soumis a mon ex soumise...

Ne pas faire aux autres ce qu'on n’aimerait pas recevoir...

Cet adage, Maîtresse l'a appliqué a la lettre.

En effet, un vendredi soir d'aout, elle m'a attaché au lit clic-clac de la chambre d'amis, après avoir bu une forte quantité d'eau, un plug vibrant et gonflé a bloc dans l'anus et une bonne épaisseur de couches pour passer la nuit. Les yeux bandés en plus, j'étais dans un noir total. Maîtresse m'avait mit 3 couches épaisses avec 2 inserts par couche.

Mais, après une nuit ou j'ai bien rempli mes couches, Maîtresse m'a laissé toute la journée de samedi dans cette position et la nuit suivante sans avoir été libéré un seul instant.

Oh bien sur, elle n'a pas manqué de venir m'hydrater toutes les heures environ au biberon et me donner quelques éléments à manger histoire de caler mon estomac. Mais que la journée fut très longue.
Je l'ai même entendue s'absenter un bon moment. Mais faute de pouvoir voir l'heure, je n'avais pas le moindre repère ni notion du temps ou elle s'est absentée.
A son retour, j'ai bien entendu que quelqu'un était présent a la maison, mais je n'ai pas réussi a identifier cette personne. J'ai juste deviné qu'il s'agissait d'une femme.
J'ai sentis les draps et la couette m’être enlevé histoire de laisser apparaitre mes couches ce qui n'a pas manqué de faire rire les 2 femmes. Et Maîtresse d'ajouter "tu vois comme il a encore pissé dans ses couches? Tu comprends qu'il faut bien le protéger ce petit soumis". Et à nouveau des éclats de rire des 2 femmes.
Maîtresse a remis draps et couette sur moi puis m'a souhaité une bonne nuit. a part le rire, cette mystérieuse inconnue n'a pas parlé et je n'ai pas réussi a la reconnaitre.

J'ai eu beaucoup de mal a trouver le sommeil. D'abord parce que je n'étais pas fatigué puis je me demandais qui était présent aux cotés de maîtresse a "jouir" de me voir dans une telle posture.

Ce n'est que le dimanche midi que Maîtresse est venue me libéré de mes liens pour venir saluer notre invitée, Miss Pow, que j'avais mise dans cette même posture quelques mois auparavant alors que je la dominais.

Elle n'a pas manqué de bien rigoler de la situation, elle qui n'est plus soumise a qui que ce soit et qui ne veut plus l’être pour le moment. elle a même osé demander a Maîtresse que je garde mon épaisseur de couches et que je retourne au lit passer une nouvelle nuit attaché mais par ses soins. Comme je le craignais, Maîtresse a validé sa demande en sachant parfaitement que ça allait me chagriner fortement.

Sitôt le repas du dimanche midi fini (j'ai bien entendu assuré le service et débarrassé la table), Miss Pow m'a conduis a l'étage pour m'attacher au lit. Toute fière de son œuvre, elle m'a dit "Fallait pas me faire ce coup la. Maintenant, a moi de me venger petit soumis".

Elle a assuré mon hydratation pendant l'après-midi mais j'ai du dormir une nouvelle fois tout attaché sans espoir de liberté.

Le lundi matin, elle est venue me libéré. Maîtresse m'a ordonné d'aller à la douche et de retirer le plug.
Après la douche, de retour dans la chambre d'amis, Miss Pow n'a pas manqué de rigoler en voyant ma cage de chasteté. J'ai pu constater qu'une nouvelle forte épaisseur était prête et qu'il était évident que ça m'était destiné.
Maîtresse m'a alors annoncé: "Miss Pow est mon invitée toute la semaine. Elle m'a demandée le droit de te commander toute la semaine et je ne me voyais pas lui refuser un tel souhait. Tu prendras tous tes ordres auprès d’elle et uniquement elle. Ce qu’elle te demande, doit être obéi comme si c’était moi. Si tu te loupes, elle te punira avec mon accord et en ma présence."

