Offerte à des prisonniers dans la prison de Castres

Offerte à des prisonniers dans la prison de Castres

La prison secrète et ses détenus La prison de Castres a compté entre 50 et 70 détenus, dont ceux transférés du camp du Vernet, presque tous anciens combattants des Brigades Internationales en Espagne (BI), quelques officiers gaullistes, des officiers belges et polonais de services de renseignement alliés, des aviateurs et parachutistes anglais et américains abattus au-dessus de la France et deux femmes françaises soupçonnées d’être des agents secrets des Alliés. La prison tient en isolement total des prisonniers politiques non-condamnés, pour lesquels nul procès n’est prévu et dont la plupart devaient être livrés aux gouvernements fascistes ( allemand et italien notamment ). Les prisonniers venus du Vernet continuent à indiquer ce camp comme lieu de détention avec la mention “ baraque 21 “. Tout leur courrier passe effectivement par le camp. Ils sont strictement tenus à l´écart des prisonniers français et de ceux dits “ alliés “ et vice-versa. La prison aurait dépendu du camp de Saint-Sulpice.

Le directeur de la prison de Castre est un homme pervers, sadique, cruel, dans sa poitrine on se demande même s'il y a un coeur. Sa secrétaire se méfie de lui comme de la peste. Elle résiste psychologiquement tant bien que mal aux mains baladeuses tout comme aux actes barbares dont elle entend parler tous les jours. En ces temps si difficile, survivre est déjà bien. Pour survivre elle fait un peu de troc avec les fruits de son jardin et en offre toujours quelques uns aux prisonniers parfois affamés.

Par inadvertance, elle offre une pomme à une personne sous contrôle, pour ne pas dire maltraitance, du directeur. Lorsqu'il apprend la chose, furieux, il lui passe un savon dune rare violence verbale avec des menaces de sanction qui la terrorisent. Lucette ne sait que dire, que faire pour sortir de cette impasse. Si elle perd son travail, elle ne s'en sortira pas, alors elle le supplie en se mettant à genoux mais il reste de marbre face à ses rivières de larmes de désespoir.

- Il y a peut-être une solution pour vous tirer de ce mauvais pas ! Lui indique le directeur. J'ai un projet pour les détenus d'une cellule et vous allez y participer. Cela sera dur mais ça ou vous êtes virée.

Lucette n'a aucune idée de ce qu'il l'attend mais elle accepte la proposition du directeur en le remerciant de tout son coeur. Ce qu'elle ne peut savoir c'est qu'il est impuissant, il ne bande plus depuis des années mais cela ne l'empêche pas d'avoir des idées et envies d'une grande perversité. Son voyeurisme est très sadique, il aime voir les femmes souffrir psychologiquement ou physiquement, les deux le comblent.

- Revenez ce soir à 10 heures avec de jolis sous-vêtement sous votre tenue réglementaire, vous allez avoir la chance de faire un geste pour les services de renseignement et de garder votre poste.

Lucette, blême et affreusement inquiète franchit la porte de la prison à l'heure indiqué, les gardiens s'étonnent de la voir revenir en pleine nuit. A peine arrivée dans le bureau du directeur, il lui ordonne de lui faire voir ses sous-vêtements sans même bouger de son bureau. Pour la circonstance et ne pas décevoir, elle a mis un soutien-gorge, une culotte de dentelle et porte jarretelle assortie pour maintenir sa dernière paire de bas. Lui faire voir ses dessous la perturbe au plus haut point, elle peine a entrouvrir son uniforme et à soulever sa jupe réglementaire pour les lui dévoiler.

- C'est très bien, prenez ce verre de schémas, vous le méritez et allez en avoir besoin.

- Je ne bois jamais monsieur le directeur, je vais être saoule si je le bois.

- Vous ai-je demandé votre avis ? Hurle le directeur.

