Mon Maître m’a bien eue et j’ai fauté

Mon Maître avait décidé de jouer avec sa soumise. Notre code est simple, je le sais quand il me demande d’aller mettre mon collier. Il m’a demandée de mettre une robe noire, des bas et un porte jarretelle, j’ai donc compris que nous allions sortir. Comme toujours, je n’ai pas mis de culotte, Maître me veut disponible en permanence et ne souhaite pas être gêné par un morceau de tissu.

Cinq minutes plus tard, nous montions dans la voiture pour une destination qu’il a refusé de me dévoiler. Après un quart d’heure de route, il s’est arrêté sur un parking et m’a donnée mon walkman en me disant de mettre de la musique et de régler le volume pour que cela soit assez fort. Je devais ensuite couper le son et attendre les instructions suivantes. A la suite de quoi, il m’a bandée les yeux avec un bandage médical comme quand on a une entorse. Maître m’a ensuite demandée si je lui faisais confiance. Ma réponse a été « oui » puisque qu’il est mon mari et m’aime. Et là, il m’a dit que j’allais avoir l’occasion de me lui prouver en exécutant à la lettre tous ses ordres.

Il a repris la route en me laissant avec mes interrogations. Quelques minutes plus tard, je ne sais pas combien mais cela n’a pas été très long il a pris un bout de chemin puis s’est arrêté.

Ses ordres étaient les suivants :
- Mettre la musique quand il me taperait sur la main.
- Sortir de la voiturer quand il me pousserait dehors.
- Aller me mettre devant la voiture et me pencher en avant sur le capot.
- Relevez ma robe pour exposer mon cul et dégrafer le devant pour que mes nibards soient accessibles.
- Je devrai ensuite me laisser faire quoi qu’il arrive.

Mon Maître sait que je ne suis pas du tout branchée par l’exhibition, c’est pour moi une réelle punition. Comme je sentais qu’il avait surtout envie de jouer, je me demandais ce qu’il attendait de moi et ce qu’il mijotait. Un petit moment plus tard, il a tapoté ma main. J’ai donc mis la musique et me suis isolée des bruits extérieurs. Sa main s’est insinuée entre mes cuisses pour venir me caresser.

J’ai du me replacer un peu sur le siège pour qu’il puisse mieux jouer avec moi. J’ai commencé à imaginer que des gens étaient attroupés autour de la voiture et mon plaisir a commencé à disparaître. Un petit moment plus tard, il s’est penché sur moi pour ouvrir la porte et m’a poussée dehors. J’étais tétanisée, il a du insister. J’ai donc fini par sortir de la voiture puis, sans la quitter de la main, je suis allée me pencher sur le capot comme il me l’avait demandée. Normalement, je ne suis pas très pudique, faire voir mes fesses ne me perturbe pas trop, mais là c’était plus difficile car je devais remonter ma robe sans savoir si des gens me voyaient.

Il m’a laissée un petit moment comme ça, j’avais l’impression qu’il discutait avec des gens. J’ai compris qu’il voulait me livrer à un ou des inconnus. Il m’en avait déjà parlé en me disant que c’était dans notre contrat et que j’aime ou pas, c’était pareil puisque quand je suis ""fourrée ""au bout d’un moment je ne m’éclate. Ce n’est pas tout à fait faux mais quand même, normalement on en parle avant.....

J’étais dans mes pensées quand une main a touché mes fesses en faite bondir de surprise. Un pied pas sympathique a tapé sur mes chevilles pour que j’écarte plus les jambes. Une main m’a poussée tout aussi brusquement pour que mes fesses soient encore plus offertes. La main qui me fouillait était presque brutale, et d’un seul coup, le mec s’est collé contre moi et m’a prise sans plus de considération.

La seule chose qui m’a faite tenir, c’est que j’imaginais que mon Maître me regardait à travers le pare brise de la voiture. Quand le mec a commencé à toucher mon anus, je n’étais vraiment pas d’accord, et quand il a mis du lubrifiant, j’ai crié non. Il m’a plaquée contre le capot et a cherché à me sodomiser. Comme mon Maître n’intervenait pas, c’est qu’il était d’accord ce qui me mettait dans une colère noire. Il m’a fait mal quand il m’a prise par derrière et quand il me sodomisait, j’avais l’impression qu’on me brûlait l’anus.

D’un seul coup, la musique c’est arrêté. C’était mon Maître qui me baisait et il m’a engueulée pour avoir résisté et ne pas lui avoir fait confiance. Du coup je me suis décontractée et c’est devenu bon de me faire sauter comme une catin sur le bord de la route. Comme quoi, tout est dans la tête. Ce qui n’a pas été bon, c’est sa punition pour ne pas l’avoir reconnu et avoir résisté.

100 lignes de je ne dois pas discuter ni décevoir mon Maître.

Ces lignes j’ai du les faire à la maison assise sur deux gros plugs et avec des pinces à sein méchantes sur les tétons et une pince à linge sur la langue. Quand il a vu que je pleurais, au bout d’un moment il a retiré la pince de ma langue.

TSM

NOTE DE L’AUTEUR

Si cette petite histoire est totalement fictive et une pure fiction, MAIS personnellement, j’ai toujours aimé bien faire ce type de surprise à mes soumises ^^^^.

Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

Nous sommes en plein confinement, vous allez donc éviter d’essayer de la reproduire mais cela peut toujours vous donner une idée de surprise. NON LES FILLES, ne me détestez pas !
il y a 4 ans

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