Domination d’un couple ou trio charnel

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Domination d’un couple ou trio charnel





Ceci est une histoire entièrement fictive.



Un jour j’ai envoyé à un site Internet une histoire SM tout droit issue de mon imagination enfiévrée et elle fut publiée sur le site peu de temps après. Dans cette histoire je parlais d’une dominatrice qui s’occupait d’un couple, c’est elle qui leurs avait ordonné de vivre en couple afin de mieux les contrôler à distance.



Quelques temps plus tard, j’ai reçu un Email d’une dominatrice qui trouvait bien intéressante mon histoire imaginaire et elle me demandait si cela m’intéressait de me soumettre à elle à distance et si j’acceptais qu’elle puisse plus tard créer avec moi et une jeune femme un couple. Je lui ai répondu oui, après quelques discussions car le courant passait bien et la confiance semblait être là…



Quelques jours après ma réponse j’ai reçu mon contrat de soumission que je devais lui renvoyer écrit à la main et signé par la poste. Je devais y indiquer également le matériel dont je disposais, mes préférences, ainsi qu’une photo de moi en tenue de tous les jours et une en étant nu.



J’ai écrit et signé le contrat, j’ai rempli une fiche sur mes préférences et une sur le matériel que je disposais. J’ai ensuite envoyé le tout à son adresse.



J’ai reçu quelques jours plus tard une enveloppe avec des consignes et un rendez-vous. Je devais ainsi ne plus porter mes sous-vêtements masculins mais des sous-vêtements féminins que l’on irait acheter ensemble lors de notre premier rendez-vous, en attendant je devais ne porter aucun sous-vêtements. Je devais désormais uriner assis en toutes circonstances et à la maison je ne devais plus porter de vêtements masculins. Je ne devais plus non plus me masturber sans son accord, et je devais également lui fournir mon emploi du temps de façon très précise. Je devais d’ailleurs, désormais tenir un journal intime, en y inscrivant mes fantasmes, mes actions bonnes ou non ; afin que lorsqu’elle me le demande, elle puisse juger ma conduite et décider des sanctions nécessaires.



Je me suis donc rendu au rendez-vous nu sous mes vêtements. On avait rendez-vous 15 jours après la réception de sa lettre, dans une ville que je ne connaissais pas. Elle m’attendait sur le quai de la gare. Elle était chaussée de bottes à talons, d’une jupe de cuir fendue sur le côté jusqu’à la taille. Sa tenue était complétée d’un chemisier blanc transparent avec des manches bouffantes laissant apparaître un soutien-gorge noir en dentelle et pardessus le chemisier un serre taille rouge. Il faisait chaud, elle ne portait donc pas de manteau. Elle était de type slave avec des cheveux blonds ondulés coupés au carré. Quant à moi j’étais vêtu d’un jean noir et d’une chemisette noire, elle aussi. Je portais également un blouson sans manche avec mes papiers à l’intérieur.



Lorsqu’elle m'a vu, elle m'a fait signe de la rejoindre, elle m'a demandé de ne rien dire et qu'avant de la suivre en silence je devais m'agenouiller sur le trottoir pour embrasser ses chaussures. J'ai regardé vite fait à gauche et à droite, j'étais rouge tomate et mon cœur battait la chamade. Je me suis alors agenouillé et j'ai fait mes salutations à ces chaussures, je l'ai ensuite suivie avec ma valise et j’en ai profité pour admirer sa démarche gracieuse et décidée. Elle m’a emmené à sa voiture où j'ai dû déposer ma valise à l’intérieur, puis nous sommes allés à pieds en centre-ville. On a marché près d’une demi-heure puis on est rentrés dans un bar. Là on a commandé une consommation chacun et on s'est mis à discuter de tout et de rien. Au bout d’un moment elle m'a demandé de la suivre aux toilettes. A nouveau mon cœur s'est mis à battre la chamade alors que je m'exécutais.