Miss Pow a prit la parole pour établir ses règles, ses souhaits. Dans sa domination, il y a eu comme une vengeance de ce que je lui ai fait vivre auparavant.
« Tu es sous mes ordres pour toute la semaine. Quand tu t’adresses à moi, tu m’appelles Maîtresse Pow. N’attends pas de la compassion pour toi de par notre ancienne relation. Tu es soumis et j’attends de toi que tu le montre sur toute la semaine. »
J’ai juste validé par un « Bien Maîtresse Pow » qui n’a pas manqué de faire sourire l’invitée de Maîtresse.
Me voila donc parti pour une semaine de tous les dangers. Je m’attendais au pire avec Miss Pow. D’autant plus qu’elle détenait les clés de ma cage de chasteté, fièrement logée a une chaine, tombant contre sa poitrine. Tout pour vraiment montrer sa position de dominante pour la semaine.
Son premier choix a été de me remettre des couches. 3 couches épaisses et bruyantes avec 2 inserts par couche. Un gros volume plus un short qui ne cachait pas grand-chose. En haut, un tee-shirt sport avec un dos en mailles fines « ouvertes » pour laisser transpirer et aérer le dos lors des efforts. Sauf que pour ce cas précis, tout le monde derrière moi, voyaient mes couches distinctement.
Pour l’après-midi, la sortie en bord de mer a fait son plus bel effet et Miss Pow ne s’est pas privée de m’appeler attendant en retour le fameux « Oui Maîtresse Pow ? » Cette balade a été un grand moment de solitude et franchement, même pour un ABDL convaincu, je n’ai pas trouvé de plaisir à être affiché comme ca. Sur la route du retour, Miss Pow m’a expliqué que c’était une vengeance d’une journée avec une de ses copines ou elle a due sortir avec une grosse épaisseur, une jupette trop courte, un chemisier qui ne cachait pas le haut de ses couches et que comme pour elle, j’ai du enlever mon short pour monter dans la voiture et rentrer a la maison. Les couches à l’air.
Le lendemain, Après le repas du midi, elle m’attaché au lit dans la chambre d’amis. Bras et jambes écartés. Les yeux bandés, je n’ai rien vu, juste senti le wonder qu’elle activait sur ma cage de chasteté pour me faire jouir. Elle est venue a mon oreille confirmer son objectif « Ne luttes pas petit soumis, tu vas jouir jusqu’à l’épuisement. » Encore une vengeance de ce que j’ai pu lui faire vivre a plusieurs reprises.
Après cette séance plaisirs et supplices à la fois, les soupçons devenaient grands et je devais lui demander. « Je veux bien répondre à ta question, mais si je réponds, tu en seras puni. Y tiens-tu vraiment ? » La perspective d’être puni ne m’enchantais guère, me je voulais vraiment savoir. « Oui Maîtresse Pow, je souhaite savoir ». Sa réponse a confirmé ce que je pensais. Sa semaine de domination ne sert qu’à me faire vivre les moments désagréables que je lui ai fait vivre quand je la dominais.
« Ne te rhabille pas ! Maintenant je vais te faire regretter cette question stupide dont tu connaissais la réponse. Je vais te punir sévèrement ! »
Dans le grenier, elle m’a installé bras et jambes écartés et fermement attachés. Elle est venue face a moi, le fouet a la main. « Tu vas regretter cette question stupide dont tu connaissais la réponse. D’autant plus que je t’ai laissé pleins d’indices pour le comprendre. 50 coups de fouet te feront réfléchir avant de parler ».
Je ne l’avais jamais vue aussi déterminée, aussi sérieuse, aussi sévère. Elle s’est placée dans mon dos puis elle a commencé à me punir….à la cravache. Ouf, ce n’est pas le fouet. Après les 50 coups bien appuyés sur le haut de mes cuisses et mes fesses, elle m’a confié ne pas savoir manier le fouet, donc elle a choisie la cravache. Le tout, sous le regard de Maîtresse qui n’a pas dit un mot.
