SM ultra hard à la grecque

SM ultra hard à la grecque

Laurie avait connu le BDSM avec un ami rencontré sur Fessestivites. A cause de ses sentiments affectifs très forts, il ne parvenait pas à la dominer réellement. C'est d'ailleurs souvent le cas dans des couples adeptes du BDSM. Oh ce n'est pas qu'il n'était pas attentionné et un brin pervers, non, c'est juste qu'il ne voulait pas lui faire mal ou aller trop loin dans l'humiliation. Leur vie de couple devenant « vanille » elle commença à s'ennuyer, faire des fellations sur commande ne l'amusait plus, il lui fallait quelque chose de plus fort, de plus hard que Gérard ne pouvait lui donner. Elle l'avait quitté trois mois auparavant.

Ce que Laurie voulait c'était vivre des séances comme sur les vidéos avec du fouet, du pony-girl, de vraies fessées, pas de petites claques sur les fesses avant de faire l'amour. Non ce qu'elle voulait c'était du hard, jamais Gérard ne lui avait donné ce qu'elle désirait vivre. Elle avait donc refait son annonce pour trouver Le Maître capable de l'amener vers des sommets jamais atteints. Sauf que des Maîtres il y en avait des tonnes, mais les bons étaient tous pris ou trop loin de chez elle. Et puis il y avait ceux qui se disaient Maître mais qui en fin de compte n'avaient qu'une envie : la sauter.

Elle sympathisa sur Fessestivites avec un couple adorable, ils correspondaient par email ou en chat privé. Un jour, ils partagèrent avec elle une soirée en cam privée sur le chat. Ce qu'elle vit la mit tellement en émoi que ses mains se dirigèrent naturellement vers son entrejambe. Il y avait depuis une tache sur le fauteuil de son bureau, c'est dire.....

Ce couple lui proposa de les rejoindre en Grèce où ils passaient leurs vacances chaque année dans une propriété de rêve comportant sur son terrain les ruines d'un ancien temple et une plage privée. Laurie accepta avec plaisir puis cassa sa tirelire pour s'offrir ce voyage au pays des merveilles coquines.

Lors de son arrivée, la jalousie de Lise était palpable. L'atmosphère était pesante et malgré ses efforts pour rester distante de Paul, le mari pour qu'il n'y ait pas de tension à cause d'elle, rien n'y fit.

Le soir même, Paul entrava Lise bras et jambes en croix sur la plage avec des pieux plantés dans le sable pour lui donner le fouet en l'obligeant à lécher sa minette. Assise sur une serviette elle lui offrit son intimité à lécher comme le souhaitait Paul. Aux premières loges pour cette séance de fouet et avec une langue aussi habile que celle de Lise, elle s'envola au paradis des plaisirs. La belle soumise fouettée atteignit le subespace et fut laminée par des jouissances paroxystiques très émouvantes pour les yeux de Laurie.

Le lendemain, ils discutèrent de cette séance, c'est lors de cette discussion que Laurie appris ce qu'est le subespace. Elle avait bien entendu parler de cette histoire de plaisir si intense dans la douleur que les personnes ne désirent pas que cela s'arrête. Elle n'y croyait pas trop mais là, elle venait de voir que ce n'était pas une histoire, c'était bien réel. De fait, elle leur demanda s'ils lui feraient découvrir le fouet et le subespace. A cause de la jalousie de Lise, l'ambiance devint rapidement tendue. Paul trouva la solution pour concilier les femmes : c'est Lise qui fouetterait Laurie demain dans les ruines, lui ne ferait que la vidéo de cette découverte.

....................................

Lise étant rassurée, les tensions s'apaisèrent, elles déjeunèrent toutes les deux tranquillement sur la terrasse en regardant la mer des sensations éprouvées par Lise la veille.

- Tu sais, j'ai confiance en vous, j'aimerais vraiment vivre une réelle séance de fouet et que tu me pousses jusqu'aux jouissances extrême que tu as vécues hier soir.

- De toi à moi, c'est quand même assez hard et pour arriver à jouir sous le fouet il faut quand même forcer un peu. Tu risques d'avoir de sacrées marques sur le corps pendant quelques jours. Lui répond Lise.

- Je m'en moque des marques, elles partiront et puis qui les verra ? Tu sais j'aimerai vraiment le vivre au moins une fois et si je crie stop, ne t'arrête pas, fait-moi vivre ça au moins une fois dans ma vie.

- Sache que je vais te faire mal pour de vrai surtout au début, tu ne m'en voudras pas ?

