La vengeance des femmes

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Si le Général de Gaulle, né le 22 novembre 1890 à Lille et mort le 9 novembre 1970 à Colombey-les-Deux-Églises a accordé le droit de vote aux femmes en 1945, c’est Golène de la Royale qui l’a retiré aux hommes en 2017. Le monde a soudain basculé dans un régime matriarcal.

Louisa est une femme modérée dans sa façon de « porter le pantalon » à la maison, mais les relations qu’elle a tissées avec le webmaster de Fessestivites ont aux yeux de son mari une très mauvaise influence sur elle. En effet, ce webmaster a su la guider sur l’achat d’une cage de chasteté sur ABCplaisir puis lui donner les trucs et astuces pour gérer son mari à travers une domination modérée hormis quelque fessées, données au paddle cela va de soi pour ne pas abîmer les mains douces et manucurées.

La soirée a mal commencé pour le pauvre Paul, il avait oublié de mettre du coca au frais, son épouse furieuse l’a convoqué au salon pour une petite explication.

- Soulève ton tablier de cuisinier et penche-toi au dessus du dossier du canapé ! Indique Louisa à son mari très inquiet à la vue du paddle qu’elle tient à la main. C’est la deuxième fois que tu oublies de mettre du coca au frais, combien y a-t-il de lettre dans le mot « oublié » ?

- Six lettres ! Répond Paul dans ses petits souliers vernis.

- Alors tu auras six coups de paddle, si cela se reproduit, cela sera douze et ainsi de suite, dit Louisa en soulevant le tablier de son mari pour mettre ses fesses à l’air, le slip lui étant interdit.

Louisa arme son bras décidé, le coup arrivant à pleine puissance sur le fessier de Paul le fait bondir de douleur. Il serre les dents pour ne pas crier car il sait qu’en cas de cri, la punition est doublée. Au quatrième coup toujours aussi appuyé, il a les larmes aux yeux car la fessée prise la veille a rendu ses fesses très « réceptives ». Les deux derniers sont encore plus fort en terme de puissance, à chaque fois il se vrille sur ses jambes mais reprend la position aussitôt pour éviter de générer un motif supplémentaire.

- Tu peux retourner en cuisine, mais n’oublie pas, la prochaine fois ce sera douze coups.

- Merci chérie ! Répond Paul furieux contre lui-même pour son oubli mais aussi avec des envies de meurtre contre la Golène de ses deux martyrisées par le ballottement de sa cage de chasteté.

…………………………………

Si le repas servi sur assiette par Paul puis la soirée télévision, avec le programme télévisé soporifique pour un homme choisi par madame se déroulent sans problème, le sourire amusé de son épouse ne lui dit rien qui vaille.

- Mon chéri, ce soir j’ai des envies, viens ici, que je te retire ta cage de chasteté.

Cette requête fait bondir Paul de joie, après quinze jours de chasteté non stop, il espère connaître le nirvana comme en d’autres temps, avant que cette sal…. de Golène ne change la face du monde en bousculant les préétablis si agréables à la gente masculine depuis des siècles.

- Prends une bouteille d’eau, tu risques d’en avoir besoin ! Lui indique Louisa après avoir ouvert le cadenas de sa cage de chasteté avant de l’envoyer se « laver le cul », une expression l’amusant follement.

Convaincu que son épouse a une très grosse envie câline, il se presse dans sa douche pour se pointer dans sa chemise de nuit avec un pic sur le devant au niveau du milieu de sa personne.

- Mon chéri, j’ai pris conscience de quelque chose aujourd’hui en lisant le post d’une copine sur le forum domination féminine de Fessestivites.

- Oui, ma chérie ? Répond Paul sentant venir une embrouille.

- C’est à propos des femmes qui faisaient ou qui font encore la fellation jusqu’au bout. Comment dites-vous déjà quand vous êtes entre vous ? Elle est bonne et en plus elle avale, elle boit le petit lait ou des trucs comme ça.

- ….

- Le comble dans ce que j’ai lu, c’est qu’il y en a qui disent que les 60 calories d’une éjaculation ne peuvent pas faire grossir et que c’est même bon pour la santé.

- ….

- Je crois me souvenir aussi, que tu m’as dit à nos débuts, que c’est un geste d’amour que de ne pas se retirer à la fin de la fellation puis d’avaler le petit lait de son mari. C’est bien cela ?

- Je ne me souviens plus ! Ment honteusement Paul.

- Nous en conviendrons, ce qui est bon pour les femmes doit aussi être bon pour les hommes et puis, comme tu m’aimes, il n’y a pas de raison que tu ne boives pas de ce petit lait d’amour. A partir de maintenant, je veux que tu en boives chaque fois que nous ferons l’amour, ces 60 calories ne se porteront pas sur ton gros ventre, tu feras juste une série d’abdo en plus le matin.

- Ce n’est pas la même chose, chérie ! Tente de négocier Paul.

- Voilà une belle réponse de macho, tu devrais être heureux d’avoir le droit de me faire l’amour ce soir puis de me prouver que tu m’aimes en allant ensuite boire ce petit lait à la source de la vie. Lèche moi bien avant pour t’exciter puis après prends-moi, j’ai envie, mais surtout, laisse-toi bien aller quand tu jouiras.

