distraire ou l'occuper.
Il commençait à prendre la mesure de ce qu'allait être désormais son avenir.
Ils se retrouvèrent tous les quatre le soir devant la maison de Louise qui tenait plus du petit immeuble que de la maison. Au rez de chaussée se trouvait deux jolis T2, au 1er et au 2nd, deux T4. Louise habitant celui du 2nd.
Les filles ouvrirent la marche. Arrivés au dernier étage, Louise ouvrit la porte des combles à l'aide d'une grosse clef, et les conduisit tout au fond. Devant la dernière porte, elle l'ouvrit à l'aide d'une autre grosse clef en disant que c'était la plus petite.
Effectivement, pour être petite, elle l'était. Située sous la pente du toit, il n'y avait guerre au sol qu'un emplacement de deux par deux où on pouvait se tenir debout. En fait quand on rentrait dedans, tout de suite sur la gauche se trouvait une vieille et grosse armoire deux portes. Et tout de suite sur la droite, des WC turcs et un minuscule lavabo. Et devant nous le long du toit, sous la pente, un vieux lit étroit et défoncé. En tout et pour tout, une prise électrique et quelques tuiles transparentes laissant filtrer la lumière.
Alicia poussa théodore dedans, il butta sur les paquets, se cogna la tête et s'affala sur le lit défoncé. Elle lui expliqua alors qu'il ne quitterait plus cet endroit sauf pour le travail ou leur bon vouloir. Il se remit à pleurer et Louise rajouta qu'elle lui ouvrirait chaque jour à 7H30 pour qu'il l'emmène au boulot et qu'il aurait intérêt à être prêt, sans quoi il goutterait à la cravache.
Elles le laissèrent nu et l'enfermèrent à double tour pour la nuit, après avoir pris son téléphone et ses derniers habits d'homme. Une fois le grenier lui aussi refermé à clefs, elles passèrent la soirée chez Louise à discuter de l'avenir. Louise prenait beaucoup de plaisir à la situation, à la grande satisfaction d'Alicia et Noémie qui une fois rentrées chez elles, passèrent une nuit torride pour calmer leurs envies qui les pressaient depuis le début de l'exécution de leur plan. Elles n'avaient jamais osées espérer que ça se passerait aussi bien. L'avenir s'annonçait passionnant pour elles.
Le lendemain matin, à l'heure prévue, Louise alla ouvrir à théodore. Mais lorsqu'elle ouvrit la porte, Louise s'est transformée en furie. Le fait de retrouver théodore, nu et assis sur le lit avec les paquets d'hier encore éparpillés à même le sol, l'a mise dans une colère noire.
De lui-même théodore s'était mis à genoux et la suppliait de l'aider. Loin d'être attendrie, Louise lui ordonna de se retourner vers le lit et d'implorer son pardon. Théodore s'exécuta tremblant de peur et Louise se mit à fouiller dans les sacs. Elle se saisit de la paire de menottes en fer et menotta les deux poignets de théodore au cadre du lit. Elle avisa la culotte gode qu'il portait le veille, jetée dans le lavabo et elle lui enfourna de force le gode un peu sale dans la gueule. Après quoi, elle a saisi la cravache et se défoula sur son corps entier. C'est seulement une fois las qu'elle stoppa. Elle le laissa ainsi, toujours attaché en le menaçant de bien pire s'il se laissait aller d'ici son retour le soir même.
Arrivée au boulot, Louise expliqua la situation à ses deux amies qui acquiescèrent son choix. Tout en travaillant, elles discutèrent de ce qu'elles allaient pouvoir faire. Seulement dans l'après-midi, théodore avait une réunion importante avec la direction. C'est Alicia qui s'y rendit puisque c'est elle qui faisait depuis longtemps déjà le travail de théodore. La réunion se passa à merveille à la grande surprise de la directrice. Cette dernière s'était toutefois inquiétée de l'absence de son responsable. Ce à quoi Alicia avait répondue qu’elle n’en savait rien.
