Le plaisir uro, le plaisir pipi !

Le plaisir uro, le plaisir pipi !

Serge en parle si bien que je vous livre une copie de son texte.

Sujet sensible et tabou dans notre société, n’est-ce pas ?

Et bien tant pis ! Puisque cette pratique sexuelle existe, je vais quand même vous en parler au risque d’être qualifié de déviant ou de pervers, ce qui ne m’émeut absolument pas ! Je comprends parfaitement que l’on puisse être en désaccord avec moi mais je rappelle ici que nul ne doit se sentir obligé de me lire.

Je suis très attaché à la liberté de penser, à la liberté d’expression, et je suis un farouche opposant à la pensée unique, que certains veulent nous imposer. J’en ai terminé avec ce petit préambule qu’il m’a paru nécessaire de rédiger devant la nature du sujet que je vais aborder maintenant.

L’urophilie, le plaisir pipi, mais qu’est-ce donc ?

En résumé c’est un jeu, une pratique sexuelle amenant chez celles et ceux qui s’y adonnent une très forte excitation libidinale à la vue du sexe de l’autre et de l’urine qui s’en échappe.

L’uro pour beaucoup d’adeptes, dont moi, est un fantasme enfin réalisé et d’une manière générale il est très rare que l’un ou l’une des deux partenaires sexuels refuse de s’y associer si l’autre le lui demande.
Il ou elle y prendra rapidement goût et cette pratique a pour atout de prolonger et de consolider l’intimité existant entre deux individus du même sexe ou de sexes différents. L’urophilie est pratiquée indifféremment par les homos hommes ou femmes, les hétéros ou les bisexuels.

Elle fait partie intégrante des jeux sexuels et ce n’est absolument pas une perversion, sachant qu’en plus elle comporte bien des variantes dont je vous parlerai un peu plus loin dans cet article.

L’uro, le plaisir pipi est pratiqué en général, à de rares exceptions près, par des partenaires équilibrés et sains d’esprit.

Nombreuses, plus nombreuses qu’on ne le pense sont les femmes ou les jeunes filles adorant exhiber leur intimité, leurs organes génitaux. Mais je vous rassure : plus nombreux encore sont les hommes aimant arborer leur virilité, dont ils ne sont pas peu fiers.

Certaines ou certains me diront que ce n’est pas vrai, n’étant pas concernés. Aussi je leur réponds par avance que je n’ai pas dit que tout le monde aimait s’exposer nu en public. Faites donc un effort, soyez curieux et vous verrez que mon affirmation n’est pas infondée. Mais qu’importe ! Je n’y trouve rien à redire et étant un adepte du naturisme, j’ai l’habitude moi aussi de vivre nu dans les lieux prévus à cet effet ou chez moi dans ma maisonnette à l’abri des regards.

Je referme cette parenthèse et je reviens au plaisir pipi.

L’urologie n’est pas une déviance si elle est pratiquée entre partenaires ayant dépassé l’âge de la majorité sexuelle et à la condition qu’elle ne soit pas imposée mais consentie à deux….. ( ou à plusieurs ) !
Avant de porter un jugement négatif sur celles et ceux , comme moi, qui adorent avoir recours fréquemment à l’ondinisme, avant que de nous lapider, eh bien je conseille à ces gens de s’essayer au moins une fois au plaisir pipi et c’est seulement après qu’ils pourront émettre un avis… favorable ou non… à cette pratique fort agréable.

Notre société traîne derrière elle, comme un boulet, des siècles et des siècles d’interdits, de tabous, inhérents à la religion par le passé mais aussi encore aujourd’hui, inhérents aussi à notre République, décidant de ce qui est bien ou mal pour les citoyens, au travers d’une morale institutionnalisée.

Parmi ces tabous ne trouve-t-on pas la sodomie, jugée comme étant « contre nature » par l’Eglise et par nombre de bien-pensants laïques ? Tout comme la fellation et le fait d’avaler le sperme par voie orale et je pourrais vous citer d’autres actes sexuels non conformes à la morale pour qui l’on doit baiser « à la missionnaire »… je pourrais presque dire… sagement.

