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Le subespace n'est pas un mythe mais bien une réalité. Les soumis et soumises le découvrent parfois dans le monde du BDSM qui est propice à cela. De quoi s'agit-il ?

En BDSM poussé pour ne pas dire Hard, il arrive que les personnes passent le cap de ne plus pouvoir dire STOP. La douleur n’est plus ressentie de la même façon, elle est altérée par les endomorphines libérées par le cerveau pour combattre la douleur et le plaisir SM.

C'est au maître (ou à la Maîtresse) de savoir s'arrêter en comprenant que ce n'est pas de la provocation si la personne ne dit pas STOP ou le mot choisi pour arrêter une pratique.

Le plaisir ressenti pour la personne soumise est immense, il arrive parfois qu’elle jouisse et continue d’avoir des contractions une fois la séance terminée.

A SAVOIR

Chez l’homme, la jouissance ne se traduit pas par une éjaculation, (je n’en ai jamais vu) mais uniquement par des contractions intenses qui parcourent tout le corps. Il arrive que des femmes jouissent au point de faire « fontaine ».

Juste après une telle séance que l’on peut qualifier de hard, il faut couvrir la personne car elle a froid et ne s’en rend pas forcément compte.

Des maux de tête surviennent parfois après, en principe ils ne durent pas.

ATTENTION DANGER ! Lorsqu’une personne atteint le subespace, elle peut perdre connaissance et donc si elle est débout, chuter sur le sol et se blesser.

Si la personne a du mal à « revenir sur terre » et continue d’avoir de très forts tremblement, une carafe d’eau à lui vider sur la tête peut s’avérer utile.

Si une personne a des problèmes cardiaques il est prudent de ne pas aller aussi loin dans le SM sous peine d’avoir un accident.

UN EXEMPLE à découvrir si vous ne connaissiez pas :

Pour découvrir un exemple de pratique, je vous propose de lire mes échanges avec Taquine&curieuse. Elle relate très bien ce qu’elle a vécu et ressenti.



TSM

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Bonjour , un récit très instructif , j'en Apprend tout les jours,

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Bonjour,

C'est impressionnant ce que notre cerveau et notre corps sont capables d'accomplir.

Merci pour le récit et les explications sur cet état.

Une question me vient à l'esprit :
Je me doute bien qu'il y a quelques facteurs à réunir et un savoir-faire pour y emmener la personne soumise, mais s'ils sont là, est-ce que tout le monde peut accéder au subspace ou certaines personnes n'y arrivent jamais ?

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j'ai connu une fois ce subespace, sous les lanières de cuir d'un martinet... 6 lanières
au bout d'un moment, je ne savais plus où j'étais, qui j'étais. je ne ressentais plus de douleur, plus de plaisir non plus.

merci à mon fesseur qui a sû deviner, voir et qui a stopper la flagellation...

je ne sais pas si je pourrais recommencer, il faut une tres bonne confiance entre les partenaires, savoir se laisser aller...

à la fin de la séance, mon ami m'a portée dans le lit sous la couette pour que je reprenne doucement mes esprits....

je crois que je préfère néanmoins être toujours en pleine conscience de ce que je reçois....même si je sais m'abandonner...

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Bonjour,




Je ne donne que mon avis, mais je ne suis pas sur qu'il faille un savoir faire en particulier, à part rester attentif à l'autre. Je pense que le subspace est très lié au contexte, à la personne qui donne, aux attentes à l'instant T. C'est multifactoriel. Pour ce que j'en sais, c'est un état assez recherché, mais tout le monde n'y est pas forcément sensible. De plus je pense qu'il se manifeste de façon assez différente chez les uns et autres.
Le tout étant de ne pas chercher à l'atteindre, cela se fait naturellement. Cette fois là sous le fouet je n'ai pas compris ce qui se passait, je sais juste que j'étais crispée sous la douleur et la seconde d'après je me détendais complètement.



Personnellement quand je suis dans cet état là, je veux qu'il dure car je me sens bien. ^^