La vie d'une pauvre femme en 1525
Par TSM
Nous sommes en 1525. L’hiver a été rude, les réserves s’épuisent, pour faire manger sa famille la mère fait tirer comme elle le peut. Malgré la peine de son mari, les champs cette année n’ont pas été généreux, avoir trois filles et un seul garçon ne l’aide pas. Le seigneur désireux de suivre la mode du roi bâtisseur a fait agrandir son château pour jouer « grand genre ». S’il ne peut se séparer d’un son fils unique, le paysan rêve en secret de se débarrasser d’une de ses filles, une bouche à nourrir de moins lui faciliterait la vie.
L’occasion lui est donnée lors de la collecte de la gabelle (impôt) lorsque le receveur sans pitié pour sa misère lui demande s’il a une fille pour le château. C’est ainsi que Ysabau va être envoyée par son père comme servante. Âgée de seize printemps, il aurait pu la marier depuis longtemps au vieux Louis, veuf depuis que sa femme est morte en couche, mais n’ayant pas les moyens de fournir une dot digne de ce nom, cette solution lui est apparue comme une alternative intéressante.
Lorsqu’il la conduit au château avec la charrette, Ysabau pleure toutes les larmes de son corps car une rupture affective est toujours difficile, mais l’idée de vivre au château avec de beaux vêtements et de manger à sa faim la console un peu. Et puis qui sait, une grande brune avec une poitrine généreuse peut peut-être séduire un receveur ou mieux encore, le conservateur, personnage dont elle a entendu parler et qui semble riche.
Ses effets personnels sur l’épaule, dans un drap en guise de sac, elle est reçue par un homme bourru qui remercie le père en le congédiant sur le champ avant d’emmener Ysabau dans les sous-sols du château pour lui montrer la pièce sans fenêtre où elle va dormir avec trois autres servantes. Interrogée sur ce quelle sait faire le mieux, son idée étant de rencontrer un mari riche, elle répond qu’elle aimerait servir les repas ou la femme du seigneur qu’elle a vu une fois en promenade montant un grand cheval blanc. Elle se fait rabrouer aussitôt, on ne lui demandait pas ce qu’elle aimerait faire, mais ce qu’elle sait faire.
- Comme tu es grande, on va te mettre aux fenêtres, c’est encore là que tu seras le mieux d’après moi. Va voir la lingère à côté de la cuisine, dis lui qu’elle te donne une robe parce que fagotée comme t’es, on aurait des ennuis. Après, tu iras voir la gouvernante, elle t’expliquera pour les fenêtres.
Une heure plus tard, Ysabau vêtue d’une longue robe bleue comme neuve se dirige fièrement, du haut de ses seize printemps vers une aile du château avec chiffons, mouillettes et un escabeau de bois sous le bras. Dans la première des chambres bien plus spacieuse que la cuisine de sa maison, sa première grande surprise est la découverte d’un lit à quenouille. Un lit avec un toit ! Écrasée par tant de richesses et de confort, elle se met aussitôt au travail comme si l’ouvrage la sécurisait. En regardant les manants par la fenêtre, Ysabau savoure sa chance. Elle est bien vêtue, au chaud et mangera ce soir, quel bonheur ! Ce lit avec un toit titille sa curiosité. N’y tenant plus, elle descend de son escabeau pour aller s’y étendre et voir comment cela fait de dormir là-dedans. Un homme bien plus âgé qu’elle entre soudain et la surprend dans ses rêveries.
- Que faites-vous sur mon lit ?
- Pardon monsieur, pardon, je regardais comment cela fait de se coucher dans un lit avec un toit. Je ne le ferai plus. Répond Ysabau en se levant aussitôt.
- Vous êtes nouvelle ici, je ne vous ai jamais vue.
- Je viens d’arriver Monsieur.
- A peine arrivé vous vous prélassez ? Vous devriez avoir honte. Dit l’homme en s’approchant d’elle.
Bien plus petit qu’elle, ses yeux se portent naturellement sur sa généreuse poitrine. Les bras le long du corps, le souffle court, Ysabau blême reste immobile. Profitant de l’inconduite de la jeune servante, il s’amuse avec sa peur et tourne autour d’elle pour la détailler.
- Vous avez là une bien belle crinière, détachez vos cheveux que je les vois.
- La gouvernante m'a dit de toujours les attacher, monsieur.
- Voulez-vous que je lui parle de vos agissements ?
- Non monsieur, s’il vous plaît.
- Alors exécutez-vous sans tarder.
