Découverte de mon goût

Voici une anecdote que je n’ai jamais contée à personne. À cette époque, j’avais une trentaine d’années et, entre deux mariages, je prenais les femmes et les jetais sans beaucoup de considération. Toute modestie mise à part, j’étais un homme pas trop désagréable à regarder et j’en profitais autant que je le pouvais. Ma première épouse m’avait rendu malheureux à en crever et je le faisais payer à toutes les autres du moins par indifférence plus que par réelle volonté. L’une d’elles sut toutefois me garder quelque temps.

Divorcée, un e n f a n t , elle avait quatre ou cinq ans de plus que moi. Au lit, c’était un vrai bonheur. Elle faisait tout ce que je lui demandais et quand je dis tout c’est tout. Du moins tout ce qui me faisait envie au moment précis où je le lui faisais comprendre. Elle s’exécutait sans se faire prier, sans s’étonner, sans contester, avec application en espérant avoir su faire parfaitement ce que je voulais et me donner tout le plaisir que j’attendais d’elle. Elle était bien faite, avait une jolie poitrine et de jolies fesses au bout de jolies jambes. Une voix douce, jamais un mot plus haut que l’autre, un regard tendrement amoureux, des mains câlines et toujours pleines de compréhension envers moi qui étais (et qui suis toujours) un peu lunatique dans mes humeurs. Je l’ai jetée comme les autres ; elle en a été très malheureuse. Je l’ai regrettée longtemps et à ce jour, il m’arrive de la regretter encore. Je me dis que j’ai raté quelque chose dans ma vie. Bizarrement, je ne lui ai jamais demandé de se masturber devant moi comme je l’ai déjà fait aux femmes que j’ai connues auparavant et après, avec un succès mitigé d’ailleurs. Dommage, car je suis pourtant certain qu’elle aurait accepté les yeux fermés. Quand j’y repense, je me ficherais des claques pour avoir manqué une telle occasion. Mais ce n’était pas mon envie du moment, il faut croire.

Son vagin, son rectum, sa bouche, ses seins, ses mains douces, elle me laissait éjaculer où je voulais avec autant de plaisir. Quand elle me faisait une fellation, elle suçait ma bite à fond jusqu’à ce que je ne puisse plus fournir une seule goutte de sperme et avalait le tout. Ravie, et moi épuisé, elle posait alors sa tête sur mon épaule fière d’elle. Un jour, je me tournai vers elle et lui roulai un patin tout de suite après une fellation. Je perçus un goût un peu âpre qui n’avait rien à voir avec le parfum habituel de sa bouche, j’en déduisis que c’était sans doute le goût de mon sperme. Ce qui se passa par hasard, je me rendis compte que je souhaitais le renouveler. Par la suite, après chaque fellation je l’embrassais goulûment pour avoir ce petit goût curieux, ni agréable, ni désagréable sur mes papilles. Faite pour l’amour, elle se rendit vite compte de mon manège et un soir, après une longue éjaculation, elle remonta vers moi et se pencha vers ma bouche. Je l’ouvris pour lui rouler un patin comme c’était l’habitude maintenant, elle posa ses lèvres sur les miennes et… elle ouvrit la bouche en grand ! Elle avait gardé le sperme sans l’avaler, le repoussa de sa langue et j’eus immédiatement la bouche envahie par ma propre semence. La surprise passée, j’ai continué à lui rouler un patin et le sperme fut dispersé sur nos langues, puis avalé par l’un et l’autre. J’eus tout le loisir de goûter à mon propre liquide séminal et j’en fus ravi. Ceci devint la règle et chaque fois qu’elle me suçait, je me retrouvais avec mon sperme dans la bouche pour le mêler avec ma langue et la sienne. Souvenir formidable, j’adorais ça autant que d’avaler ce que son vagin sécrétait lors d’un cunnilingus.

Curieusement, je n’ai jamais renouvelé l’expérience avec d’autres femmes plus tard. Pourtant bien d’autres m’ont fait des fellations complètes. Que ressent une femme qui reçoit une giclée de sperme dans la bouche en provenance directe du pénis ? Je me suis longtemps demandé.
il y a 6 ans

Comme je vous comprends. J’ai toujours été bonne à l’oral ... et je suis aux anges quand je peux boire à la source du plaisir et goûter au suce divin d'un beau mâle viril.
il y a 6 ans

Même si je domine mon mari et lui tanne les fesses, cela ne m'empêche pas de l'aimer et de faire de gros câlins. Nous sommes un couple avant tout. Il m'arrive donc de lui faire une fellation quand l'envie me prend. Par contre, cela va faire belle lurette que je n'avale plus et que je l'embrasse immédiatement après qu'il ait joui. Pour moi, c'est un partage.
Flore
il y a 4 ans

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