Chasteté et humiliation pour le fétichiste de la petite culo

Chasteté et humiliation pour le fétichiste de la petite culotte

- Putain tu fais chier j'en ai marre que tu joues avec mes culottes !

C'est par cette phrase colérique d'un romantisme de haut niveau et d'une grande politesse que Sandrine interpelle son mari sur une problématique pour elle importante. Habitué aux colères de son épouse rencontrée sur Fessestivites et qui fut sa Maîtresse pendant un temps, Paul baisse la tête et attend que cela passe en se demandant s'il est prudent de répondre.

- Que tu sois fétichiste des petites culottes je m'en tamponne le coquillard, chacun ses trips et ses délires mais que tu utilises les miennes en cachette pour te branler en t'imaginant qu'une Maîtresse te l'impose me fait chier grave. Tu le comprends ça ? Tu mets le bazar dans mes tiroirs et ce qui me met en rage, c'est qu'en plus tu oses les remettre à leur place à ta façon après les avoir portées et dégueulassées !

Paul, la tête basse prend son mal en patience car sent bien que cette crise risque de durer au moins une heure mais il est loin du compte. Folle de rage, Sandrine poursuit cet échange unilatéral en ajoutant des tonnes de reproches du type que ses RTT pourraient être utilisées à des choses plus utile comme finir la peinture de la chambre d'amis, tailler les haies, ranger le garage où un chat n'y retrouverait pas ses petits puis sur le fait qu'il la délaisse au bénéfice de ses délires et puis..; et puis.... Et encore et puis puissance deux !

- Monsieur rêve de Maîtresse, d'une femme dominatrice qui l'obligerait à se travestir, monsieur va être servi, je vais m'occuper de lui comme quand il était mon soumis et crois-moi sur parole, il va marcher droit !

Dans l'avalanche des reproches de sa femmes, Paul ne retient que cette déclaration solennelle générant en lui une grande excitation ! Sandrine le prend par l'oreille pour le conduire à la chambre comme à la grande époque de leur vie BDSM. Sentant que la chose amuse son mari, le cerveau de Sandrine monte dans les tours à la limite de la zone rouge dans les projets de recadrage et de domination de son infortuné mari affichant une moue si mal feinte, qu'elle ressemble à une grimace en solde de chez Lidl !

- A poil petit soumis, je vais m'occuper de ton cas !

"Petit soumis", cette expression en d'autres temps utilisée comble de bonheur Paul, sa femme semble réellement décidée à le dominer à nouveau. S'il savait ......

Poussé sur le lit, quand il la voit sortir de leur caisse à jouer la cage de chasteté CB6000, Paul sait qu'il va vivre des périodes d'excitations de folies et de grands moments de plaisirs dans la frustration. La cage posée et verrouillée, ne décolérant pas à propos de ses petites culottes malmenées, Sandrine décide d'en jouer et d'humilier son mari. Elle en sort une de son tiroir en lui indiquant qu'elle lui offre et qu'il va même pouvoir la porter toute la journée. Paul est un peu gêné car elle ne l'avait jamais vu en sous-vêtement féminin. Histoire de pousser un peu l'humiliation, assise à cheval sur son ventre, Sandrine s'amuse avec le petit oiseau encagé qu'elle essaie de loger dans la petite culotte.

- Tu vois bien que mes culottes sont trop petites pour toi petit soumis ! Il va vraiment falloir que je m'occupe de ta garde robe si je veux que tu ne touches plus à la mienne. Regarde même si je ne tire pas dessus tes couilles ne rentrent pas. Cela déborde ! Forcément il y a des choses en trop pour un petit mâle transformé en femme.

Constatant que ses amusements excitent son mari, Sandrine s'en amuse, elle tripote, commente et caresse avec comme but de rendre fou le propriétaire de la verge prenant de plein fouet la crise du logement.

- Mon chéri, j'ai une surprise pour toi, habille-toi et attend-moi au salon !

Paul s'exécute puis se pose mille questions quand il voit passer son épouse dans le couloir avec un sac poubelle à la main.

- J'ai coupé tout tes caleçon et slip, je n'en ai gardé qu'un, au cas où tu doives passer une visite médicale ! Lui indique Sandrine avec un sourire radieux en sortant de la chambre avec le sac poubelle à la main. Chauffeur, nous sortons, fermez la maison, nous allons faire des emplettes !

VING MINUTES PLUS TARD SUR LE MARCHE DE STRASBOURG

Ils déambulent tous les deux, main dans la main comme des amoureux entre les étalages des forains quand soudain, Sandrine se dirige vers un étal de sous-vêtements féminins spécialisé pour les personnes d'un certain âge puis se met à fouiller dans les bacs. Elle sort quelques culottes d'une autre époque, qu'elle tend à la commerçante en continuant de fouiller à la recherches d'autres sous-vêtement.

