Fantasme de femme cocue et humiliée ma surprise

La jalousie féminine est quelque chose de bien connue, elle fait souffrir inutilement et est souvent la source de conflits et de séparations. En BDSM, cette jalousie n’est pas obligatoirement liée au sexe. Elle peut tout à fait porter sur de simples mots, une nouvelle façon de fesser (par exemple) que le Maître vient d’expérimenter. Sa femme lui dira sur un ton de reproche « ça, tu ne me l’avais jamais fait à moi ». La pauvre fille innocente sera détestée à vie par l’épouse.

Un soir, il m’est venu l’idée de jouer sur l’image de la soumise cocue, d’en faire un jeu 100% psychologique.

[b:1py1x6eq][u:1py1x6eq]Et là, quelle fut ma surprise ! [/u:1py1x6eq][/b:1py1x6eq]

Nous avions passé une excellente soirée, le repas fait par nous deux était succulent, je lui avais fait une séance BDSM assez chaude où elle avait pris un pied d’enfer. Lorsque nous sommes allés nous coucher, en guise de rapport sexuel fusionnel et conventionnel, j’ai commencé par lui raconter une histoire érotique particulière en la « « bousculant » » un peu et comme elle aime. Puis, j’ai lancé mon idée :

J’ai fait allusion à une superbe fille que nous avions vu quelque temps avant et que nous aurions bien croqué tous les deux. Sauf que, dans mon histoire inventée en temps réel, je faisais l’amour avec cette fille et elle n’avait qu’un droit : regarder.

Pendant notre rapport de temps en temps, je disais :
Que le chaton de cette fille était un vrai puit de velours bien mieux que le sien.
Qu’elle me suçait bien mieux qu’elle, qu’elle prenne des cours ....
Qu’elle embrassait et se donnait à moi bien mieux qu’elle.
Je lui disais de bien regarder mon sexe pénétrer le corps de rêve de la fille.
Autres idées farfelues me passant par la tête.....

(De temps en temps je faisais des pauses, elle convulsait de plaisir)

Ensuite, j’ai eu l’envie de la faire participer psychologiquement à son cocufiage en « « « l’obligeant » » » à me sucer pour qu’elle goûte sur mon sexe la fille imaginaire qui était « bonne ».

Tout en reprenant notre rapport sexuel, je lui ai dit qu’elle aurait le droit de lécher la chatte de la fille quand j’aurai joui et qu’elle n’aurait droit qu’à ça de moi.

En clair, j’ai joué le jeu imaginaire du parfait rustre bien décidé à humilier totalement sa femme. Ce n’était qu’un simple jeu DS, elle n'avait qu’un « droit » être d’accord et « subir ».

Lorsque je suis en forme, je peux « durer » une bonne heure, jouer avec nos corps et les mots quand je délire. Ce fut le cas ce soir là, elle convulsait de plaisir, tout son corps tremblait à chaque micro pause. Quand j’ai décidé de jouer la dernière ligne droite des amants qui fusionnent, ma soumise s’est envolée et a pris un très très très long pied d’enfer !

Après les petits bisous, nous sommes allés boire un verre d’eau et fumer une cigarette. Ma soumise m’a indiqué que c’était bien mieux que quand j’invente une histoire sur le fait de l’offrir comme soumise sexuelle à une équipe de rugby (par exemple). Elle a même ajouté, que le fait que j’ai pris pour mon histoire une fille que nous connaissions tous les deux, avait donné plus de sens à mon histoire et que cela avait été torride.

Ayant eut à subir régulièrement la jalousie féminine, je n’aurais jamais imaginé qu’elle puisse adorer à ce point l’idée abordée dans mon histoire érotico perverse et sadique ! ! ! !

La jalousie féminine est immense, d’où ma surprise !
il y a 6 ans

Publicité en cours de chargement