Ysabau, les pommettes rouges de confusion lève les bras aussitôt pour défaire ses cheveux, offrant par la même, sa plantureuse poitrine au regard gourmand et perfide du gougeât bien décidé à s’amuser un peu. Aussitôt délivrée, sa longue chevelure tombe en cascade sur les épaules. Avec un geste lent, il s’en saisit pour la rassembler au creux de sa main qu’il serre pour en faire une prise en tirant dessus. Contrainte par le mouvement, elle penche la tête et se plie un peu sans oser le moindre mouvement de révolte.
- Vous en conviendrez, une punition s’impose. Je vais de ce pas m’en charger et l’affaire sera classée. Relevez votre robe, je vais vous tanner les fesses.
- Monsieur s’il vous plaît, ne me faites pas de mal, pleurniche Ysabau.
- Si je parle de toi à la gouvernante, elle te chassera sur le champ, qu’est-ce qu’une petite fessée à côté de la faute que tu as commise ?
Tirée vers le lit par les cheveux, morte de honte, elle est bien plus écrasée par la peur d’être renvoyée et battue par son père que par le fait de prendre une fessée. Il s’assoit tranquillement et l’attire vers ses genoux. N’osant plus rien dire ni résister, elle s’étale sur lui, offrant son fessier à la punition redoutée. Ses petits doigts se crispent déjà dans l’énorme dessus de lit lorsqu’il entreprend de soulever sa robe. Coincée par le bras ferme qui la ceinture, elle prend la première claque comme un grand coup de couteau dans son nouveau vernis social. Peu pressé de corriger la jouvencelle, il commente les charmantes rondeurs qu’il va devoir rougir lui-même pour qu’elle ne soit pas renvoyée.
Après quelques fessées Ysabau commence à s’agiter car il n’y va pas de main morte, même si parfois, il lui caresse les fesses comme pour les apaiser. Quand elle sent qu’il lui baisse ses culottes, Ysabau fond en larmes mais ne se révolte pas.
- Oh,… comme votre fessier est beau quand il se crispe d'inquiétude ! Allons, tendez bien votre derrière que je vois votre petite fleur brune vibrer et palpiter sous les claques qui vous sauveront de la colère de la gouvernante.
Elle a beau pleurer et balbutier des excuses, l’homme s’occupe à claquer avec vigueur le siège naturel de sa convoitise un fort long moment sans omettre ses petites caresses « consolatrices ». Ce n’est que lorsque l’épiderme est uniformément rougi, qu’il invite la servante blessée dans son amour propre, à se relever pour poursuivre son travail pendant qu’il se repose non sans lui imposer de lui laisser ses culotte et de coincer sa robe pour qu’il apprécie le fruit de son travail.
Complètement déconcertée, Ysabau s’exécute en se hâtant à la tâche pour mettre un terme le plus rapidement possible à son humiliation.
La vie d'une pauvre femme en 1525
…………PARTIE 2……………
Le lendemain
Après une nuit agitée de cauchemars pour la fessée et de rêves tintés de troubles émotions pour les caresses, Ysabau reprend son service. Ce matin, elle doit terminer l’aile du château commencé la veille. C’est donc avec chiffons, mouillettes et son escabeau de bois sous le bras qu’elle repart après avoir savouré un grand bol de soupe bien chaude. Pendant qu’elle s’agite sur un des carreaux, elle médite aux émotions ressenties sur les genoux de l’homme qui lui a fait grande honte en claquant son baigneur. Si les claques étaient quelque peu douloureuses, les caresses quant à elle avaient éveillé cette nuit sa féminité. Pourquoi la tête chauffe-t-elle après les fesses ? Se demande Ysabau.
Une des servantes du château, passe près d’elle avec un plateau chargé de nourriture pour entrer quelques pas plus loin en une des chambres. Quelle drôle d’idée que de manger dans la chambre, ils sont bizarres ici, songe la jouvencelle. Une heure plus tard, de fenêtres en fenêtres, elle se trouve face à la porte de ladite chambre où l’on mange mais ce qu’elle y entend à travers les boiseries la surprend. La servante crie ! Est-elle fessée elle aussi, a-t-elle fait une bêtise ? Se demande Ysabau. Alors qu’elle termine le carreau du haut, la porte s’ouvre, la servante sort de la chambre et, en la voyant, baisse aussitôt les yeux comme si elle avait honte.
- Oh, une petite nouvelle ! S’écrit un homme vêtu d’une grande robe tenue fermée par une large ceinture nouée en son devant. Ne bougez pas et continuez à frotter. Dit-il en s’approchant d’elle. Vos jambes sont fort longues, elles doivent être belles.
Juchée sur la dernière marche de l’escabeau, et bras tendus au-dessus de la tête pour frotter le haut du carreau, Ysabau tire irrémédiablement sa robe ce qui a pour effet d’exposer ses genoux aux yeux gourmands de l’homme.