Elles rentrèrent toutes les trois chez Louise pour régler la question théodore. Mais avant Alicia et Noémie passèrent voir une de leurs amies qui était médecin pour qu'elle leur fasse un certificat médical. Arrivées chez Louise, elle prirent le temps de prendre un thé avant de monter voir théodore. Louise s'étant découverte une envie folle de le prendre en main. C'est donc d'un commun accord qu'elles décidèrent que Louise deviendrait sa "tutrice". Quant à Alicia et Noémie, elles continueraient d'aider Louise et à veiller au bon déroulement des choses.
Vint le moment d'aller voire théodore. La clef tourne, la porte s'ouvre et une odeur d'urine se répand dans le couloir. Les trois femmes ne peuvent que constater le tableau pitoyable qui se déroule devant leurs yeux. C'est un théodore tremblant, pleurant et gémissant qu'elles retrouvent. Louise s'avance en faisant la grimace. Elle lui dis qu'elle est très déçue qu'il n'ait pas su se retenir et que cette faute sera rajoutée dans la balance de la sentence, mais que tout de suite, c'était l'heure des annonces. Louise lui expliqua que dorénavant, ce serait elle même qui gérerait sa vie, qu'Alicia et Noémie continueront à l'aider pour faire de lui un homme meilleur. C'est Noémie qui prend alors la parole et annonce que ça se fête et qu'elle a un cadeau pour théodore. Ces deux amies sont visiblement curieuse, tout comme théodore.
Noémie lui ordonne, tout en restant les mains attachées au lit en ferraille, de se coucher sur le dos, en travers du lit. Après quelque contorsions rapides, théodore s'exécute. Noémie grimpe alors sur lui, s'assied de tout son poids sur son torse. Bien installée, elle lui explique qu'ayant un peu pitié de lui qui n'a pas mangé depuis la veille, elle va lui offrir un met de choix. Elle demande aux filles l'entonnoir et le scotch. Elle insère l'entonnoir dans la gueule de théodore et entreprend de solidement l'attaché autour de sa tête, en veillant à ce qu'il n'y ait pas de fuites possibles. Elle en rajoute, en disant que ça serait dommage d'en perdre une goutte. Noémie, toujours sur le torse de théodore, enlève sa culotte puis s'avance. Elle se positionne debout, la tête de théodore bien calée entre les cuisses et la main gauche agrippant ses cheveux. Elle lui déclare qu'elle lui offre son champagne le plus précieux. Théodore tente bien de se libérer mais sa tête est bien tenue, tout en bafouillant du charabia. Louise, en un éclair, prend la cravache et donne un coup cinglant sur le ventre de théodore, en lui disant qu'il ferait bien de se calmer et d'apprécier.
Noémie se soulage alors en s'assurant que théodore avale. Et lorsqu'il rechigne un peu, elle lui pince le nez. Noémie semble intarissable tendis que les filles savourent le spectacle et que théodore pleure de nouveau.
Quand Noémie a fini, c'est au tour d'Alicia puis de Louise.
Une fois que Louise eut fini, elle lui expliqua ce qu'il en était. C'est à dire qu'Alicia avait superbement menée son remplacement lors de la réunion et que désormais ce serait elle qui irait, non plus lui. Qu'Alicia et Noémie lui avait trouvé un nouveau médecin qui d'ailleurs venait de lui prescrire un arrêt de travail d'un semaine à partir d'aujourd'hui pour une grippe.
Elles lui installèrent ensuite une couche et le laissèrent en lui souhaitant une bonne nuit. Elles mangèrent et dormir chez Louise, mais cela tenait plus de la fête.
Le lendemain matin, à peine réveillées, encore en petite tenue, elles montèrent. Elles annoncèrent à théodore que l'heure de la punition était venue.
Elles le détachèrent du lit pour l'emmener dans le grenier. Là, elles l'attachèrent, bras suspendus à une poutre. Elles lui baissèrent la couche humide au niveau des chevilles et lui enfoncèrent un solide bâillon en lui expliquant que cette punition allait être très dure pour qu'il comprenne et ne désobéisse plus. C'est Noémie qui ouvrit le bal avec ue solide badine. Les coups pleuvaient et étaient d'une rare violence. Personne si ce n'est Alicia n'aurait pu deviner qu'un si petit bout de femme puisse être si violent. C'est même Alicia elle même qui stoppa Noémie en l'enserrant dans ses bras. En effet théodore s'était évanouit depuis quelques instants. Louise et Alicia laissèrent Noémie, aller se doucher pendant qu'elles deux décrochaient théodore, lui remettait sa couche, lui enlevait le bâillon et le couchait sur sa paillasse. Puis à leur tour, elles sont allées se préparées, non sans avoir verrouillé double tour les portes du grenier.
