domestique de salle de bain

Compte anonymisé
domestique de salle de bain



histoire imaginaire


J'étais l'homme objet de ma Maîtresse et j'avais une place bien à moi.

Dès que je rentrais du travail, même en l'absence de ma Maîtresse, je devais me dévêtir complétement et me rendre à la salle de bain. Salle de bain spacieuse qui comportait aussi les toilettes à moins d'un post-it comportant un contre-ordre.

Là-bas, j'avais mon coin, une couverture et ma "tenue", composée des liens que me mettra ma Maîtresse, d'un bandeau et d'une couche. De plus s'y trouvait "mon ossature".

Quand ma Maîtresse rentrait à son tour de son travail, elle venait de suite à la salle de bain et me fixait à mon ossature.

L'ossature c'est un support de bois sur lequel elle m'attache et qui me garde dans la position suivante: à genoux, dos bien droit, mains dans le dos et tête légèrement en arrière sur un reposoir.

C'est ainsi que je passais tout mon temps.

Et lorsqu'elle venait pour prendre son bain, elle déposait souvent sa culotte dans ma bouche, pour que je la pré-nettoie.

Sinon, elle se servait de moi pour parachever sa toilette intime après être allée aux toilettes.

Pour mes repas, elle m’amenait un biberon ou me mettait un entonnoir et y faisait descendre une purée.

Une fois par jour, elle me libérait et je disposais d'une heure, pour mes besoins, me laver, me dégourdir, voir la lumière, avant d'être remis à mon emplacement.

Quelques fois, de temps en temps, je n'étais pas fixé à mon ossature et je devais faire le ménage ou la cuisine, bien entendu, toujours nu.

Et en de rares occasions, soit par ma faute ou par ce qu'elle en avait besoin, elle m'attachait et me suspendais au centre du salon et je lui servais de défouloir, comme un punching-ball.
il y a 9 ans

Bonjour,

Je te propose une analyse commentée dans le cadre de l'atelier. Ceci n'est en aucun cas une critique négative mais un avis qui se veut constructif.

J'étais l'homme objet de ma Maîtresse et j'avais une place bien à moi. Dès que je rentrais du travail, même en l'absence [color=#FF0000:1l3wi1ow]de ma Maîtresse[/color:1l3wi1ow], (Répétition : même en son absence) je devais me dévêtir complétement et me rendre à la salle de bain. Salle de bain spacieuse qui comportait aussi les toilettes à moins d'un post-it comportant un contre-ordre. (Je ne comprends pas le post-it, tu devrais expliquer)

Là-bas, j'avais mon coin, une couverture et ma "tenue", composée des liens que me mettra ma Maîtresse, d'un bandeau et d'une couche. De plus [color=#FF0000:1l3wi1ow](il) [/color:1l3wi1ow]s'y trouvait "mon ossature".

Quand ma Maîtresse rentrait à son tour de son travail, elle venait de suite à la salle de bain et me fixait à mon ossature. L'ossature c'est un support de bois sur lequel elle m'attache et qui me garde dans la position suivante: à genoux, dos bien droit, mains dans le dos et tête légèrement en arrière sur un reposoir.

C'est ainsi que je passais tout mon temps. [color=#FF0000:1l3wi1ow](Ajoute une petite description du "temps" de ce qui se passe dans ta tête, de ...) [/color:1l3wi1ow]

Et lorsqu'elle venait pour prendre son bain, elle déposait souvent sa culotte dans ma bouche, pour que je la pré-nettoie. Sinon, elle se servait de moi pour parachever sa toilette intime après être allée aux toilettes.

Pour mes repas, elle m’amenait un biberon ou me mettait un entonnoir et y faisait descendre une purée.

Une fois par jour, elle me libérait et je disposais d'une heure, pour mes besoins, me laver, me dégourdir, voir la lumière, avant d'être remis à mon emplacement.

Quelques fois, de temps en temps, je n'étais pas fixé à mon ossature et je devais faire le ménage ou la cuisine, bien entendu, toujours nu.

Et [color=#FF0000:1l3wi1ow] Pourquoi le "et" il sert à rien[/color:1l3wi1ow]en de rares occasions, soit par ma faute ou par ce qu'elle en avait besoin, elle m'attachait et me suspendais au centre du salon et [color=#FF0000:1l3wi1ow]où à la place de et[/color:1l3wi1ow]je lui servais de défouloir, comme un punching-ball.

MON AVIS (il est plus facile de voir les choses sur le texte d'une autre personne)

Ton texte manque de description sur l'environnement, les sensations et les pensées.
Un petit mot sur la Maîtresse serait bien. Elle est comment, grande, brune, rousse, .... ?

Là les choses tombent cash, elles sont énumérées sans commentaire, c'est dommage car ton texte peut être développé sur de multiples points et donner des envies de vivre les "choses" ou de le faire vivre.
il y a 9 ans

Compte anonymisé
Très pertinent, c'est là qu'on voit mon niveau de français ^^
J'ai toujours eu du mal avec certaines nuances.
Mais à vous lire, je trouve ça évident, j'aimerais penser et écrire ainsi.

Faudra que je revienne plus tard.
Ces temps-ci pas trop le cœur à l'écriture et pas trop le temps non plus.

En tout cas je vous remercie beaucoup pour cette analyse très pertinente.
il y a 9 ans

Bonjour,
Tu sais MN, ton histoire est déjà captivante car beaucoup de personne n'ont aucune imagination ... :D
il y a 9 ans

Compte anonymisé
Une petite remarque supplémentaire par rapport à ce qui a déjà été écrit.
Il y a un petit souci de cohérence dans l'histoire. Ainsi :
"Dès que je rentrais du travail"
....
"Une fois par jour, elle me libérait et je disposais d'une heure, pour mes besoins, me laver, me dégourdir, voir la lumière, avant d'être remis à mon emplacement...."

Si on est logique, elle devait le faire au moins deux fois par jour. Le matin avant d'aller travailler et le soir pour les divers amusements."
De plus, est-ce un travail de nuit pour ne jamais voir la lumière du jour ?
il y a 9 ans

Compte anonymisé
Oui bien vu, la formulation est incorrecte, j'aurais du m'en rendre compte :s

Faudra que je la réécrive quand je pourrais.

Merci pour vos remarques.
il y a 9 ans

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