Atelier : Figures imposées n°2

Compte anonymisé
Me revoici après une bonne semaine en famille, je lance donc l'atelier n°2 en attendant de finir mon texte de l'atelier 1.

Pour rappel, ceci s'adresse à tous les écrivains en herbe qui sèchent la plume à la main devant la page blanche,qui ont besoin de petits défis.
Libre aux retardataires de reprendre les anciens : [url=http://forums.fessestivites.com/viewtopic.php?f=218&t=2700:3qkm7swi]Atelier n°1[/url:3qkm7swi]

Pour cette deuxième mouture, "les figures imposées", je vous impose dix mots à utiliser dans un petit texte de votre cru. Quinze lignes au minimum sont requises. Le texte peut être en prose ou en rime pour les amateurs.

Les mots imposés sont :
[i:3qkm7swi]pluie - rentrée - vendanges - martinet - raisin - cahier - zébrure - mésange - crayon - frustration[/i:3qkm7swi]

Évidemment, s'il était besoin de préciser, le thème reste notre sujet préféré.
Bonne inspiration !
il y a 8 ans

Voilà, c'est la [b:2t8d3h7m]rentrée[/b:2t8d3h7m] et comme beaucoup d'écolier, je prends aujourd’hui, mon [b:2t8d3h7m]cahier[/b:2t8d3h7m] et mon [b:2t8d3h7m]crayon[/b:2t8d3h7m], pour y coucher le brouillon de ce nouveau défi.

Quinze lignes, un challenge !

Il va me falloir ruser, je suis sur une page blanche.

…...........une [b:2t8d3h7m]mésange[/b:2t8d3h7m] passe, c'est comme un ange, çà comble les vides.

Depuis que j'ai trouvé ma perle, j'ai du mal à fantasmer, j'ai le cerveau lent.

Avec la reprise du travail, nous allons avoir moins de temps libre pour jouer. Mais qu'à cela ne tienne, nous aurons toujours les week-end, (sorties en club ou rencontre avec les amis)

J'espère toutefois que nous trouverons d'autres moments de temps à autre.

J'espère que par [b:2t8d3h7m]frustration[/b:2t8d3h7m], ma Maîtresse ne vas pas me [b:2t8d3h7m]vendanger[/b:2t8d3h7m] les couilles, afin quelles deviennent aussi flétries que des [b:2t8d3h7m]raisins[/b:2t8d3h7m] de Corinthe, ou me les presser afin d'en tirer tout leur jus.

Elle pourra ensuite faire tomber une [b:2t8d3h7m]pluie[/b:2t8d3h7m] de lanières de [b:2t8d3h7m]martinet[/b:2t8d3h7m], qui laisseront leurs [b:2t8d3h7m]zébrures[/b:2t8d3h7m] éphémères sur mon corps.

Ce qui ne devrait pas tarder, surtout lorsque elle va lire ce texte.

Et voilà quinze lignes, comme dirait ma Maîtresse, juste le minimum syndical.
il y a 8 ans

Compte anonymisé
Ce minimum syndical m'a fait beaucoup rire. J'adore !
Je ne suis pas dupe, il y a eu ici une véritable recherche intellectuelle pour relever le défi !
il y a 8 ans

Voici la suite :

Je n'ose pas répondre de peur de me faire punir encore plus sévèrement. l'une des deux femmes sort une paire de ciseau et découpe en petit morceau l'ensemble de mes vêtements pour que je me retrouve totalement nu. Elles décroche alors la laisse pour que je les suive, j'en profite pour visiter les étages de cette charmante bâtisse. on s'arrête dans un salon où m'attend un panier à chien dans lequel j'ai ordre de me coucher. par la fenêtre je peux apercevoir que la [b:1hsq3mhs]pluie[/b:1hsq3mhs] tombe dehors et qu'une [b:1hsq3mhs]mésange[/b:1hsq3mhs] cherche à se mettre à l'abri sous un vieux chêne. Il est bien normal qu'il pleuve un bon orage, l'été touche à sa fin et les [b:1hsq3mhs]vendanges[/b:1hsq3mhs] pour ramasser le [b:1hsq3mhs]raisin[/b:1hsq3mhs] vont commencer. L'une des deux femmes s'approche de moi un [b:1hsq3mhs]cahier[/b:1hsq3mhs] à la main avec un [b:1hsq3mhs]crayon[/b:1hsq3mhs] aussi. Sur le cahier se trouve une feuille où il est inscrit en gros contrat pour dressage d'homme. Je le parcours rapidement pour voir cet amas d'horreur.
Je ne peux me résoudre à garder le silence et proteste furieusement. Pendant que je déverse ma haine sur l'une des des deux femmes l'autre a le temps de passer dans mon dos et abat furieusement un [b:1hsq3mhs]martinet[/b:1hsq3mhs] sur mes fesses à plusieurs reprises.
"Signe ou sinon dit adieux à tes fesses."