Dans mon esprit tout est parfaitement clair, limpide : à chacun sa sexualité. Baise qui veut avec qui il ou elle veut, comme il ou elle le veut !
Cela ne regarde personne, c’est du domaine de la vie privée et cela ne lèse personne.

Je vous l’ai dit précédemment, l’urophilie comporte plusieurs variantes que je vais aborder maintenant.

1 – Il y a d’abord l’acte le plus banal qui consiste pour celles et ceux pratiquant le plaisir pipi à se regarder uriner simultanément ou à tour de rôle, sans attouchements, leur plaisir étant avant tout visuel.

2 – Et puis il y a celles et ceux pour qui cela ne suffit pas et qui s’entraident mutuellement à uriner. S’il s’agit d’un homme et d’une femme, cette dernière prenant possession du sexe de l’homme afin de guider sa miction, idem s’il s’agit de deux hommes. La femme urinant accroupie en général, son ou sa partenaire lui écartera simplement les cuisses et les lèvres de sa vulve avant de la regarder se soulager. C’est ainsi que nous procédons avec mon amie Sonia, depuis que nous avons tenté cette expérience, dont nous ne pouvons plus nous passer et que nous pratiquons le plus souvent possible, même en dehors de chez nous (chez des amis, dans la nature ou ailleurs). Cela nous plaît énormément et certains de nos amis, à qui nous avons conseillé d’essayer, ne cessent de nous remercier trouvant le plaisir pipi terriblement excitant.

3 – Il y a encore celles et ceux qui urinent sur tout le corps de l’autre, sur son sexe s’il s’agit d’un homme, dans le vagin de la complice féminine et même dans l’anus, quel que soit le sexe du partenaire. Nous avons essayé Sonia et moi mais cela ne nous a pas apporté plus de plaisir que nous n’en éprouvions dans la deuxième variante évoquée précédemment.

4 – Et il y a enfin celles et ceux qui urinent dans la bouche de leur partenaire et qui avalent le pipi. Personnellement ni mon amie ni moi ne sommes prêts à cela, mais nous comprenons fort bien que cela puisse être une excitation supplémentaire pour d’autres que nous.

Vous voyez, tout le monde peut trouver son bonheur dans l’ondinisme
et y chercher le plaisir qui lui convient.

Quant à moi, vous le savez maintenant, je ne pratique l’uro que depuis peu et j’ai découvert ce jeu fort plaisant grâce à mon amie Sonia, lorsqu’elle est devenue ma partenaire sexuelle.

Je vous l’ai dit : notre plaisir mutuel ne va pas jusqu’à l’absorption du pipi par voie buccale. Non, nous nous contentons de nous regarder uriner en nous laissant aller à des attouchements très intimes durant nos mictions.
C’est Sonia qui, comme si j’étais manchot, s’occupe entièrement de moi, m’extrayant le sexe de mon pantalon et guidant mon jet d’urine comme elle l’entend, comme elle le ferait à un petit garçon, ce qui inévitablement provoque chez moi rapidement une érection. Il lui arrive, mais ce n’est pas systématique, de recueillir mon pipi entre ses doigts ou dans la paume de sa main restée libre.

Quand elle est assise face à moi sur la lunette des toilettes ou lorsqu’elle est accroupie dans la nature, je m’agenouille face à elle afin de lui écarter les cuisses au maximum et d’écarter les lèvres de son sexe afin de mieux la voir uriner. Moi aussi j’aime sentir sur mes mains couler son pipi tout tiède avant qu’il ne s’écoule entre mes doigts.

Nous ne nous sommes jamais uriné sur le corps, pas plus que sur nos organes génitaux respectifs mais je pense que cette dernière idée se concrétisera bientôt entre nous car je suis curieux de connaître comme Sonia, la sensation que cela procure et si cela stimule le désir.

Par contre nous n’avons ni l’un ni l’autre envie de boire nos pipis respectifs.

Voilà les vilains débauchés, les affreux dépravés, les maudits pervers que nous sommes !

