L’île de la tentation

L’île de la tentation
Par TSM

Et oui, cher lecteur, ce titre est bien celui de la célèbre émission de télévision dans laquelle deux équipes constituées de jeunes filles et de garçons s’affrontent autour d’une chasse au trésor sur une île paradisiaque.

Plaise à vous de continuer la lecture de ce récit, mais attention, ce n’est pas un roman à l’eau de roses.

Diverses photos, prises au hasard sur le net agrémenteront votre lecture mais ne correspondent pas à celles que l’armée a saisie lors de son intervention « musclée » et pour cause ! Je n’ai plus accès au dossier, mais si tel était le cas, je ne les aurai jamais diffusées pour ne pas aller me reposer dans un centre de loisirs pour adultes, centre qui ne fait jamais portes ouvertes si vous voyez ce que je veux dire.

Je caresse donc l’espoir que vous ne me tiendrez pas rigueur des changements de décors ou de filles sur les photos. Considérez-les tout simplement comme un petit plus.

Bonne lecture

…………………….

Aline, une jolie blonde sportive âgée de dix-neuf printemps, a comme beaucoup d’autres, adressé sa candidature pour cette célèbre émission en rêvant de passer à la télé. Son visage pointu, ses longs cheveux soyeux et son petit nez dominé par des yeux d’un bleu profond lui donnent un petit air félin.

Cette adorable jeune fille au visage étincelant de vitalité ne sait pas, quand elle observe le paysage à travers le hublot de l’avion qui la transporte sur l’île dont elle a tant rêvé, c’est qu’au service courrier de l’émission, un ignoble personnage surnommé le « Renard », travaille en sous-main pour un réseau.

L’arrivé à l’aéroport de Colombo au Sri Lanka, ex Ceylan, s’est faite sans encombre. Aline a repéré immédiatement le panneau « L’île de la tentation » au milieu de ceux des Tour Operator et de la foule de touristes.

Le transport dans un 4X4 poussif fumant autant qu’un train à vapeur du début du siècle, n’inquiète pas Aline qui est d’un naturel joyeux et insouciant. Elle se désole dans un premier temps à la vue des bidonvilles et de ces pauvres gens pour finalement s’émerveiller de la végétation luxuriante de cette île paradisiaque dès la sortie lointaine de la ville qui s’étale.

Après avoir effectué des déplacements de « tuc tuc » particulièrement osé et au mépris le plus total des lignes jaunes, le véhicule tout terrain s’éloigne de la côte et des grandes routes où l’on compte le temps de déplacement en heures et non pas en kilomètres comme lui a indiqué le chauffeur.

Sur un pont « Washing machine » lui indique Alan en lui désignant du doigt les femmes qui lavent encore le linge dans la rivière. Sur un chemin goudronné mais fort difficile, elle se met à hurler quand un iguane traverse la route devant le véhicule. Elle aime tant les animaux qu’elle a eu réellement très peur et surpris le chauffeur. Puis ils prennent un chemin épuisant qui n’en fini plus et croisent un éléphant. Aline réalise déjà sont rêve d’aventure même si elle est maintenant épuisée par le voyage sur ces chemins chaotiques loin de tout confort.

- Allez poupée, descend ! Dit le chauffeur d’un air moqueur lorsqu’il arrête la voiture devant le bâtiment principal d’une grande ferme perdue dans la montagne.

Alan le chauffeur, âgé d’une quarantaine d’années, soulage Aline de son sac à dos qui le remercie d’un sourire, puis la guide vers les dépendances. Alors qu’ils s’approchent des écuries Aline s’écrie joyeusement :

- Oh, vous avez des chevaux, c’est génial ! Lance la belle aux cheveux dans le vent. J’ai fait de l’équitation pendant des années. Pensez-vous que nous pourrons monter pendant notre séjour ?

- Oui ma poule, ici on pratique l’équitation, mais pas celle que tu crois. Ici, notre passion, c’est le Ponygirl.

- Qu’est-ce que c’est ? Demande Aline avec son petit air innocent.

- Tu vas voir ! Lucie ! Approche, vient ! Rigole le chauffeur en attrapant brusquement le bras d’Aline qu’il serre fermement.

Une fille nue, monstrueusement attachée par un collier de fer et les bras liés dans le dos apparaît à la porte d’un box. Devant cette vision d’horreur Aline a l’impression que son cœur va exploser. Saisie de tremblements, elle essaie en vain de se libérer de la poigne d’acier qui broie douloureusement son bras puis de gifler le chauffeur. Il refuse de la lâcher en rigolant grassement de sa surprise.

