Une fessée d’autorité
Une fessée d’autorité
Une fessée d’autorité
A
Félicitations
7/21
B
Candidat au prochain prix Goncourt
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C
Encouragement
6/21
D
Encore un petit effort
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E
Des difficultés mais c'est bien d'avoir essayé, persistez vous êtes dans la bonne voie.
1/21
F
Bourré de fautes d’orthographe, gros manque de cohérence dans le texte
7/21
Eléa et Antoine c’était rencontrés alors que cette dernière entrée en première année de commerce. Comme toute première année, Eléa eut besoin de cours particulier afin de pouvoir se maintenir à un bon niveau. C’était à cette occasion qu’elle avait rencontré Antoine pour la première fois. Mais après une dizaine de cours, l’attention d’Eléa diminua. Antoine la menaça d’une sévère fessée si elle ne se remettait pas très vite au travail. Cette menace n’eut aucun effet sur la jeune femme. La raison à cela ? Eléa faisait partie du monde de la fessée. Pour elle, c’était un plaisir pas une douleur. Et puis, encore fallait-il qu’il ose. Ce qu’elle ignorait, c’est qu’Antoine faisait lui aussi partit de ce monde.
Il osa donc, trois cours plus tard. Et ce fut la première fessée punitive que reçu Eléa, elle ne savait pas ce que c’était et aurait préféré ne pas le découvrir.
Cela remontait à six ans maintenant. Entre temps, ils avaient été amis, amants, connaissances puis de nouveau amis. Aujourd’hui, ils étaient bons amis et Eléa était sous l’autorité d’Antoine. Effectivement, la jeune femme avait besoin d’être parfois remise dans le droit chemin et son besoin de liberté ainsi que son caractère, rendait parfois la tache ardue. Non pas que la jeune femme fasse des bêtises gigantesques mais ses habitudes n’était pas forcément toutes bonnes. Cela ne les empêchaient en aucun cas de vivre de superbes moments de jeu, préférant tous les deux le jeu à la punition, même si celle-ci était parfois nécessaire.
Antoine étant devenu chef d’entreprise, il n’avait pas forcément le temps de s’occuper de la jeune femme. Ce qui était parfaitement compréhensible pour Eléa, qui avait fini par appliquer leurs règles au gré de sa volonté. Après tout, elle ne risquait rien si elle ne les appliquait pas donc…
Ce fut lors d’une discussion téléphonique, qu’Antoine se rendit compte que la situation s’était dégradée plus qu’il ne le pensait. Elle s’amusa à le provoquer, une fois, deux fois, puis lui donna comme réponse sur le fait qu’elle n’avait pas respecté une de ses règles « ben parce que j’en avais pas envie ! », avec une telle désinvolture, que si elle avait été en face de lui, elle aurait eu le droit à une sérieuse fessée. Il mit fin à la discussion et l’envoya se coucher.
Il ne prit pas la peine de vérifier que Eléa c’était couchée. Elle avait très bien sentit la colère d’Antoine, celle-ci était palpable.
Antoine était bien forcé d’admettre qu’à ce rythme, soit il reprenait la main sur Eléa dès maintenant, soit leur relation n’aurait bientôt plus de raisons d’être, vu que la jeune femme se braquerait de toute manière. Et cela reviendrait à la punir pour la punir, cela n’aurait plus d’intérêt, ni de sens. C’était décidé, Eléa allait recevoir une fessée qu’elle n’était pas prête d’oublier. Elle serait marquante aussi physiquement que mentalement. Il était décidé à frapper un grand coup. Il pouvait se le permettre, il la connaissait parfaitement. Il savait que maintenant, il fallait qu’il l’oblige à lâcher prise totalement, cela n’allait pas être une partie de plaisir ni pour l’un ni pour l’autre, mais c’était un mal nécessaire. Leur amitié en sortirait indemne de toute façon. Il envoya donc un e-mail à Eléa pour lui dire qu’il avait son samedi après-midi et qu’il serait heureux de la voir. Ce qui était parfaitement vrai. Ce qu’il ne précisa pas, c’est que la plus sévère leçon de sa vie l’attendait.