Entre deux coups j'appose ma signature sur le document que l'on me retire. Je gagne en contre parti un ball gag entre mes dents alors que je reçois l'ordre de pouvoir me mettre debout. Elles me font asseoir à une table sur une chaise, le cahier est mis sous mon nez alors que l'on me menotte les pieds aux pieds de la chaise.
"Comme la [b:1hsq3mhs]rentrée[/b:1hsq3mhs] des classes approchent, tu vas commencer par une punition."

Je les écoute m'annoncer que je dois copier 300 fois : L'homme n'est rien comparé à la femme.

Je me mets à la tache sans pouvoir exprimer toute ma [b:1hsq3mhs]frustration[/b:1hsq3mhs] à cause de ce maudit bâillon et que les [b:1hsq3mhs]zébrures[/b:1hsq3mhs] que j'ai sur les fesses à cause des coups me brulent les fesses.

Je suis contraint d'écrire sur une page du cahier avec le crayon qu'elles m'ont fourni, cela va me prendre des heures dans un silence mortel.

La suite à l'épisode 3. ;)
il y a 8 ans

Madame Dae

Je vous remercie vivement de cet atelier et vous prie de trouver ci-dessous la suite de mon histoire. Par avance, je vous présente ainsi qu'aux lecteurs mes plus plates excuses si par inadvertance quelques fautes d'orthographe viennent à troubler votre lecture.

[b:2h7ysqhr]Figures imposées 2 [/b:2h7ysqhr]

Suite de l'atelier d'écriture proposé par Lady Dae
Le début de mon histoire est ici :
http://forums.fessestivites.com/viewtopic.php?f=218&t=2700#p9174


Parvenus à l'orée du champ de tournesol, nous primes un chemin agricole bordant des vignes particulièrement bien entretenues et finement taillées avec des grappes de[b:2h7ysqhr] raisin[/b:2h7ysqhr] superbes. La [b:2h7ysqhr]pluie[/b:2h7ysqhr] n'avait pas eu d'impact ici ou ils savaient à merveille traiter les vignes. Les [b:2h7ysqhr]vendanges[/b:2h7ysqhr] s'annonçaient belles pour les propriétaires du château dont nous approchions à petits pas, enfin pour la belle Maîtresse car pour moi, c'était encore à "petites pattes" comme son berger Allemand ne me quittant pas des yeux. J'avoue m'être interrogé sur ses intentions car marcher ainsi sur une longue distance est assez douloureux pour les genoux. Etait-elle en train de me tester ou peut-être de provoquer ma rébellion ? Ma vie n'étant pas en danger, je ne me risquais pas à me plaindre, après tout, n'étais-je pas venu pour être à son service et être son jouet ?

Je me dois d'avouer que depuis que j'avais aperçu son visage et ses yeux, devenir le soumis de Maîtresse Day Léda était mon objectif. A mes yeux, son pseudo Léda était parfaitement adapté. Léda, femme de Tyndare, roi de Sparte, était considérée comme la plus belle femme au monde, inspiratrice d'innombrables passions dans la mythologie grecque. Servir une Maîtresse aussi belle, aussi noble dans ses attitudes ne pouvait qu'être un honneur.

Arrivés près du château que je devinais être le sien, elle me fit entrer dans un chai puis ordonna à son Berger Allemand de s'asseoir en refermant la vieille porte en bois massif. Devant moi, des rangées de tonneaux en chêne étaient parfaitement alignés, le sol en ciment semblait être lustré, ce n'est point ici que le laboratoire bordelais Excell était venu fouiner et faire ses analyses. L'un d'eux n'était pas dans les rangés, il dénotait un peu dans cet ordre de classement et de part les solides entraves fixées dans son support à côté d'un vieux banc d'écolier.

- Lève-toi et allonge-toi sur le tonneau de la peine ! M'a ordonné Maîtresse Day Léda.

Ne sachant pas si j'étais autorisé à parler, je ne me suis pas aventuré à répondre "oui Maîtresse", je me suis simplement exécuté sur le champ. Elle entrava mes chevilles et poignets mais pour cela, en fléchissant les jambes elle offrit à mon regard une vue imprenable sous sa robe d'été. ARF ! Aurais-je un jour le droit de déposer mes lèvres de soumis sur ces bijoux qu'elle venait d'offrir à mon regard que j'ai immédiatement détourné par respect pour elle.

- Soumis-Formateur-de-Maîtresse est un pseudo très prétentieux. Il y a des lettres en trop que je vais te faire regretter avant d'entreprendre ta formation de soumis. Formateur-de-Maîtresse contient vingt lettres, tu vas recevoir 10 coups de [b:2h7ysqhr]martinet [/b:2h7ysqhr]par lettre que j'estime déplacée et honteusement provocatrice. Soit tu acceptes la punition jusqu'au bout sans crier et sans bouger, soit tu t'en vas. Le saferword provisoire sera le suivant. Je vais mettre le crochet d'une clochette dans ta bouche, si elle tinte ou tombe sur le sol ou si tu cries tu es viré. Tu n'as droit à aucune excuse, un soumis se disant formateur de Maîtresse doit forcément savoir ce qu'est le self-contrôle.

