Ma première expérience de "Soumise"
L'inconnu de l'immeuble - Episode 1 -
Nov. 2010. Il est dix sept heures, je suis dans l'ascenseur qui me ramène au rez-de-chaussée de l'immeuble.
La résidence où mon amie loue un studio. Nous sommes toutes les deux au début de notre seconde année.
Une seconde année de faculté. Je passe quelques fois chez elle pour lui apporter les cours qu'elle manque. Travaillant pour payer ses études, il lui est souvent difficile de concilier son emploi et les horaires de cours.
Je me fais donc un devoir de l'aider un peu.
Son studio, situé au septième étage de l'immeuble, offre une vue magnifique sur la ville. Sur la campagne.
Je suis à descendre dans l'ascenseur lorsque celui-ci s'arrête au quatrième étage. La double porte s'ouvre.
Un homme de petite taille, vêtu de façon très élégante, y entre. C'est le début du mois de novembre.
Le port du manteau s'impose pour se prémunir du froid. Le quidam en porte un noir, épais et très propre.
Sans doute quinquagénaire et certainement en surpoids.
< Bonjour > me fait l'inconnu en pénétrant dans l'espace étroit de l'ascenseur. Je réponds : < Bonjour >
< Vous descendez au sous-sol ? > me demande l'homme. Je fais : < Non je m'arrête au rez-de-chaussée >
Il appuie sur le bouton "Sous-Sol". L'ascenseur s'arrête au rez-de-chaussée. Je m'apprête à quitter la cabine. L'homme me demande : < Vous êtes de la région, vous connaissez un peu le quartier ? >. Je le regarde.
En le détaillant rapidement, je m'aperçois qu'il a son sexe qui dépasse de la braguette. Le souffle coupé.
Je dis : < Non, je ne suis pas du coin ! Je ne peux pas vous renseigner ! > Je quitte très vite l'ascenseur.
< Au revoir, mademoiselle, je descends au sous-sol, bonne fin d'après-midi. > dit-il en secouant son sexe.
Je réponds : < Au revoir ! > Je tourne rapidement les talons. J'arrive devant l'immeuble, sur l'étroit chemin.
C'est une sente étroite qui mène à la rue. Machinalement, je regarde vers le descente de la cave, à droite.
J'essaie d'imaginer la psychologie d'un type qui descend dans une cave avec son sexe à la main.
Surtout après l'avoir montré à une jeune fille. En ce mois de novembre 2010, j'ai dix neuf ans...
Arrivée sur le trottoir de la rue, je m'arrête. Une légère excitation commence à me titiller. C'est étrange.
Je passe rapidement en revue les évènements vécus dans la demi-heure. Ce type est descendu à la cave.
J'y pense. Sa façon de me préciser qu'il y descend me semble soudain une sorte d'invitation à l'y rejoindre.
Après un instant d'hésitation, avant de me rendre à la gare toute proche, je décide de retourner sur mes pas.
Je dispose d'un peu de temps. L'ascenseur arrive sur mon appel, montant du sous-sol. Les portes s'ouvrent.
J'y entre et j'appuie sur le bouton "Sous-Sol"...
L'ascenseur s'arrête et ses portes s'ouvrent. Je suis dans un sous-sol propre, bien éclairé, silencieux.
Les murs, fait de parpaings de béton, sont aussi gris que le ciment du sol. Devant moi, il y a un couloir.
Sur les côtés, nombre de portes en bois qui doivent sans doute êtres les entrées des caves individuelles.
Soudain, sur la droite, d'une porte en fer, l'homme de l'ascenseur apparaît. C'est un peu comme s'il savait.
< Eh bien, vous vous êtes trompée de bouton dans l'ascenseur ? > me demande t-il en riant. Il m'a guetté.
Il agite son sexe dans ma direction. Je reste là un peu stupide, ne sachant que répondre.
< Là, c'est le local poubelles, je viens régulièrement y jeter des trucs. Vous voulez voir ? > fait l'inconnu.
Tout en m'invitant, d'un geste de la main, à le suivre. Je m'approche de la porte en fer ouverte. Prudente.