Amusée de la tête de son mari, Louisa en écartant des jambes indique de son index la direction à prendre à son mari dépité par ce qu’il vient d’entendre. Après quinze jours de cage de chasteté, l’appel de la minette à la langue de chat fait un peu oublier les propos de son épouse quant aux nouvelles règles qu’elle vient d’établir. Il se noie rapidement de bonheur dans les nymphes épanouies prêtes à être dégustées puis visitées en titillant ardemment le délicat bourgeon émergeant de son écrin. La main de la belle le guide vers le puits des plaisirs un instant pour s’assurer une bonne lubrification bio avant d’attirer délicatement son mari sur elle en le tirant par les cheveux.

Comme le désire son épouse, il pénètre en douceur maintenant en la caverne accueillante des lors qu’elle savamment préparée à la fusion des êtres plutôt qu’à une joute de lutteurs. La douceur des lieux est un pur bonheur pour Paul après quinze jours de cage de chasteté, entre le métal et la chaleur d’une intimité féminine, le Priape sent bien la différence et ne tarde point à s’extasier puis à atteindre sa plénitude. Encouragé comme un coureur du tour de France par quelques claques sur ses fesses en mouvement, Paul se lance dans le sprint final en demandant à son épouse s’il peut jouir.

- Non, on vient de commencer, pense à la petite toilette intime que tu vas devoir me faire, cela calmera peut-être tes ardeurs mon chéri. Si tu as le malheur de jouir avant moi, je t’enferme pendant un mois dans ta cage de chasteté. Alors cogite. Lui répond Louisa entre deux râles généreusement sonores.

Au bout d’un moment Paul n’y tient plus, une lutte acharnée est entreprise entre le Priape et ses neurones, par chance la belle s’envole puis le plaque contre elle de ses jambes comme pour le faire entre tout entier en elle. A deux doigt d’imploser, Paul savoure les contractions et mouvements du bassin glouton avant de reprendre ses mouvements une fois libéré des jambes de la mante religieuse dont les doigts entreprennent « d’arracher » les pauvres tétons masculins innocents. Elle sait que par la souffrance générée, elle parvient à le freiner un peu dans sa montée en plaisir mais il accélère comme un fou pour s’auto aider à passer par-dessus la douleur aigue pour cause d’ongles manucurés à longueur de journée.

Sous cette chevauchée devenue fantastique, Louisa recommence à prendre du plaisir, elle tente de freiner son cheval de course mais en vain, il se cabre d’un coup en s’enfonçant profondément en elle pour une bruyante libération dont il ne tarde point à regretter la générosité…..

Attrapé par les cheveux, Paul est prestement guidé vers le théâtre des opérations par lui chahutées, le visage plaqué par la propriétaire sur ses nymphes trempées qu’elle désire voir « par amour » dégustées. Convaincu que trois coups de langue tromperont la belle, le mari peu motivé par le « petit lait » mime plus qu’il ne savoure cette forme de gastronomie.

- Attends mon chéri, je vais t’aider ! Indique soudain Louisa en le repoussant puis en le faisant s’allonger sur le dos.

Quelques secondes plus tard, après avoir enjambé un visage crispé, elle y dépose sa minette éplorée de n’être point appréciée comme elle le devrait. Les pinces digitales viennent à la rescousse du chaton pour convaincre la langue masculine d’officier avec conviction en plantant leurs griffes acérées. Le cri poussé par Paul a l’énorme avantage de lui faire ouvrir la bouche, soudain prête à recevoir le petit lait d’amour.

- Oh que c’est bon d’être mangée après l’Amour mon chéri, je commence à comprendre certaines choses, la prochaine fois tu te raseras car dans ce sens là, cela pique plus. Mange-moi oui, mange-moi toute…..

A deux doigts de mourir étouffé, Paul s’exécute malgré son dégoût, la toilette intime d’après l’amour n’est point sa tasse de thé mais qu’y faire quand on vit dans un monde devenu matriarcal ?

………………………………

Le lendemain au petit déjeuner

- C’était divin hier soir ! Indique Louisa à son mari en refermant le cadenas sur sa cage de chasteté.

- Merci ma chérie, c’est gentil.

- Ce soir j’ai envie d’essayer autre chose.

- Ah ! Répond Paul soudain intéressé.

- Ce soir je m’occupe de ton petit cul, j’ai acheté un gode ceinture sur ABCplaisir.

- Désolé chérie mais je ne suis pas gay. Répond aussitôt Paul n’appréciant pas du tout l’idée.

- Comment ? Tu m’insultes ou quoi ?

- ……………..

- Tu n’es pas gay ok, mais ai-je une tête de mec pédé ?

- Je ne comprends pas ce que tu veux dire chérie, excuse-moi.

- Les hommes et les femmes sont identiques sur un point, leur trou du cul. Au début de notre mariage tu tenais à me prendre par là en me disant que c’était bon, alors je ne comprends pas pourquoi ce ne serait pas bon pour toi !

- Jamais !

- Penses-tu avoir le choix ? Penses-tu pouvoir être en capacité de me refuser quelque chose ? Pour m’avoir parlé sur ce ton, ce soir tu auras rendez-vous avec le paddle avant de m’offrir tes fesses et si par malheur tu cherches à me refuser ça, tu resteras chaste pendant deux mois.

- Pas ça s’il te plait ! Répond Paul, pas par derrière.

- Nous sommes identiques analement, tu m’as déjà prise par là au début de notre vie de couple, maintenant c’est mon tour, non mais !

EPILOGUE

Le forage fut plus délicat qu’en mer du Nord sous la tempête, mais fut réussi malgré les vagues de fesses rouges sur le lit où ils ont retranché membres à membre leurs joies, leurs peines et leurs passions, enfin, celle que découvrit Louisa.

Ecrivaillon
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Où acheter une cage de chasteté : [/b:3b690awy]
il y a 10 ans

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