A

Candidat au prochain prix Goncourt

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B

Félicitations

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C

Encouragement

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D

Encore un petit effort

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E

Des difficultés mais c'est bien d'avoir essayé, persistez vous êtes dans la bonne voie.

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F

Bourré de fautes d’orthographe, gros manque de cohérence dans le texte

8/20

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Une punition qui change une vie Concours par Asex (Hors concours mais le mériterait car l'idée est de lui et il offre un des lots, nous l'en remercions publiquement)


Depuis des mois je ne cessais de faire des bêtises plus ou moins grosses pour agacer ma femme.
Je cherchais à la pousser à bout, dans l'espoir de réveiller en elle ce que j'ai toujours vu.
Mais les choses ne se passent pas toujours comme on le voudrait.

Je vais vous raconter le début.

J'y étais allé particulièrement fort cette fois là.

Connaissant son heure de rentrée du travail, j'avais fais en sorte de me vêtir de ses vêtements, du moins de sa lingerie et je m'étais fait un selfbondage avec un icetimer. J'étais sur le lit marital qui est désormais son lit, avec des films BDSM qui passaient sur l'ordinateur face à moi qui était allongé entravé avec un plug vibrant dans l'anus.

Lorsque la porte a claqué et que je l'ai entendu m'appelée, je me suis dit que cette fois-ci, ça passait ou elle demanderait le divorce.

Ne m'entendant pas répondre, elle se mit à me chercher et lorsque la porte s'est ouverte, j'ai fermé les yeux. Je ne souhaitais pas voir sa colère, j'étais crispé.

Elle est partie à la salle de bains et je l'ai vu revenir avec une paire de ciseaux à ongles.
Je me rappelle encore que j'avais cru qu'elle allait essayer de me détacher avec ça.
Mais lorsque j'ai vu son regard, elle m'a dit : tu vas mijoter, et crois moi, tu vas mijoter longtemps.
Elle a coupé la ficelle de l'icetimer, a éloigné la paire de ciseaux d'urgence puis elle est partie et j'ai à nouveau entendue la porte se refermer.

Je ne savais plus quoi penser. Toutes les hypothèses se bousculaient dans ma tête.

Les heures passaient et la nuit était désormais là, de même que mon envie d'uriner.

N'en pouvant plus, je me suis laissée tomber du lit, encore heureux que je ne m'étais entravé sans m'accrocher au lit. Et tant bien que mal, j'ai rampé vers la salle de bain.
J'ai poussé la porte entre-ouverte espérant me rendre dans la baignoire.
J'ai eu bien du mal, à me dresser sur mes genoux en m'aidant du mur et de ma tête, pour ensuite basculer dans la baignoire toute froide.
Ma vessie me faisait mal, et je n'arrivais pas à me lâcher tellement j'étais stressée.
Heureusement j'ai fini par me laisser aller, un soulagement proche de l'orgasme.

J'ignore combien de temps j'ai mariné mais un claquement de la porte et des bruits de voix m'ont tirés de ma somnolence.

Quand Maîtresse (ma femme à cette époque) a fini par me trouver, elle s'est énervée, et m'a insulté.
J'étais pour elle, une pisseuse, une e n f a n t pourrie gâtée et ça allait changer.

Elle appela son amie et me la présenta.
« J'ai longuement parlé de ton cas avec Mirys. J'ai d'ailleurs mangée avec elle ce soir.
On est tombées d'accord sur la solution à apporter à ton problème.
Mirys est esthéticienne et va s'occuper de toi pendant que je m'occupe du reste.
A tout à l'heure. »

Maîtresse me laissa avec Dame Mirys.

Cette dernière me plaça un collier de dressage pour chien, vous savez, ceux qui sont électrifiable par télécommande. Puis elle coupa mes liens en me laissant mon bâillon et mes menottes.
Elle ne disait pas grand chose.
J'ai eu droit à une douche froide pour me décrasser.
Après quoi et à la suite de quelques contestations vite réprimées par le collier, elle m'a entièrement épilé, sourcils y compris.
Elle m'a posé une cage de chasteté en métal.
Et m'a alors fait marcher sur mes genoux, les mains toujours attachées dans le dos.

On a rejoint Maîtresse au salon qui m'a dit :
Je t'offre un seul et unique choix.
Tu ne peux émettre aucunes conditions.
Ta première option est le divorce.
Ta seconde option est de devenir ma bonniche, tu feras tout ce que je te demande sans rien dire et sans contester. Pour ce faire, tu seras travestit en permanence et plus encore.
Mais avant que tu choisisses, je vais te faire passer l'envie de faire des bêtises. Imagines que je serais rentrée avec ma mère ou des amis, tu ne penses qu'à toi.
Et pour te faire passer l'envie, on est passées faire quelques achats qu'on va essayer sur toi.

