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Un jour j’ai dit à table pendant que nous discutions avec des amis que je ferai toujours tout ce que mon Maître me demanderait. Comme nous avions pris beaucoup de champagne j’étais un peu pompette, mon Maître m’a dit de ne pas trop m’avancer et qu’il me restait encore beaucoup de choses à apprendre comme l’humilité en public. Et vlan la baffe psycho, j’aurai préféré une vraie que ça.
Le lendemain, quand je lui ai demandé si je pouvais aller faire pipi il m’a dit non. Une heure après je n’en pouvais plus, je serrais les jambes. C’est là qu’il m’a dit « alors comme ça tu as juré que tu ferais toujours tout ce que je te demande. J’ai compris qu’il allait me mettre au pieds du mur de mes propos de la veille et qu’il n’avait vraiment pas aimé ma conduite. Il m’a demandé de le suivre à la salle de bain, il s’est dévêtu et s’est assis dans la baignoire. Il m’a demandée de le rejoindre et de m’accroupir sur ses jambes. Je ne comprenais pas où il voulait en venir. D’une voix glaciale il m’a demandée d’uriner sur ses jambes. L’horreur totale, l’inconcevable, je ne pouvais même pas imaginer ça. Je me suis faite encore gronder parce que je n’y arrivais pas. Je ne pouvais pas, je n’avais plus envie de faire pipi. Je me souviendrais toujours de ses propos :
- Après avoir juré devant du monde il faut assumer.
- Je n’accepterai pas que tu me désobéisses ou que tu m’ais menti.
- Un bonne soumise doit faire ce que son Maître lui demande.
- Si tu es une bonne soumise pisse.
- Je ne le demanderai qu’un fois, ce n’est pas mon truc mais je veux que tu tiennes tes engagements envers moi et là, tu ne le fais pas.
Je pleurai, je l’ai supplié de ne pas me faire faire ça mais il n’a pas lâché l’affaire. Il m’a demandée d’aller lui chercher son livre et de reprendre la position au dessus de ses jambes en me disant que je finirai par céder et que j’aurai une punition par page qu’il aurait tournée.
Mon Maître est resté complètement insensible à mes larmes. Il s’est mis à lire et a tourné quatre pages. A chacune des pages il levait les yeux en me demandant si j’allais le décevoir. Le mot qui tue. J’ai fini par arriver à faire quelques gouttes, j’avais plus de larmes que de gouttes de pipi. J’étais laminée psychologiquement et lui était fier de moi !!!!!
Il m’a embrassée puis demandée de le laver et m’a autorisée à aller aux toilettes. Il m’a dit que l’uro n’est pas son truc et que nous ne le ferions plus puis qu’il était fier de moi avant de me faire l’amour.
Cette expérience est la plus dure de toutes et il ne me l’a plus jamais imposée.

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Mais c'était juste un petit pipi devant et sur votre votre Maître ...
Il pouvait y avoir aussi pour vous un grand plaisir d'obéissance et de la honte à uriner comme cela.
Bonne continuation :D

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Bonjour, c'est un témoignage intéressant. Déstabilisant un ordre à rebours de ce qui convient !

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Merci pour ce témoignage très intéressant. Voici un Maître qui sait ce qu'il veut et qui ne considère pas que son vernis social peut se fissurer.
Bravo à vous pour avoir réussi cette épreuve, je pense que j'aurai les mêmes barrières psychologiques.

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Un exemple de punition très efficace.
Félicitations à vous pour avoir tenue vos engagements.

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Voilà un témoignage fort instructif et qui donne des idées.
J'avoue n'y avoir jamais pensé, pourtant cela démontre un fort sentiment de soumission et d'abnégation.