Nan!!!

Compte anonymisé
C'est un vieux récit de mon ancien petit ami avec qui j'avoue que la relation sentimentale était pas terrible mais par contre le rapport fessée et bdsm était génial.

"Nan !"
Pfff... Lolaaaaaa !
J'en viendrai à bout, même si je dois ensuite me retirer en maison de repos pour deux mois !!
"Nan..." je ne connais que trop bien ce mot, proféré environ 300 fois par jour par ma chipie de Lola, c'est à dire, en gros, chaque fois qu'elle fait une bêtise ou me répond insolemment, et que je lui demande de venir s'allonger sur mes genoux.
Enfin, quand je dis "demande", il s'agit bien évidemment d'un espoir sans lendemain , car je sais pertinemment que le "phénomène" va se faire prier, se mettre à pigner, tourner en rond, fuir, m'implorer avec des yeux de cocker, pour, finalement, se faire inévitablement coincer, et recevoir ce qu'elle mérite : une bonne et belle fessée, administrée en cadence.

"Nan !"
Je me disais, aussi... ça faisait longtemps. L'atmosphère était trop calme, ça ne pouvait pas durer.
Bizarrement, je m'étais pris à rêver d'une après midi plutôt tranquille, après une nuit d'enfer passée à ce que vous imaginez. Mais non! Lola est ainsi : elle ne s'arrête jamais, exactement comme ces petits singes qui tapent sur un tambour en se dandinant d'une patte sur l'autre...

Avec un soupir de découragement, (bien feint), je finis par me lever, histoire de lui faire comprendre que, quoi qu'elle fasse, elle subira le châtiment que je lui ai réservé. Mais, me direz vous, pour quelle raison ? opf... il y en a tellement !!
A peine avais-je esquissé un pas dans sa direction, qu'elle se sauve, telle une fouine, glissant sur le sol et le long des murs, espérant sans doute passer le plus inaperçue possible, en se confondant avec la tapisserie.

Le truc, c'est que, bien que l'appartement soit assez grand (120m2), il n'existe pas d'endroits sûrs pour se cacher efficacement. Je n'ai pas aménagé de cache secrète ni de souterrain, et encore moins de porte dérobée. Tout ce que peut faire Lola, dans ce cas, c'est : s'enfermer dans la cuisine, ce qui ne serait, de toute façon, qu'une solution provisoire. Il lui faudrait bloquer la porte avec ses p'tits bras, et, compte tenu de sa faible puissance musculaire... :mrgreen:

J'entends une porte se fermer "délicatement", mettant tout l'immeuble au courant, du coup. Tiens ? la salle de bain. Je n'avais pas songé à cette solution, je l'avoue ! et zut, elle ferme à clé, elle ! pfff... maligne, en plus, Lola.
Bon.
Je m'approche de la porte, et tente en vain de convaincre la fuyarde de revenir dans le droit chemin. J'use de tous les stratagèmes : menaces, promesses électorales (c'est à dire sur lesquelles je reviendrai sitôt qu'elle sera sortie de son antre ), ton doucereux, faux pardon, demande d'excuses atténuées : rien n'y fait.
"NAN !"
"Bon!!, je vais aller chercher un tourneviiiis et démonter la porte!!"
"Bah va zy!! Ma foi!!
A ce moment précis, je tente en vain de démonter la porte et là, la miss ouvre la porte, m'arrache le tournevis des mains et se ré-enferme
"p'tain, elle m'a piqué le tournevis" :x
Je l'entends se marrer dans la salle de bain

Parfait

Ma salle de bain dispose d'un éclairage. Or, s'il est très simple de le mettre en marche lorsqu'on entre dans le lieu, par une simple pression du doigt sur l'interrupteur, il est particulièrement difficile de les manœuvrer de l'intérieur, pour la bonne et simple raison qu'ils sont fixés... en dehors.

