Piégé par sa nurse en colère

Cela faisait plusieurs fois qu’il se rendait chez elle pour du nursing. Cela l’amusait beaucoup de s’occuper d’un bébé adulte. Elle n’avait pas de matériel adéquate, il devait à chaque fois emmener ce qu’il faut. De la culotte plastique aux couches et divers petits accessoires qu’elle avait demandé comme un biberon, une tétine, un bavoir.....

Sandra oscillait de nurse à Maîtresse en fonction des ses envies. Pour l’avoir éclaboussée un soir avec une cuillère plongée trop fortement dans sa soupe, elle l’avait grondé et fessée pour de vrai avant de le mettre au coin pendant une heure. Depuis, il ne s’aventurait plus à faire le vilain bébé, ses fesses n’ayant pas très apprécié les claques appuyées de sa nurse en colère.

La semaine dernière, il s’était aventuré à laisser courir ses doigts là où il ne fallait pas. Alors qu’elle ramassait son doudou tombé du canapé faisant office de table à langer, il avait osé toucher le délicieux fessier féminin offert à ses yeux. « Ca tu vas me le payer » lui avait crié Sandra. Il s’était imaginé reprendre une fessée, il ne s’était rien passé. Cette promesse de punition avait travaillé Henri qui, devant l’absence de mail lui laissa à penser qu’elle ne voulait plus le voir. Son moral était au plus bas.

Il reçut un email le jeudi lui annonçant qu’elle voulait qu’il aille chez elle le vendredi vers 18h pour une chaude soirée ABDL. A son arrivée, il l’a trouva d’humeur joyeuse et pensa donc qu’il était pardonné. Il n’en n’était rien ! Sandra le mit en couche puis enfila par dessus une culotte en plastique avant de l’habiller normalement.

- J’ai une superbe surprise pour toi mon bébé.

- Ah c’est quoi ?

- Ben c’est une surprise, si je te le dit cela n’en sera plus une. Allez vient, nous sortons ! Lui dit Sandra vers 20 heures en lui tendant la main.

Sortir ???? Sortir en couche ????? Jamais Henri n’avait osé sortir dans la rue avec une couche. Il avait trop peur que cela se voit.

Il essaya bien de réfuter et même de pleurer mais en vain. Sandra étant en « mode Maîtresse » il fut dans l’incapacité de refuser.

- Ecoute, c’est une surprise, alors arrête tes bêtises, ta couche ne se voit pas, tu viens un point c’est tout !

Les yeux battus, la mine triste et les joues blêmes, Henri n’eut pas d’autre choix que d’abdiquer. Ce qui le titilla, ce fut la petite valise à roulette qu’elle prit au passage. Elle devait contenir un cadeau. Elle pilota sa voiture de main de Maîtresse pour naviguer dans les embouteillages et prit l’autoroute du sud. Soudain, elle s’arrête dans une station service et lui demande de descendre.

- Où va t’on ?

Ne m’ennuie pas avec tes questions et vient ! Est la seule réponse qu’il obtient. Dépité, il la suit sans comprendre pourquoi elle se promène avec sa valise et rentre dans les toilettes des hommes. Elle le pousse dans une cabine des WC pour l’y faire entrer et referme la porte derrière elle.

- Maman va te changer ta couche, elle doit commencer à saturer, je ne veux pas que tu mouilles les sièges de ma voiture.

Terrorisé à l’idée d’être entendu, Henri se laisse dévêtir sans même se demander pourquoi elle lui retire aussi son tee-shirt. Elle lui retire sa culotte en plastique et, une fois intégralement nu hormis sa couche effectivement trempée, elle s’interrompt et râle.

- J’ai oublié le lait de toilette ! Attend-moi là, je reviens de suite. Je prends tes affaires, elles risquent de se voir par-dessous la porte. Lui indique Sandra en les mettant à la va vite dans sa valise avant de sortir prudemment.

Henri est vraiment blême, pour quelqu’un qui n’était jamais sorti seul avec une couche sous ses vêtements, se retrouver quasi nu dans des toilettes publiques, est une étape qui lui broie l’estomac. Deux minutes plus tard, son téléphone portable qu’elle lui avait confié au cas où se met à sonner.

- Coucou bébé, c’est Nanou, je vais chez des amis ce soir, tu resteras là tout seul pendant la soirée. Ta punition pour avoir osé toucher mes fesses la semaine dernière commence. Rassure-toi, je viendrai te chercher. CLIC

Affolé, Henri essaye de l’appeler, il tombe directement sur son répondeur, Sandra a carrément coupé son portable. Il lui laisse plusieurs messages alarmistes, les routiers et automobilistes râlant après cette porte fermée. Deux mecs lui donnent même des coups de pieds de rage. L’angoisse monte de plus en plus. Il aurait bien aimé être piégé attaché en couche chez sa nurse, là, il n’y a aucune entrave et une peur monstre d’être découvert.

Le temps passe lentement. Les minutes s’égrainent comme si elles étaient des heures. Il se maudit à chacune d’elle d’avoir touché les fesses de la nurse dont il est tombé secrètement amoureux. Par habitude et pour le plaisir, Henri continue de se laisser aller à de gros pipi dans sa couche, une erreur de plus mais il ne peut le savoir.

Ce n’est que vers 23h que son portable sonne. Heureux comme un gamin devant le sapin de Noël le 25 au matin, il décroche et crie presque « Nanou ».

- Nanou t’attend dans la voiture. Vient vite ! CLIC

Henri rappelle immédiatement pour lui rappeler qu’il est nu et en couche. Il ne peut pas la rejoindre dans le parking comme ça.

- Nanou t’attend dans la voiture. Si dans 3 minutes tu n’es pas arrivé, Nanou s’en va et te laisse là ! Regarde bien ton portable, tu sauras quand je vais partir et crois-moi sur parole, je ne reviendrai pas te chercher une deuxième fois ! CLIC

…………………

QUESTION AUX LECTEURS

Il est 23h il n’y a plus grand monde dans les aires d’autoroute, que faites vous à la place d’Henri ?

Ecrivaillon
il y a 7 ans

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