- Madame si je puis me permettre, je pense que la taille que vous choisissez est un peu grande pour vous. Puis-je vous conseiller ?

- Ces culottes ne sont pas pour moi mais pour mon mari, il est fétichiste des petites culottes alors je l'aide à trouver les modèles qui conviennent également au port d'une cage de chasteté.

Voyant la mine déconfite du mari, la commerçante comprend immédiatement que cette cliente ne fait pas de l'humour et se permet d'ajouter que si cela lui fait plaisir, il n'y a pas de mal à ça.

- Oui et non, quand il me pique les miennes et les fait craquer, c'est ennuyeux. Répond Sandrine au tac au tac

- Avez-vous pensé à lui faire porter une gaine de Playtex, cela aiderait à maintenir un peu son ventre bedonnant. J'en ai en promotion, je vais vous les faire voir !

Mort de honte, Paul n'en peut plus et s'en va mais il est aussitôt attrapé par Sandrine bien décidée à aller jusqu'au bout de l'humiliation entreprise.

- Auriez-vous des bodys qui puissent lui aller ?

- Mais bien sûr, je ne les ai pas sortis car je n'ai qu'un petit emplacement ici, je vous les attrape de suite ! Répond la commerçante ravie de tomber sur une cliente bien décidée à la dévaliser. Si vous en prenez deux, je vous offre le troisième propose la commerçante ou posant un gros carton sur l'étal.

Deux secondes plus tard, elles fouillent toutes les deux à la recherche des produits et tailles pouvant aller à "Monsieur" rêvant de pouvoir se fondre dans le bitume de la place du marché. Les emplettes faites, Sandrine confie les sacs à son soumis et règle 140 euros à la commerçante ravie.

- Attendez une minute, je vais vous faire un petit cadeau. Leur indique la commerçante.

Paul n'a qu'une envie, fuir ce marché maudis mais sa Maîtresse en a décidé autrement.

- Je pense que ce Panty femme en tulle plumeti devrait lui aller à merveille, je vous l'offre ainsi que ce serre taille que je n'arrive pas à vendre, ce sont deux petits cadeaux de la maison. Surtout n'hésitez pas à revenir le mois prochain, j'ai une nouvelle collection qui arrive, je vous ferai de bon prix.

- Dis merci à la dame ! Indique Sandrine pliée de rire à son pauvre mari écarlate !

A peine assis dans la voiture, Paul explose et se laisse aller en reproches sur ce qu'elle vient de lui faire. Sandrine reste d'un calme olympien et s'en amuse même, chose dont le petit soumis devrait se méfier. Arrivé à la maison, elle le laisse fermer le portail et décharger les paquet pour foncer dans leur chambre afin de prendre quelques accessoires pour ses projets immédiats.

- A poil petit soumis, nous avons un compte à régler.

Dépité, Paul abdique puis se laisse menotter au crochet du lustre, renforcé en d'autre temps pour les séquences BDSM qu'ils pratiquaient avec une véritable notion de plaisir.

- Je n'ai pas apprécié qu'en guise de merci tu m'agresses et me fasses des reproches dans la voiture alors que j'ai pris deux heures de mon samedi pour t'aider à réaliser tes fantasmes de féminisation. Je vais donc tester cette canne anglaise que nous avons achetée sur ABCplaisir l'année dernière, tu vas morfler pour ton impolitesse, indique Sandrine en lançant son premier coup de canne sur le fessier blanc de son mari.

Les sifflements de la canne anglaise fendant l'air permettraient aux puristes de la discipline domestique d'être convaincus que les cris de Paul ne sont pas du "cinéma de chochotte" mais de réels cris de douleur rythmés par le tintement du cadenas de la cage de chasteté. Dix minutes de valse des fesses suffisent à strier le fessier blanc puis à convaincre son propriétaire de faire profil bas en remerciant sa Maîtresse comme il se plaisait à la faire..... En d'autres temps.

Depuis ce samedi mémorable, Sandrine s'est lancée dans une sorte d’Opis Dei du BDSM. L'Opus Dei étant une prélature personnelle de l'Église catholique avait pour mission d'aider les fidèles chrétiens à chercher la sainteté ... Là, Paul appris à ses dépends à mesurer ses propos quand il s'adresse à son épouse et surtout à ne pas râler quand elle lui choisit la culotte qu'il doit porter en allant travailler à la banque.

Peut-être que le banquier qui vous harcèlera pour votre petit découvert momentané portera un body sculptant et se prendra une fessée en rentrant chez lui....

Ecrivaillon
il y a 10 ans

Morte de rire, Ecrivaillon vous avez de très bonnes idées et elles génèrent en moi des envies très perverses..... Je crois que demain nous irons au marché !
il y a 10 ans

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