Hiiiii hi hi hi hi hi hi... je pose le doigt sur l'interrupteur... CLIC ! et le noir fut.
Et réaction immédiate du phénomène :

"Ah nan, ah nan nan nan !! ça c'est pas du jeu ! t'as pas l'droit !! rallume moi ça tout d'suite !!
"NON. Ou alors tu sors, tu me présentes ET tes excuses, ET tes fesses, pour recevoir ce que tu mérites."
"Mais bébéééééé naaaaan mais atteeeeeends, j'vais t'expliquer, en fait, mais rallume steup et je te dis un truc !"
"NON. Tu sors d'abord, et tu te soumets."
"Quoi? me soumettre ? ça va pas non ? mais va t'faire mettre !"
"Parfait. C'est noté, et sera reporté sur ta punition. Je vais m'asseoir à côté de la porte, et mettre un Dvd. Bonne nuit !"
"Naaaaan ! bébéééé chéri je t'aime je t'adore tu es tout pour moi (note de l'auteur : hypocrite ! :mrgreen: ) arrête siteplé allume j'aime pas être dans le noiiiiiir"
"Ben sors. Tu seras plus dans l'noir. Mais pour allumer, c'est non."
"....................." --> silence. Puis, Lola passe à la seconde (et dernière) phase de son plan de séduction, à savoir : l'apitoiement.
"Alleeeeez... maiiis... s'il te plait... allumeeeeeuhhh... allez..."
S'ensuivent de faux pleurs, des plaintes, et j'en passe...
Je reste ferme :
"NON."
Criiic... cric cric crouic... un petit bruit, un crissement de serrure me parvient. Aaaah... elle ouvre la porte. Et elle s'ouvre, la porte, en effet. Apparait une Lola, presque minuscule, cheveux sur les yeux, avançant d'un tout petit pas, espérant sans doute par là m'apitoyer, malgré ses deux échecs précédents.
Le meilleur, c'est qu'elle sait parfaitement que ça ne fonctionnera pas, mais elle essaye quand même !
Je l'adore... bref !

Donc, Lola se meut. Avance. Se traine. Semble glisser sur le sol. Toute son attitude respire la soumission... tu parles !! j'te crois, tiens... je vois ses épaules s'agiter. Oh, pov'tite mère, elle pleure...
Pfff !! mais non, au contraire, elle est morte de rire, la bougresse !!
Aaah, mais ça ne va pas se passer comme ça, hein !!

Sans un mot, je la prends par le poignet, elle pigne, bien entendu, et traine des pieds, mais ne se rebelle pas tant que ça.
Ben tiens.
Je m'assoie sur le divan, et la place debout devant moi. Elle est belle... waaa...

"Alors, tu cesses ta comédie ?"
"Voui..."
"Tu te soumets ?"
"......."
"TU TE SOUMETS ?!!!"
"Voui..."
"Ah, tout de même !! Mets tes mains dans le dos. Baisse les yeux et présente moi tes excuses humblement."
"Pfff..."
"Comment ??"
"Non, rien..."
"J'écoute."
"Je m'excuse mon bébé, d'avoir été rebelle et méchante. Pardon mon amour que j'aime". (hypocrite en plus!! lol )
"Bon, admettons. A présent, couche toi sur mes genoux."
"Mais.."
"Pardon ?"
"Non, rien..."
Docilement, elle s'allonge sur mes genoux, vêtue seulement de sa petite jupe écossaise, et d'un petit tee shirt.
Je soulève la jupe, et regarde ses fesses, encore rouges d'une précédente fessée, administrée quelques heures auparavant. Tant pis! elle mérite, elle va recevoir.

J'ouvre le tiroir du petit meuble renfermant nos accessoires. Mouvement chez la chipie, qui s'attendait sans doute à une fessée manuelle. Eh non !
Je choisis.... voyons voiiiir.... alors... ah !! le martinet en daim. Je l'adore celui-là. Il est à la fois doux et ferme, fouette sans laisser de marques lorsqu'on a un peu l'habitude de le manier, et émet un très joli sifflement à chaque coup...

Comme je suis bon et plein de mansuétude, je commence par caresser les fesses de Lola, afin de les préparer à ce qui va suivre. Pour le moment, elle ne dit rien - chose rare- et c'est tant mieux. Je n'ai pas, ainsi, à me charger de la faire taire en plus. Mais quelque chose me dit que ça ne va pas durer !

