Confession fessée

A 56 ans, des envies me reviennent, elles font référence à ma tendre jeunesse, celle de l’insouciance mais aussi celle de fesses rouges. Je me souviens des fessées de ma jeunesse, bien souvent c’était ma mère qui nous les donnait, parfois mon père et là, c’était pire même si maman avait la main leste et puissante. Elles nous étaient données le soir, juste avant de nous coucher, maman disait que la nuit porte conseil. La dernière que j’ai reçue de ma mère, c’était l’année du BAC, je ne pensais qu’aux garçons et aux copines, mes résultats du premier trimestre étaient catastrophiques.

Notre pudeur elle ne connaissait pas, même si elle nous donnait ces fessées dans nos chambres respectives. Lorsque nous savions que nous allions en prendre une, quand elle entrait dans la chambre cela nous faisait bondir de peur. Elle ne fermait pas la porte et se moquait que ma soeur ou mon frère puisse passer dans le couloir. Maman s’assaillait sur le lit et, sans dire un mot de plus désignait ses genoux du regard. Nos suppliques et promesses sont toujours restées sans effet. Il valait mieux ne pas insister ni résister, femme de boulanger ses bras étaient musclés et ses mains étaient des battoirs. L’énerver en résistant en plus de la punition nous l’avons tous fait à la maison, juste une fois. Une fois parce que la punition donnée, elle recommençait sur nos cuisses pour avoir osé lui tenir tête, ça c’était vraiment « hard » comme vous dites aujourd’hui. Le rituel était toujours le même, rappel des motifs de la punition, remontée de la jupe ou de la robe, baisser la culotte et trente claques par fesses sans alterner. Le coin, je ne l’ai connu qu’avec mon ex mari, il aimait ça, cela ne m’amusait pas. Il a commencé à me donner la fessée quand un jour ma mère s’est laissée aller à des confidences sur notre éducation à table. Le soir même il m’en a donné une, c’était une fessée coquine par jeu, quand il a vu que cela m’excitait, c’est devenu une habitude. Parfois par jeu, parfois pour me punir. Je m’égare, pardon.

A la fin du premier trimestre de l’année de mon BAC, nous étions dans la cuisine quand elle à pris connaissance de mes résultats scolaires. J’ai vu dans son regard ce qu’il m’attendait le soir même. Je n’y ai pas coupé. Elle est entrée, a laissée la porte ouverte, s’est assise sur le lit et m’a désigné ses genoux du regard. J’ai bien essayé de lui dire que j’avais passé l’âge, elle a levé le doigt, je me suis précipitée sur ses genoux. Jupe relevée, culotte baissée j’ai pris mes deux fois trente claques, elle devait les compter c’est sûr mais je n’ai jamais osé lui demander. Quand la fessée n’est pas alternée d’une fesse à l’autre, cela fait très mal.

Ce soir là, ma soeur est rentrée tard, j’étais déjà couchée mais ne dormais pas. Elle avait 19 ans et un peu plus de liberté que moi qui était plus jeune. Chez nous, tant que nous étions sous leur toit, nous étions sous leur autorité et comme la majorité était à 21 ans nous ne pouvions y échapper. Ma soeur était rentrée avec une heure de retard, j’ai entendu ma mère et mon père crier qu’ils s’étaient fait du souci et que cela allait se payer. Elle a été privée de sortie un mois et s’est pris une fessée. Cette fessée a mis le feu aux poudres de ma libido qui commençait déjà à prendre des chemins de traverse. Nous devions dormir avec la porte des chambres ouvertes, cela leur permettait de vérifier que nous respections l’heure et que la lumière était éteinte. Honte à moi mais tant pis, je l’avoue, entendre ma soeur prendre une fessée m’a excitée. Ma main s’est aventurée là où avec la fleur de l’âge cela démange.... Ce n’était pas de la méchanceté, ma soeur était très gentille et nous aidait pour beaucoup de choses et les devoirs. J’ai vraiment eu des pensés très coquines en imaginant qu’elle avait câliné avec son chéri et se faisait tanner les fesses après des caresses.

Mon ex mari, un maçon tombé d’un immeuble de cinq étages savait alterner plaisir et coquineries. Il lisait des livres sur la fessée et l’éducation anglaise où il prenait des idées qu’il adaptait à sa sauce coquine. C’était le bon temps, aujourd’hui cela me manque, internet me permet de rêver un peu et d’espérer encore.
il y a 8 ans

Je vous trouve courageuse de parler de cela et vous en félicite. Nous n'entrons pas dans le monde sm par hasard. Nombreux sont ceux qui ont reçu des châtiments corporels dans leur jeunesse, ou ont subi une humiliation, ou ont été témoin d'une scène d'un garnement recevant une fessée, ou ont simplement vu un film ou une image qui a réveillé chez eux un certain fantasme.
il y a 8 ans

Merci pour ce partage, c'est effectivement courageux de votre part :)
il y a 8 ans

Publicité en cours de chargement