Elle m' fait rentrer puis elle a fermé le loquet. Elle a défait mon pantalon, en m’expliquant que c’était pour vérifier si je lui avais bien obéis. Moi pendant ce temps j’étais tétanisé. Elle a pu constater que j’avais suivis ses ordres et elle m'a semblé contente. Elle a ensuite enlevée l’une de ses bottes pour retirer son bas avant de renfiler sa botte. Elle a fait de même avec son autre jambe, pendant que je tremblais de tout mon être. Elle a utilisé son premier bas pour faire un bracelet autour de mon poignet droit avec un joli flot, elle a ensuite utilisée son deuxième bas pour m’en faire une cravate et elle m'a alors dit que je devais être fier de porter ses attributs aux yeux du monde. J’étais toujours tétanisé, elle est sortie des toilettes en me laissant avec le pantalon sur les pieds, pantalon que je n’ai pas mis longtemps à renfiler avant de retourner dans la salle. Elle m’attendait à notre table comme si de rien n’était. En constatant que j’avais conservé sa « cravate » elle s'est mise à sourire (il faut dire que ses bas étaient blancs et ma chemise était noire, ce qui rendait ma « cravate » très visible). Elle m'a dit (sans doute pour me réconforter) que notre relation commençait très bien et qu’elle appréciait le fait que je sois timide mais plein de bonne volonté. Inutile de vous dire que je tremblais comme une feuille morte et que mon visage était tout rouge. Sa voix chaude, ses paroles réconfortantes et l’odeur de ma « cravate » qui enivrait mes sens, me rendaient hagard, comme dans une galaxie lointaine. C'était pour moi une situation troublante.



Elle s'est ensuite levée, m'a demandé de régler la note et elle est sortie du bar. J’ai réglé l’addition en évitant le regard du serveur et je l’ais retrouvée dehors. On est retourné à sa voiture tout en continuant notre conversation du bar. Et une fois en voiture, on est allé dans une grande surface dont je ne citerais pas le nom.



Une fois dans le magasin, elle m'a guidé directement au rayon lingerie. Là, j'ai dû lui indiquer ma taille, je le lui ais indiqué, puis elle s’est affairée dans le rayon à me choisir des sous-vêtements. Elle a fait même pour me choisir des vêtements féminins et des chaussures féminines. A la sortie du magasin, je transportais dans mes bras car les sacs plastiques n'existaient plus : différentes culottes, chemisiers, jupes, nuisettes ... Et là encore au moment de passer à la caisse, seul, j'étais rouge et gardait les yeux vers les articles. Je me demandais ce que pouvait bien penser la caissière.



Une fois à sa voiture elle m'a fait chausser les escarpins noirs achetés à l'instant, j’étais de plus en plus mal à l’aise. Après quoi elle m’a emmené à un restaurant (il était déjà près de 20 heure) et avant de sortir de la voiture elle m’a expliqué que nous allions dîner et que nous irions ensuite chez elle. En sortant de la voiture j’ai failli tomber, je me suis rattrapé de justesse à la voiture, elle est alors venue me donner un coup de mains le temps que je m’habitue, sa tendresse m’ému et renforça en moi l’envie de la satisfaire. Je me suis rapidement mis à marcher de façon suffisamment convenable pour marcher seul et on est rentré au restaurant.



Là encore, la honte était là, j'étais de nouveau rouge et gardait le regard baissé pour éviter d'avoir à affronter celui des serveurs et des autres clients. Notre table était heureusement dans un coin de la pièce, un coin très discret. C'est elle qui a commandé pour moi (que des plats que je n'aimais pas) elle m’avait commandé aussi mon dessert : un dessert glacé avec un alcool fort, afin m’a-t-elle dit de me rendre plus relâché. On a fini le repas puis on est retourné à la voiture. On est arrivé rapidement en vue de sa demeure, une jolie petite ferme restaurée au milieu d’un vaste jardin arboré. Elle m'a fait sortir, prendre ma valise et mes achats, puis elle m'a conduit chez elle. Une fois dans l’entrée, j'ai dû déposer mes affaires et enlever mon pantalon, mon blouson, ma chemise, en fait tout sauf les escarpins et les deux bas.