C’est certain nous irons griller en enfer !

Redevenons sérieux : croyez-vous sincèrement que ce que nous faisons ensemble est monstrueux et condamnable d’un point de vue moral ?

Quand je dis que le plaisir pipi génère de l’excitation sexuelle, ce que j’affirme est réel et quand nous nous y adonnons la plupart du temps, non seulement j’ai une érection conséquente mais cela se termine sur le canapé ou sur la couette, pour y faire ce qu’il est inutile que je vous explique.

A tous les bien-pensants empêtrés dans leur conformisme, se nourrissant de leur sacro-sainte morale, je voudrais poser une question :

Vous madame ou mademoiselle, répondez-moi en toute franchise : Avez-vous toujours détourné le regard en voyant un homme uriner, son sexe étant bien visible à votre regard ?

Et vous messieurs et chers congénères, vous êtes-vous abstenus de regarder l’entrecuisse d’une femme en train de faire pipi quand, par inadvertance vous vous êtes retrouvés face à elle ?

Une réponse sincère m’obligerait !

J’entends d’autres voix qui me disent : « mais le pipi c’est sale ! »

Bon alors cela mérite quelques explications, quelques éclaircissements.

Parlons donc du pipi, du mien et du vôtre.

L’urine est un liquide biologique, en principe sain et sécrété par les reins après filtrage du sang.

Elle est théoriquement stérile sauf en cas de maladie rénale, d’infection bactériologique ou microbienne.

Alors si vous avez l’intention de vous essayer au plaisir uro avec absorption du pipi dans la bouche, faites auparavant une analyse d’urine dans un labo afin de déceler une éventuelle anomalie ou une infection urinaire. Mais si comme moi et mon amie vous vous contentez de le recevoir sur vos mains, un bref passage par le lavabo ensuite et il n’y paraîtra plus.

Restons dans l’hypothèse d’un pipi sain qui, je le redis est un liquide stérile, jusqu’à ce qu’il soit expulsé de notre corps et entre donc en contact avec l’air ambiant où pullulent les germes.

L’urine est composée de 95 % d’eau et elle contient de plus des minéraux comme le potassium, le chlore, le sodium, mais aussi du calcium, du magnésium, tout ceci en quantités infimes bien entendu.

Sa couleur varie de l’incolore à l’ambre en fonction des aliments absorbés récemment, tout comme pour le sperme dont je vous parlerai dans un autre article.

Normalement dans le pipi on ne retrouve ni sucre, ni bactéries, ni protéines, ces dernières ayant été assimilées par l’organisme.

Donc si votre corps n’a pas été intoxiqué par une mauvaise alimentation non basée sur des produits sains, le goût de votre pipi devrait s’avérer pratiquement neutre et rappeler dans certains cas celui d’un bouillon de légumes. Plus l’urine sera saine, plus elle sera claire.

Une bonne alimentation, une surveillance médicale de votre urine, voilà les conditions requises pour la boire sans problème.

Si votre pipi est exempt de tout risque, eh bien n’écoutez que vous-mêmes et non les inepties de ceux qui parlent mais ne savent pas. N’hésitez pas à vous adonner à ce plaisir sur lequel vous fantasmez peut-être.

Et puis si vous n’avez pas été convaincus par ce que je viens de vous dire, alors référez-vous aux travaux du docteur Tal Schaller de Genève en Suisse, docteur en médecine et psychothérapeute mondialement reconnu.

Ai-je eu raison ou tort de vous parler de l’urophilie, du plaisir pipi ?

Je ne sais pas et la réponse vous appartient

Serge Virinoviev
il y a 9 ans

Bonjour.
On pratique aussi dans une certaine mesure.
Nous voulions apporter certaines précisons/détails.
Les inuits utilisent leurs urines pour soigner la conjonctivite et d'autres petites inflammations de l’œil.
Et l'urée composant principal de l'urine est utilisé pour des tonnes de choses. Mais là ou c'est le plus drôle c'est que c'est aussi utilisé dans l'alimentaire. A savoir le E927b....
A méditer... :)
il y a 9 ans

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