La fessée au travail devient légale à vos claviers

Imaginons que la fessée au travail devienne légale, aussi bien pour les hommes que pour les femmes. Je parle de fessées justifiées pour faute réelle ou non respect du règlement intérieur.

Dans ce petit jeu d’écriture ou d’anecdote réelles ou imaginaires, ces fessées seraient données par la hiérarchie directe et non pas uniquement par le patron. Exemple, la chef caissière pourrait fesser la caissière.

A partir de là, cela ouvre un espace pour l’imagination féconde de nos fantasmes et petits délires.

Imaginez une petite histoire sur cet thème.

LE CADRE EST LE SUIVANT :
Sarco et le gouvernement sont devenus fous, tout comme les syndicats qui, sans nul doute, avaient des envies de donner des fessées et de voir des fesses nues dans leurs propres entreprises. La loi est passée, son application est entrée en vigueur et inscrite dans le code du travail.

LE TEXTE DE LOI (en résumé)

- Tout salarié(e) refusant d’être fessé(e) s’expose à un avertissement. Au deuxième avertissement, la personne est licenciée sans préavis ni indemnité.

- Ces fessée doivent être validée par le conseil de discipline de l’établissement ou à défaut par le conseil des prud’hommes.

- Ces fessées doivent obligatoirement être données devant 3 témoins et ne pas être sujette à des attouchements sexuels.

- Ces fessées doivent être données par le supérieur hiérarchique direct.
il y a 4 ans

J’ouvre le bal avec une petite histoire rapide

Elodie est folle de rage, elle sait très bien qu’elle n’y coupera pas en voyant son représentant syndical partir au conseil des prud’hommes pour la défendre avec le sourire aux lèvres. Elle a oublié de commander la grue de chantier, les ouvriers n’ont pas pu travailler, cela représente donc un préjudice pour l’entreprise. Comme c’est sa deuxième faute, son cas n’est pas défendable.

Après une nuit difficile, le lendemain en voyant arriver son chef de service, elle sait ce qu’il l’attend, cet « rat d’égout » d’après elle, se frotte les mains, son sourire est radieux.

- Mademoiselle, conformément à l’article 16.1A du code du travail, je dois vous donner une fessée. Vous avez le droit de la refuser mais cela vous expose à un licenciement immédiat puisque c’est votre deuxième faute et que le conseil des prud’homme a validé la dite « faute ». Quelle est votre décision ?

Elodie est blême, son coeur bât la chamade, elle a envie de pleurer et même de gifler son chef, hélas, elle ne le peut. Sans salaire ni indemnité, ayant déjà des retards de loyer et plus de famille, sa vie finirait dans la rue comme une SDF. Elle ne peut donc qu’accepter cette horrible punition.

- J’accepte ! Répond Elodie d’une toute petite voix.

- Je vous prie d’aller m’attendre dans la salle de réunion, je vais chercher des témoins.

A petits pas, les mains moites et avec les larmes aux yeux, elle se rend dans la salle de réunion en se demandant qui seront les témoins de cette humiliation. L’attente est cruelle devant les trois chaises des témoins qui sont déjà disposées face à celle où .... La porte qui s’ouvre la fait bondir de peur, « oh mon dieux » pense Elodie en voyant deux ouvriers entrer dans la salle de réunion et Lucette, la vieille salope lesbienne de la direction. « Cette grosse garce va enfin voir mes fesses et s’exciter, c’est sûr et elle va même se branler ce soir en pensant à moi » pense Elodie.

Tout le monde s’assied à sa place, son chef lui tend la main pour lui faire comprendre qu’elle doit s’approcher. Lorsqu’il entreprend de défaire son pantalon qu’il va irrémédiablement baisser, Elodie a déjà les larmes aux yeux. Rapidement déculottée, elle est happée par le bras musclé qui la couche un peu brutalement sur les genoux de la honte. Comme s’il attendait ce moment avec impatience, son chef claque immédiatement son petit fessier. Les fessées sont fortes, appuyées, leur but évident est de faire mal. Le Brutus s’en donne à coeur joie, Elodie a l’impression que son épiderme prend feu.

Quand, dans un réflexe de protection, elle envoie la main pour se protéger et remonte les jambes, conformément à la loi, les témoins interviennent. La grosse dondon se précipite pour tenir ses jambes et se régaler de la vue qu’elle va avoir face à ses fesses et son sexe on ne peut plus exposés. Les ouvriers pris de court viennent lui tenir les mains. La fessée peut reprendre. Elle est sans pitié, chaque claque la marque autant dans ses chairs que dans son âme. En s’agitant, sa tête fait tournoyer la longue chevelure féminine dont elle est si fière et fouette presque le visage des ouvriers lorgnant, sans vergogne, sa poitrine dans le V de son chemisier.

La sonnerie du téléphone portable sonne, les dix minutes sont écoulées, la fessée doit prendre fin. Son chef rajoute une longue série de claques rapides pour le plaisir de la fesser et de l’humilier en la faisant crier tant il y met de la puissance. Une erreur qui risque de lui coûter cher. Prestement relevée, elle est conduite fesses rouges à l’air, au coin de la pièce.

- Vous êtes témoins, il a continué de me fesser après la sonnerie ! Hurle Elodie en larme.

Si la grosse dondon lesbienne était toute disposée à oublier ce dépassement illégal, les ouvriers eux sont solidaires avec la pauvre petite. Comme ce chef n’est vraiment pas sympa et très hautain, il est hors de question pour eux de l’épargner. En les écoutant discuter Elodie trouve soudain un peu de réconfort, dans sa perverse méchanceté, son chef s’est auto condamné à être fessé lui aussi.

Webmaster

A vous la main si vous désirez écrire une suite.
Vous pouvez écrire une autre histoire ou vous amuser de celle là, ou écrire une anecdote, c’est à votre convenance.
il y a 4 ans

dans le même cadre les pensionnats
il y a 4 ans

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