Elle m'a fait mettre un tablier dont le tour de cou avait été remplacé par deux pinces à fixer sur les tétons, puis elle m'a emmené à sa chambre où elle me donna des draps et l’ordre de changer son lit pendant qu’elle s’occuperait d’elle à la salle de bain. Lorsque j’ai eu terminé, je me suis agenouillé aux pieds de son lit pour l’attendre. A sa sortie de la salle de bain elle a inspecté mon travail et en a été satisfaite. Elle était vêtue d’une nuisette de satin noire, ce qui rehaussait son teint de blanche neige et m'hypnotisait. Elle m'a fait signe de la suivre et on s'est dirigés vers les achats du magasin, pour me faire enfiler une robe de nuit. Elle m’emmena ensuite à la cave, dans une pièce recouverte de carrelage blanc, avec une ampoule au plafond comme seule source de lumière. Il y avait aussi dans cette salle : un lit en fer sans matelas, un tabouret, une table et une armoire. Elle m'a fait allonger sur le lit et m’y a attaché avant de disparaître en me souhaitant une bonne nuit avec un petit sourire aux lèvres.



J’ai donc dormi attaché, vêtu d’une chemise de nuit avec au cou un de ses bas, inutile de vous dire que j’ai très mal dormi. Le lendemain matin quand elle est venue me chercher, elle était vêtue de cuir noir avec un aspect mat et velouté et avait conservé son sourire. Elle m'a demandé si j’avais bien dormi et lorsque je lui ai répondu que non, elle a souri plus franchement et m'a dit que je m’y ferais et qu’il était temps pour moi de commencer à devenir son petit toutou. Elle m'a détaché, enlevé ma robe de nuit et m'a fait mettre à genoux pour nous rendre à la cuisine où une gamelle m'attendait pour mon petit déjeuner. Dans cette gamelle se trouvait son urine toute chaude et quelques morceaux de pain dur trempés dedans. J'ai bien entendu été obligé de tout avaler sans les mains, non sans menaces. Une fois avalé, elle s'est mise à me caresser la tête comme elle l'aurait fait avec un chien. Moi j'étais aux anges. Un moment de tendresse que je ne suis pas prêt d'oublier.



Elle m'a laissé à genoux, le temps d’aller chercher un paquet duquel elle sortit un bracelet tissé de couleur noire avec en lettre rouge son nom et elle me l’attacha autour de ma cheville droite avec des nœuds et en a coupé les ficelles qui dépassaient. Ainsi je ne pourrais plus jamais l’enlever. Désormais je lui appartenais et j'en été fier. Elle m’attacha alors les mains dans le dos à l’aide du bas qui me servait de bracelet puis elle m’a emmené au salon où j'ai dû poser ma tête sur un fauteuil afin qu'elle puisse s'asseoir sur mon visage. Une fois bien installée, elle a allumé et regardé la TV. Pendant ce temps je devais la lécher à travers sa culotte, et elle m'a expliqué que je devrais faire la même chose à chaque fois que l’on serait dans la même position. Je me suis exécuté, difficilement mais pas sans un certain plaisir. A la fin de son émission, j’étais tout ankylosé, lorsqu’elle s’est levée et elle m'a mis une ceinture de chasteté puis m'a détaché les mains et m’a ordonné de nettoyer tous les sols avec ce qui était dans le placard des toilettes.



Dans ce placard, j’ai trouvé divers produits, un seau, une brosse sans manche et une serpillière. J’ai donc du nettoyer tous les sols en restant à quatre pattes. Pendant que je nettoyais, elle s’est occupée avec son ordinateur, j’ignore si elle s’occupait d’un site ou si elle naviguait, mais elle avait l’air paisible et j’en étais ravi. Après avoir nettoyé les sols, elle m’ordonna de lui préparer son repas avec la recette qu’elle avait sortie et qui se trouvait sur la table de la cuisine.



A la fin du week-end, il était temps que je rentre chez moi, elle m’a emmené en voiture à la gare. J’étais vêtu comme à mon arrivée sauf que je portais son bracelet à la cheville et des sous-vêtements féminins. Elle me tendit un lot de pages imprimées avec ordre de les recopier en rouge, à la main dans un carnet, afin que je les portes toujours sur moi. Elle m’a dit que c’était ses divins commandements que je devrais suivre sans faillir et que le carnet devait être terminé le lendemain soir et qu’elle me demanderait de lui montrer par internet. On s'est quitta et je suis allé acheter au tabac un carnet pour pouvoir commencer dans le train.