La journée de travail se passa tranquillement une fois la remise de l'arrêt de travail effectué. Elle se passa même très bien puisqu'en l'absence de théodore, c'est Alicia qui fut chargée des entretiens d'embauche programmés ce jour-là. Elle avait en charge le recrutement d'un chef d'équipe et de deux agents d'exécution. Elle a ainsi choisie une femme de fort caractère pour le poste de maîtrise, chose que n'aurais jamais fait théodore, ainsi que deux hommes payant pas de mine et assez effacés pour les deux autres postes.
Louise rentra seule ce soir-là. Et quelle ne fut pas sa surprise de trouver un théodore à genoux, s'excusant et la suppliant de lui pardonner. Il avait également rangé tout les sacs. Elle le félicita et lui ordonna de quitter enfin sa couche sale et de se laver le temps qu'elle inspecte l'armoire. Elle put constater que théodore avait résisté à l'envie de manger qui le tenaillait. Le temps qu'il termine de se sécher, Louise lui fit la morale, comme quoi, quand il voulait, tout pouvait très bien aller. Il acquiesça.
Elle lui ordonna de se mettre dans la même position que la veille pour boire leur champagne, elle lui enfonça de nouveau l'entonnoir mais ce que craignait théodore n'arriva pas. Louise dévissa un pot, c'était leurs restes à toutes les trois, mixés et additionné d'un peu de son urine pour avoir la consistance d'une soupe. Et elle lui versa cuillère par cuillère dans l'entonnoir jusqu’à ce qu'il ait tout mangé.
Elle lui proposa ensuite un marché: si théodore réussissait à la faire jouir au moins 3 fois sans sa queue ni aucun ustensile, elle lui permettrait peut-être de jouir sous certaines conditions. Il accepta avec empressement.
Il commença par ouvrir le chemisier de Louise, dégagea ses lourds seins de leur soutien-gorge protecteur et commença par caresser, frôler, agacer leur chair et les tétons en particulier. Louise laissa tomber sa jupe et théodore allait lui enlever sa culotte avec les mains, lorsque dans un soupir, elle lui commanda de le faire avec la bouche. Il s'exécuta, tantôt en baissant à gauche, tantôt à droite, le tout en caressant de ses mains, le bassin, les hanches, les fesses, les cuisses. C'est qu'il savait y faire le bougre. Alors qu'il était au sol et s'apprêtait à remonter, Louise lui demanda de s'occuper de ses pieds, en approchant son pied droit de la bouche de théodore.
Lui se prenait visiblement au jeu car sa queue qui tentait désespérément de sortir de sa cage, le faisait souffrir, mais il continuait à donner du plaisir à Louise, dans l'espoir qu'elle lui accorde le sien.
Pendant qu'il s'affairait sur ses pieds et ses orteils, elle s'occupait de sa chatte et son clitoris. C'est ainsi que vint son premier orgasme. Elle s'affala sur la paillasse et l'autorisa à s'occuper de son minou. Il commença par le caresser avec les doigts puis par l'agacer avec sa langue et c'est en peu de temps qu'elle eut deux nouveaux orgasmes.
Elle ramassa sans les remettre, ses vêtements et expliqua à théodore, sous quelles conditions, elle l'autorisait à jouir aujourd'hui. Il devait sur le champ se mettre à genoux et s'empaler sur un gros gode réaliste. Et une fois éjaculé, il devrait tout avaler. Elle le regardait se mettre en position et essayer de s'enculer sans y parvenir. Sans doute manquait-il de pratique. C'est Louise qui apporta la solution. Alors que théodore se trouvait à la verticale du gode légèrement enfoncé, Louise, de tout son poids, appuya sur les épaules du pauvre théodore qui s'empala sur le gode, jusqu'à la garde dans un cri de douleur noyé de larmes. Et Louise lui rétorqua, que ce n’était tout de même pas si dur d'y arriver, qu'il y mettait de la mauvaise volonté. Elle s'en alla prendre une douche, douche pendant laquelle, théodore ne devait pas bouger.
