Recherche Pro-Fesseur de physique

Recherche Pro-Fesseur de physique

Cela faisait plus d'un an maintenant que Puce était comblée. A 20 ans, elle avait rencontré Pater sur Fessestivites, un monsieur de 49 ans, marié à sa soumise, qui l'avait prise sous son aile. Pour Puce c'était l'assurance qu'il ne chercherait pas à aller plus loin que la fessée, il était déjà comblé. Pendant un an, il lui avait inculqué les règles de savoir vivre qui lui semblaient nécessaires, la recadrant sévèrement lorsqu'elle outrepassait les limites. Puce avait un fesseur formidable qu'elle aimait énormément, il était à la fois l'ami et le père qu'elle n'avait jamais eu et il le lui rendait bien, la surprotégeant et l'accompagnant dans sa jeune vie d'adulte.

Mais il y avait bien un domaine dans lequel Pater n'arrivait décidément pas à cadrer sa jeune amie : ses études. Puce venait de rater son année de fac. Tout au long de l'année, il avait écouté ses excuses pour ne pas faire son travail. Elle n'y arrivait pas, elle l'avait déjà fait l'année d'avant... Il avait été laxiste, il s'en rendait compte avec le recul. Mais à présent Puce était inconsolable et désespérée. Elle prenait conscience de l'énormité de ses lacunes en physique et ne savait plus comment rattraper la chose. Son fesseur eut beau gronder, la punir ne lui permettrait pas de rattraper les bases qui lui manquaient.

Pater lui suggéra de trouver un professeur particulier. Mais voilà, Puce avait un souci avec l'autorité et un professeur classique ne serait pas forcément une bonne chose pour elle, qui risquait de jeter son argent par les fenêtres. Et Pater ne pouvait décemment pas être là pendant les cours pour lui administrer des fessées lorsqu'elle travaillerait mal, la coquine était capable de les rechercher, et leur amitié était si forte que la petite risquait d'être déstabilisée s'il la punissait, et rechercher son pardon plutôt que se concentrer sur son travail. Il lui faudrait donc un Pro-Fesseur avec lequel elle n'ait pas la relation affective qu'ils partageaient, capable à la fois de lui faire travailler ses cours ET de la cadrer sévèrement pour qu'elle travaille efficacement. La sélection serait rude.

Pater décida de poster une annonce sur Fessestivites. Il précisa certains points pour éloigner les fantasmeurs :

- Les punitions doivent être réelles, pas de fessée plaisir

- Réels cours demandés par professeur qualifié. Ce n'est pas un jeu de rôle.

- Punitions scolaires uniquement. Fessée, mise au coin, à genoux sur une règle, lignes à copier.

- Un compte-rendu doit être fait à la fin du cours par le Pro-Fesseur, afin que Pater puisse sévir si la jeune fille s'est mal comportée.

De multiples réponses furent apportées à cette annonce. La plupart finirent à la poubelle sans que Pater ne se donne la peine de répondre (NON, il ne cherchait pas quelqu'un pour baiser sa soumise, et d'abord elle n'était pas sa soumise. NON, Puce ne portait pas de couches. NON, la mettre nue pour la pénétrer sauvagement ne faisait pas partie des punitions "scolaires"). Enfin, une annonce sortit du lot. Un ingénieur ayant un bon niveau en physique, Cop, se proposa d'intervenir une fois par semaine, le week-end, lorsque Puce était chez Pater. Ils s'isoleraient pour étudier et à la fin du cours, ils iraient prendre un café avec Pater et discuter des progrès de la petite. Après de nombreuses discussions, par téléphone, sur le tchat et par mail, entre Pater, Puce et Cop, un rendez-vous fut fixé au week-end suivant.

Puce était à la fois impatiente et inquiète. Elle savait que Pater ne plaisantait pas et qu'il n'aimait pas passer pour un fesseur laxiste. Si elle ne se tenait pas bien avec son Pro-Fesseur, elle savait qu'elle aurait une punition exemplaire, en plus de celles que son Pro-Fesseur aurait pu lui donner. La semaine passa à la fois trop lentement et trop vite. Enfin, le week-end arriva.