Je regarde à l'intérieur d'une petite pièce dans laquelle sont disposées plusieurs grandes poubelles grises. L'inconnu se place entre deux des poubelles et descend son pantalon. J'ai envie de repartir. Plutôt gênée.
< Je vous donne cinquante euros pour une pipe. Ca vous dit ? > fait encore l'homme. Je reste interloquée.
Je suis consternée par l'aplomb et le culot de l'individu. Après un instant de silence, vexée, je réponds :
< Je ne suis pas une pute, je suis étudiante. Je viens pour voir une amie. Vous vous trompez de fille ! >
Le type se masturbe dans le silence. J'observe la scène avec curiosité. Je m'apprête à quitter les lieux.
L'inconnu me dit : < Vraiment, j'aimerais bien me faire sucer. Ca ne vous tente pas un peu ? Allez quoi ! >.
Je regarde longuement cet individu. Il paraît minable, son manteau ouvert, son pantalon sur les chevilles.
L'homme me semble pitoyable. Il m'inspire le dégoût. J'ai vraiment envie de me sauver. Je suis curieuse.
Je demande, naïve et timide : < Vous n'avez pas une femme pour vous faire ça ? >. Il me fixe. Silencieux.
< Elle ne fait pas ! > répond t-il, cambré sur ses jambes, le dos contre le mur en se masturbant. Sérieux.
Excitée par la situation, soudain attirée par cette opportunité vicieuse, je me laisse aller à mon instinct.
Je pose mon cartable sur le sol devant le type. Je m'approche pour m'accroupir devant lui. Je suis ridicule.
Son sexe est propre et n'a aucune odeur. J'ai mon visage à une trentaine de centimètres de son membre.
Je le scrute avec attention. Je hume. Je renifle. Tentant d'en savoir plus, je m'approche encore davantage.
A l'extrêmité de son membre, perle une goutte opalescente. Je ne sais pas que c'est du liquide séminal.
Cette goutte ne tarde pas à tomber au sol après avoir coulé le long de son sexe qui pend vers le bas.
L'inconnu, se cambrant encore un peu plus, approche son sexe de mon visage. Je m'approche davantage.
Je le prends en bouche. Les yeux fermés, secouée de frissons, à la fois excitée et dégoûtée, je suce.
Curieusement, le goût de ce nouveau sexe m'enivre rapidement. Chaque homme a un goût différent.
Je ne le sais pas encore. Depuis, mon attirance pour la fellation m'en a fait goûter d'autres spécimens.
Celui-ci me laisse, encore aujourd'hui, un souvenir particulier. C'est le sperme d'un non-fumeur.
Et il y a une différence notable, il faut le préciser. Cela se sent. Je déteste la fumée !
Le liquide séminal arrive en grande quantité dans un flot presque continu sous l'effet de ma succion.
Je tombe à genoux sur mon cartable. Je me régale de cette substance. Chaque fellation me passionne.
Là, je savoure à la fois le liquide et la situation. C'est comme si je m'observais en dehors de mon corps.
Je suis là, à genoux, entrain de sucer. Cela m'excite au point que je sens mon sexe devenir chaud.
Je n'ai encore jamais été pénétrée par un homme. Pour la première fois, ce jour là, j'en ai l'envie folle.
Je n'ai pas le temps de méditer davantage. Je sors de l'introspection. L'inconnu éjacule en trois saccades.
J'ai toujours beaucoup de peine à déglutir la quantité de sperme que lâchent certains hommes que je suce.
Cela semble parfois ne plus finir. Là encore, le flot semble intarissable. J'avale avec peine. Avec difficulté.
J'ai une préférence pour le liquide séminal plutôt que pour le sperme. Un liquide au goût plus prononcé.
Aussi, l'éjaculation me laisse toujours une sorte d'amertume en bouche. Encore présente des heures après.
L'inconnu se vide longuement. Toujours désireuse de ne pas en perdre la moindre goutte, je suce fort.
L'homme, doucement, avec tendresse, me repousse en soufflant fortement. Il remonte son pantalon.
Je me relève. Je m'essuie le menton et la bouche avec un mouchoir en papier. Mes genoux douloureux.
< C'était vraiment superbe, mademoiselle. Cela ne m'est plus arrivé depuis quinze ans ! > dit l'homme.