Alan ceinture fermement l’angélique au corps de rêve qui hurle en se débattant bien inutilement, face à sa puissance herculéenne. Insensible aux coups de pieds, il la porte dans un box puis la jette dans la paille comme un vulgaire sac puis referme la porte derrière eux.

Aline bondit aussitôt mais face à elle, le bel homme est devenu en l’espace d’un instant, un ignoble colosse les yeux injectés de sang. Le visage crispé, la gorge serrée, elle se plaque de frayeur contre le mur.

- A poil !

- Non, non, s’il vous plait, non ! Ne me faites pas de mal ! Laissez-moi partir ! Pleure Aline qui se sent piégée, loin de tout et au bout du monde.

En refusant de se soumettre, Aline ne sait pas qu’elle excite Alan, qui se délecte déjà d’un corps à corps avec cette jeune pouliche pleine de vie. Sans renouveler sa demande, il s’approche d’elle lentement avec un sourire carnassier posé sur lèvres. Ce sourire a été déclenché par le regard implorant et larmoyant d’Aline. Hummmm qu’il aime ça, la peur de ses victimes, l’expression de terreur sur un joli visage féminin le fait bander, tout comme les films d’horreur avec du sang et des victimes qui souffrent.

La distance qui les sépare se réduit, lentement, progressivement, irrémédiablement. Avec l’énergie du désespoir, Aline essaie de fuir, mais il est trop tard, il était déjà trop tard quand elle est montée dans l’avion.

D’une main leste, il l’attrape par les cheveux puis la serre contre lui. A l’issue d’une lutte inégale, elle est plaquée dans la paille sous cet homme brutal qui l’écrase de tout son poids puis lui broie ensuite le dos de son genou. Elle hurle à gorge déployée, convaincu qu’il va la violer, mais non, là n’est pas son objectif, il lui lie les poignets ? En quelques instants, elle se retrouve debout, les bras liés par une corde fixée à un gros anneau dans mur. Aline, sans défense, a l’impression de sombrer dans la déchéance absolue quand il se met à pétrir sa poitrine à pleines mains à travers son chemisier.

- Pas mal les doudounes et bien fermes en plus ! Hummmm, tu es appétissante ma belle, on va bien s’éclater tous les deux !

Elle est terrorisée et se mord les lèvres jusqu’au sang. Elle a l’impression de mourir un peu lorsqu’il manipule la ceinture de son pantalon, qu’il dégrafe et baisse sans ménagement. La main d’Alan caresse un instant son ventre plat à la peau de pêche. Le joli visage plissé d’horreur, le corps tendu comme un arc, elle supplie de sa petite voix quand les ignobles caresses deviennent plus précises.

Il plaque soudain sa main en cuillère sur son string noir, mince rempart sous ses doigts empressés. Elle a beau serrer les cuisses, le majeur d’Alan s’enfonce déjà un peu dans son intimité à travers le tissu. Pliée en deux pour fuir l’attouchement, elle pousse de petits « non » plaintifs entre les sanglots presque enfantins.

Soudain, il s’écarte d’elle en lui disant : « ne bouge pas ma poule, je reviens » !

L’attente ne dure que quelques minutes, minutes qu’elle pourrait mettre à profit pour essayer d’ouvrir les liens avec ses dents, mais son esprit embrumé par la peur et la honte, ne lui permettent pas de penser à cette éventualité. Ce temps là, elle le passe à pleurer sur son sort puis à tirer sur la corde en massacrant la peau fragile de ses poignets et de ses mains. (photo2)

La porte qui s’ouvre augmente encore la peur panique qui la ronge. Alan entre avec un appareil photo numérique et commence à mitrailler sa victime. D’une main, il écarte la ficelle de son string et la photographie sous tous les plans, en tournant autour d’elle comme un loup qui joue un peu, avant d’égorger une brebis égarée.

Il pose son appareil puis arrache, plus qu’il ne retire, les chaussures puis le jean d’Aline qui pousse maintenant des hurlements et des « non » de petite fille chaque fois qu’il la touche. Son torse est violemment dénudé à grand coup de couteau, le soutien-gorge ne résiste qu’une seconde à la lame effilée.

Sa poitrine généreuse est aussitôt l’objet de pincements et attouchement multiples qui la font crier, cris qui amusent encore le bourreau et qui berceront ses rêves érotiques cette nuit.

La porte du box est ouverte par une femme brune, d’une quarantaine d’années.

- Ca suffit ! Met la en condition pour la nuit et va t’occuper des autres !

A suivre ici demain
TSM
il y a 10 ans

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