Lorsque Louise revint près d'une heure plus tard, toute pimpante. C'est un théodore immobile et qui semblait ne pas avoir bougé d'un centimètre. Elle le félicita en lui caressant la tête avant de disposer devant sa queue une assiette et de lui attacher la main droite au cou. C'est ainsi que théodore fut autorisé à jouir pour la première fois depuis ce fameux jour qui restera à jamais gravé dans leurs mémoires à tous les quatre. Louise s'assura qu'il lèche bien son assiette avant de lui dire de tout ranger et de lui souhaiter une bonne nuit.
Le lendemain matin, Louise trouve enfin un théodore prêt, vêtu d'un jean féminin, d'un chemisier et d'une veste cintrée. Elle lui dit que c'est enfin un bon début, qu'il commence à comprendre, mais qu'aujourd'hui, il resterait là. Il est visiblement soulagé, il se sent pas prêt à sorti ainsi. Elle lui explique, que dorénavant, à chaque fois qu'elle ouvrira cette porte, elle veut le voir à genoux, mains et front contre le sol, théodore acquiesce. Elle lui demande de se dévêtir et elle peut se rendre compte, qu'il ne porte qu'une culotte dessous, aussi est-elle un peu fâchée et lui dit que la prochaine fois, il aura intérêt à ne rien oublier, sans quoi ce sera une punition sévère.
Elle retourne dans le grenier et lui apportes une planche à repasser, un fer et beaucoup de linge à faire en lui disant qu'il aurait malgré tout une journée remplie et gare à lui si à son retour elle trouve qu'il a mal travaillé.
C'est ainsi qu'elle le laisse et part au travail.
Durant la journée, elle raconte à Alicia et Noémie ce qui s'est passé, comment elle a pris son pied... Les deux amies ne manquent pas de la taquiner et de lui dire qu'elle est désormais une Maîtresse femme.
Louise leur parla d'une idée folle qui lui était venue durant la nuit. En effet au premier, elle louait le T4 à trois jeunes gens en collocation qui, si elle ne faisait pas erreur, vivaient de petits boulots. Et que l'idée folle serait de trouver un moyen de faire d'eux trois des esclaves comme le théodore, qu'ils pourraient vivre au grenier en rajoutant des paillasses et ainsi laisser l'appart aux deux amies. Sans compter qu'elles pourraient se débrouiller pour les faire embaucher tous les trois dans l'entreprise.
Les deux amies trouvèrent l'idée alléchante et dirent qu'il faudrait y réfléchir sérieusement car l'idée était faisable bien que plus délicate à mettre en place. C'est donc d'un commun accord qu'elles décidèrent de s'y attaquer, une fois le théodore bien dressé.
Le soir, elles rendirent visite à théodore toutes les trois. Il les accueillit à genoux, front et mains contre le sol, comme lui avait demandé Louise, qui d'ailleurs se mit accroupis à côté de lui et lui caressa la tête en le félicitant, puis elle lui dit de se relever. Une fois redressés, théodore termina de plier le dernier sous-vêtement repassé de Louise. Sa queue n'avait pas besoin de parler, vu comme elle "bavait", c'est que théodore avait visiblement adoré ce travail, ce qu'il ne démentit pas lorsque Noémie lui posa la question. Du coup, pour le week-end qui commençait, il aurait droit au linge des deux amies.
Noémie demanda alors si elle pouvait juger en pratique si théodore était un aussi bon lécheur que ça. Louise l'en pria avec un grand sourire. Noémie fit s'asseoir théodore par terre, dos contre le bord du lit et renverser sa tête sur le lit. Après quoi, elle enleva son string, remonta sa jupe et pris place sur le visage du théodore dont la queue aurait bien voulue se mettre au garde à vous. Assise ainsi, face à ses deux complices, le nez de théodore coincé sous l'anus et la bouche sous la chatte, Noémie ordonna à théodore de commencer, chose qu'il fit sans se faire prier. Elle eut alors une réflexion à son égard que Louise et Alicia acquiescèrent en cœur, à savoir qu'il avait bien de la chance. Ben oui, trois femmes à s'occuper de lui, ne plus avoir à décider, y a beaucoup d'hommes qui rêveraient d'être à sa place.
