L’église et la domination

L’église et la domination

Je ne sais plus où j’ai trouvé ce texte, mais je remercie vivement son créateur. (Sourire......) La fessée, la domination masculine y sont admirablement amenés. Je vous propose donc d’en prendre connaissance et de le faire lire à vos épouses ou concubines.

TSM

L'ENSEIGNEMENT DE L'EGLISE

Vénérables frères et sœurs, Concernant le sujet qui nous intéresse, un grand principe se retrouve tout au long de l'enseignement de notre sainte mère l'Eglise : la soumission de l'épouse à son mari. Hélas, pour des raisons de marketing bien compréhensibles, le magistère a aujourd'hui tendance à passer pudiquement ce point sous silence. Pour les couples désireux de faire de leur union un vrai mariage chrétien, voici donc ici réunis pour la première fois les grands classiques indispensables. Première épître de Pierre 3.1-6 Vous, femmes soyez de même soumises chacune à votre mari, afin que si quelques uns n'obéissent pas à la Parole, ils soient conquis sans discours, par la conduite de leurs épouses, en voyant votre manière de vivre chaste et respectueuse. Ne privilégiez pas la parure extérieure ; cheveux, bijoux et toilettes ; mais la parure intérieure et cachée du cœur, la pureté incorruptible d'un esprit doux et paisible. Voilà ce qui est précieux au regard de Dieu.

Ainsi se rendaient belles autrefois les saintes femmes qui espéraient en Dieu, soumises à leurs maris, telle Sara qui obéissait à Abraham et l'appelait son Seigneur. C'est d'elles que vous êtes devenues les filles, en faisant ce qui est bien, sans vous laisser troubler par aucune crainte. Epître de Paul aux Ephésiens 5.22-33 Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur ; Car le mari est le chef de la femme, comme le Christ est le chef de l'Eglise, qui est son corps, et dont il est le sauveur. Or, de même que l'Eglise est soumise au Christ, les femmes aussi doivent l'être à leurs maris en toutes choses. Maris, aimez vos femmes, comme le Christ a aimé l'Eglise, et s'est livré lui-même pour elle, afin de la sanctifier par la parole, après l'avoir purifiée par le baptême d'eau, afin de faire paraître devant lui cette Eglise glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irréprochable. C'est ainsi que les maris doivent aimer leurs femmes comme leur propre corps.

Celui qui aime sa femme s'aime lui-même. Car jamais personne n'a haï sa propre chair ; mais il la nourrit et en prend soin, comme le Christ le fait pour l'Eglise, parce que nous sommes membres de son corps. C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère et s'attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair. Ce mystère est grand ; je dis cela par rapport au Christ et à l'Eglise. Du reste, que chacun de vous aime sa femme comme lui-même, et que la femme respecte son mari. Encyclique "Castii conubi" sur le mariage chrétien, de Sa Sainteté le Pape Pie XI, 31/12/1930 (extraits) …/.. I

- Les biens du mariage véritable d'après saint Augustin…/.. §2 - La foi conjugale…/.. L'"ordre de l'amour" Enfin, la société domestique ayant été bien affermie par le lien de cette charité, il est nécessaire d’y faire fleurir ce que saint Augustin appelle l’ordre de l’amour. Cet ordre implique et la primauté du mari sur sa femme et ses e n f a n t s, et la soumission empressée de la femme ainsi que son obéissance spontanée, ce que l’Apôtre recommande en ces Termes : “Que les femmes soient soumises à leurs maris comme au Seigneur ; parce que l’homme est le chef de la femme comme le Christ est le chef de l'Eglise.” Cette soumission, d’ailleurs, ne nie pas, elle n’abolie pas la liberté qui revient de plein droit à la femme, tant à raison de ses prérogatives comme personne humaine, qu’à raison de ses fonctions si nobles d’épouse, de mère et de compagne.

