Grande blonde très coquine

Grande blonde, elle avait une poitrine généreuse et portait souvent des corsages très décolletés. Elle n'était pas grosse, mais elle avait une poitrine très volumineuse et des fesses larges et dodues. Je dormais dans une dépendance à deux pas du bâtiment d'habitation, avec tout le confort, toilettes et salles de bains, un petit appartement.

Dans la journée, Sandrine venait souvent me voir pour discuter ou fumer une clope lorsque nous en avions le temps. Je ne me gênais pas pour mater ses gros seins à la peau brunie par le soleil et elle ne s'en offusquait pas. Il m'arriva même, passant derrière elle, de poser une main sur son fessier rebondi sans déclencher d'autre réaction qu'un rire et une moue faussement choquée. Un soir, après le repas, je partis prendre une douche avant de me coucher et je proposai discrètement à Sandrine de me rejoindre un quart d'heure plus tard.

_ Je prends ma douche et j'arrive, promit-elle.

Une demie heure plus tard, elle venait taper à la porte de mon studio. Je sortais juste de la douche et ne portais qu'un vieux short qui faisait office de tenue d'intérieur ou de pyjama. Sandrine avait revêtu une robe largement décolletée, comme à son habitude, sauf que celle ci était d'un tissu léger et que je voyais bien que ses seins étaient nus en dessous. Je pouvais discerner les bouts de ses gros nichons tendre le tissu et, par le décolleté, je découvrais la moitié de leur volume.

Je la fis entrer et pris une cigarette dans le paquet qu'elle me tendit. Je lui tendis à mon tour mon briquet allumé et, comme elle se penchait pour allumer sa clope, je pus mater ses seins nus sous sa robe. Sandrine vit mon regard et me traita de gros cochon.

_ Dis donc, lui répliquai-je, je ne fais que voir ce que tu me montres, c'est tout. Et tu remarqueras que je ne me suis pas plaint

J'accompagnai ma remarque d'un sourire amical.

_ Ils te plaisent, mes seins? Demanda Sandrine avec un sourire timide.
_ Euh, fis-je, pour ce que j'en vois, oui, mais je ne peux pas vraiment en juger puisque je n'en ai vu qu'une partie. Tu veux bien me les montrer en entier?

Sandrine me regarda avec étonnement et je m'attendais à ce qu'elle m'envoie balader, mais au lieu de cela, elle posa sa cigarette sur le cendrier et dégagea ses épaules du haut de sa robe pour me montrer ses seins. Ils étaient vraiment gros et pourtant ils semblaient fermes. Leurs bouts étaient rose foncé et pointaient vers moi, paraissant gonflés.

_ Et là, fit-elle, ils te plaisent?
_ Oui, fis-je, ils sont jolis. Ça t'excite, demandai-je, de me montrer tes seins? Tes tétons sont tout gonflés.

Sandrine passa ses mains sur ses seins, les faisant remonter en les caressant.

_ Oui, dit-elle d'une petite voix, j'aime bien quand tu les regardes Tu as envie de les toucher?
J'étais assis sur mon lit et je pliai les genoux pour lui faire une place sur le lit.
_ Viens là, lui dis-je, on sera mieux.
Sandrine, sans refermer sa robe, vint s'asseoir en face de moi. Je tendis les mains et empaumai ses gros seins, les malaxant délicatement. Elle fermait les yeux, me laissant tripoter ses nichons à ma guise. Je pris les bouts entre deux doigts et les pinçai pas trop fort, mais assez pour lui arracher un gémissement.

_ Je t'ai fait mal? Demandai-je.
_ Non, me rassura-t-elle, au contraire, c'est vachement bon. Ils te plaisent, ou pas?
_ Oui, je te dis, ils sont très beaux. Et toi, lui demandai-je, ils te plaisent?
_ Euh, hésita-t-elle, je les trouve un peu trop gros. Mais sinon, continua-t-elle, j'aime bien m'en servir.
_ T'en servir comment? demandai-je étonné.
_ Comme ça, regarde, dit-elle en mettant ses mains sous ses seins et en les remontant jusqu'à amener les pointes à portée de sa bouche. Elle se mit ensuite à les lécher. Ses tétons étaient devenus gros comme une phalange d'auriculaire et elle se régalait à les sucer également. Ma queue, dans mon short s'était mise à gonfler et elle regarda la bosse que faisait mon noeud tendu.