Elles discutèrent ensuite du travail, pendant que théodore s'appliquait. Au bout de quelques minutes, Noémie qui n'en pouvait plus, se cambra pour prendre appui sur la paillasse et se mit à jouir. Elle se recula alors légèrement, descendant ainsi du visage de théodore et lui disant qu'effectivement, il se débrouillait pas mal.
Alicia lui ordonna de rester ainsi mais de relever la tête. Vu qu'il avait bien travaillé, elle allait lui donner à manger. C'est ainsi qu'elle lui donna la becquée et qu'ensuite elles descendirent, lui souhaitant une bonne nuit. Il n'avait pas réclamé à jouir, signe qu'il commençait à bien comprendre sa situation. Elles s'en félicitèrent d'ailleurs pendant le repas.
Le week-end était là et ce n'est qu'à 10H que théodore vit ses Maîtresses. Alicia et Noémie avaient eu le temps de passer chercher leur repassage. C'est donc avec deux grosses corbeilles de linge à repasser qu'elles sont arrivées. Elles firent se redresser théodore pour qu'il les débarrasse. Noémie lui tendit un sac de boulangerie contenant un croissant tout frais. Il fut si touché qu'il se mit à genoux et lui embrassa la main en la remerciant. Louise enchaina en lui expliquant les nouvelles règles qu'elles avaient établies. Il devait les remercier désormais à genoux en embrassant leurs pieds à moins que ce ne soit au travail ou en public, auquel cas, un "merci madame" suffirait s’il baisse la tête en même temps. A chaque fois qu'il devra sortir de cette maison, il devra porter jusqu'à nouvel ordre sous ses sous-vêtements, le slip avec gode pour l'entrainer.
Une fois ces points énoncés, elles lui souhaitèrent un bon week-end en l'avisant que lundi serait son retour au travail et qu'il avait le droit de consommer en tout et pour tout 4 boites de conserve durant le week-end.
Les filles passèrent une partie du week-end ensembles à faire un peu de shopping et le coiffeur. Le tout avec la carte de théodore puisque c'est Louise qui gérait ses comptes désormais. Elles en profitèrent pour faire graver une plaque en forme de chien à son prénom et gravée au dos d'un "propriétaire: n de téléphone de Louise", ainsi qu'un cordon de cuir réglable pour le porter.
Le lundi matin, Louise chercha théodore qui l'attendait sagement en position et vêtu comme prévu, ce que ne manqua pas de vérifier Louise. Il était toute chose quand il la vit rentrer vêtue d'un pantalon de cuir moulant, pantalon acheté durant le week-end. Elle lui fit prendre les deux corbeilles de linge et prirent la voiture pour aller au travail. Sur le parking, les filles se sont retrouvées et se saluèrent pendant que théodore transférait le linge tant bien que mal tellement il était accaparé par la vision que lui offraient les trois filles vêtues toutes trois du même pantalon.
La matinée se passa tranquillement, mise à part quelques rappels à l'ordre, à un théodore trop distrait.
Lorsque sonna midi, les filles annoncèrent qu'elles avaient un cadeau pour lui, "une médaille du mérite".
Elles s'approchèrent de lui, s'assirent sur son bureau face à lui dans son fauteuil. Elles l'en firent descendre pour qu'il se mette à genoux, la tête à peine plus haut que leurs cuisses. Louise qui se trouvait au milieu, détendit le cordon et fit une phrase très solennelle, comme quoi devant ses deux témoins, elle le prenait pour serviteur. Elle passa ensuite le cordon avec la médaille, autour du cou de théodore et le serra très proche du cou, de façon à ce qu'il soit difficilement camouflable. Il se baissa en la remerciant et lui embrassa les chaussures. Il était sacrément fier et rien ne comptait désormais plus qu'elle.