J’ai passé la nuit dans cette position très inconfortable avec des liens desserrés afin de pouvoir bouger sans trop de soucis. Inutile de dire que j’ai très mal dormi. Au réveil, elle m’a fouetté avec des….orties bien frais sur tout le corps. « Une idée puisée sur Le site de TSM, Tu ne manqueras pas de le remercier de ma part ». Ce n’est que vers midi qu’elle m’a détaché pour servir le repas dont j’ai été privé purement et simplement. Je regardais Miss Pow et Maîtresse Patricia manger correctement sans que je ne puisse caler mon estomac vide depuis la veille….midi. Le tout simplement vêtu de ma cage de chasteté.
Quand la table de ces Dames fut débarrassée, Miss Pow m’a posé mon collier, ma laisse, m’a mis à 4 pattes, puis elle m’a attaché les mains dans le dos et enfin, une gamelle au sol, j’ai eu droit aux restes mélangés de ce qu’elles n’ont pas voulues finir. Un repas comme un chien que je lui avais fait vivre il y a quelques années.
L’après midi, j’ai eu le droit d’aller dormir correctement avant de servir le repas du soir puis d’être mis en couches pour dormir attaché au lit comme toutes les nuits sous ses ordres.
Le lendemain, Miss Pow m’a fait passer sous la douche très tôt. Puis une fois propre, elle m’a féminisé de la tête aux pieds. Un sert taille qu’elle a prit soin de fortement serrer. Une mini jupe très courte qu’elle m’a offerte pour l’occasion, pour le reste, des attributs classiques pour une femme ou pour paraitre femme. Miss Pow m’a elle-même préparée, maquillée, façonnée afin d’avoir LE résultat qu’elle souhaitait. Ca a demandé toute la matinée. Que ce soit Maîtresse ou moi, nous avons été bluffés par le résultat. Mais la tenue faisait vulgaire pour ne pas dire pute.
L’après-midi a été consacré a une sortie que j’avais baptisé « Pretty Women ». Sortie shopping, essayages en tous genres. Mais cette fois, la Pretty Women, c’était moi. J’avais ordre de ne jamais parler et de me laisser faire dans les magasins visités ou un budget était prévu en accord avec Maîtresse. Je dois avouer que cet après-midi a été un vrai bon moment de complicité malgré ma féminisation.
La dernière nuit, Miss Pow a souhaité que je dorme libre de mes mouvements, une première donc. Pour cette dernière nuit, elle a choisie de dormir avec moi histoire de recréer notre complicité passé. Je n’ai rien tenté, ou pu tenter puisque je n’ai pas été libéré de ma cage de chasteté. Mais Ce n’était pas le plus important. Le lendemain, Miss Pow a rendu les clés de ma cage de chasteté a ma Maîtresse puis elle a prit le train en direction de sa région natale, la ou elle a sa vie, loin du BDSM et des plaisirs qu’il procure. Même pour une petite semaine.
Je me suis donc retrouvé sous les ordres de Miss Pow pour 7 jours, le temps de sa présence à la maison. Ou plutôt, j’ai subi la vengeance de mon ancienne soumise pendant une semaine. Mais quel plaisir de l’avoir a la maison. Elle n’est plus vraiment soumise, elle n’est pas du tout dominatrice. Elle est Miss Pow, une amie très joueuse et joyeuse de revenir voir sa terre d’accueille.

A très bientôt Miss Pow.
il y a 4 ans

Très belle histoire excitante ... :D
il y a 4 ans

bonjour,
sans vouloir casser l'ambiance, si ce beau récit est vrai, il est totalement irresponsable de quitter les lieux en laissant son soumis attaché.
il y a 4 ans

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