Lucette prend le verre et fait cul sec comme elle l'a vu faire. L'alcool lui brûle la langue, la gorge et l'estomac sur son passage. Elle tousse et s'étouffe un petit moment. Il lui en ressert un second et lui ordonne de le boire cul sec, Lucette n'ose refuser, elle sait qu'elle ne peut rien refuser.

- Alors je vous explique ce que vous allez faire. Je vais vous conduire dans une cellule du bloc Est, vous entrerez et ferez un show érotique aux prisonniers avant de vous offrir à eux. Ils sont trois, vous accepterez tout ce qu'ils demandent sans aucune résistance. Après vous être amusée avec eux et les avoir soulagés, vous essayez de savoir quel est leur camp contact à Toulouse, soyez fine car ils ne sont pas idiots. S'ils vous demandent pourquoi vous faites ça, pourquoi vous vous offrez à eux, vous répondrez tout simplement que c'est parce que vous aimez ça. Je serai derrière la porte, je surveillerai tout, en cas de dérapage, nous interviendrons pour vous extraire de la cellule. Retenez bien que si vous essayez de leur résister, si vous ne faites pas ce que je vous demande, vous ne reviendrez pas demain. Me suis-je bien fait comprendre ?

- Oui monsieur le directeur ! Répond Lucette rouge de honte et un peu pompette.

A leur arrivé dans l'aile Est, les gardiens ouvrent les portes, le directeur demande aux gardiens de se regrouper derrière la grille et d'attendre sans bouger qu'il les appelle si besoin. Il guide Lucette dans les couloirs sombres vers une cellule dont il ouvre la porte avant de la pousser à l'intérieur et de la refermer sur elle. L'oeil collé contre le judas, tout excité, il commence à caresser son sexe mou à travers son pantalon.

La surprise est de taille pour les détenus, ultra méfiants ils ne bougent pas et se taisent. C'est le moment fatidique pour le directeur, soit elle se décide, soit son plaisir ne sera pas et il la virera en récupérant son uniforme après l'avoir un peu giflée. Rentrer en sous-vêtement lui apprendra ce qu'il en coûte de lui résister.

Par chance pour Lucette, l'alcool fait ses effets, elle a honte mais sa tête est chaude. Debout face aux trois hommes toujours allongés sur leur couchette, elle entreprend de défaire le premier bouton de la veste de son uniforme puis de son chemisier. Ses mains tremblent, l'image du directeur la menaçant passe devant ses yeux, alors elle décide de se lancer totalement pour s'en sortir. Un à un elle retire les boutons restant en regardant les prisonniers dans les yeux avant d'écarter les deux pans de sa veste et de son chemisier, dévoilant sa poitrine généreuse aux regards de plus en plus étonnés. Quand elle entreprend de caresser ses seins par dessus le rempart de dentelle, les détenus ne peuvent résister à l'envie de sortir leur sexe et de se caresser.

Lucette descend lentement la fermeture éclair de sa jupe règlementaire, avant de la laisser choir à ses pieds et de leur apparaître en sous-vêtement. Comme mue par un instinct de survie, elle s'approche des hommes pour s'allonger sur une des couchettes, leur donnant par ce geste une indication très précise.

- Pourquoi fais-tu ça ? Demande un des prisonnier.

- Parce que j'aime ça ! Répond Lucette ayant répété cette phrase au moins vingt fois dans sa tête.

Bien qu'un peu hésitants, les hommes commencent à la toucher, à la caresser, ne sentant aucune résistance leurs mains s'aventurent sous le soutien-gorge pour palper ses merveilles. Soudain l'un d'eux lui retire sa culotte avec douceur, ou plutôt méfiance, ne rencontrant aucune résistance il plonge la tête entre ses cuisses pour se mettre à dévorer sa minette, cela fait deux ans qu'il n'en a pas vu.