_ Ça te fait bander? Demanda-t-elle.
Je baissai les yeux sur mon bas ventre.
_ Ben oui, fis-je. Et toi, tu ne mouilles pas, peut-être?

Je vis les joues de Sandrine s'empourprer et elle n'eut pas besoin de répondre pour que je comprenne que j'avais bien deviné. Je décidai donc d'insister.

_ Hein, dis, tu mouilles ou pas?
_ Ben oui, je mouille, c'est normal, dit-elle comme si elle était énervée, tu me fais te montrer mes seins, tu me les caresses, tu me les fais sucer et tu ne voudrais pas que j'aie envie de plus?
_ Attends, Sandrine, lui dis-je, ça ne me dérange pas que tu mouilles ta culotte, si tu en as une, mais ne me le reproche pas, c'est toi qui es venue me voir ici
_ Bien sûr que j'ai une culotte!S'exclama-t-elle en négligeant le reste de ma phrase.
_ Fais voir!

Sans plus de manière, elle releva sa robe et me montra la petite culotte blanche qu'elle portait en dessous. Le tissus épousait étroitement les lèvres de son sexe et ma queue se mit à gonfler encore plus. Je m'étais appuyé contre la tête de mon lit et ma ... faisait une bosse complètement indiscrète que Sandrine regardait souvent. J'eus envie d'une cigarette, mais le paquet était resté sur la table où l'avait posé Sandrine. Je me levai donc, arborant mon érection très fièrement et allai le chercher. Comme je revenais sur le lit, Sandrine m'arrêta du geste.

_ Dis donc, tu bandes fort, fit-elle en désignant ma queue qui tendait le tissu de mon vieux short. Tu me la montres, s'il te plaît?
Je m'approchai d'elle, debout à côté du lit sur lequel elle était assise, la poitrine toujours à l'air et je la regardai dans les yeux.
_ Regarde toi-même, dis-je en tendant mon bassin.

Sandrine tendit la main et tira sur la ceinture de mon short qu'elle glissa sous mes testicules gonflés pour l'empêcher de remonter. Ma ... se tendait fièrement vers le ciel et Sandrine se passa la langue sur les lèvres pour les humidifier car elle devait avoir la bouche sèche.

_ Tu veux toucher? Lui demandai-je.
Sandrine me sourit et tendit la main vers ma ... mais je reculai pour mettre hors de portée.

_ Mais à une condition, lui dis-je.

Elle leva les yeux vers moi et attendit, la main toujours tendue.
_ Mets-toi toute nue, lui demandai-je.

Sandrine eut l'air surpris, mais elle passa ses mains dans son dos pour dégrafer sa robe et elle se leva pour la retirer complètement. Elle ne portait plus que son slip et je le lui fis remarquer.

_ Allez, ton slip aussi!

Toujours silencieuse, elle baissa son slip et me montra la toison blonde qui couvrait son pubis et les lèvres de son sexe. Ceux ci étaient mouillés, d'ailleurs, et brillaient dans la lumière de ma lampe de chevet. Je fis un pas pour me rapprocher d'elle et elle put toucher ma ... qui frémit au contact de sa main chaude. Elle se rapprocha du bord du lit et se trouva très près de moi. J'avais ma ... à la hauteur de sa poitrine et cela me donna des idées

_ Tu veux bien la mettre entre tes seins?

Sandrine sourit et approcha son buste vers moi. Je collai ma ... entre ses nichons et je les pressai l'un contre l'autre. La chaleur de ses seins se communiqua à ma queue dont le gland émergeait à peine de leur masse ferme. Je donnai deux ou trois coups de reins, faisant coulisser mon membre tendu entre les seins pressés sur ma queue. Mais je préférai me retirer pour ne pas risquer de jouir ainsi. Pas encore. Sandrine eut l'air déçu, mais je la poussai en appuyant sur ses épaules pour la faire s'allonger sur le lit. Elle comprit et ouvrit en même temps les cuisses sur sa chatte débordante de mouille.

