Un moment romantico-sadique

Un soir, alors que les températures étaient très clairement frisquettes, mon cher et tendre Maître, me demande si je veux qu’il allume la cheminée.
Je n’ai pas besoin de trois secondes de réflexions pour lui répondre oui. J’aime les feux de cheminées, idéal pour se réchauffer et bouquiner devant. Je suis malheureusement, une catastrophe pour les allumer. Par contre, aucun souci pour Maître. Le feu démarre doucement, puis prends bien.

Une fois que le feu est bien parti, il me demande un coup de main pour déplacer la table du salon et mets le canapé, juste en face de la cheminée. Il me demande de lui resservir un verre et dans ma tête, je me dis « chouette un petit moment en tête à tête au coin du feu ». Effectivement quand je reviens, il est installé sur le canapé. Je dépose son verre et il me dit : « déshabille-toi et pose ton front contre la cheminée ». J’obéis, en me disant que je ne m’attendais pas à cela. Je pose donc mon front contre la cheminée mais recule mon ventre et mes jambes, parce que ça chauffe bien. Du coup, il a une très jolie vue sur mon fessier, encore bien marqué, de notre dernière séance de jeu.

Je finis par gigoter devant le feu, parce qu’il fait chaud. Il m’appelle auprès de lui, et je m’approche, prête pour un câlin. Quand il me dit : « Maintenant que tu as chaud devant, il faut que je te réchauffe derrière ». Ben zut et mon câlin alors !!! Je m’allonge sur ses genoux. Il me confirme que, il fait chaud devant la cheminée et je rigole. La fessée commence toute gentille. Mais malgré cela, je commence à gesticuler, mes fesses étant très très beaucoup sensible. Les coups ne sont pas bien forts et uniquement à la main. Il n’y a pas besoin de plus.

C’est juste une fessée pour le plaisir. Maître me taquine et me provoque, mais pour une fois, je ne réponds pas aux provocations. Il faut savoir épargner son fessier de temps en temps.

Cela n’empêche pas quelques claques plus piquantes, pour menace de représailles différées. Puis, la fessée s’arrête et ses mains se font caresses, il me relève de ses genoux et me tends les bras pour un câlin. Je m’installe sur ses genoux, je grimace et dans ses yeux brillent une lueur d’amour et d’amusement. Je l’embrasse dans le cou et sa bouche cherche et trouve la mienne.

Ses mains tapotent sur mes fesses douloureuses et je le traite de sadique. Il me remercie et me dit, qu’on est quand même en version romantique, malgré une pointe de sadisme, il veut bien l’admettre. Puis, s’en suit un moment câlin et tendresse, comme je les aime, à la lueur du feu de cheminée.
il y a 4 ans

La soirée piquante n’était pas une punition, son but était simplement de jouer autour de la fessée et de laisser quelques marques avant son départ pour une grosse semaine. Si elle aime bien être « poussée dans ses retranchements », l’état de son délicat fessier confirmait que j’avais bien fait d’arrêter de la fesser. Le lendemain, il me semblait donc nécessaire d’épargner son joufflu, ce qui n’interdisait nullement le plaisir coquin d’y laisser courir les doigts. Raviver ainsi les souvenirs de part l’émotivité de son épiderme devenu ultra sensible m’amusait.

Mes sournoises propositions de « punition » furent déclinées avec les formes d’usage établies par « moi ». « Non s’il vous plait Maître adoré ». Il faudra qu’elle apprenne à remplacer le mot « non » dans ses formulations, mais un pas après l’autre. Tout au long de la journée, je l’ai taquinée sur le confort des chaises, ou en claquant avec une extrême douceur l’arrière train de la belle quand elle passait à côté de moi.

Les départs sont comme des micros ruptures, même si elles ne sont que temporaires, le coeur les ressent. Si le mot « tristesse » est un peu fort, une forme de grisaille s’installe malgré tout dans l’ambiance. Pour emmener un petit rayon de soleil en cette morne soirée, l’idée de jouer à nouveau me titillait. La puce aime les feux de cheminée, lui proposer d’en faire un ne pouvait que lui faire plaisir. Le feu crépitant dans l’âtre peut parfois être source d’inspiration ! L’idée de la « martyriser » encore y a vu le jour avec cette élégante phrase : « va te laver le cul ». J’aime bien parfois ce genre de vocabulaire, je l’utilise rarement, la vulgarité gratuite ne m’amuse pas.

« Oui maître » fut la réponse de la belle dont les yeux brillants illuminèrent son visage. Elle avait compris le sens de cette phrase et s’en réjouissait. Comme elle l’indique dans son petit récit « Un moment romantico-sadique » à la sortie de sa douche, je lui ai demandé de me servir un verre et de m’aider à déplacer le canapé pour le tourner face au feu crépitant gaiement.

- Déshabille-toi et pose ton front contre la cheminée !

Cette position avec la cheminée ouverte, ne pouvait que plaire au bois qui, avant de partir en fumée, se rinçait l’oeil. Pour la remercier de cette exposition, il réchauffait le coeur malade de la belle, mais pas que son coeur.... Après avoir goûté la douce chaleur, son « devant » dut se reculer pour en limiter les excès. Insensiblement, si le devant recule, le derrière aussi. En spectateur privilégié et avec le verre à la main, j’ai pu savourer du regard la migration exposant à mes yeux gourmands le délicat fessier agrémenté de dessins horizontaux.

La distance entre son devant et la cheminée augmentant, en la voyant se plier en deux, j’en ai déduis qu’elle était « cuite à point ». Il me fallait donc vérifier l’état de la cuisson en lui demandant de s’allonger sur mes genoux. Étant un adorable sadique, positionner un petit coussin pour que sa tête trouve du confort sur l’accoudoir me sembla une sage idée.

Hummmm, la belle était devant « chaude » à point. Hélas, le derrière était froid ! Ne pouvant laisser se déséquilibre, je n’avais pas d’autres choix que de le réchauffer. Bloqué par ce corps et, ne pouvant donc me lever pour aller chercher de quoi la couvrir, utiliser les moyens du bord s’imposait. C’est en grattant mon oreille qu’une giroflée à cinq branches s’est proposée.

- Soit, qu’il en soit ainsi ! A été ma réponse.

Oh la fessée fut soft, cette fois, je n’allais pas m’épuiser ! Rien que d’effleurer le joufflu froid le faisait bondir. Même mes caresses faisaient réagir la propriétaire des fesses exposées à ma gourmandise. Dans un élan de générosité affective, je pris la belle sur mes genoux pour un « chti » câlin compensatoire.

Et là, comble de l’infamie, en guise de « merci Maître » elle osa me traiter de « sadique » !

Hummmm, un joli mot que mes prudes oreilles apprécièrent à sa juste valeur.

TSM

Note de l’auteur :

Je me suis un peu amusé en partageant du réel, ce qui pour une fois, n’est pas comme les xxx histoires érotiques ou romans que j’écris. Désolé pour cette forme rapide et non travaillée.
il y a 4 ans

tres jolis moments de partage;

il est vrai que les feux de cheminées laissent à rever
de moments de tendresse et d'amour....
ce qui n'exclu pas les jeux !
merci !
il y a 4 ans

Ces deux témoignages autour de la fessée sont très sympa.
Présentement, pour moi, ce serait plutôt devant la climatisation ! (La mienne est en panne)
il y a 3 ans

Deux témoignages d'une même fessée qui sont fort sympathique et qui montre que l'on peut mélanger, amour et BDSM. Merci beaucoup pour le partage
il y a 1 an

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