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Bonjour,
Je ne savais pas quel titre mettre à mon témoignage et m’excuse par avance si je ne le poste pas où il faut sur le forum.

Voilà, avec mon chéri et Maître il s’est installé une habitude qui est originale. Dans nos débuts, une fois il m’a attachée nue debout, les mains en l’air avec un bandeau sur les yeux. Après m’avoir un peu laissée attendre et m’inquiéter, il m’a donné une fessée au martinet. Quand ses coups se sont dirigés vers mon dos, il parait que j’ai tendu les fesses et beaucoup apprécié. Dans un moment de folie je me suis retournée et je lui ai offert mes seins. Je voulais voir ce que cela faisait et découvert que c’est bon si c’est pas trop fort. Cela a duré un moment avant que je le happe d’une jambe quand il est venu me câliner. Je le voulais en moi de suite et sans qu’il ne me libère. Il m’a prise comme ça, debout sans me libérer et ce fut grandiose.
Depuis c’est devenu un prélude aux coïts sauvages qu’il veut que je vous raconte pour me faire évoluer dans ma timidité.

Quand j’ai envie de..... je dois aller m’installer seule nue et avec un bâillon pour ne pas ameuter les voisins. Mettre le bâillon m’excite tout autant que le bandeau. Mettre les menottes et les bloquer dans le crochet fixé à la chaîne qui pend d’une poutre pour y mettre un soi-disant lustre aussi. Il aime me faire attendre, cette attente est aussi cruelle qu’excitante, j’en arrive presque à couler tant je suis excitée. Après c’est lui qui décide de tout, je suis sa chose. Parfois il arrive pieds nus, son premier coup de martinet me fait très peur à cause de la surprise. Parfois il s’annonce en me disant que je vais « souffrir » pour son plaisir et quand il dit ça, c’est plutôt douloureux surtout au début. Passé un moment je n’ai plus mal, les coups me font mal et du bien. Je les redoute et les réclame. Quand il fait une pause câline parfois avec ses doigts qui visitent mon entrejambe, j’attends les autres avec impatience. Quand il décide que sa proie volontaire est prête, il me fait pencher en avant en reculant les pieds pour que je m’offre à lui. Faire l’amour comme ça me rend folle car je sens encore la chaleur et la peau qui pique à certains endroits, cette chaleur raccourcit considérablement le temps qu’il me faut pour jouir.

J’ai maintenant une question qui me tracasse à poser aux soumises. Est-ce vous aussi le BDSM a changé votre sexualité parce que j’en ai de plus en plus besoin pour jouir.

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Ta façon d'emmener les choses m'a émue et émoustillée lol. Je crois que quand on a goûté à ces plaisirs piquants on a du mal à revenir au vanille perpétuel et qu'il nous manque quelque chose s'il n'y a que ça. C'est aussi mon cas. :oops:
Bisous sucrés

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Merci de ta réponse, je me sens moins seule avec mes interrogations. Je te contacte en MP si tu veux bien.

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[color=#FF0080:2820uipw]Très beau récit excitant en effet, merci pour ce partage,

Pour ma part le BDSM a changé ma vie,

L'attente est excitante, s'abandonner dans la douleur se transforme en pur plaisir,
les jouissances sont plus intenses, :D

Le monde vanille est pour moi une page tournée, car elle n'offre pas de telles jouissances. [/color:2820uipw]

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Ca c'est sûr, le monde vanille n'offre pas de telles jouissances même si faire l’amour est bien aussi lol

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Il faut goûter au SM et à la jouissance SM pour comprendre. Sans l'avoir vécu, cela reste abstrait.
Le plaisir dans la douleur est quelque chose qui s'emmène avec douceur. REEL ! ! ! (Je ne me trompe pas dans les mots)
J'ai vu beaucoup de personnes parvenir à la jouissance REELLE dans le SM, et une fois la ""chose""" lancée, un gros câlin après n'est que meilleur.