Ma première fellation
Ma première fellation
Je venais d'avoir dix huit ans, je me promenais sur un sentier qui longeait un petit cours d'eau.
Je connaissais bien cet endroit car j'y passais régulièrement à cheval. Un peu plus loin, l'étroit ruisseau venait irriguer un étang.
Il y avait quelques fois un ou deux pêcheurs, assis au bord de l'eau, surveillant leurs cannes à pêche, perchées au-dessus de l'onde.
Cet après-midi du début du mois d'octobre 2008, il faisait particulièrement beau. Je n'avais pas cours et je décidais de venir me promener en ce lieu très plaisant, silencieux et calme.
J'arrivais au bord de l'étang. Il n'y avait personne. Je marchais lentement, contournant les bosquets qui occultaient la vue sur l'ensemble du plan d'eau. Là, à une trentaine de mètres, il y avait un pêcheur, assis, que je n'avais pas aperçu en arrivant, dissimulé qu'il était, derrière quelques arbustes. C'était un homme d'environ soixante ans, plutôt petit et ventru. Lorsque j'arrivais à sa hauteur il me salua poliment. Je fis de même. J'avais toujours un livre dans ma musette et je choisis de m'installer sur l'herbe, un peu plus loin.
Je lisais depuis environ une demi heure. Mon attention attirée par des bruits, je levais les yeux pour apercevoir que le pêcheur était debout dans l'eau jusqu'à mi-cuisses, tenant fortement sa canne. Il devait avoir fait une prise. J'observais attentivement, amusée par ce combat entre l'homme et le poisson. C'était une belle carpe d'environ trente centimètres qui se débattait avec vigueur. Le pêcheur la saisit et la ramena sur le bord. Je repris ma lecture.
De temps à autre, je levais les yeux pour regarder autour de moi. Une fois de plus, mon attention fut attirée par le pêcheur. Ce dernier, le sexe à la main, à une vingtaine de mètres de moi, pissait d'un jet puissant. Voyant que je l'observais, il me fit un sourire. Je lui souriais à mon tour, très gênée et sans doute rougissante. Je baissais les yeux et faisait semblant de recommencer à lire. Il me lança : < Vous n'avez pas classe ? >. Je relevais les yeux pour le voir, me faisant face, tenant son sexe dans la main droite qu'il agitait malicieusement. J'avais le souffle coupé et je répondis : < Non, jamais le jeudi après quinze heure >.
Le pêcheur s'avança encore vers moi. Je m'apprêtais à me lever pour partir rapidement, lorqu'il me me fit encore : < On pourrai bavarder un peu, ça vous dit ? >. Je restais un moment silencieuse, baissant les yeux, les relevant, à plusieurs reprises. Le pêcheur continuait à agiter son sexe que je trouvais très petit, presque ridicule. En observant mieux, je me rassurais car ce sexe n'était pas du tout menaçant et l'homme aurait pû être mon grand-père. Je m'entendais répondre : < Oui, si vous voulez, on peut bavarder ! >.
Il vint s'assoir à quelques mètres de moi. Par la braguette ouverte de son pantalon de gros velour marron, pendait son petit sexe. Il me le montra en me demandant : < Ca ne vous dérange pas, au moins ? Je lui fais prendre l'air. Soyez rassuré, il ne bande que très rarement et est bien brave ! >. J'étais à la fois curieuse, amusée mais plus du tout inquiète. Je suis une fille grande et sportive. Je devais dépasser cet homme d'une bonne tête et je me sentais d'une plus grande force que lui. Même si je suis mince, je suis énergique.
Le pêcheur recommenca à se tripoter, tenant son sexe fripé entre le pouce et l'index. Tout en bavardant, il se masturbait doucement. J'observais avec attention tout en faisant semblant d'être indifférente. Il me parla de sa passion pour la pêche, de ses copains du club de pêche dont il faisait partie. Il me posait des questions sur mes études, croyant que j'étais encore lyçénne alors que j'en étais au début de ma première année de faculté. Au bout d'une dizaine de minutes, il me posa une question pertinente qui me choqua quelque peu : < Vous seriez tentée par une pipe ? >.