Son samedi matin se passa comme à chaque fois que Puce venait chez son fesseur. Elle se leva alla embrasser la feme de son fesseur et fit un gros câlin à Pater, puis alla prendre son petit déjeuner.

- J'espère que tu as bien préparé tes cours pour les montrer à Cop ? Demanda Pater.

Puce rougit et se dépêcha d'aller faire du tri dans ses cours en bazar. Mais trop tard. Cop venait d'arriver. Puce fut appelée dans la cuisine et dut laisser ses cours en plan sur le bureau. Elle entra, et découvrit son nouveau Pro-Fesseur. Il était plus jeune que Pater, les cheveux bruns, tout comme ses yeux, et avait une carrure assez impressionnante. Il inspirait le respect. Un peu impressionnée, Puce restait dans son coin, sans oser participer à la conversation.

- Bien, je vais vous laisser, vous irez vous installer dans la chambre de Puce pendant que je travaille de mon côté, dit Pater.

Puce tremblait presque. Cop le remarqua et lui adressa un sourire.

- Ne t'en fais pas, si tu es assidue, je n'aurai pas à sévir.

C'était bien cela qui inquiétait Puce.

Elle le précéda dans sa chambre, et se souvint brusquement qu'elle n'avait pas rangé ses cours en voyant l'amoncellement de papiers sur son bureau. Cop fronça les sourcils.

- J'espère que tu as préparé tes cours, comme demandé ?

- Eh bien... commença Puce. Ils sont là...

Elle désigna la pile de feuilles mélangées face à eux. Cop se raidit.

- Je t'ai demandé une chose. Me préparer tes cours afin que nous puissions tout de suite passer aux choses sérieuses. Ton fesseur avait bien raison en faisant appel à mes services. Tu as deux minutes montre en main pour ranger et me présenter tes cours.

Puce fit de son mieux, s'affairant le plus vite possible, mais les deux minutes furent néanmoins dépassées. Elle finit par apporter le résultat de ses recherches à Cop, c'est à dire deux malheureux polycopiés froissés.

- Qu'est-ce que c'est que ça ?

- Les seuls cours que j'ai retrouvés...

- Où sont les autres ?

- Je ne les ai jamais eus...

- Et pourquoi ça ?

- Parce que j'ai séché les cours.

C'en était trop pour la patience du Pro-Fesseur qui attrapa la jeune fille et la guida jusqu'au lit. Là, il la coucha en travers de ses genoux et lui claqua sèchement les cuisses. Surprise, la jeune fille qui s'attendait à se faire claquer les fesses gémit.

- Que croyais-tu ? Tu es habituée à la fessée. Ton fesseur m'a dit "punitions réelles". Eh bien voila. Maintenant tu sais ce qu'est une punition réelle pour moi.

Il la releva, et Puce se frotta vigoureusement les cuisses endolories, bien qu'il ne lui ait pas baissé le pantalon, cette zone était décidément bien sensible.

- Nous allons faire le point sur le programme de ton cours. Je suppose que tu peux trouver cela sur le site internet de ta fac ?

La petite Puce s'empressa d'obéir, et trouva le programme de cours de physique.

- Eh bien, ce n'est pas bien compliqué. Nous allons commencer par voir les pré-requis.

Cop ouvrit le sac qu'il avait apporté avec lui. Ouvrant de grands yeux, Puce aperçut à l'intérieur une règle carrée en bois et quelque chose qui ressemblit à un martinet. Elle frissonna, ce qui fut de courte durée quand elle vit que Cop avait sorti un gros livre de Terminale. Elle ricanna.

- J'ai eu mon bac, je n'ai pas besoin de revoir ça.

- Ah vraiment ? Alors comment expliques-tu qu'une élève brillante comme toi ait décroché à la fac, malgré ses connaissances ?

- Le prof était nul.

Ce fut au tour de Cop de ricanner.

La mise en situation terminée, Puce s'assit au bureau et se mit au travail. Ses souvenirs de lycée étaient lointains, et elle ronchonna, commençant à faire sa mauvaise tête. Cop restait calme, la poussant à ne pas abandonner et à faire les exercices, mais il dut se rendre à l'évidence, elle avait presque tout oublié.