Il me dépose une bise sur le front. Je ne sais quoi répondre. Je suis plutôt amusée. Il est très souriant.
L'homme me demande : < Cela vous tente de vous arrêtez chez moi, lors de votre prochaine visite ? >
Il sort une carte de visite qu'il me tend en rajoutant : < Quatrième étage ! >
En sortant du local poubelles, je me tourne vers l'homme pour le dévisager. Je me trouve un peu stupide.
Je m'entends dire : < Je passe mardi prochain. >. L'homme me dévisage à son tour, légèrement étonné.
< Superbe ! Venez boire le café alors, d'accord ? > fait-il avec la voix pleine de désir. Je ne sais quoi dire.
Je fais : < Peut-être bien, j'aime aussi le café ! > J'appuie sur le bouton d'appel de l'ascenseur. Pressée.
Celui-ci arrive rapidement, sans doute stationné au rez-de-chaussée. L'homme y entre avec moi. Silence.
Nous arrivons au rez-de-chaussée. < Je m'appelle André, je vous souhaite une bonne soirée. > me fait-il.
Je baisse les yeux. Avant de m'enfuir, je lance : < Enchantée, moi c'est Isabelle. > Je file à toute vitesse.
Je suis toujours préssée de me retrouver seule après mes fellations "sauvages".
Je quitte l'immeuble émue par mon aventure. Je prends un chewing-gum. J'ai ce goût un peu âcre.
Juste avant de la porter à la bouche je le remballe. Je veux garder le goût du sperme jusqu'au repas...
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il y a 6 ans
L'inconnu de l'immeuble - Episode 2 -
Une fois de plus, presque tout le week-end, le souvenir de l'inconnu de l'immeuble me reste à l'esprit.
Dans mes souvenirs, je ne peux m'empêcher de procéder à des comparaisons. C'est un peu machinal.
Comparant toutes ces opportunités où je me suis déjà retrouvée dans des situations très particulières.
Et toujours avec des types parfaitement inconnus. C'est un peu comme si je les attirais. L'abonnement.
Des types qui, pour la plupart d'entre eux, pourraient être mon père. Je trouve cela très étrange.
J'ai toujours été attirée par les hommes d'âge mûr. Mes expériences confortent mes certitudes.
Ce lundi après-midi, vers treize heures quarante cinq, avant d'aller en cours, je téléphone à André.
L'inconnu de l'immeuble. Prête à prétendre que je me suis trompée de numéro au cas où. Méfiante.
S'il y a une voix féminine à l'autre bout du fil, Je suis prête à mentir. J'attends la fin de la sonnerie.
Quelqu'un décroche enfin. Je peux reconnaître la voix de l'inconnu. Une voix grave et envoûtante.
Je parle doucement : < Bonjour. Je passe demain, mardi, pour quinze heures, ça va pour vous ? >.
Il y a un silence de quelques secondes. J'entends André me répondre : < Bonjour ! C'est magnifique ! >
Il rajoute : < Je vous attends pour quinze heures. > Je fais : < A demain ! > Je raccroche de suite.
Le mardi après-midi arrive enfin. J'arrive avec le train. La gare est distante d'environ cinq cent mètres.
Dix minutes de marche rapide. Pour l'occasion, je suis vêtue d'un pantalon noir à pinces, un pull noir.
Je porte mon manteau. Je suis chaussée de souliers fermés à talons hauts. Je marche maladroitement.
J'aime me sentir féminine pour mes "expéditions" vicieuses. J'arrive au quatrième étage. Je sonne.
André vient m'ouvrir. Il m'invite à entrer dans son appartement. < Bonjour Isabelle ! > dit-il simplement.
Un silence. Il rajoute : < Je suis charmé par votre visite. Venez, débarrassez-vous de votre manteau. >
Je quitte mon manteau et je m'installe dans le canapé. Je me sens curieusement très à l'aise.
L'intérieur de l'appartement est très sobre, propre. Des meubles classiques, un parquet de chêne ciré.
Les lieux sont accueillants. Aux murs sont accrochées des reproductions de beaux tableaux de maîtres.
Pas de doute, André a un certain sens de la décoration. Par la baie vitrée du balcon, je vois les collines.