Je restais silencieuse, tentant de bien contrôler mes impressions et mes émotions. Je regardais le petit sexe du pêcheur. Cela faisait trois ou quatre ans que je fantasmais sur cet acte. Là, subitement, l'opportunité se présentait. Mais un vieux vicieux ! J'avais un reflexe mental de dégoût. Il me fit encore : < On peut se mettre là-bas, derrière la petite cabane. Vous verrez, on sera bien ! >. Le pêcheur, se mettant sur les genoux, me la présenta, tirant sur la peau fripée de son prépuce. Je m'entendis répondre : < Pourquoi pas ! >. Il se redressa complètement et me fit signe de le suivre.
Presque comme téléguidée par une volonté supérieure à la mienne, je suivais le pêcheur. Il m'entraîna derrière un cabanon. Là, debout devant moi, il me présenta à nouveau son petit sexe ridicule et tout fripé. L'homme m'arrivait aux épaules, il était bedonnant et toujours très calme et posé. Je m'accroupis devant le pêcheur. Longuement je regardais son sexe. Il avait pris appui contre une vieille table. Il me tendit son sexe en se cambrant davantage. Sa bite était à hauteur de mon visage. Soudain, il me la passa sur les lèvres, la frottant sur ma bouche. L'odeur était écoeurante. Curieusement, malgré l'odeur, j'étais très excitée. J'ouvris la bouche, il s'y enfonça lentement.
Je restais sans bouger. Doucement, je me mis à sucer. Presque immédiatement je pû goûter un liquide visqueux, amère, gluant que j'avais du mal à déglutir. J'étais à la fois ecoeurée, prise d'un profond dégoût, mais terriblement excitée. Je me mis à sucer plus fort et au rythme des montées de liquide séminale. Par moment, il y avait des montées de jus plus conséquentes. Je ne voulais pas en perdre une goutte mais cela me remplissait la bouche plus vite que je ne pouvais avaler. C'est là que je compris que j'avais affaire à l'incontinence du vieux. Je détournais la bouche, retirant son sexe. Effectivement, de longs filaments jaunâtres et gluants pendaient de l'extrémité de son sexe. C'était dégueulasse. Je voulais me redresser, mais le pêcheur me tenait par mes cheveux longs attachés en queue. Il se décalotta. Il y avait du fromage tout autour du gland, j'étais véritablement écoeurée. Tout me remontait. Ma bouche avait un goût dégueulasse.
Le pêcheur me remis sa queue dans la bouche, me tenant fermement par la nuque et les cheveux. Je n'avais d'autre choix que de sucer à nouveau. Il ne bandait pas, ou alors c'était imperçeptible. Curieusement, cela m'excita à nouveau et beaucoup plus fort qu'avant. J'aurais pû me masturber en même temps, tellement l'excitation, mêlée au dégoût, me titillait le sexe. Cela dura ainsi une bonne demi heure. Le vieux éjacula par saccades épaisses en gémissant. Je n'arrivais pas à avaler aussi vite que la matière visqueuse qui inondait ma bouche. Je me retirais en toussant. Puis, n'en pouvant plus, je me mis à vomir par spasmes. J'avais les yeux inondés de larmes. J'avais vomis de grandes quantités de liquide épais, gluant et jaunâtre sur l'herbe.
Je me redraissais péniblement. J'avais un léger vertige. Je venais de prendre conscience de ce que je venais de vivre. Le type me fit, d'un ton vicieux : < Alors ? Tu t'es régalée ? >. Je me réajustais sans dire un mot et m'éloignais rapidement sans parler. Avec un mouchoir en papier je nettoyais mon visage trempé. Mes cheveux me collaient sur les joues. Je me sentais souillée. Je me retournais pour regarder une dernière fois le pêcheur qui pissait dans ma direction en me faisant un signe amicale de la main. Je m'arrêtais, me retournant, lui faisant un signe de la mienne. Il cria dans ma direction : < Reviens jeudi prochain, si tu peux, tu en auras encore, je serais là ! >...
Je m'éloignais définitivement, pressée de trouver à boire et à manger pour faire disparaître ce goût dégueulasse qui envahissait toute ma personne. Je restais excitée jusqu'à ma masturbation du soir.
Les jours suivants, je pensais à cette aventure presque tout le temps. Au fur et à mesure que les jours passaient, les mauvaises impressions disparurent petit à petit. Laissant place au souvenir de l'intensité de la chose vécue.
Au bout de cinq ou six jours, je n'avais qu'une envie : recommencer...