Durant l'après-midi, une réunion de bilan avait lieu et c'est Alicia qui s'y rendit. Elle fit sensation, de par sa connaissance des dossiers, mais aussi par son calme et sa répartie, sans compter qu'elle apportait un touche féminine bienvenue. De retour au bureau, elle leur annonça son intention de faire désormais toutes les réunions. Ce à quoi, personne ne trouva à redire et surtout pas théodore, bien content d'éviter le regard de la direction.
De retour chez elle, Louise envoya se dévêtir théodore avant de lui donner un sceau et une serpillère, avec ordre de faire les sols de son appartement, y compris la moquette des chambres avec l'aspirateur, pendant qu'elle se faisait à manger. Louise avait commencée à manger lorsque théodore eu fini. Elle lui montra du doigt, le sol à côté d'elle pour qu'il vienne s'y asseoir. Puis de temps à autre, elle lui donnait un morceau qu'il devait prendre avec sa bouche. Louise ayant fini son repas, elle déposa son assiette avec ses restes, au sol devant théodore, en lui disant que c'était son repas, qu'ensuite, il devrait faire la vaisselle et la rejoindre au salon, une fois tout ça fini.
Lui, était bien content, il avait le droit de manger quelque chose de consistant et bon. Il eut rapidement fini son assiette et enchaina avec la vaisselle. Les pubs venaient de finir quand il se rapprocha discrètement de Louise et se positionna à sa droite, attendant.
Louise lui fit poser la tête sur l'accoudoir et se mit à caresser sa chevelure, comme elle l'aurait fait avec un animal de compagnie.
Le film fini, elle l'emmena au grenier, défit le cadenas de s cage de chasteté en lui disant d'en profiter, que c'était exceptionnel et que le lendemain, quand elle viendrait le chercher, elle voulait la voir en place. Il se jeta à ses pieds et les embrassa en la remerciant.
Louise redescendit s'endormir.
Les choses continuèrent ainsi, tranquillement pendant deux mois. Deux mois pendant lesquels, le divorce de théodore fut prononcé à ses torts et qu'Alicia gérait le service, les réunions et les embauches. Et un matin de bonheur, le directeur vint dans les bureaux du service. En entrant il fit face aux bureaux de Noémie, Louise et Alicia. Il demanda à Alicia de le suivre et alla dans le bureau de théodore. Tous les quatre dans le service étaient surpris et se demandaient ce que ça pouvait bien vouloir dire.
Une fois dans le bureau, la porte fermée, le directeur annonça une grande décision, Alicia allait prendre le poste de théodore car elle accomplissait un travail remarquable, bien meilleur que le sien. Et pour sa prise de poste, il laissait Alicia décider de la future affectation ou licenciement de théodore et de l'organisation du service. Alicia et théodore ne savaient que dire. Alicia remercia le directeur, tant dis que théodore essaya de protester, allez savoir pourquoi. Le directeur, le menaça d'un licenciement sur le champ, chose qu'il n'hésiterait pas à faire au vu de l'attitude et de l'accoutrement inqualifiable de théodore qui, ni l'un, ni l'autre ne correspondait à un responsable. Et le directeur s'en retourna comme il était venu.
Louise et Noémie vinrent de suite demander ce qu'il voulait, chose qu'Alicia relata dans les moindres détails. Elles félicitèrent Alicia et dirent qu'il faudrait fêter ça, mai qu'avant, il fallait s'atteler à ce que souhaitait le directeur.
Ainsi, Alicia prenait le bureau de théodore, Louise et Noémie, les deux bureaux encadrant la porte du bureau d'Alicia et théodore le bureau central, situé juste face à la porte. Alicia fit aussi les papiers d'avenants aux contrats de travail. Ainsi théodore se voyait rétrogradé non pas au rang qu'occupait Alicia, mais à celui d'une secrétaire avec pour salaire, l'équivalent d'un smic au temps partiel de 50%. La différence de salaire étant reversée sur les salaires de Louise et Noémie.
Alicia argumenta qu'ainsi la pension versée par théodore serait revue drastiquement à la baisse voir supprimée et qu'il aurait plus de temps à leur consacrer. Louise et Noémie se mirent à applaudir, pendant que théodore continuait à réaménager les bureaux.