- Ne bouger pas de grâce, continuez simplement votre ouvrage et laissez-moi apprécier votre tenue. Dit-il en glissant sans aucune gêne la main le long de la jambe tremblante. Mais c’est qu’elle est fine, presque maigre cette gambe, je dois voir plus haut leur forme !
Sur ces mots, il soulève bien haut la robe, dévoilant les culottes blanches sans s’inquiéter de la pudeur de la jouvencelle. Puis, ni une ni deux, plonge son visage au creux de cuisse pour y humer les exhalaisons. Ysabau, blême, ne sait que faire, résister, crier, gifler, se taire ? Les pommettes rouges de confusion elle s’aventure à murmurer un « s’il vous plaît monsieur …» sans aucun effet.
- Hummm, vous sentez bon, je veux demain que cela soit vous qui m’apportiez ma pitance du matin. Vous le direz aux cuisines. Tournez-vous comme si vous regardiez dehors, il me faut à présent inspecter vos arrières. Je crois vous avoir déjà vu, n’êtes-vous point la fille du fermier du bas ?
- Oui monsieur.
- A-t-il fait bonne récolte cette année ?
- Non monsieur, les pluies ont pourri les semences et elles n’ont guère donné.
- Je dois donc en déduire qu’il ne pourra honorer la taille (impôt) comme il le doit. Vous allez pouvoir apaiser mon courroux après votre père avec votre beau joufflu, mais je vous préviens, il faudra vous donner pleinement à cette tache si vous ne voulez point que je le fasse occire par les gardes pour l’exemple.
Comprenant qu’elle a à faire au collecteur, Ysabau implore la clémence pour son père. La discussion s’oriente en négociation inégale de par la position, l’âge et l’autorité naturelle de l’homme habitué à user et abuser de la peur qu’il génère. Toujours perchée sur son escabeau, la jouvencelle apeurée se laisse masser les fesses sans oser opposer de résistance. La main se fait plus précise puis soudain, tire prestement les culottes vers le bas.
- Oh, non monsieur, s’il vous plaît. Supplie Ysabau.
- Comment ça non ? Auriez-vous le courage d’envoyer votre père au cachot ? Je ne le pense pas, vous êtes j’en suis sûr, une personne d’honneur et vous vous acquitterez pour lui en vous offrant à moi.
Sur ces mots, d’un doigt terriblement indélicat, ouvre l’entrejambe frémissant à la recherche du fourreau intime. La phalange agile s’aventure dans le jeune puits et y découvre un hymen.
- OH ! Mais que vois-je, vous êtes encore vierge. Je ne sais pas si m’offrir la primeur de votre ventre sera suffisant pour me convaincre de ne point faire enfermer votre père, mais vous aller devoir essayer séance tenante ! Clame enchanté le collecteur près à user des moyens les plus coercitifs pour dépuceler la belle enfant. Enfant vous êtes, femme vous allez devenir. Descendez de cet escabeau et venez avec moi.
La pauvre Ysabau, poussée dans la chambre, résiste mais bousculée se trouve vite poussée aux pieds d’un immense lit encore défait. Elle crie, supplie mais rien n’y fait, il tient à la coucher. Agacé de tant de résistance, il la baffe plusieurs fois à la volée puis la pousse sur la couche où elle se recroqueville. Pour ne point avoir à lutter il extrait la ceinture de la robe de chambre de ses passants puis entreprend d’en lier les poignets de la jouvencelle. A la vue de la grosse verge bandée, la jouvencelle crie et appelle aux secours mais d’autre gifles généreusement données finissent par la faire taire.
Tirée par les cheveux, Ysabau remonte sur la couche en pleurant toutes les larmes de son corps. Malgré ses suppliques désespérées, ses bras sont liés à un des piliers du lit soutenant ce qu’elle appelle un « toît ».
- Voilà une bonne chose de faite. Sachez petite insolente, qu’une servante ne se refuse point à moi, surtout quand en plus, elle a l’immense chance de pouvoir offrir son corps en guise de taille. Cela coûte fort cher au royaume, votre père a beaucoup de chance que nos chemins se croisent, n’en abusez pas et allongez les jambes que je vous dispose à ma guise.
Ysabau ne réagit plus et ferme les yeux d’horreur et de peur. Le collecteur soulève sa robe et lui arrache presque ses grosses culottes pour exposer ensuite le fruit de sa gourmandise en forçant l’ouverture des cuisses. Prostrée et en pleurs Ysabau le laisse s’étendre ses jambes sachant qu’elle ne pourra plus se dérober. A peine s’est-il étendu qu’il prend sa poitrine en main et commence à la pétrir durement à pleines mains en appréciant la fermeté des appelants.
