Mon Tyran, mon Maître d’Amour

Mon Tyran, mon Maître d’Amour

J’ai 26 ans, je mesure un mètre cinquante cinq et étant frêle (46 kilos), fait petite fille. Mon chéri a 35 ans et mesure un mètre quatre-vingt dix. Autant dire que l’on nous prend plus souvent pour frère et sœur que pour un couple. Au début de notre relation, il était très doux avec moi, il disait qu’il avait peur de me briser.

J’adore être bousculée en amour et le BDSM me fait fantasmer comme une folle, c’est d’ailleurs pour ça que je suis sur Fessestivites. Nos rapports sexuels étaient donc très zens, trop zens pour moi. J’avais beau lui demander de me bousculer et de me faire des choses, il n’osait pas.

Un jour j’ai pris le taureau par les cornes alors que j’étais en train de lui faire une fellation. (J’adore ça et son sexe me fait craquer) Je lui ai proposé de me donner une fessée et de me baiser comme un sauvage si je le suçais mal. Il n’était pas très motivé ! Alors je l’ai mordu !

Il n’a pas aimé. Mais alors pas du tout ! En un rien de temps, j’ai été soulevée comme un poids plume et je me suis retrouvée couchée sur ses genoux. Une fessée, j’en voulais une, même plusieurs, j’en rêvais depuis longtemps, disons que celle-là a été assez dure car en plus de la douleur, je me suis faite engueuler. J’ai tenu bon même si mes yeux mouillaient et, quand il s’est arrêté de me démolir les fesses, j’ai dit merci à mon Homme qui s’est excusé. Je lui ai simplement répondu « normal j’ai été vilaine » avant de reprendre ma fellation avec application. Quand il était au bord de l’explosion, je l’ai abandonné pour me coucher sur le vendre. Sous moi j’avais mis nos deux oreillers pour que mes fesses lui soient bien offertes. Et là j’ai encore osé lui dire : « baise comme un sauvage la vilaine qui rêve que tu la v i o l e s ».

Et là bis, j’ai eu ce que je voulais puissance 10 !

Quand il s’est allongé sur moi, (j’adore) mon corps a disparu sous le sien. Je sentais son désir entre mes jambes, j’étais prisonnière de ses bras, de son buste qui m’écrasait sur le lit et l’oreiller. Je devenais son jouet, sa chose comme j’aime tant. Un vrai pantin de chair, une poupée de chiffon soumise à son désir. J’aime quand je suis impuissante, bloquée, juste soumise à sa verge qui me fait perdre la tête.

Ce soir là, il m’a donné vraiment ce que j’aime. J’étais dans les nuages cotonneux en train de me faire défoncer par le chef d’une horde de sauvages en rut quand soudain il s’est retiré. La pauvre petite victime que j’étais criait famine de sexe. Elle en voulait encore et encore. Quand j’ai senti qu’il m’écartais les fesses, j’ai crié « non pas là, pitié » sauf que j’avais crié ça avant quand je m’éclatais, chose dont il a l’habitude d’entendre……

Ses doigts ont farfouillé mon chaton pour récupérer du « lubrifiant bio » et le partager avec l’orifice voisin peureusement contracté. J’avais beau lui dire « non pitié » rien n’y faisait, il allait le faire. On l’avait déjà fait une fois mais en douceur, là, je sentais bien que cela serait autrement.

- Bouana va visiter la petite blanche de partout ! M’a crié mon Maître en commençant à pousser les murs de l’étroite porte.

J’essayais de résister, de me débattre, je mesure un mètre cinquante cinq et pèse 46 kilos, lui mesure un mètre quatre-vingt dix et pèse 100 kilos, la lutte était inégale, je n’ai rien pu faire pour me soustraire à lui. Quand mon petit trou a cédé au grand Maître, j’ai crié de douleur, sa main m’a bâillonnée pour que je n’ameute pas les voisins. Je voulais être bousculée mais pas comme ça ! J’ai pris cher au début, la douleur ne voulait pas passer comme la première fois. Sous le poids de son corps et ses coups de reins sauvages j’ai fini par sombrer dans l’abandon. Il m’a perforée au sens propre du terme pendant un long moment, je suis redevenue sa chose, sa poupée de chiffon à en pleurer de bonheur, de trop de sensations, de trop d’émotions.

Quand il a joui, profondément planté en moi comme un conquérant fier de laisser sa signature gravée dans la chair des perdants, il a recommencé à me faire des bisous doux en me disant des mots d’amour, il a découvert que je pleurai. Mon grand Maître était très perturbé, désolé, il avait peur d’avoir fait une bêtise alors que mes larmes n’étaient que de bonheur.

Pour le rassurer, je l’ai remercié, embrassé et je me suis jetée sur son sexe que j’ai dévoré d’amour. De temps en temps je m’arrêtais pour lui dire qu’il avait été trop bon, que je n’avais jamais joui aussi fort. Il m’a traitée de folle avant de m’attraper par les cheveux pour que je continue de le sucer.

Depuis cette fameuse nuit où j’ai osé le mordre et le provoquer, il a pris conscience de mes besoins de BDSM, d’amour vache, on a acheté des jouets BDSM, des menottes, un martinet, une cagoule et une queue de chien munie d’un plug. Cette queue est l’accessoire que j’aime le plus, quand je me promène nue avec elle entre les fesses, il sait que sa chienne est disponible pour toutes les folies qu’il désire. Et il a de plus en plus d’idées sadiques.

Moralité : il faut oser se parler, provoquer, jouer en couple, je suis devenue une soumise conquise, heureuse, comblée même si parfois c’est un peu …. rude.

Ecrivaillon
il y a 8 ans

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