Pour fêter ça, à la sortie du bureau, elles emmenèrent avec elles théodore, direction, le centre commercial et sa série de boutique. Premier arrêt, chez un coiffeur. La coiffeuse demanda pour qui c'était, les filles s'écartèrent et montrèrent théodore du doigt en disant en cœur: "c'est pour lui". La coiffeuse devait se douter de ce qui allait suivre. Louise demanda un carré plongeant mi- long pour théodore, qui n'ouvrait pas la bouche, gêné qu'il fût.
Les filles discutèrent en attendant que théodore soit coiffé. Elles se régalaient de son embarras, qui ne l'empêchait pas d'être excité au vu de la bosse dans le pantalon qui heureusement restait discrète grâce à la ceinture de chasteté. Une fois théodore coiffé, elles le poussèrent jusqu'au magasin de chaussures. Et là, le même manège mais pour des bottines à hauts talons et des escarpins.
Elles allèrent ensuite boire un verre au bar de la galerie commerciale où elles commandèrent trois verres de blanc pour elles et une Vittel pour lui, avant de rentrer chez Louise fêter dignement ça.
Ce soir-là, théodore fit le service chaussé de ses tout nouveaux escarpins. Après avoir bien mangé et bien bu, les sens s'égaillèrent et théodore ne cessa d'être sollicité. Que ce soit pour lécher ses dames ou se faire pénétrer par elles au gode-ceinture. Les dames finirent par s'endormir au salon et théodore s'en alla chercher ce qu'il fallait pour qu'elles passent une bonne nuit, à savoir des oreillers et des couvertures. Une fois ses dames dorlotées, il fit le débarras et prépara le lave-vaisselle avant de monter se coucher.
Le lendemain matin, elles montèrent toutes les trois chercher théodore, qui lui était prêt pour aller au travail.
C'est Alicia qui prit la parole. Elle lui demanda de tomber la veste et la chemise. Une fois fait, elle lui a fait changer ses chaussures pour mettre les bottines. Et elle lui expliqua de façon très solennelle, qu'elles avaient un cadeau pour lui, qu'elles attendaient un jour qui le mériterait et que ce jour était très bien. Noémie sortit de derrière son dos, un serre taille de latex blanc aux baleines très rigides. Il était très beau mais théodore ne voyait lui que de mauvais côtés, à savoir la difficulté du port, que ce serait un rajout très voir trop féminins à sa tenue. Ce à quoi, d'un air déçue, Noémie lui que c'est à elles qu'il doit plaire, que les autres, elles s'en foutent.
Un peu abattu, il acquiesce et se laisse mettre le serre taille. C'est Louise qui se charge de le serrer, et elle le serre très fort en lui disant que s’il avait été sage et fait preuve d'intelligence et de gratitude, elle l'aurait serré bien moins fort. Elle lui dit aussi que désormais, il le portera tous les jours et que les matins, ce sera elle qui lui serrera avant de l'autoriser à vêtir le reste de ses vêtements journaliers. Les premiers pas de théodore sont hésitants, il peine à respirer.
Alors elles décident qu’Alicia et Noémie partent en travail comme prévu et que Louise prenne un peu de temps pour lui faire faire des allers-retours dans le grenier en le conseillant. C’est difficile pour lui, il peine, malgré les conseils et encouragements de Louise. Il essaie bien de demander à Louise qu’elle desserre un peu le corset. Mais Louise reste ferme et intraitable.
C’est après deux bonnes heures d'entrainement que Louise et théodore partent à leur tour au travail, non sans avoir fait travailler un peu théodore dans les escaliers, à les monter et descendre une bonne trentaine d’étages.
Arrivé au travail, théodore prend sa nouvelle fonction ou tout du moins sa fonction officielle et son nouveau bureau, juste face à la porte d’entrée. La matinée est un enfer pour lui, coincé entre le gode de la culotte spéciale, le corset très serré qui lui fait mal et les escarpins. A plusieurs reprises, les filles sont obligées de lui faire refaire son travail car il peine à se concentrer.
Aussi, à la pause déjeuner, Alicia, emmène théodore dans son bureau, lui baisse le pantalon et lui donne une série de coups avec la règle en bois disposée sur son bureau. En plus de cela, elles le privent de repas. Heureusement pour lui, le corset, limite grandement sa faim, il a du mal à s’y faire.
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