Deux punitions dans la journée
Deux punitions dans la journée
Deux punitions dans la journée
A
Candidat au prochain prix Goncourt
0/20
B
Félicitations
4/20
C
Encouragement
8/20
D
Encore un petit effort
1/20
E
Des difficultés mais c'est bien d'avoir essayé, persistez vous êtes dans la bonne voie.
0/20
F
Bourré de fautes d’orthographe, gros manque de cohérence dans le texte
7/20
Il était parti de très bonne heure pour gérer une urgence, je devais le rejoindre à 9 heures sur un parking d’autoroute afin que nous allions ensemble à un rendez-vous d’affaire. La veille nous avions joué coquin coquine, Patrick se jetait sur moi, je devais refuser ses avances avant de me retrouver menottée et de passer à la casserole pliée en deux sur le canapé. Ce genre de petit délire m’excite tout comme les menottes et la soi-disant contrainte. Comme à chaque fois que nous jouons, il rajoute une petite surprise, ce fut un bâillon et des pinces à sein munies de clochettes. J’ai adoré.
Ce petit délire suivi d’un énorme câlin nous avait emmené à nous coucher tard, peut-être un peu trop car le matin, m’extraire du lit fut difficile. Le réveil a sonné plusieurs fois avant que je parvienne à me lever. Ma douche prise et le premier café avalé, je m’apprêtais à ranger un peu mais le téléphone a sonné. Lucie voulait absolument me parler de ses mésaventures amoureuses. Elle en avait besoin, son coeur malade avait beaucoup de choses à dire. Lorsque elle m’a indiquée « il est 8 heure, il faut absolument que je parte », j’ai pris conscience de l’heure et de mon retard. Pendant cette longue discussion, j’avais posé pour téléphone portable sur le lavabo de la salle de bain pour me maquiller tranquillement, c’est ainsi que j’ai découvert qu’il était allergique à l’eau.... La poisse ! ! !
J’ai quitté la maison à l’arrache sans rien ranger et oublié le dossier pour le rendez-vous. Tous ceux qui habitent en ville le savent, partir à 8 heure au lieux de 7h30 change tout du temps de trajet.
A 9 heure je sortais à peine de la ville, Patrick allait être fou de rage.
Le téléphone étant HS, il m’était impossible de l’appeler, Patrick allait être fou d’inquiétude, c’est un anxieux pour ces choses là.
Lorsque je suis arrivée au parking il était 9h45, Patrick faisait les cent pas. J’ai à peine eu le temps de descendre de la voiture que je me suis faite incendier. Mon téléphone noyé était sur répondeur, il a vraiment eu peur qu’il me soit arrivé quelque chose. Lorsqu’il m’a demandée si j’avais pris le dossier, je me suis décomposée. J’aurais aimé me fondre dans le bitume ou devenir un chat pour pouvoir grimper dans un arbre pour me cacher. Sa main s’est enroulée sur mon poignet et s’est serrée.
- Ne me dis pas que tu l’as oublié ?
- ...........
- 45 minutes d’angoisse et une affaire que l’on risque de louper à cause de tes conneries vont te coûter cher. Dit-il en m’entraînant vers un banc.
En un rien de temps, je me suis retrouvée allongée sur ses genoux, ma robe a été troussée, ma culotte presque arrachée et sa main s’est abattue sur mon fessier. La première claque m’a fait crier tant elle était forte. Les suivantes furent aussi puissantes et accompagnées de reproches. Mes fesses prenaient feu, j’avais beau le supplier et me débattre rien ne pouvait l’arrêter, pas même le camion qui s’est garé à quelques mètres de nous. Le chauffeur est descendu et s’est approché de nous, j’avais aussi mal que honte. Il m’a demandée si j’avais besoin d’aide, Patrick lui a répondu qu’il m’apprenait la ponctualité et de se mêler de ses affaires. Le petit jeune n’a pas osé bouger, il s’est contenté de regarder mes fesses devenir écarlates.