Le collecteur, la tête plongée dans le creux de son cou, se sustente de la peau encore laiteuse et douce qu’il baise en grognant comme un cochon devant quelques détritus de cuisine. La verge s’ajuste à l’intimité vulnérable de la jeune fille haletante pour en trouver la porte. Il la nargue avec sadisme en caressant de son gland les lèvres intimes frémissantes avant de s’y enfoncer d’un trait. Le gland déchire l’hymen, Ysabau se débat, hurle sa douleur, ses jambes engagent soudain un combat sans espoir, mais en vain. Les mains crispées, le corps raidi, elle subit les premiers mouvements pendant que de ses mains il étreint ses fesses comme s’il pétrissait de la patte à pain.
- Te voilà femme, maintenant que la première douleur est passée, lève les jambes et donne-toi à mon auguste membre. Apprécie-le à sa juste valeur. Aller, donne-moi tes jambes, je vais éduquer ton con, lui faire apprécier la chose.
La jouvencelle remonte ses jambes sans s’imaginer vraiment ce qu’il va en faire. Lorsqu’il les attrape pour les remonter contre sa tête, ses yeux découvrent son ventre pris de la chose.
- Quelle horreur ! crie-t-elle.
- Comment ça « quelle horreur » ? Petite effrontée, ce que je te fais découvrir là, c’est la vie. Ta mère comme toutes les femmes aiment se faire prendre de la sorte. Savoure ce qu’il t’arrive au lieu de faire ta mijaurée, d’ici quelques temps c’est toi qui en réclamera. Dis-moi que c’est bon et remercie-moi comme il se doit en me donnant ta bouche.
Sous les assauts incessants, elle finit, malgré la souffrance et l'humiliation, par éprouver des sensations voluptueuses étranges, bouleversantes. S’il ne forçait pas sa bouche de sa grosse langue noueuse, elle feulerait presque. Ayant déjà auparavant croqué une servante, l’implacable vigueur, avec laquelle il la prend use sa résistance et la sollicite intimement. La jeunette tremble, défaille, geint sous les assauts. Parcourue d'un interminable frisson, elle ressent comme des ondes maléfiques dans son ventre et ses reins.
D’un seul coup, le collecteur se met sur la pointe des pieds, tend ses jambes et plaque son ventre contre le sien le plus qu’il ne le peut pour s’enfoncer le plus loin possible en elle en poussant de grands râles. Les genoux plaqués contre ses oreilles, Ysabau ne peut que constater qu’il fait d’abominables grimaces et se mord la lèvre du bas en secouant la tête comme pour dire « non ».
L’orage passé, il s’écroule sur elle et relâche les gambettes qui ne tardent point à retrouver les draps. Désireux de savourer l’instant, il se meut dans le ventre pollué avec lenteur. Ysabau ne pleure plus, elle n’a plus mal, cela fait juste drôle.
A suivre
TSM
il y a 10 ans
Publicité en cours de chargement
Ce site est réservé au plus de 18 ans
Ce site Internet est réservé à un public majeur et averti et est conforme à toutes les règlementations françaises en vigueur. Il contient des textes, des liens et des photos classées X qui peuvent être choquantes pour certaines sensibilités.
Je certifie sur l’honneur :
- être majeur selon la loi en vigueur dans mon pays.
- que les lois de mon état ou mon pays m'autorisent à accéder à ce site et que ce site a le droit de me transmettre de telles données.
- être informé du caractère pornographique du serveur auquel j'accède.
- je déclare n'être choqué par aucun type de sexualité et m'interdit de poursuivre la société éditrice de toute action judiciaire.
- consulter ce serveur à titre personnel sans impliquer de quelque manière que ce soit une société privée ou un organisme public.
Je m'engage sur l'honneur à :
- ne pas faire état de l'existence de ce serveur et à ne pas en diffuser le contenu à des mineurs.
- utiliser tous les moyens permettant d'empêcher l'accès de ce serveur à tout mineur.
- assumer ma responsabilité, si un mineur accède à ce serveur à cause de négligences de ma part : absence de protection de l'ordinateur personnel, absence de logiciel de censure, divulgation ou perte du mot de passe de sécurité.
- assumer ma responsabilité si une ou plusieurs de mes présentes déclarations sont inexactes.
- j’ai lu, compris et accepte sans réserve les conditions générales rédigées en français même si j’ai usage d’un traducteur automatique ou non pour accéder à ce site internet.
Toutes les images contenues dans ce site sont en accord avec la loi Française sur la pornographie (aucune image de mineur n'est présente sur ce site)