- Je t'en donne ma parole et je te l'écris si tu veux. Comment puis-je t'en vouloir si tu me donnes ce que je désire ?

- Ok comme tu voudras mais tu le répèteras à Paul quand il se lèvera car je ne voudrais pas qu'il pense que je me venge, l'addition serait trop lourde car ses punitions sont terribles.

DEUX HEURES PLUS TARD DANS LES RUINES

Laurie confirma une seconde fois à ses amis qu'elle désirait vraiment aller jusqu'au bout pendant qu'ils l'attachait debout bras et jambes écartées entre deux colonnes de pierre. Elle insista même en disant que même si elle les suppliait, ils devraient aller jusqu'au bout. En leur tenant ce discours, Laurie lutta aussi contre sa peur, elle en avait envie mais une inquiétude sourde montait petit à petit en elle.

Lorsqu'elle fut totalement entravée, pendant qu'ils installaient le caméscope sur pied, elle se traitait de folle, elle était autant inquiète qu'excitée. Lise s'approcha d'elle avec un long fouet noir à la main. Elle lui caressa le visage d'une main douce avant de l'embrasser tendrement sur la bouche.

Lise prit le recul nécessaire, lui adressa un baiser du bout des lèvres puis envoya le fouet qui s'enroula autour de la taille de Laurie avant de finir sa course sur ses fesses. Laurie bondit de douleur. « Oh putain » pensa t-elle en constatant que cela n'a aucun rapport avec les jouets BDSM de son ex. Elle se tordit de douleur sous le fouet qui s'enroulait régulièrement autour de son corps. Si quand il passait sur ses seins cela n'est pas réellement douloureux, la fin de sa course dans son dos ou sur ses fesses, c'était vraiment hard. Elle criait et se débattait mais ne demandait pas grâce, elle voulait vraiment vivre la séance jusqu'au bout. Cela en devint un défi pour elle que de connaître cette jouissance quel qu'en soit le prix à payer. Par trois fois, le fouet fini sa course sur les cuisses, et si cela était très douloureux sur le corps, la douleur sur cette zone extrêmement sensible lui paraissait insurmontable.

Paradoxalement, lorsque Lise fit une pause, elle regretta presque que cela soit terminé.

Mais ce n'était pas vraiment une pause. En fait, il vinrent la tourner pour qu'elle vive la suite qui comme l'indiqua Lise « va devenir intéressante ». Elle l'embrassa à nouveau sur la bouche et lui murmura à l'oreille : « Accroche-toi ma belle, c'est maintenant que tout va se jouer ».

Entravée bras et jambe en croix, face à la mer et à Lise, Laurie se traita mentalement de folle. Le premier coup enroulé finit sa course sur son sein gauche. Sous la douleur saisissante, elle se vrilla dans ses entraves avant de pousser un hurlement de bête que l'on égorge. Sans lui laisser le temps de se remettre, Lise continua de la fouetter sans relâche en laissant maintenant des stries rouges sur sa poitrine et son ventre plat. Au bout d'un moment, elle eut l'impression de perdre la tête, elle souffrait oui, mais cela devenait bon. Sous les coups suivants, elle se mit à convulser, son corps agité de tremblements insurmontables. Son sexe se mit à couler mais elle ne put ni le voir ni le sentir, elle était à présent dans une autre dimension.

Paul s'approcha et fit signe à Lise de lever le pied, Laurie était partie, ce n'était plus la peine d'appuyer les coups. Quand elle commença à s'effondrer, à ne tenir debout que par ses entraves, Paul intervint pour la soutenir en ordonnant à Lise de la délivrer. Il la prit sur son épaule pour aller l'étendre sur une serviette de plage ou il l'allongea avec douceur.

Tout en reprenant son souffle, elle les remercia, puis se mit à pleureur. Ses nerfs lâchaient, son corps encore agité de tremblements. Quelques minutes plus tard, Lise se glissa entre ses cuisses pour venir titiller de sa langue la perle clitoridienne cachée au cœur de son écrin. Lise poussa presque aussitôt un hurlement et serra les cuisses en repartant une nouvelle fois au paradis des plaisirs. Cela devint trop fort, trop puissant, elle repoussa son amie en criant « Stop, stop, je n'en peux plus, s'il te plaittttttttttttttttttttt ! »

EPILOGUE

Une heure plus tard, quand elle fit l'état des lieux dans la salle de bain, elle se traita de givrée, de malade mentale en voyant les marques sur son corps. Laurie ne regretta rien bien au contraire........

Ecrivaillon
il y a 10 ans

Publicité en cours de chargement