Celle que l'on a pas eu...Celles qui nous ont eu !

Bonjour à toutes et à tous,

Dans la vie il y a celles que l'on a pas eu (pour des tas de raisons...) et celles qui nous ont eu (piégé ! enfin moi surtout... :roll: ) Un merveilleux souvenir demeure dans ma mémoire :

Je n'ai que peu d'expérience par rapport à nombre d'entre vous, mais les lignes qui vont suivre sont bel et bien le récit d'une petite aventure qui m'est arrivé en juin 1986 fin de saison sportive.

Il y avait dans mon club de tennis de table une fille, arrivée au cours de l'année précédente un peu plus jeune que moi (22-23 ans, j'en avais 26) sportive, un peu garçon manqué, avec laquelle je jouais au moins 2 fois par semaine, presque comme un entraineur (que je n'étais pas) et qui avait obtenu un bon jeu rythmé, bien plus que les pongistes féminines qui se contentaient de pousser la balle et de n'attaquer que la bonne...Mais à force de ne jouer qu'avec les garçons (dont moi en particulier) elle avait tellement progressé qu'elle était monté de non classée à 40 (3 classements) en 1 seule saison...

On avait vraiment sympathisé et même fait quelques cinés mais en groupe (le con ! c'est moi qui invitais les autres...) mais jamais de soirées rien que nous deux!
En fait je n'étais pas dragueur et je n'y pensais pas tout simplement, elle était en étude commerciale privée et avait beaucoup de travail (vu le prix : pas le droit à l'erreur) le ping c'était un juste anti-stress pour elle, et c'est pas parce qu'elle avait monté de classement qu'elle s'investirait plus la prochaine saison .
Et moi qui ait mis 5 ans pour monter 35...

Un jour en rangeant une table à roulettes, on était que tous les deux dans le petit local, elle me dit : comment tu me trouves ? Tombant des nues je lui réponds ç'à te va bien (elle était coquette et même en transpirant aimait bien avoir de jolis tee shirts...moi c'était plutôt des trucs froissés délavés...). Elle me réponds du tac au tac mais non MOI comment tu me trouves ? Et là d'un coup je piges ! Et je bafouille t'es bien mignonne en plus t'as tout le temps le sourire (c'était vrai !) elle me coupe et me dis : Bah pourquoi tu ne me le dis pas ! et là paf ! nouveau choc...Elle enchaine : tu fais quoi ce soir ? (c'était samedi) Ce coup là, j'ai pas fait de connerie et j'ai répondu : je suis libre. Elle me dit parfait tu sais où j'habite (elle m'explique) et le rendez-vous est fixé .
Comme je vous l'ai dit c'était une petite brunette svelte, cheveux court, de jolis yeux foncés, des petits seins avec des tétons bien saillants (durant le sport : je les avais déjà remarqué) et les fesses hautes type nageuse de compétition...

J'arrive à son petit 2 pièces correctement rangé (pas comme chez moi), elle était parfumée et en décontractée jean/chemisier mais de classe (ah la coquetterie !). le repas se passe super bien et nous voilà sur son petit canapé à discutailler, en fait moi ne sachant vraiment comment m'y prendre pour passer à l'attaque...Finalement c'est elle qui se décide, des petits gestes, une main puis deux, un petit bisous dans le cou mais elle ne tient jamais en place : une anguille ! Je me décide sérieusement et là elle m'arrête net ! Bordel qu'est-ce que j'ai bien pu faire ? La douche glacée pour moi !

Cela a dû se voir car elle éclate de rire (lard ou cochon?) et me dit : tu veux que je te dise comment je préfère les garçons ? évidemment que j'ai répondu oui (trop content qu'il me reste une chance) Elle me dit enlève ton pantalon et met toi debout ! Si si vas-y n'ai pas peur...(en moi-même : peur moi tu rigoles !).
Je me retrouve donc en tee shirt/boxer (qu'elle trouve sympa) debout devant elle (venir à bout des noeuds des lacets avec pantalon baissé l'a bien fait rire : pas moi...), elle me caresse les jambes avec ses ongles (un petit poil tiré au passage : j'ai résisté costaud que je suis . Rires) face à elle assise Je lui caresse ses cheveux qui sentent bon et j'allais me baisser pour y déposer un bisou lorsque sans crier garde elle baisse d'un coup mon boxer jusqu'aux mollets et me dis en riant tu sais que t'es mignon comme c'à, dommage que ce soit un peu mou tout ç'à ! C'était la première fois que j'étais à poil devant une fille habillée (excepté les petites amies que j'avais eu, oh pas 50 et l'infirmière de mon bahut, enfin femme disons plutôt infirmièrosaurus ;) ) et cela m'a fait un drôle d'effet, l'impression fugace de me dédoubler mon corps est bien là mais le vrai moi, celui qui n'accepterait jamais cela n'est pas là, 20 ans plus tard l'impression me laisse un souvenir étrange ...
Sur ce elle se relève et m'embrasse sur la bouche et me dis dans l'oreille : tu sais ce qui fait durcir les garçons (ou quelque chose d'approchant) ? et avant que j'aie pu répondre quoi que ce soit elle s'était rassise brusquement en m'entrainant dans sa chute sur le canapé et en travers de ses cuisses, tout en me gratouillant les fesses avec ses ongles elle insinua sa jambe droite entre mes jambes pour la rabattre et ainsi coincer la mienne, celle de droite .

