La première domination virtuelle de mon Maître

Cela faisait quelques jours que je jouais avec le feu. Et il était arrivé ce qu’il devait. J’ai raté un de mes examens. Comment dire que quand, j’ai dû annoncer cela à mon Maître, il y a eu une sérieuse explication. Nous étions sensés nous voir que dans une quinzaine de jours. Mais, mon Maître a décidé que mon comportement méritait sanction immédiate.

Il a donc prévu une journée de domination à distance. Il m’appela donc un matin, me demanda d’allumer mon ordinateur et ma webcam. Il m’ordonna de me présenter nue et d’attendre ses instructions pour ma tenue de la journée.

Vu que je vais toujours à la Fac, il décida que la première chose que je devais porter était mes boules de geisha. Je m’exécute devant lui, puis il continue. Ma tenue sera des sous-vêtements sage, une jupe écossaise et un chemisier blanc. Heureusement pour moi, je possède tout cela dans ma garde-robe. Pour les chaussures, j’ai le choix entre des ballerines et des chaussures à petits talons. Je choisis les ballerines, vu que je dois traverser quasiment tout le campus. Il accepte ma décision et je le remercie.

Je me dois de lui envoyer toutes les heures, une photo prouvant que les boules sont toujours en place. Je n’aurais le droit de les retirer, uniquement quand il me le dira. Je me dois aussi, de le rappeler, au début de mon heure de permission, afin qu’il me donne le travail à faire. Je fais la tête quand il m’annonce cela. Mauvaise idée, je finis en position 6, pour dix minutes d’engueulades. Je suis au bord des larmes. Il me souhaite une bonne matinée et me conseille de me dépêcher. Je me dois de lui envoyer un message lorsque j’arrive afin qu’il puisse vérifier mon heure d’arrivée. Si je venais à être en retard, une punition serait rajoutée à mon carnet.

J’arrive avec cinq minutes d’avance et envoie mon message. Je suis mes cours de la matinée, mais sans grande motivation. J’envoie les photos demandées. Cependant, je sais que mon Maître est furieux, je ne veux surtout pas en rajouter. A l’heure du repas, je me prends un sandwich et une bouteille d’eau. Je me pose sous le saule et prends l’air. Puis les cours reprennent. Mon heure de pause est juste après mes deux heures d’économies.

Je l’appelle donc dés les premières minutes. Il me demande de faire des fiches sur mes cours précédents et d’insister sur mes cours d’économies. Bien entendu, je me dois de lui envoyer une photo de mes fiches et le rappeler, dès que je suis de retour chez moi.

Une fois mes cours terminés, je rentre directement chez moi. Je prends un verre d’eau et appelle mon Maître. Il me répond de suite et m’ordonne d’enclencher ma webcam. Il m’explique qu’il va d’abord sanctionner l’étudiante et après la soumise. J’avale ma salive et réponds « oui Maître ».

La première sanction est une véritable punition d’écolière. Je me dois de recopier mes fiches d’économies, au stylo plume, avec le paillasson sur ma chaise et moi, assise dessus fesses nues. Bien sûr, je me dois de tout mettre en place devant lui et d’exécuter la punition, sous son œil attentif.

Il me faudra quasiment une bonne heure pour recopier mes cours. Le paillasson sous mes fesses, finit par être douloureux. J’essaye de bouger un peu afin de soulager la douleur, mais j’ai le droit à un rappel à l’ordre à chaque fois. Une fois la punition finie, je montre le travail à mon Maître. Il paraît satisfait. Cependant, cela ne l’empêche pas de m’envoyer au coin pour quinze minutes, mains derrière le dos, tenant la jupe relevée. Une fois le temps écoulé, j’ai la permission de sortir du coin et d’aller prendre un verre d’eau. Ensuite, je me dois d’apporter, mon collier, les pinces à seins, la queue de chien, la laisse et les menottes.

Je me représente devant lui avec tout ce qu’il m’a demandé. Il m’ordonne de me déshabiller, de mettre mon collier et de prendre la position 6. J’ai eu le droit à un sérieux recadrage. J’ai fini en larmes. Ce n’était pas le fait de me faire gronder, mais d’avoir déçu mon Maître.
Il me dit que ce n’était pas la peine de pleurer. Que ce qui était fait, était fait. Maintenant, il ne me restait plus qu’à être une bonne « petite » obéissante.

Je hoche la tête. Il me demande de mettre la queue, les pinces à seins et les menottes. Il me demande la position 11. Il me laissera ainsi pendant un long moment. Cependant, je ne bouge pas d’un millimètre, je souhaite faire plaisir à mon Maître.
Après cela, il m’ordonna d’aller chercher un bol d’eau et un bol de petits légumes, de plier une couverture et de la poser au sol ainsi que les bols. Il me dit : « pour la prochaine heure, tu vas te conduire comme une bonne chienne et être sage. Descends ton ordinateur portable que je puisse te surveiller avec la webcam».

Je m’exécute et je m’installe en boule sur la couverture. Je finis tout doucement par me mettre dans le bon état d’esprit. J’aime être sa chienne soumise, cela ne me laisse jamais indifférente. Même de loin apparemment. Au bout d’un certain temps, je finis par m’endormir.
Lorsque je me réveille, mon Maître m’autorise à me relever et m’ordonne de me mettre sur mon lit. Et il me demande une chose complexe. Il veut que je me donne du plaisir devant lui, sans retirer ma queue, ni les pinces. J’ai un peu de mal au début, puis je commence à partir. Je suis au bord de la jouissance mais je ne ferai rien sans sa permission. Mais, il me la refuse. Je grogne de frustration mais n’insiste pas. Il est le seul à décider et je me dois d’obéir.
Il m’ordonne de retirer les pinces, ma queue et mon collier. Je dois poser l’ordinateur sur ma table de nuit, afin qu’il puisses surveiller ma nuit. Il tient à ce que je dorme et que je ne surfe pas pour être en forme le lendemain comme une étudiante sage et disciplinée.

Avant de me souhaiter une bonne nuit, il me dit qu’il est content de moi, que j’ai été une bonne petite. Que la prochaine fois qu’on se verra, il me ferra essayer la fessée avec la queue, dans la mesure où, les sensations devraient ne pas être désagréables.

Il me souhaite une bonne nuit, m’envoie un baiser à distance et m’ordonne de me coucher.
Je me suis endormie sans problème, épuisée par ma journée mais heureuse d’avoir su me faire pardonner et d’avoir fait plaisir à mon Maître.

Fraise
il y a 8 ans

Merci pour le partage de cette expérience.
Ton écriture est fluide, ce fut un plaisir de vous lire.
il y a 8 ans

Publicité en cours de chargement