Je cesse de chauffer ses petites lunes, place ma main sur son dos, et laisse les lanières du martinet lui lécher doucement la peau.
"Lola."
"Oui?"
"Sais tu quel instrument je vais utiliser ?"
"Oui. le fouet ?"
"Non, le MARTINET."
"Oui ben c'est pareil !"
Et allez donc, ça recommence !! l'insolence est une seconde nature chez elle...
Sans crier gare, je lève le martinet, et lui en assène plusieurs coups assez secs.
Elle gémit, et commence à pousser de pitoyables couinements. Malheureusement pour elle, je la connais, je sais très bien qu'elle fait semblant...
"Alors, qu'est cet instrument ?"
"Un martinet bébé..."
"Bien. Je vais donc t'en administrer 60 coups punitifs. Je veux t'entendre les compter. Si tu venais qu'à te tromper, je reprendrais au début. Si tu te comportes bien, si tu assumes cette punition sans broncher, avec courage, je te récompenserai ensuite par une fessée qui sera sans doute aussi punitive, mais durant laquelle tu auras le droit de jouir. Est ce bien compris ?"
"Oui bébé."
"parfait."
Je la sens prête. Chaude. Vibrante, à l'idée de cette fouettée qu'elle va recevoir.

Je lève le martinet, et... et rien. Je le laisse retomber doucement sur ses fesses. Elle sursaute (trouillarde ! :mrgreen: )

Je n'ai pas laissé le martinet remplir son office. Pourquoi ? juste pour la titiller un peu, pour que la crainte - délicieuse - de ce qui va suivre, soit encore un peu retardé. Un peu comme un orgasme qu'on retient le plus possible, afin qu'il soit plus fort encore...

Pas un mot n'a été échangé durant ce moment. L'air est rempli d'une tension sensuelle, chaude, presque palpable. Elle monte, cette tension, se propage dans nos corps, en une très agréable sensation : celle de notre union commune dans ce plaisir.
Je regarde Lola. Sa tête est posée sur le divan, légèrement tournée sur le côté droit. Je vois ses yeux s'ouvrir et se refermer, et sa poitrine se soulever au rythme de son souffle. Un immense sentiment de tendresse m'envahit soudain. Bon, ok, elle aime la fessée, Lola, comme nous tous ici d'ailleurs, mais c'est avant tout une personne vivante, que j'adore, et qui m'a fait le plus beau des cadeaux: le don d'elle-même.
Et c'est pour ça que je me dois de la fesser avec Art, délicatesse et respect, ce qui n'exclut pas la fermeté, bien au contraire !

Elle se tourne légèrement vers moi, et me gratifie d'un très joli sourire. Puis, tournant de nouveau son visage sur la droite, elle ferme les yeux. C'est le moment. Le signal. Le climat de l'attente est largement atteint.
C'est parti !!!

Finalement, je décide de me passer du martinet, et de la fesser à la main. Je pose ma dextre sur ses petites fesses, et les chauffe, les caresse et les pétris, afin de les préparer à la fessée. J'adore ce moment. Je le kiff. Ces instants précédant le châtiment attendu par tous les deux est déjà un véritable plaisir à lui seul.

Enfin, je me décide. Je lève haut ma main, l'abats d'un coup sec sur sa fesse droite, et l'y maintiens, comme scotchée. Fermeté, sensualité.
La pièce a retenti d'un bruit mat, cinglant. Lola a tressauté, s'est cambrée, et s'est laissée de nouveau aller.
Ma main droite décolle de nouveau, et je la laisse suspendue quelques secondes, avant de la laisser fondre de nouveau, sur sa fesse gauche, cette fois.
Sans crier gare, je lui administre immédiatement une dizaine de claques sonores, puissantes, à cadence lente et régulière. Ma paume est chaude, et les petits croissants de lune de ma douce partenaire se teintent d'une jolie couleur rose, uniforme.
Soupir de Lola, qui semble apprécier ce début de punition.
Et si j'allais vérifier ?
Délicatement, je glisse ma main entre ses jambes, à la recherche du fruit pas défendu. Je le sens. Chaud. Humide. Il est le lien entre Lola et moi. Me prouve mes capacités de fesseur mais aussi d'amant. D'aimant. Elle n'a pas besoin de parler. Son corps parle pour elle, de la plus belle manière qui soit.