Plusieurs plantes vertes, aux grandes feuilles vertes, donnent un cachet désuet à cet intérieur classique.
André vient me rejoindre avec un plateau sur lequel il y a de petites tasses et une cafetière fumante.
Il y a des morceaux de sucre et des petits gâteaux.
Nous bavardons. André semble très curieux et très intéressé par mes études. Il me pose des questions.
Des questions précises sur le choix de la profession à laquelle je me destine. André est en congé santé.
Cadre d'une entreprise, il me parle un peu de ses fonctions de directeur financier. J'écoute intéressée.
Au bout d'un petit moment l'homme évoque ce qui s'est passé entre nous dans la cave de l'immeuble.
Il semble à la fois gêné et excité d'en parler. Je le rassure en lui apprenant que j'ai passé un bon moment.
Je m'entends même dire que j'aime beaucoup faire "ça". Je me sens soudain tellement stupide. Je ris...
Cette affirmation éveille sans doute la libido de l'homme. Il s'installe confortablement dans le canapé.
Ecartant ses jambes, il me fait : < Aimeriez-vous vivre une expérience nouvelle ? Toujours du genre ? >
Il pose sa main sur sa braguette. Je lui fais : < Je suis une fille assez curieuse. Expliquez-moi un peu ! > .
Je fixe sa main qui bouge. André murmure alors : < Voilà, je vous propose de tenter la "soumission" ! >
Il rajoute : < Vous auriez les mains attachées derrière le dos. Les chevilles entravées par une corde ! >
< Je me charge du "reste" ! > me fait-il encore en chuchotant presque.
Je reste un moment silencieuse. La proposition m'excite considérablement. J'ai envie de me toucher.
Je ne dis rien. Finalement, je m'entends répondre : < Oui, ça peut s'avérer assez intéressant ! > Silence.
Je fais : < Je n'ai jamais fait "ça" dans une telle situation. > André se palpe la braguette en m'observant.
< Venez, levez-vous, installez-vous sur la chaise, là, au milieu de la pièce ! Allez ! > fait-il en se levant.
Il m'attend devant la chaise. Je me lève. Je m'assois. Je regarde André qui ouvre un tiroir du buffet.
Il en sort quelques grosses cordes de coton blanc. Je suis soudain envahie d'une crainte bien légitime.
Dans quelle situation me suis-je encore fourrée...
André me fait m'asseoir a l'envers. Le dossier placé devant moi. Je suis forcée d'écarter mes jambes.
Il se saisit de mes bras qu'il passe derrière mon dos. Il m'attache solidement sans serrer mes poignets.
Il fait de même avec mes chevilles. Il attache chacune d'elles à un pied de la chaise. Mon cœur bat fort.
Se saisissant de mes cheveux en natte, il les attache à mes poignets. Il termine ce ficelage avec soin.
André attache mes poignets aux deux autres pieds de la chaise. Je suis envahie d'une peur certaine.
L'homme s'assoit devant moi sur le canapé et me regarde longuement. Je suis terriblement gênée.
Je me sens vulnérable, humiliée, honteuse mais terriblement excitée. C'est un bien curieux paradoxe.
Je garde les yeux baissés. Je ne peux pas incliner la tête vers l'avant à cause de la corde.
Au bout d'un long moment, André s'approche de moi. Me saisissant par la tresse, il me force à le fixer.
Il plonge son regard dans le miens. Il reste ainsi à m'observer longuement en silence. Je suis excitée.
Je m'efforce de soutenir son regard. Soudain, penché vers moi, sans prévenir, il me crache au visage.
Cet acte me vexe quelque peu. Je m'écrie : < Salopard ! > Je sens sa salive me couler sur les joues.
Il recommence à plusieurs reprises. Il retourne s'assoir sur le canapé pour m'observer. Je suis écœurée.
Fièrement, je soutiens pourtant son regard. Je suis dégoulinante de salive qu'il m'est impossible d'essuyer.
Il revient se poster devant moi. Ouvrant sa braguette, il sort son sexe. André le pointe vers moi.
Il le passe longuement sur mon visage. Il me maintient par ma natte. Il s'éloigne à faible distance.
