Des mots élégants pour décrire le clitoris

Des mots élégants pour décrire le clitoris
L’idée est que chacun poste quelques exemples
il y a 10 ans

La fleur émotive au centre des pétales épanouis
La perle clitoridienne nichée au creux de son écrin
il y a 10 ans

Le bouton d'or dans un champs de délice.
il y a 10 ans

Romantique : Le bourgeon des frissons ? La fleurette des nymphes ? Le safran du bonheur ?

Classique : Le bouton d'amour ? Le pépin ou l'amande des plaisirs ?

Coquin : L'asticot de l' abricot ? La clochette encapuchonnée (ou impatiente selon...) ?

Fougueux : Le bouton du starter ? Le témoin de préchauffage ?

Gynécologique : La perle de l'huître ?

Euh... A vous maintenant...
il y a 10 ans

Compte anonymisé
Pour les gourmands :
La framboise, la praline, le berlingot, la cerise (en Québecois)

Dans un registre plus précieux :
Le rubis des plaisirs
il y a 10 ans

Le joy stick de la gamegirl
il y a 10 ans

Quand toutes ses sensations s'estompent, qu'elle se sent en sécurité, qu'elle caresse mes cheveux et dirige ma tête et le rythme sans surtout en avoir l'air. Quand son bassin vient à moi ou parfois se retire. Quand elle soulage l'irritation douce mais parfois insupportable en dirigeant mas langue dans son con humide. Plus pour se remettre que parce que c'est cela qu'elle voudrait. Rapidement remise elle me remets en place. De mon côté je sens le renflement aux limes de sa fleur, enfin, elle mouille, elle s'ouvre. Il sort, précautionneux, encore encapuchonné. Je le découvre en le découvrant de sa capuche à coups lents et tendres. Voici que je sens sa main se crisper, refuser de demander encore plus d'imposer mais ne pouvant se retenir de me donner un tempo accélérateur. C'est le moment ou pour la contrarier et pour son plaisir j'arrête un instant. Pas un moment juste un instant. Des durées qu'on ne sait préciser avec un chronometre. Je change de technique, j'aspire. Je suce. Je lui fais une pipe dirais-je. Le clitoris est enfin découvert, point rouge turgescent. Il faut être délicat, c'est le moment ou la douleur se mêle au plaisir. Et c'est en fonction de ça que graduellement, avec des pauses elle va monter. Jusqu'au moment ou il lui faudra refuser tout répit, ou elle fermera peut-être les jambes mais sera heureuse que la largeur de ma face, collée à ses lèvres l'emp^che de refuser cette quasi-douleur, cette irritation extreme qui tel un fou-rire, par définition incontrôlé la mènera à l'extase. Et moi, heureux, je boirai, je lapperai, de plus en plus doucement et tendrement son plaisir dont j'aurai l'insolence de me croire propriétaire.
Une fois de plus j'envoie sans me relire pour rester dans l'impulsivité et demande de me pardonner mes fautes de français éventuelles.
il y a 9 ans

Woufwouf c'est super on s'y croirait qu'est-ce que j'aimerai savoir écrire comme ça spontanément
il y a 9 ans

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