Isa-Belle - Tous droits réservés - © - 2017 -
il y a 7 ans
il y a 7 ans
Ma seconde fellation
Toute cette semaine passe très vite. Pas un jour sans que je ne pense à mon aventure du bord de l'étang.
Ce n'est que le mercredi soir que je prends la décision d'y retourner. Je suis éxcitée par cette perspective.
Je passe une nuit quelque peu agitée.
Le jeudi après-midi arrive enfin. Vers treize heures trente, je prends le chemin de l'étang avec ma bicyclette. Comme d'habitude, je laisse mon vélo au centre hyppique. Je préfère faire les deux kilomètres à pieds.
Je suis toujours désireuse de parcourir le magnifique chemin en marchant pour en apprécier chaque instant.
La météo est favorable. Il ne fait pas vraiment très beau mais le temps est doux et sec pour cette mi octobre.
Sur la pointe des pieds, j'arrive au bord de l'étang. Cachée dans les fourrés, j'observe avec attention.
Je cherche des yeux mon pêcheur. Je suis vêtue d'un jean, d'un léger pull. Je suis chaussée de "baskets".
J'ai noué mes cheveux en queue. Avec la prudence d'une sioux, je m'avance. Il est là, tranquillement installé.
L'homme est vautré sur sa chaise pliante à bricoler l'une de ses cannes.
Je me mets à marcher lentement sur le sentier. A une cinquantaine de mètres, son attention est attirée.
Il tourne la tête vers moi. Il me regarde arriver. Un étonnement se lit sur les traits de son visage.
Il me parait encore plus laid que la semaine dernière. Il se lève lourdement et me salue. Agitant sa main.
Je m'arrête à sa hauteur.
< Bonjour > me fait-il, en me faisant un signe amicale de la main. Je réponds à son bonjour en souriant.
Il me regarde avec un air un peu narquois. Moqueur il me dit : < Alors, tu viens prendre ton dessert ? >.
Il se palpe la braguette. Cet homme a une attitude d'une incroyable grossièreté. Vulgaire.
Je reste silencieuse. Il se met à bavarder en m'expliquant sa façon d'amorcer ses appâts et ses hameçons.
Je regarde ce type, petit et moche. Je prends soudain conscience que je l'ai déjà sucé. J'ai un frisson.
Je suis prise d'un vertige à la pensée de ce que je suis venue faire ici. Au fond de moi, j'éprouve une fierté.
Je me suis mise au défi de le refaire. Je suis assise dans l'herbe. Je regarde et j'écoute cet homme parler.
Il évoque sa passion pour la pêche. C'est presque surréaliste.
Au bout d'une dizaine de minutes, regardant autour de lui, il ouvre sa braguette et sort son sexe.
Ce sexe que je trouve toujours aussi ridiculement petit. Un sexe mou et fripé. Je regarde avec attention.
Je dois certainement sourire bêtement. Il se touche tout en évoquant la pipe de la semaine dernière.
Il prétend que c'est une des toutes meilleures de sa vie ! Je ne sais quoi penser. Je me trouve stupide.
Je n'ai aucune référence. < On retourne derrière la cabane ? Ca vous dit ? >, me fait il avec un clin d'œil.
Je m'entends répondre < Oui >. Comme dans une sorte de délire auquel je n'ai nulle envie de me soustraire.
Il m'invite à le suivre. Comme la semaine passée, il m'entraîne derrière le vieux cabanon. Il se pose devant moi.
Il s'appuie sur la vieille table. Son sexe pend lamentablement de sa braguette ouverte. Il reste immobile.
Je m'accroupie devant lui. Il y a silence. Il me fait : < Tu es quand même une sacrée petite salope, tu sais ? >.
Je regarde son sexe affreux et mou. Une goutte vient perler au bout, dégoulinant sur la peau du prépuce.
Je renifle l'odeur. Une puanteur aussi dégueulasse que la dernière fois. Je suis écœurée. C'est répugnant. Curieusement cela m'excite considérablement. Je ne comprends pas ce paradoxe. Excitation et dégoût. Aujourd'hui, je sais...
Au bout d'un moment, comme je reste bêtement à genoux devant lui, l'homme me saisit doucement.
Il me tient par mes cheveux attachés en queue. De son autre main, il me passe son sexe sur le visage.