Selon ses commandements, je devais surtout :

- Ne plus jamais porter de sous-vêtements masculins sans son autorisation.

- Quand je serais seul, dormir vêtu d’une tenue féminine (nuisette, …).

- Ne plus jamais uriner debout.

- Ne plus jamais éjaculer sans son autorisation.

- Ne plus jamais regarder la tv, ni écouter la radio, ni lire le journal ou un magazine de nouvelles.

- Porter des poids à mes tétons et mes testicules durant vingt heures réparties sur la semaine durant lesquelles les poids devaient pendre librement

- Tenir un journal avec tout ce que je faisais chaque jour (heure de levé, …).

- Avoir le sexe épilé.

- Laver mes sous-vêtements féminins à la main.

- Tout les jours ou j'étais chez moi, laver avec une simple éponge: douche, WC et lavabos; le tout quand je porte les poids bien sûr.



En plus de ses commandements je devais exécuter les ordres qu’elle m’enverrait par email.



Après un an de cette relation, elle m’a annoncé qu’elle avait une surprise pour moi à notre prochaine rencontre.



Lors de notre prochaine rencontre, elle m'a présenté à une femme un peu plus âgée que moi de type asiatique. Cette jeune femme était plus grande que moi, avec de longs cheveux noirs, elle était vêtue d’une combinaison de tissu moulante à la Emma Peel. On a passé la journée à discuter, faire connaissance et établir la ligne de conduite à tenir à partir de ce jour. Elle, habitant un T3 et moi un petit studio à proximité, il a été décidé que j'habiterais chez elle et que l'on louerait mon studio. On exécuterait à tour de rôle les ordres de notre maîtresse commune et pour l’argent il fut décidé que ce qui restait une fois les dépenses inévitables payées, serait divisé en deux, la moitié pour Maîtresse et l'autre pour nous deux, deux tiers pour elle et un tiers pour moi; sur nos parts la moitié devait servir pour nous équiper selon les ordres de Maîtresse. Vu qu'on travaillait tous les deux, cela faisait une demi-paye pour Maîtresse, deux tiers d'une moitié pour ma partenaire et le reste pour moi.



A la maison, toutes les taches me reviennent sauf exceptions comme punition de ma partenaire par Maîtresse. Tous les soirs et tous les matins je devais donner du plaisir à ma camarade en me servant uniquement de ma langue le reste du temps je devais lui laisser sa ceinture de chasteté, quant à moi je n’avais le droit de me branler qu’une fois par semaine et je devais en boire mon sperme, le restant du temps je devais porter une ceinture de chasteté. Tous les week-ends je devais boire ses urines et elle non car, elle était un cran au-dessus de moi dans la hiérarchie de Maîtresse. Sinon on devait à tour de rôle être la main et les yeux de notre maîtresse. Ainsi elle pouvait mieux nous contrôler et asseoir sur nous un peu plus son pouvoir. Et surtout, tous deux nous devions garder à notre taille un de ses bas noué afin de nous rappeler en permanence, notre appartenance à notre maîtresse, en plus du bracelet d’appartenance que l’on portait tous les deux à la cheville. Quand nous étions chez nous, on devait chacun notre tour dormir attaché sur une couverture par terre. Tous les Trois mois on devait aller chez notre Maîtresse pour un week-end afin de « recadrer les choses ».



Les années passèrent ainsi, ma camarade et moi nous sommes mariés par ordre de Maîtresse et sommes partis dans les alpes nous installer dans une maison en pleine campagne, et nous continuons à vivre tous les deux pour notre maîtresse. Nous avons durant les premières années été piercés, tous les deux: les tétons, le nombril, les oreilles; nous avons été aussi tatoués de la marque de maitresse sur le côté des cuisses. Et moi j'ai eu un traitement aux hormones léger afin d'avoir des débuts de seins qu'elles se plaisent à malmener.
il y a 9 ans

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