M'ayant fait un tas de guillis et de chatouilles elle commença à ma claquer les fesses en riant, assez fort dès début puis de plus en plus vite ce qui fait que j'ai commencé à paniquer et lui demander pourquoi : pour que tu durcisses voyons et la fessée a repris de plus belle d'autant qu'elle m'avait saisit la main droite et pliée sur mon dos en s'appuyant dessus. Sincèrement elle faisait 56 kg toute mouillée et j'aurai très bien pu me dégager en force et peut être lui faire mal, mais je voulais rester cool, faire style (je reste persuadé qu'elle le savait) mais mon derrière commençait sérieusement à chauffer et elle n'avait pas l'air de vouloir s'arrêter...
Heureusement qu'elle manquait de force pour que ces mains claquent toujours bien à plat...Les coups ratés de poignet me faisaient gagner un peu de temps...

J'éprouvais dans l'ordre : surprise-incrédulité-chaleur-douleur/plaisir-douleur-douleur/douleur-panique et toujours douleur qui brûle, qui brûle...

Je n'arrivais à rien articuler de cohérent, ni à réfléchir et c'est elle qui a fait une pause tout en me maintenant fermement et en me disant qu'elle allait continuer jusqu'à je sois dur comme du fer. Je lui réponds : je ne peux pas, il me faut du temps, elle frotte le fond de ma raie avec ses ongles et me griffe un peu :aucune fille n'avaient osé me faire cela et l'humiliation à de nouveau fait place au plaisir sous forme d'une décharge électrique presque...Mais ce plaisir fut de courte durée car de nouveau elle avait tenu parole et la fessée avait repris de plus belle.
Tout se bouscule dans mon esprit : re-douleur vive et mordante et re-panique que faire si je m'énerve et que je me dégage brutalement je la perd certainement...Alors je parle, toujours en faisant style "je supporte" mais je suis au bout du rouleau : ce n'est pas une experte et il n'y a pas eu de temps mort, c'est parti fort tout de suite ! combien de temps 40, 50 sec la première série et la seconde combien de temps, je m'en fous je ne peux plus tenir , je vais craquer !
Et les claques qui tombent toujours...Elle rigole en me disant alors on fait moins le malin ! avance dans la balle ! ç'à n'a jamais mordu personne une balle (c'est ce que je lui disais à l'entrainement...) la petite débutante qui donne la fessée à son entraineur ! t'es pas douillet au moins ? J'entendais mais ne pouvais plus penser, j'avais les fesses en feu (et elles le sont restées longtemps tard dans la nuit, après cela se transforme en une douleur plus diffuse et musculaire quand on bouge, marche)

C'est elle qui peut être fatiguée décida d'arrêter, j'étais comme vidé intérieurement autant que douloureux, honteux de m'être fait piéger par sa rapidité mais surtout par ses dernières paroles dont j'oublie ici les 2 tiers...Elle m'a , gentiment cette fois, obligé à rester ainsi, nu et vaincu allongé sur ses jambes plusieurs minutes et là , je me suis totalement abandonné en éprouvant ainsi quelque chose que je n'avais JAMAIS éprouvé auparavant.
Et c'est en écoutant ses narquoiseries mi adorables mi cinglantes (les caresses aidant aussi )qu'une formidable érection m'est venue, je ne suis pas une bête de guerre mais on a fait 3 fois l'amour en un rien de temps et après chaque verre d'eau elle me disait en regardant mes fesses : tu vois que ma méthode a du bon...J'étais tellement dans un état second qu'à aucun moment je ne l'ai caressée, alors que j'adore cela et que même encore maintenant, jamais je ne rechigne à la besogne, c'est même mon point fort. Je me suis rattrapé après avoir dormi...

On a en fait peu discuté de cette soirée fessée, elle m'a juste avoué que son dernier mec l'avais un peu initiée et qu'elle y avait pris goût...En m'avouant aussi qu'il fallait qu'elle se sente très bien et qu'elle ait confiance...Elle m'a dit que je lui avait procuré du plaisir et qu'elle n'en dirait mot à personne :oops:

ON s'est revu 3 fois ensuite mais à chaque fois elle avait des amis, c'était en semaine et il fallait se lever tôt : faire l'amour oui mais fessée non ! Aurai-je supporté ? j'avais par moment encore un peu mal...juillet approchait et son père qui avait à la fois divorcé, pris sa retraite et enfin vendu son entreprise lui avait donné sa part qui était la bienvenue et qui allait pouvoir lui permettre de s'inscrire enfin dans une super école de commerce en Angleterre ...
On s'est quitté malheureux avec n° de tel et adresse...Elle ne m'a écrit qu'une fois, ne s'est jamais ré-inscrite au tennis de table, je ne l'ai jamais revue...Mais je pense souvent à elle et à ce moment magique qu'elle m'a donné.

Encore aujourd'hui plus de 20 ans plus tard non seulement ce souvenir est vivant comme si c'était l'année dernière mais je ne sais toujours pas si ce que j'ai éprouvé (cet abandon total de moi-même) provient de la surprise, de cette douleur chaude si particulière à la fessée, du charme de cette petite nénette qui payait pas de mine ou de ses mots prononcés sans le vouloir au bon moment...

Merci d'avoir lu jusqu'au bout et désolé si je ne sais pas faire court...E.
il y a 8 ans

Sympathique petite histoire, et sympathique bout de passé.
Merci beaucoup!
il y a 8 ans

Une très sympathique histoire merci de ce moment de partage.
il y a 8 ans

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