Je passe mon doigt sur son petit mont de vénus, et commence à la masturber, d'un petit mouvement régulier. Je prends tout mon temps, car j'ai décidé de faire durer le plaisir, aujourd'hui. Je passe mon index de haut en bas, écartant ses lèvres, le rideau de son plaisir, pour mieux le lui offrir. Fermeté et douceur, encore une fois. Cocktail de nos sens qui se rejoignent, se mélangent et s'épousent. Elle laisse venir son plaisir, et mouille abondamment, à présent. Je décide de poursuivre ma petite expédition, et me dirige vers l'entrée de son petit palais. Doucement, j'en caresse les bords, comme hésitant (même pas vrai ), et je laisse enfin mon cavalier solitaire la pénétrer. Elle écarte un peu les jambes. Ce geste tout simple signifie tellement de choses, chez une femme, que ne pas en connaitre la valeur est impardonnable.
Mon doigt s'avance en elle, tournant sur lui-même, allant et venant, la fouillant jusqu'au fond de son sexe à présent dégoulinant. J'adore ce que je suis en train de faire. Je poursuis ma visite durant quelques minutes, puis ressors mon index, et m'adresse à Lola :
"Regarde..."
Elle ouvre les yeux. Des yeux de lionne. Incandescents, brasillant.
Elle sait exprimer son plaisir comme personne !!
Elle me fixe, attendant.
Je commence à lécher mon doigt, goutant l'intimité de ma féline. Je m'en délecte, en prenant soin qu'elle ne perde pas une miette de la scène.
Je laisse ma langue tourner autour de mon doigt, et me régale de la saveur de ma copine.

Lola ondule sur mes genoux. Je sens son corps monter, descendre, se glisser et se dérouler sur moi. Telle une sirène, elle m'offre une danse sensuelle, tout en continuant de se repaitre du spectacle de son domi, savourant jusqu'à la dernière goutte de son miel...

Je m'arrête. Mon doigt, encore enduit de sa saveur, est à présent sur son visage. Je passe et repasse, la caresse, fais le tour de ses lèvres, et lui dis simplement : "lèche".
Docilement, avec un plaisir évident, elle prend mon doigt en bouche, et commence à le sucer. Je sens sa langue tourner autour, sa bouche l'aspirer, le rejeter pour mieux le reprendre. Sa salive chaude coule sur son menton, puis sur le divan, mais on s'en fout royalement. Notre plaisir est si intense...
Ma main droite, elle, est toujours libre. Alors, tout en lui intimant l'ordre de continuer, je décide, enfin, de reprendre la fessée.

Je frappe, du plat de la main, son petit cul, qui se soulève en cadence, au gré des claques. Lola suit le rythme, lèche, se délecte d'être punie et de cette caresse buccale, qu'elle sait prodiguer avec une sensualité hors normes. C'est presque insupportable tant c'est agréable !
Je passe d'une fesse à l'autre, alternant les coups, rougissant ses fesses en ayant soin d'en bien couvrir toute la surface. J'augmente la cadence, et je sens que Lola passe aussi à une vitesse supérieure. Je retire mon doigt de sa bouche, et la bâillonne de ma main, mouillée de sa salive. Son front se pose sur le divan, signe qu'elle accepte d'être bâillonnée longuement... cadeau.

Je "frappe" à présent du bout des doigts, de manière à cingler ses petites rondeurs fessières plus fortement encore. Déjà bien rouges, elles commencent à virer au cramoisi. Lola ne dit plus rien. Elle danse sur mes genoux, soulève ses fesses, s'offre à la fessée, ondule comme une déesse du plaisir qu'elle est.
Je change ma façon de "frapper", et repasse en mode "pleine main". Mais, cette fois, j'applique des coups lourds, pesants, puissants et sévères.
C'est LA fessée version grand luxe. LA correction façon "Sade".

Cette fois, je ne me retiens plus. Je "frappe" de toutes ma puissance, mais sans colère. Là est l'Art de la fessée.

Je la tambourine encore depuis presque 45 minutes. Je n'ai jamais vu quelqu'un aimer la fessée à ce point là !
Le bruit des claques est si fort, que je crains que les voisins ne nous entendent. Et puis zut, z'ont qu'à faire comme nous, eux aussi...