Lorsqu'elle a présenté le crochet de la clochette à mes dents, j'ai immédiatement compris à son regard jouissif que cela ne serait pas une partie de plaisir ! Mon esprit me disait de serrer les fesses et les dents puis de me concentrer, le premier coup est tombé à l'intérieur de ma cuisse. Ma tête a bougé sous l'impact et la douleur, par chance, la clochette n'a pas tinté. Pour tenir les 199 autres coups sans la faire sonner il allait falloir que je m'accroche. Pour cela j'ai descendu ma mâchoire contre le bois du tonneau et je l'y ais appuyé comme un malade avant le second coup.

Maîtresse Day Léda a pris son temps et pesé ses coups de façon à m'en faire baver au sens propre comme au sens figuré du terme. L'intérieur et l'extérieur de mes cuisses devaient être couverts de [b:2h7ysqhr]zébrures [/b:2h7ysqhr]tant cela faisait mal, mes fesses plus habituées ont également souffert mais ce n'était rien à côté de mes cuisses en feu. J'ai tenu le coup jusqu'au bout, mes yeux coulaient, les larmes faisaient de petits rus sur mes joues mais il était hors de question que je me fasse virer. Le deux centième coup a été pour mes testicules, même modéré j'ai cru défaillir.

- Soumis es-tu réellement maso ?

- Non Madame, j'ai beaucoup souffert, c'était horrible.

- Alors pourquoi es-tu allé jusqu'au bout sans broncher ? Es-tu fou ?

- Madame, sauf votre respect, si j'ai tenu le coup ce n'est pas par défi ! J'avais décidé de jouer la provocation sur Fessestivites pour qu'une Maîtresse s'occupe de moi, je n'avais pas d'autre choix que d'assumer mes actes. Je vous remercie de ce recadrage mérité et espère ne pas vous avoir déçue.

- Je ne sais pas encore si je vais te garder mais sache qu'il est préférable pour toi de ne pas me décevoir. Tout à l'heure tu m'as dit "excusez-moi" la bonne formulation est : je vous prie Madame de bien vouloir accepter mes excuses. Je vais te libérer et commencer ta formation. Chez moi les soumis doivent savoir parler et écrire sans faute de français. Tu vas donc recopier cent fois "Je vous prie Madame de bien vouloir accepter mes excuses". Tu vas le faire sur un [b:2h7ysqhr]cahier,[/b:2h7ysqhr] avec un [b:2h7ysqhr]crayon d[/b:2h7ysqhr]ont tu devras prendre soin car tu n'auras pas de taille crayon à ta disposition. Avant, je veux que tu mettes ça autour de ton sexe, c'est une cage de chasteté, il est hors de question que je vois ton sexe en érection et que tu puisses te soulager comme un gros porc dans mon dos.

Une fois libéré, j'ai immédiatement saisi la cage de chasteté qu'elle me tendait, j'étais très gêné de me toucher devant elle pour l'enfiler parce que j'avais peur d'avoir une érection. Elle m'a regardé fermer le cadenas et a vérifié qu'il était bien fermé. J'ai compris à son regard que la [b:2h7ysqhr]frustration[/b:2h7ysqhr] allait également faire partie de ma soumission. Guidé jusqu'au banc d'écolier, je me suis revu lors de la [b:2h7ysqhr]rentrée [/b:2h7ysqhr]des classes avec l'ancienne maîtresse d'école sévère que j'ai connue et qui m'a donné quelques cuisantes fessées sur les conseils de ma mère. Abandonné dans le chai, je me suis attaché à faire les lignes demandées avec beaucoup d'attention, j'avais tellement peur de casser la mine du [b:2h7ysqhr]crayon[/b:2h7ysqhr].

Une heure plus tard, la belle Maîtresse Day Léda est entrée dans le chai. Ce fut un moment magique que de la voir rayonnante dans une tenue de déesse bien différente de sa robe d'été. Le comble du charme et de la sensualité de cette grande dame était une mésange posées sur son épaule.

C'était une très jolie mésange charbonnière avec une bande centrale noire partant de dessous son bec jusqu'à l'abdomen. Sur les parties supérieures, son dos était verdâtre, ses ailes bleues grisâtres avec une barre alaire blanche. Maîtresse Day Léda s'approcha de moi pour vérifier mes lignes et s'étonna :

- Oh c'est surprenant, Avem ne s'est pas envolé près de toi, serait-ce un signe ?
il y a 8 ans

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