- Bon ! Nous allons nous arrêter là, et tu vas lire et faire un résumé de la leçon associée.

- Du cours de Terminale ? Et puis quoi encore ! Je ne vous ai pas embauché pour me faire perdre mon temps !

Ce coup d'éclat agaça profondément Cop qui décida qu'il était temps d'employer les grands moyens. Il baissa d'un coup sec le pantalon de la jeune fille qui essaya tant bien que mal de l'en empêcher, mais elle comprit vite qu'elle avait outrepassé les limites. Sa culotte suivit et elle sentit le rouge lui monter aux joues. Dire qu'elle avait promis à Pater de bien travailler... La culpabilité l'envahit à la pensée de son fesseur. Mais il était trop tard. Elle fut projetée en travers des genoux de Cop pour la deuxième fois de la journée et déjà sa main lourde s'abattait sur ses rondeurs. Cop la fessa longuement, coinçant sa main qui tentait de protéger ses fesses dans le creux de son dos, puis bloquant ses jambes qui s'agitaient follement sous sa jambe droite. La respiration de Puce finit par changer et il comprit qu'elle sanglotait. Il changea alors de tactique et claqua les cuisses, trois fois la gauche, puis trois fois la droite. Puce s'afaissa, et il sut qu'elle avait compris la leçon. Il attendit quelques secondes, puis la releva et l'emmena au coin.

- Tu vas rester ici dix minutes, à réfléchir au temps que tu perds au lieu d'essayer de rattraper ton retard, puis tu feras ce que je t'ai demandé.

- Ou...ui..

- Oui qui ?

- Oui monsieur, balbutia Puce, défaite.

La fin du cours fut tout à fait calme et productive. Puce se concentra au maximum, et se rendit compte qu'en effet, elle avait besoin de revoir ses anciens cours de Terminale. A la fin du cours, Cop lui donna comme travail à faire de reprendre à présent le premier cours de première année de fac et de faire un résumé ainsi que les premiers exercices. Ils corrigeraient cela ensemble lorsqu'ils se reverraient.

Le compte-rendu de la séance était particulièrement redouté par Puce. Mais à sa grande surprise, Cop assura Pater que la jeune fille avait bien travaillé et qu'il serait ravi de revenir la semaine suivante. Pater regarda sa protégée suspicieusement, mais celle-ci ne mouftait pas. Ils prirent un café, Puce resta debout, toujours silencieuse, ce qui ne lui ressemblait décidément pas. Lorsque son Pro-Fesseur partit, elle le remercia de son silence dans le creux de l'oreille et lui fit la bise.

Une fois la porte fermée, Pater lui donna une petite claque sur les fesses. Réactions immédiate de Puce.

- Aïe !

- C'est bien ce qui me semblait ! Tu n'as pas été aussi sage qu'il l'a affirmé, n'est-ce pas ?

En réalité, en fesseur protecteur, il était resté à proximité de la chambre pendant le début de la séance, et n'avait donc rien manqué de ce qu'il s'était passé.

-Non monsieur... chuchotta la jeune fille.

Pater l'entraîna dans le salon où il avait préparé un instrument que la petite Puce n'aimait pas du tout.

-Non, pas le paddle, s'il vous plait !

- Il fallait y penser avant.

Et il lui baissa son pantalon et sa culotte, en profita pour vérifier que Cop ne l'avait pas "démontée", puis lui claqua sèchement le fessier, deux fois. La jeune fille finit en larmes, le paddle étant un instrument très dur, et se jeta dans les bras de son fesseur pour un câlin de pardon qu'il lui accorda bien volontiers.

Après deux mois de cours particuliers, Puce fut tout à fait capable de recommencer une année d'études dans de bonnes conditions. Pater en était ravi, très fier de sa jeune protégée. Cop et eux restèrent bons amis, et il leur affirma être à leur disposition si jamais Puce avait encore des difficultés... Mais l'histoire raconte qu'elle réussit son année avec mention.

FIN

Ecrivaillon
il y a 9 ans

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