Sous l'effet de l'alcool et des caresses, Lucette commence à peine à se décontracter, la langue entre ses cuisses est si agile, qu'elle lui titille déjà les sens. N'ayant pas eu de rapport sexuel depuis trois ans, depuis que son compagnon est parti au front, elle ne reste pas insensible aux caresses douces des détenus. Pourquoi elle saisit des mains les sexes bandés près, elle n'en sait rien, mais sentir leur chaleur et leur vigueur la trouble. Sa tête tourne de plus en plus, l'alcool continue ses effets pervers.

Derrière la porte, à travers le judas, le directeur a sorti son sexe toujours mou de son pantalon, il l'agite frénétiquement, cela lui fait des choses de voir sa secrétaire faire la pute pour lui et se donner aux détenus.

Le plus courageux de tous se met à genoux sur le sol dallé, ajuste sa verge au sexe mouillé de sa bouche pour la pénétrer et faire des mouvements très lents comme pour savourer la douceur de cette chatte inespérée et offerte. Un petit gémissement plaintif filtre des lèvres entrouvertes de Lucette appréciant les sublimes sensations cumulées, les caresses des mains, ces verges chaudes qu'elle branle doucement et la pénétration douce mais de plus en plus appuyée. Les effets de l'alcool et la situation la font décoller, lentement mais sûrement. Au plus elle prise, au plus elle est caressée au plus elle s'offre aux mâles.

Le fait d’être offerte à la merci des hommes qui lui font l’amour, lui déclenche de troubles sensations, en quelques minutes, sans comprendre la révolution sensorielle qui l'a submerge elle s'abandonne pour n'être plus qu'un corps à la recherche de sensations, de contacts, de virilité. Les voluptés inexplicables la conduisent dans une autre dimension, l'extase qu'elle ressent est telle qu'elle a l'impression de basculer dans un autre univers.

Les verges qu'elle attrape et suce maintenant une après l'autre avec envie et passion passent en elle, en son corps qu'elle offre bien volontiers. Une confusion indicible l'envahit soudain, elle se cambre de volupté sous la verge impitoyable la fouillant profondément avant d'être foudroyée par l’extase, les spasmes de son corps s’enchaînent. Elle geint et ses yeux clos, roule la tête en tous sens.

Derrière la porte, par le judas, le directeur parvint à faire couler quelques gouttes de liquide séminal de sa verge désespérément molle et à avoir une contraction, un miracle vient de se produire pour lui grâce à cette femme qu'il vient d'offrir comme une pute et qui vient de s'offrir sans limite aux plaisirs des amours multiples.

Après avoir éjaculé sur elle et dans sa bouche des plus accueillante, les détenus s'étendent sur leur couchette, l'un d'eux la garde dans ses bras comme pour profiter encore d'une moment de tendresse dans cet univers carcéral, si dur en temps de guerre car on ne sait pas si l'on sera encore de ce monde demain. Lucette revient doucement sur le plancher des vaches, la deuxième partie de sa mission lui revient à l'esprit, elle essaye de discuter avec eux mais leur méfiance est telle qu'ils ne lui disent pas grand chose.

Le directeur décide que cela suffit, ouvre la porte et lui demande de se vêtir puis de sortir. Le retour sur terre est des plus dur pour Lucette soudain très honteuse. Elle ne tarde point à le rejoindre dans le couloir, la porte se referme sur les détenus dont l'avenir est des plus incertain. Pendant le retour au bureau, elle marche en regardant le sol, telle une condamnée à mort.

- Je suis content de vous, vous avez été excellente, qu'êtes vous parvenue à glaner comme informations ?

Sans oser le regarder dans les yeux, elle lui répète les quelques informations glanées et, comme elles ne sont pas satisfaisante à ses yeux, il décide de lui accorder un "sursit" en clair, il garde la possibilité de jouer encore avec cette femme si désirable qu'il ne peut sauter lui même. La vie de Lucette s'annonce bien difficile car si elle est parvenue à vivre quelque chose de fabuleux malgré toute l'horreur de la situation, devant elle s’ouvre une existence bien difficile dans laquelle son corps est devenu une valeur négociable.

Ecrivaillon

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il y a 10 ans

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