Elle ne lui commande pas de se plier à tous les désirs de son mari, quels qu’ils soient, même à ceux qui pourraient être peu conformes à la raison ou bien à la dignité de l’épouse ; elle n’enseigne pas que la femme doive être assimilée aux personnes que dans le langage du droit on appelle des “m i n e u r s”, et auxquelles, à cause de leur jugement insuffisamment formé, ou de leur impéritie dans les choses humaines, on refuse d’ordinaire le libre exercice de leurs droits, mais elle interdit cette licence exagérée qui néglige le bien de la famille ; elle ne veut pas que, dans le corps moral qu’est la famille, le coeur soit séparé de la tête, au très grand détriment du corps entier et au péril - péril très proche - de la ruine. Si, en effet, le mari est la tête, la femme est le coeur, et, comme le premier possède la primauté du gouvernement, celle-ci peut et doit revendiquer comme sienne cette primauté de l’amour. Au surplus, la soumission de la femme à son mari peut varier de degré, elle peut varier dans ses modalités, suivant les conditions diverses des personnes, des lieux et des temps ; bien plus, si le mari manque à son devoir, il appartient à la femme de le suppléer dans la direction de la famille. Mais, pour ce qui regarde la structure même de la famille et sa loi fondamentale, établie et fixée par Dieu, il n’est jamais ni nulle part permis de les bouleverser ou d’y porter atteinte.

Sur cet ordre qui doit être observé entre la femme et son mari, Notre prédécesseur d’heureuse mémoire, Léon XIII, donne, dans l’Encyclique sur le mariage chrétien, que Nous avons rappelé, ces très sages enseignements : “L’homme est le prince de la famille et le chef de la femme ; celle-ci, toutefois, parce qu’elle est, par rapport à lui, la chair de sa chair et l’os de ses os, sera soumise, elle obéira à son mari, non point à la façon d’une servante, mais comme une associée ; et ainsi, son obéissance ne manquera ni de beauté ni de dignité. Dans celui qui commande et dans celle qui obéit - parce que le premier reproduit l’image du Christ, et la seconde l’image de l’Eglise,

- la charité divine ne devra jamais cesser d’être la régulatrice de leur devoir respectif.” Le bien de la fidélité conjugale comprend donc : l’unité, la chasteté, une digne et noble obéissance ; autant de vocables qui formulent les bienfaits de l’union conjugale, qui ont pour effet de garantir et de promouvoir la paix, la dignité et le bonheur du mariage. Aussi n’est-il pas étonnant que cette fidélité ait toujours été rangée parmi les biens excellents et propres du mariage. …/..

Et la fessée dans tout ça ?

Concernant les épouses rétives à ces sains principes, ou simplement prises en faute, l'Eglise n'a officiellement jamais conseillé d'user de châtiments corporels. Elle n'a recommandé que la "réprimande affectueuse". Cependant, ne pourrait-on pas considérer comme telle un fessée, donnée avec amour, et librement acceptée dans son principe ? Combien d'hommes alors ne trouveraient pas délicieux de réprimander ainsi leur tendre moitié, si pure ou si polissonne ?

Combien de femmes, sages ou coquines, ne seraient pas troublées d'être si tendrement et fermement reprises en main par leur époux, et de sentir ainsi jusque dans leur chair la chaleur de l'autorité maritale ?
il y a 9 ans

"Détourner" de leurs sens propres les écrits divins sont l’apanage du malin.
Mais je dois avouer qu'il donnent du blé à moudre, sans avoir à se fatiguer... Il est vrai que là ce n'est même pas nécessaire de tenter "d'enduire" d'erreur le féru croyant. Tout est là écris noir sur blanc.
La pomme n'est même plus nécessaire à cueillir, il suffit de se baisser pour la ramasser...
Comme quoi donner la parole de dieu à l'homme et il en ferra... Des choses bien !!
** sourire jusqu'aux oreilles**
il y a 9 ans

Compte anonymisé
[quote:3i1f3pxa]“L’homme est le prince de la famille et le chef de la femme ; celle-ci, toutefois, parce qu’elle est, par rapport à lui, la chair de sa chair et l’os de ses os, sera soumise, elle obéira à son mari, non point à la façon d’une servante, mais comme une associée ; et ainsi, son obéissance ne manquera ni de beauté ni de dignité.[/quote:3i1f3pxa]

Alors là, ils peuvent rêver !!!
Allez dire ça à une domina et vous verrez l'effet que cela peut provoquer à votre entre-cuisse !!
il y a 8 ans

Je ne peux qu'être d'accord avec vous Lady Dae.
il y a 8 ans

[quote:36hg9c6j]Alors là, ils peuvent rêver !!!
Allez dire ça à une domina et vous verrez l'effet que cela peut provoquer à votre entre-cuisse !![/quote:36hg9c6j]
Donc si on suit ce résonnement la bible va avoir mal aux adducteurs?
*Muf muf muf*
Bon j'avoue je trolle.
Cependant c'est juste une question d'interprétation, j'ai débattu avec une connaissance sur ce passage. En sachant que cette personne est très catholique. Je ne suis pas d'accord sur le coté obligatoire.Pour lui ça tombait sous le sens et il ne comprenait pas que l'on le voit autrement. Mais allez l'expliquer à une personne "endoctriné ".
Sinon en tant que dom, ça me plait et j'assume. On voit donc la dualité que l'on peut avoir entre le rôle de dom, et l'humain derrière. ^^ ( jparle pour moi xD)
il y a 8 ans