Restant là, debout devant moi, pointant son sexe dans ma direction, il m'observe avec attention.
Cette situation dure à nouveau un moment. Soudain, un jet de pisse vient se briser sur mon visage.
Un jet vif et bref. André récidive plusieurs fois. J'ai les cheveux, le visage et le haut du pull trempés.
Je m'entends m'écrier : < Salopard ! > Un curieux mélange de dégoût et d'excitation...
L'homme s'approche. Me saisissant par le menton, il m'enfonce son sexe dans la bouche. Fermement.
De son autre main, il me maintient par la nuque. Il manque de m'étouffer en m'enfonçant sa virilité.
Je n'ai pas prévu cette éventualité, je manque d'air. Je suffoque en gémissant. Il me relâche enfin.
Je me dégage pour reprendre mon souffle. Il lâche à nouveau deux jets de pisse sur mon visage. Précis.
Cette fois-ci, vigilante, inquiète, je devine ce que ce type va faire, je respire plusieurs fois. J'anticipe.
Je remplis mes poumons d'air. La pisse me pique la peau...
André me reprend par la natte. Me forçant à ouvrir la bouche, il m'enfonce à nouveau son membre.
Il l'enfonce jusqu'à la gorge. Je peux sentir ses couilles balloter sur mon menton trempé. Je me débats.
Il imprime à son bassin un mouvement masturbatoire. Je suce. Je suis entre le dégoût et l'excitation.
Il cesse de bouger pour m'éjaculer au fond de la gorge. Il me maintient fort par la nuque et le menton.
Il se met à pisser. Je n'en peux plus. Je sens de la pisse me sortir par les narines. Je tousse, je crache.
Avec un effort désespéré j'arrive à me soustraire de son étreinte pour vomir à côté de la chaise.
André, me saisissant par la tresse me met une gifle avant de m'essuyer avec un mouchoir en papier.
André retourne s'asseoir sur le canapé pour m'observer à nouveau longuement. Je me sens si ridicule.
J'ai envie de me lever. De partir. < Quelles sont vos impressions, Isabelle ? < me demande André.
Il rajoute : < Désirez-vous cessez ou continuer ? Aimeriez-vous vous faire baiser ? > Je dis : < Non ! >
L'homme ne sait pas que je n'ai jamais été pénétrée. Aussi, je me garde bien de le lui dire. Mon secret.
Je me contente de répondre : < J'aimerais cesser s'il vous plaît ! > Il se lève et vient me détacher.
Il me propose de prendre une douche et de me prêter des habits secs. Je demande un sèche cheveux.
Je préfère en finir et filer au plus vite. Il me met la salle de bain et les accessoires à disposition.
Lorsque je sors de la salle de bain, André, assis sur le canapé me propose un café. Je veux me sauver.
Je dis : < Je vais être obligée de vous quitter, André, il me faut monter chez mon amie pour les cours. >
André me fait : < Si vous désirez revivre une nouvelle séance, téléphonez-moi ! Je suis libre mardi ! >
André me raccompagne jusqu'à l'ascenseur. Avant que les portes ne se referment, il sort son sexe.
Il me dit : < Dis au revoir à Isabelle, elle revient sans doute bientôt ! > J'ai une envie folle de fuir.
Soulagée, je regarde les portes de l'ascenseur se refermer...
Sonnant chez mon amie, au septième étage, je lui remets les documents sur le palier, sans entrer.
Je prétexte de devoir partir immédiatement. Après une fellation "sauvage", je dois me retrouver seule.
Je veux reprendre mes esprits. Cette fois-ci cette fellation était vraiment sauvage. Ma joue me brûle.
Je prends conscience que c'est la conséquence de la gifle reçue. Je me caresse la joue en la massant.
J'ai le goût des substances d'André dans la bouche. Je veux garder cette saveur jusqu'au repas du soir.
Les soirées suivantes sont le théâtre de nombreuses et longues masturbations. J'aime pratiquer seule.
Cette première expérience de soumission volontaire m'a enchantée au-delà du raisonnable. Découverte.
Dès le week-end, je n'ai qu'un désir. Et ce désir me taraude. Je veux me retrouver dans cette situation.
Renouveler l'expérience...
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il y a 6 ans
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