L'homme insiste sur mes lèvres et mes joues. Je suis parcourue de frissons. Il agite son sexe devant mon visage.
Il se décalotte plusieurs fois. Je vois la pâte crêmeuse qui colle entre son gland et la peau de son prépuce.
La puanteur est à la limite du supportable. Ce type a une hygiène de porc. Et il en a le comportement...
Il finit par me l'enfoncer dans la bouche. Je le sens se décalotter dans ma cavité buccale. Sensation étrange.
Un goût acide se dégage de la substance grumeleuse. Il me maintient par les cheveux. D'une poigne ferme.
Il se cambre contre mon visage. Comme la première fois, son sexe reste mou. Je me mets à sucer. Subjuguée.
Presque immédiatement je peux déglutir du liquide séminale. Je sais qu'il lâche des petites giclées de pisse.
Je commence à comprendre, au goût, ce que ce vieux vicieux est entrain de faire. Incontinence volontaire.
Je suis venue pour comprendre. A présent je comprends bien. J'ai affaire à un vrai vicelard. Un pervers.
Dans mon dégoût, j'apprécie le goût du liquide séminale, légèrement acide. Etranges sensations...
Très excitée, malgré mon intense dégoût, j'ai la bouche crêmeuse. Lors de certaines séquences, il se "lâche".
J'ai du mal à déglutir. En luttant contre sa poigne, je retire ma bouche pour laisser s'écouler le trop plein.
Je tousse. J'étouffe. De longs filaments jaunâtres coulent de ma bouche jusqu'au sol. Je reprends mon souffle.
J'ai des vertiges et des suées. C'est dégueulasse. Je sens mon envie de vomir qui devient de plus en plus forte.
< Je vais te faire bouffer de la bite, petite salope, tu vas en redemander ! > me fait-il en me saisissant.
Il me tient fermement par les oreilles. Je me sens ridicule...
Me maintenant par les oreilles, il se masturbe dans ma bouche, en bougeant son bassin de manière régulière.
Je suis écœurée. Ecœurée par son comportement, écœurée par son incontinence et par ce que je fais là.
Je suis entrain de me faire insulter par un type que je suce !
C'est au moment ou mon excitation disparaît pour faire place à une certaine colère, qu'il éjacule.
Plusieurs saccades au fond de ma bouche. Il me maintient toujours. Il me force à tout avaler.
Sperme amer et épais. Tout le long de cette nouvelle fellation, j'ai éprouvé beaucoup de peine à déglutir.
Ses permes sont épais et visqueux. Cela colle dans toute ma bouche. Je suis à nouveau très excitée.
Je me soustrai à son étreinte pour me relever. Je suis prête à m'enfuir si le pêcheur m'attrape à nouveau.
Il se met à pisser en me disant : < Tu vois, je t'ai pas tout pissé dans la gueule ! Il en reste encore ! >.
Ce vieux vicelard me pisse dessus si je ne me recule pas. A reculons, je m'éloigne doucement. Sournoise.
Comme la dernière fois, je me mets à marcher rapidement. Je suis déjà à une centaine de mètres
J'entends le vieux salaud crier : < Reviens la semaine prochaine, s'il pleut on va dans la cabane ! >.
Je me retourne pour le voir se réajuster. Je suis arrivée à l'orée de la forêt, Je marche à toute vitesse.
Je l'entends hurler : < Merci, c'était super ! Salut ! > Je me retourne. Il me fait un signe de la main droite.
Il se touche le sexe de la main gauche. Je lui fais un signe de la main avant de disparaître très vite.
Je retourne au centre hyppique. Au bout d'environ cinq minutes, je suis prise de nausées. Envie de vomir.
Penchée au-dessus d'un petit arbuste, je me mets à vomir par spasmes désagréables. C'est acide. Piquant.
Lorsque je réussi à dégueuler tout cet immonde mélange, je prends un chewing-gum dans ma poche.
Je peux enfin soulager le goût écœurant de ma bouche. J'ai le haut du pull maculé de sperme. De pisse.
Je rentre avec mes certitudes. Les deux premières pipes de ma vie furent réellement de très grandes expériences...
Isa
- Tous droits réservés - © - 2017 -
il y a 7 ans
Très belle et excitante histoire ...
A quand la suite ?
A bientôt. :D
il y a 6 ans
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