Bonjour,

Au sujet de ces échanges sur l'église et la domination, nous devons pas oublier cet écrit date du début du XXe siècle. Les mœurs de la société française de cette époque est bien différente qu'actuellement. L'église occupait une place prédominante dans la vie et dans les couches de la société. Bien que nous sommes au lendemain de la grande guerre, l'église tiens absolument à garder sa maitrise sur la vie de chacun, malheureusement l'émancipation des femmes (Surtout des classes ouvrières) a été très importante du fait de l'énorme besoin nécessaire à l'effort de guerre cela l'absence des hommes qui sont sur le front. Surtout après la guerre, la société française est composée d'une forte majorité de veuves, l'église souhaite que les principes de la vie soit préservés selon leur modèle idéal qu'elle en a eu la maitrise depuis des siècles. Afin d'éviter les dérives des mœurs de la société comme dans le passé au moment de la révolution française et de l'industrialisation (1830).
Au sujet de la domination féminine dans la vie privée (Voir aussi Intime), un bon nombre des membres de cette église ont fermés les yeux surtout dans la haute société pour leurs intérêts car ces femmes sont très influences dans leur monde et elles leurs étaient fort utiles pour des biens matérielles.
Pour les femmes de la classe ouvrière, une partie de ces femmes sont restées veuves toute leurs vies, mais la majorité des femmes ont refait leurs vies pour des raisons matérielles et assurer une meilleur vie à leurs enfants.
Puis les mœurs de la société a commencé à changer et au plus haute instance de l'état des décisions ont été prises pour la reconnaissance du rôle majeur des femmes dans l'effort de guerre et assurer la protection de ses femmes et des enfants. Car ce moment, nos dirigeants étaient convaincus qu'une nouvelle guerre va arrivée et que le besoin de femmes sera aussi primordial et important dans un nouveau conflit. Malheureusement, l'église ne s'est pas adaptée à cette évolution des mœurs et du contexte de l'époque, elle a préférée en rester à ses principes moraux du début du XXe siècle.
Au lendemain de la deuxième guerre, la majorité de la société française s'est désolidarisée de l'église à cause de son rôle pendant le deuxième conflit.
Pour ma part, l'émancipation de la femme est une chose importante et primordiale dans notre société, de plus nous devons surtout pas oublier que c'est nous les hommes qui nous avons combattu et faciliter sa concrétisation pour notre bien-être et notre survie dans notre société européenne.

Mitoune94
il y a 8 ans

Oui enfin parler de religion et d'évolution est un peu antinomique, disons que si une évolue, c'est que généralement les croyants finissent par tenter de comprendre de le dogme plutôt que de le suivre aveuglément, mais ce qui est triste c'est que cela ne se fait pas sans heurs. Disons qu'un système à la peau dure, et que la mue n'est pas aussi évidente que chez les serpents, ça se passe souvent dans le sang et les larmes....
Hey! Comme dans une séance BDSM extrême.... Peut on faire un lien ? ( pas un Shibari hein :p)
il y a 8 ans


Donc si on suit ce résonnement la bible va avoir mal aux adducteurs?
*Muf muf muf*
Bon j'avoue je trolle.
Cependant c'est juste une question d'interprétation, j'ai débattu avec une connaissance sur ce passage. En sachant que cette personne est très catholique. Je ne suis pas d'accord sur le coté obligatoire.Pour lui ça tombait sous le sens et il ne comprenait pas que l'on le voit autrement. Mais allez l'expliquer à une personne "endoctriné ".
Sinon en tant que dom, ça me plait et j'assume. On voit donc la dualité que l'on peut avoir entre le rôle de dom, et l'humain derrière. ^^ ( jparle pour moi xD)[/quote:9p08ooww]
il y a 8 ans

Passionnant débat. fondement de nos démarches, même si nous avons rejeté dans l'ombre les causes.
Presque seule vérité de nos identités.
Peut il y avoir SM ,dans une coopération maître soumise sans cet arrière plan.
Amitiés à tous.
il y a 8 ans

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