Eléa accepta sans hésiter. Après tout, elle avait aussi très envie de le revoir, il lui manquait même si elle le provoquait, son affection pour lui était toujours là. Elle se doutait bien, qu’elle aurait le droit à un rappel à l’ordre, pour son comportement. Seulement, elle ne pouvait pas imaginer ce qui l’attendait.
Eléa arriva chez Antoine, le samedi après-midi vers 14h. Elle avait mis toutes les chances de son côté, pour essayer d’attendrir Antoine. Petite robe noire moulante, maquillage léger, sous-vêtements en dentelle et cerise sur le gâteau (c’était le cas de le dire), son dessert préféré.
Antoine quant à lui, avait gardé le style homme d’affaire décontracté. Il fit entrer la jeune femme et lui proposa de venir s’installer dans le salon pour un café. Le dessert lui fit très plaisir et Eléa était un régal pour les yeux. Si, la leçon dont avait besoin la jeune femme, n’était pas si importante, il aurait bien modifié ses plans. Mais il ne pouvait se le permettre. Après une vingtaine de minutes de discussion, Antoine se leva, se posta devant la jeune femme et la toisa.
Eléa ravala sa salive, elle n’avait jamais vu un tel regard chez Antoine.
- Je crois qu’il est temps que l’on règle certaines choses. DEBOUT !
Eléa se releva et baissa la tête. Antoine passa une dizaine de minutes à la gronder et parfois à l’engueuler, la jeune femme avait les yeux brillants.
- Je suppose et j’espère que tu es d’accord avec ce que je viens de dire.
- Oui, monsieur
- Bien. Tu sais que tu mérites une très sérieuse punition et qu’elle ne va pas te plaire ?
- Oui, je le sais et je l’accepte répondit-elle
Eléa sentait qu’elle n’était pas prête de l’oublier cette punition. La colère d’Antoine était carrément palpable. C’était ce qui l’avait poussée à dire cette dernière phrase. En la prononçant, elle indiquait à Antoine, qu’elle acceptait la punition quelque elle soit et qu’importe sa dureté.
- Parfait. Alors retire-moi cette robe et va te mettre au coin. Dit Antoine d’un ton très calme.
- Non, s’il te plaît, pas le coin ! répondit la jeune femme en retirant sa robe.
- Tu n’as pas ton mot à dire, Eléa. Et pour t’apprendre, tu iras au coin à genou ! MAINTENANT !!
Eléa s’exécuta. Elle referma ses yeux déjà humides, alors que la punition venait à peine de commencer. La position à genou étant assez inconfortable, elle commença à gigoter. Ce fut un grand coup de martinet qui l’a fit se calmer.
- Qui t’as autorisée à bouger ?
- Personne, Monsieur.
- Bien, maintenant tu sais ce qu’il t’attend si tu recommences.
Au bout de cinq minutes, Antoine appela la jeune femme auprès de lui. Il lui retira son soutien-gorge et lui baissa la culotte au genou avant de la basculer sur ses genoux.
- Cette punition se terminera quand j’estimerai que tu as compris la leçon. C’est clair ?
- Oui…
- Oui, qui ? demanda t-il en faisant tomber une grande claque sur les fesses d’Eléa.