_ Oui, murmura-t-elle à voix basse et rauque, viens me mettre ta grosse queue, viens, mon chéri.

Je poussai ma ... entre les lèvres humides de son sexe et je sentis mon nud pénétrer les chairs chaudes et trempées. Sandrine se mit à gémir et écarta encore ses jambes pour les passer autour de ma taille. Lorsque je fus bien enfoncé dans sa chatte, je me mis à faire coulisser ma queue à coups de reins amples et puissants. Sandrine gémit plus fort et se mit à onduler du bassin à mon rythme. Je m'appliquai à bien frotter mon pubis contre son clitoris et Sandrine gémissait fortement, poussant de petits cris lorsque, poussant plus fort, mon gland heurtait le fond de sa chatte.

Je regardai ses seins qui roulaient sur sa poitrine au rythme de nos mouvements. Les bouts étaient gonflés et tendus et même les aréoles étaient gonflées. Elle se contracta soudain, poussant un cri plus fort et son buste se souleva du lit. Elle colla sa bouche à la mienne et sa langue fouilla ma bouche comme elle atteignait l'orgasme. Elle retomba ensuite mollement sur le lit, poussant un profond soupir.

Je me retirai et je la retournai sur le ventre. Je me mis à caresser ses fesses larges et fermes et, reprenant ses esprits, elle s'installa à quatre pattes, m'offrant son large postérieur. Je pointai ma queue sur sa chatte et je la pris en levrette, lui poussant ma ... au plus profond de sa chatte ruisselante. Je voyais ma queue coulisser entre les lèvres de sa chatte et je posai mes mains sur ses fesses que j'écartelai largement. Elle ne fut pas longue à jouir et je réussis à me retenir car j'avais envie de jouir sur ses gros nichons qui me faisaient envie depuis un moment.

_ J'ai envie de jouir sur tes seins, lui dis-je en collant ma bouche à son oreille, tu veux bien?

Pour toute réponse, Sandrine se tourna et s'allongea sur le dos.

_ Viens sur moi, dit-elle.

Je l'enjambai et disposai ma queue entre ses nichons énormes. Elle les pressa elle même l'un contre l'autre et je me mis à faire coulisser ma ... au milieu de la masse de sa poitrine.
Sandrine ouvrit la bouche et, lorsque mon gland émergeait de ses nichons, elle le léchait avidement, m'envoyant des ondes de plaisir jusque dans les reins. Je ne fus pas long à sentir le plaisir arriver.

_ Ah, fis-je en gémissant, je vais jouir, Sandrine
_ Oui, m'encouragea-t-elle, vas-y, viens, envoie moi ton foutre sur les nichons, jouis-moi dessus, viens!

Je me laissai aller et le premier jet partit en m'arrachant un râle de plaisir. Il alla s'écraser sur le visage de la blonde, qui en cria de surprise. Elle se lécha aussitôt les lèvres et avala mon foutre tandis que les autres jets zébraient sa poitrine et allaient s'écraser sous son menton. Je lui en avais vraiment mis partout et elle étala mon sperme à pleines mains sur ses seins et son ventre.

Je lui proposai d'aller prendre une douche, mais elle préféra se contenter de quelques mouchoir en papier avant de se rhabiller et de partir se coucher dans sa chambre. Depuis ce soir là, elle vint souvent me voir quand je gardais les brebis et nous finissions généralement par une partie de jambes en l'air.

Ce qu'elle préférait, c'était que je la baise debout contre un arbre, en levrette, me contentant juste de retrousser sa robe et de baisser son slip qu'elle remontait ensuite pour éviter que mon sperme ne lui dégouline le long des jambes. Ou bien, elle me suçait à fond et avalait goulûment mon sperme chaud sans en perdre la moindre goutte.
il y a 9 ans

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