Les sièges de l’Audi sont très inconfortables après une fessée comme celle que j’ai prise ce jour là. Par chance nous avons décroché l’affaire, Patrick dut y retourner pour signer les papiers le lendemain, mais il était malgré tout inquiet, tant que ce n’est pas signé, rien n’est vraiment fait. Sur le chemin du retour, pour fêter le contrat à 38000 euros, nous sommes allés au restaurent, j’ai eu pour ordre de tout lui raconter, je n’ai rien caché, j’ai assumé. Après un passage au bureau, nous sommes rentrés à la maison, il est arrivé avant moi et a découvert mes autres erreurs. J’avais laissé la fenêtre de la véranda ouverte, oublié de mettre l’alarme et absolument rien rangé de nos jeux de la veille. Quand je suis arrivée, il était assis dans le salon avec un verre à la main et les menottes sur la table. A son regard j’ai compris qu’il y avait un problème et que cela allait encore être ma fête.
- A poil mais derrière la tête ! Fut sa phrase d’accueil.
- Peux-tu m’expliquer ce qu’il se passe et ce que j’ai fait ?
- Te l’expliquer ? Bien sûr et même te punir, magne-toi de te déshabiller avant que je m’énerve vraiment ! La véranda ouverte, l’alarme oubliée, les jouets qui traînent dans le salon alors que mes parents risquaient de passer pour réparer le lave-vaisselle me semblent un motif sérieux de punition. M’indiqua Patrick avec une voix calme et posée.
Nue au milieux du salon avec les mains derrière la tête je me sentais mal, très mal.
- Si tu reconnais tes tors et acceptes ta punition, couche-toi sur la table de la salle à manger et mets toi-même les menottes ! Me dit Patrick en me les tendant.
Nous avions déjà joué à ces jeux, je savais quelle position il voulait que je prenne, mais là, il ne jouait pas. La plateau de la table en chêne de la salle à manger m’a semblé moins froid que son regard lorsqu’il est arrivé avec la canne anglaise. Mes doigts se sont agrippés au plateau avant que la canne siffle. Un trait de feu a embrasé mes fesses, les suivants donnés aussi calmement et fortement que le premier ont fait mouiller mes yeux. Quand l’un des coups est tombé sur le haut de ma cuisse j’ai bondi de douleur et lâché un cri strident avant de me remettre en position. Bien que les coups suivants furent moins puissants, ils sont encore gravés dans ma mémoire, je ne risque plus d’oublier de fermer la véranda et de mettre l’alarme puis encore moins de ranger les jouets.
La punition terminée, il m’a ordonnée de ne pas bouger, j’ai eu peur qu’il continue avec un autre instrument, il n’en fut rien, ce fut pour me passer de l’Arnica avec douceur. Quand il m’a prise dans ses bras et portée jusqu’au canapé, je me suis blottie contre lui en fondant en larmes. Sa main caressait mes cheveux et mon visage tout en douceur, un vrai papa poule dans ses gestes. Ses petits bisous doux m’ont consolée, j’ai eu envie de lui faire l’amour. Lentement je me suis redressée et mise à genoux entre ses jambes pour poser ma tête en haut de ses cuisses. Il ne m’a rien demandée. Il s’est juste laissé faire un moment avant d’emporter sa coquine sur son épaule après lui avoir retiré les menottes. Ce fut divin, les draps s’en souviennent encore.
Si j’aime bien avoir quelques marques après nos jeux, celles là j’avais vraiment hâte quelles disparaissent.
Pomme63
Une partie de ce texte est basé sur du vécu, j’avoue avoir un peu brodé.
il y a 8 ans
Compte anonymisé
Je suis pas fan.
il y a 8 ans
il y a 8 ans
Compte anonymisé
Ces temps-ci je suis un peu plus à fleur de peau, pas d'inquiétude :)
il y a 8 ans
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