- Oui, Monsieur répondit-elle le souffle coupé par la puissance de la claque
La punition commença. Les claques étaient déjà d’intensité moyenne. Antoine agissait comme un métronome, s’appliquant à rougir toute la surface des fesses d’Eléa. Celle-ci avait du mal à se tenir tranquille. Elle n’était plus habituée à ce genre de fessée. Et puis, elle n’aimait pas, ce type de fessée. Ses fesses lui brûlaient déjà et la douleur était croissante. Antoine ne céderait pas le premier cette fois-ci. Cela lui semblait de plus en plus évident que la puissance des claques augmentant. Une fois que son fessier fut d’un très joli rouge vif, virant à l’écarlate, Antoine se décida à la punir sur les cuisses. Eléa se débattit comme une furie, mais elle se retrouva les jambes coincées dans celles d’Antoine et les mains croisées dans le dos. Au bout de deux minutes qui parurent des siècles à Eléa, Antoine la fit se relever et la renvoya au coin debout. Il l’a prévint qu’elle avait interdiction de toucher à ses fesses et de bouger, à moins qu’elle ne veuille revenir faire un tour sur ses genoux.
Malgré la menace très présente, au bout de quelques minutes, Eléa ne put s’empêcher d’essayer d’apaiser discrètement le feu envahissant ses fesses. Malheureusement pour elle, Antoine était assis sur le canapé derrière elle. Il se releva, passa derrière elle et lui mit une grande claque sur les fesses. La jeune femme sursauta.
- Eléa !!
- Pardon, pardon, mais ça brûle !
- Je t’avais prévenue dit-il en l’attrapant par l’oreille et la conduisant vers le canapé
- Non, s’il vous plaît
Les suppliques de la jeune femme n’eurent aucun effet. Mais à sa grande surprise, Antoine ne s’assit pas sur le canapé, mais la fit s’y allonger sur le dos. Elle comprit très vite que cela allait être pire que ce qu’elle pensait
- Non, non, non, je vous en prie Monsieur ! Pas en diaper, s’il vous plaît… dit-elle les larmes coulants toutes seules.
- Tu as accepté cette punition. Tu connais notre accord. C’est toi qui a désobéi. Maintenant tu assumes ! Attrapes tes jambes avec tes bras et ne discute pas, je n’ai pas envie de doubler, lui dit sèchement Antoine
Elle obéît, elle non plus ne voulait pas qu’il double. Elle reçut dix coup de paddle en cuir. Même si ce n’était pas le plus sévère des instruments de la collection d’Antoine, la jeune femme était en sueur à la fin des dix coups. Elle qui n’aimait pas le coin, elle espérait qu’Antoine l’y renverrait. C’était l’endroit où, ses fesses ne risquaient pas grand-chose.
Antoine la laissa souffler cinq minutes allongé sur le canapé. Malgré la sévérité de sa punition, il avait fait en sorte d’éviter les bleus. Certes, les fesses avaient une couleur rouge écarlate, on pourrait y faire cuire un œuf et il y en aurait sûrement à la jonction fesses-cuisses (suite aux dix coups de paddle pas vraiment dans son programme) mais rien qui durera plus de 2-3 jours. Il fit relever la jeune femme et la conduisit avec douceur vers la cuisine. Elle découvrit en entrant, les menottes reliées à une corde attachée à l’autre bout de la table, les cordes aux pieds de la table et le martinet, le paddle en bois, la tawse et la canne posait sur la table.
Afin de veiller à un minimum au confort et à ne pas blesser la jeune femme, Antoine avait ajouté une couverture sur la table et un coussin sur le rebord.
Il installa la jeune femme, qui se laissa faire sans lutter. Elle savait qu’il était décidé, cela ne servait à rien de discuter. Elle comprenait le sens de tout cela. Antoine lui avait dit qu’un jour il lui ferait lâcher prise totalement. Et bien ce jour était arrivé apparemment.
Eléa offrait une vue imprenable sur son intimité, les jambes écartées et attachées à un pied de la table. Elle offrit ses mains à Antoine pour les menottes. Certes, celles-ci étaient là pour l’empêcher de bouger, mais aussi pour la protéger. Un coup malheureux sur les doigts pouvait entraîner une fracture. Ainsi exposée, elle se sentait vulnérable et honteuse. Antoine se pencha sur elle et lui susurra à l’oreille, tout en passant une main sur son intimité
- Tu devrais avoir honte, je te punis et tu es toute trempée ! J’en déduis que je ne suis pas assez sévère avec toi.