Maîtresse s'est levée et a renversé un sac sur le divan.
Je pouvais y voir deux cravaches, un paddle, une canne anglaise, des cordes, deux godes ceintures et des pinces.
Mirys s'est saisie des pinces pendant que Maîtresse enfilait un strapon, puis elle me les a accrochées. Deux aux tétons, une à chaque lobe d'oreille mais aussi sur les flancs, entre les doigts de pieds, les testicules, l'intérieur des bras.

Maîtresse s'est alors placée devant moi, m'a retiré le bâillon et avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, m'a enfourné son sexe en plastique dans la bouche.

Et c'est là que j'ai commencé à perdre pied.
Si je me souviens bien, pendant que Maîtresse s'occupait de ma bouche, Mirys s'occupait de mes fesses et de mes cuisses avec une cravache.
Puis elles ont inversé leurs rôles.
Mirys était toujours dans ma bouche quand Maîtresse m'a prise par derrière sans aucune autre préparation que ma salive. Par le passé, j'avais déjà joué de ce côté là, mais ici, c'était différent, la douleur se mêlait à l'humiliation et au plaisir.
Je ne voulais qu'une chose, que ça continue.
Maîtresse remarqua les soubresauts de ma nouvelle cage, tentative désespérée de ma verge de prendre son aisance et s'en moqua.
Je me rappelle pas bien ce qu'elles m'ont dit, j'étais ailleurs.
Après que Mirys ait pris la place de Maîtresse, elles ont toutes deux pris paddle et canne et m'ont données une volée dont je me rappelle encore.
Je crois même que j'ai défaillit car je me suis réveillée par terre, les mains et la bouche libre sous une couverture avec Maîtresse et Mirys qui parlaient.

Maîtresse semblait allait mieux, son caractère semblait revenu à la normale, les 6 mois de conneries que je lui avais fait semblaient loin.
Mais lorsque j'ai bougé, ces 6 mois se sont rappelés à moi, mes fesses et mes cuisses ainsi que mon sexe en cage et mes tétons me faisaient mal.

Maîtresse m'a alors demandée ma réponse.
Et si je l'appelle Maîtresse, c'est que vous vous doutez bien de ce que j'ai dit.

Le lendemain même elles me changeaient ma garde robe, m'imposèrent des règles de vie, des punitions en cas de fautes, et des séances d'entretien pour me rappeler ce que j'avais accepté.

Mais je crois que je peux dire qu'on a jamais été aussi heureux tout les deux.


PS : ceci est une entière fiction sans un seul brin d'expérience ;)

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Ce serait bien si on m'expliquait pourquoi ce 3?

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Ne cherche pas à comprendre Asex, sincèrement tous les textes que j'aie lu de ce concours ne méritent pas un 3.
Ils ont tous un charme aussi bien les uns que les autres, même si j'ai estimé que la fessée revenait souvent et que ça faisait trop cliché, ils ne méritaient pas une note aussi sévère.

En tout cas en ce qui me concerne, je publierai des histoires si l'envie m'en prend pour le plaisir d'écrire et de partager sur le site. Néanmoins, il est quasiment certain que je ne participerai plus à aucun concours d'écriture sur ce site. J'ai été désagréablement surpris de m’apercevoir que les lecteurs et lectrices étaient si indulgents, qu'ils fallaient des écrits à la haute qualité littéraire, frisant la perfection, pour avoir une note convenable.
Ceci étant, je garde tout de même le sourire.

:) Chaton.

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Continues de participer pour les participants ;)
Il y a toujours des rigolos pour essayer de faire du mal, faut pas que ça t'empêche de jouer avec nous ;)

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pareil pour moi; c'est la derniere fois que je participe à un concourt...
aucune impartialité.....

et pas assez de concurents... dommage....

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Il est vrai qu'il y a peu de participants et peu de votants.
J'arrive pas à comprendre.

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Le texte est sympathique, il pourrait être plus développé et la mise en plage plus soignée pour un concours.
Encouragement pour moi.

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Merci, d'autant que j'ai toujours été peu doué pour l'écriture.
Je n'arrive plus à progresser, du moins c'est l'impression que j'ai.
Alors des encouragements, ça fait toujours plaisir et invite à persister :)

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A mon avis, ceux qui ont mis des 3 sur tous ces textes l'ont fait parce qu'il n'avait pas le courage ou les capacités d'écrire. Cela doit être une forme de jalousie :idea: ou de méchanceté gratuite.

Question à l'attention de ceux qui ont mis des 3 : il est possible que je me trompe, auriez-vous le courage de justifier votre choix ?
Il est peut-être justifié par ???? l'expliquer serait bien.

Je sais que le webmaster va essayer de savoir qui a voté 3 via le serveur, nous en saurons peut-être plus d'ici quelques temps........

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Ce qui est drôle aussi c'est qu'on tourne toutes et tous ou presque autour de du même nombre de mauvais votes.
Je commence même à trouver ça drôle tellement c'est nul :D