Si mes mains sont chaudes, les fesses de Lola, elles, sont brulantes, et à présent d'un rouge vermillon tout à fait charmant et excitant.

Je sens que le moment est venu de la gronder. Elle l'a bien mérité, après tout.
"Alors, petite chipie, tu la reçois, ta correction ! c'est pour ton bien, tu le sais ! tu es bien moins fière que tout à l'heure, lorsque tu me répondais si insolemment, n'est ce pas ? bad girl !"

Elle ne dit rien, mais, encore une fois, son corps s'exprime pour elle : elle mouille tellement, que ça a traversé le tissu de mon jean...
Je sais ce qu'elle pense :
"Vas y bougre, fesse moi, vas y mon mec, fais moi jouir, "frappe moi", fais moi grimper au ciel...!"

Tout à coup, le corps de Lola se détend. Se cambre. Elle se tort, secouée par les spasmes de l'orgasme qu'elle vient de décider de libérer. Un gémissement sourd s'échappe de sa bouche, sur laquelle ma main est toujours plaquée, fermement. Elle lèche ma paume, salive, ne se gêne plus, se lâche totalement...
Lola est en train de jouir, de prendre un pied extraordinaire. Son corps se soulève de plusieurs centimètres, et retombe sur mes genoux. Son sexe est brûlant. Elle le frotte sauvagement contre moi, tandis que je lui administre les dernières claques.

Enfin, la vague se retire, et Lola, essoufflée, revient sur terre. Mes coups se font plus tendres, et finissent par mourir en de longues caresses, apaisant ses fesses presque violettes.

Lola profite du tsunami de plaisir qui vient de l'envahir. Elle se laisse aller, se détend, tout en continuant d'embrasser ma paume.

Elle se redresse, superbe et féline, plaque sa bouche contre la mienne, la frotte, m'embrasse, me donne à boire un peu de sa salive, et m'offre, à son tour, ses doigts à lécher...

Elle se laisse glisser à terre, et s'agenouille devant moi. Waaa... je sais c'qui va s'passer !
Elle déboutonne mon jean, et se saisit de mon sexe, dur comme de l'acier. Lentement, elle le prend en bouche, le suce, l'aspire, l'avale en entier, passe sa langue de haut en bas, salive dessus (elle sait que j'apprécie particulièrement la voir faire ça... ), et, descendant un peu, s'occupe du reste, tout en continuant à me masturber.
Évidemment, excité comme je l'étais depuis le début de la fessée, à ce rythme là, je n'ai pas tenu longtemps. 10, 12 minutes peut-être, je n'sais plus... toujours est il qu'au bout d'un moment, je lui ai fait comprendre que j'allais jouir.
Elle m'a juste dit : "Vas y".
Bon, je suis pas contrariant, moi, je fais c'qu'on m'dit !
Mais, au lieu de me faire venir à l'aide de sa main, elle a repris ma queue en bouche, et à recommencé à la sucer, avec une telle science du plaisir de son homme, que j'ai joui très rapidement, en elle.

Quelques instants plus tard, moi-même revenu de mon paradis intime, je lui pose LA question à la con :
"Mais, dis moi, le sperme..."
"Oui ?"
"Il est où ?"
"Ben, (éclatée de rire), ça s'avale ces choses là, mon chéri..." :lol:
il y a 9 ans

Superbe récit et superbe fin, merci
il y a 9 ans

Merci pour ce compliment, y'a du changement c'est bien Lolatichaton = Lola84 :D
il y a 8 ans

Joliment écrit, merci pour le partage :)
il y a 8 ans

Merci Lola de ce récit bien sympathique qui me semble bien coller à la chipie que j'ai eu hier au téléphone pour la certification. Je subodore qu'il y en a d'autres en réserve dans votre bibliothèque personnelle, nous caressons l'espoir de vous lire encore.
il y a 8 ans

Je me suis vu courir après ma sœur pour la latter quand elle m’embêtait quand nous étions plus jeunes en lisant ce texte.
Hahaha merci pour ce bout de passé.
En sachant quand même que la deuxième partie du texte est très sympa, même si de mon coté ça se finissait pas comme ça. xD ( et heureusement )
il y a 8 ans

Un très joli récit effectivement on s'y voit
il y a 8 ans

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