La jeune femme gémit, elle n’y pouvait rien. Il le savait très bien, mais il jouait sur la honte.
Il lui administra une grande claque sur les fesses, ce qui lui fit pousser un petit cri.
Puis il commença avec les instruments. Il n’avait pas besoin de taper fort, les fesses d’Eléa étaient déjà très réceptives. Il utilisa tous les instruments sauf la canne. Elle aurait un rôle à jouer un peu plus tard.
Eléa n’arrivait plus à suivre. Outre le fait que ses fesses étaient un brasier vivant, que chaque coup rendait plus vif, mentalement elle arrivait au bout de ses limites. Mais elle avait beau implorer que cela s’arrête, rien n’y faisait. Elle ne voulait pas lâcher prise, cela lui faisait peur. Pourtant, elle pleurait déjà à chaudes larmes et son esprit en avait assez de se débattre.
Antoine continuait de jouer avec les instruments. Mais en réalité, il donnait à peine d’impact. Il voulait jouer, sur les différentes sensations des instruments. Il savait que cela perturberait suffisamment Eléa pour lui faire baisser les armes. Au bout de cinq minutes, Eléa ne demandait plus à ce qu’il arrête. Celle-ci avait effectivement baissé les armes. Il s’arrêterait quand il le souhaiterait, elle avait confiance.
Se rendant compte, du changement d’état d’esprit, il posa le martinet qu’il avait en main sur la table. Il détacha les pieds et les mains de la jeune femme qui pleurait pour de bon. Il recouvrit la jeune femme d’un plaid et lui dit doucement :
- Quand tu seras prêtes à recevoir la dernière partie de ta punition, rejoins-moi dans le salon avec la canne.
Il sortit de la pièce, laissant la jeune femme récupérer un peu. L’impact psychologique venait d’être assez puissant. Il ne la toucherait pas tant qu’elle ne se sentirait pas capable de supporter la dernière partie de sa punition. Il savait qu’elle viendrait à lui.
Eléa pleura à chaudes larmes et gros sanglots pendant un moment. Pourtant, elle se sentait plus légère. Le lâcher prise, lui avait fait du bien. Elle tourna sa tête vers la canne. Elle savait que celle-ci allait lui faire très mal. Elle en garderait les marques pendant quelques jours, mais elle l’acceptait et subirait sa punition comme elle se le devait. Elle se redressa, déposa le plaid sur la table, attrapa la canne et se dirigea vers le salon. Antoine était assis sur le canapé. Elle déposa la canne sur la table devant lui et se pencha en avant, mains posées sur la table basse, fesses offertes. Il attrapa la canne, se releva et se plaça à sa droite.
- Je vais te donner dix coups de canne et je vais faire en sorte qu’ils te laissent des marques pour quelques jours. Je veux que tu ais une piqûre de rappel de cette punition. Je ne veux plus JAMAIS te voir avec un tel comportement. Je me suis bien fait comprendre ?
- Oui, Monsieur.
- Bien. Alors on y va
Le premier coup tomba, fort, cinglant. Une marque violette apparut quelques secondes après. A la grande surprise d’Antoine, Eléa compta le coup en rajouta « Pardon Monsieur pour mon comportement inacceptable ».
Elle avait véritablement compris. Il lui donna les dix coups sans augmenter la puissance comparé au premier.
Après le dernier coup, il rattrapa une Eléa en pleurs. Il la prit dans ses bras, la déposa sur son lit sur le ventre. Il lui caressa tendrement le dos, lui disant que tout était pardonné, en attendant que les pleurs de la jeune femme se calment. Après cela, il lui passa de la pommade sur les fesses et celle-ci s’endormit, soulagée et sereine dans ses bras.
Malicia
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