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Vous le faites à contrecœur

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Vous refusez catégoriquement

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Si vous n’êtes pas bisexuel comment réagissez-vous si votre Maître ou votre Maîtresse vous demande de réaliser un acte bisexuel à vos yeux ?

Exemples de situations :

Pour homme : embrasser un autre homme, sucer un autre homme
Pour femme : embrasser une autre femme, lécher un autre homme

Vous refusez catégoriquement
Vous le faites à contrecœur

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Ce n'est pas réellement le faire a contrecœur. Je m'explique:

Dans ma position d'homme soumis à ma femme, ma Maîtresse, j'étais en cage de chasteté depuis déjà un mois et demi et féminisé de la tête aux pieds ce soir la. Je portais une belle robe rouge en apparence dentelle, j'avais une fausse poitrine opulente, des bas, un porte-jarretelles, des bottines a talons, j'avais même une perruque et j'étais maquillé. J'avais tout d'une femme.

Ce soir la, je n'ai rien vu venir et certainement pas cet homme que Maîtresse avait invité malgré ma tenue.

J'étais en état de stress total et bien que je me doutais que Maîtresse avait un amant, je n'en étais pas certain car, comme convenu dans notre relation D/s et plus généralement dans notre vie BDSM, elle ne voulait pas me prévenir de mon cocufiage potentiel, elle souhaitait juste me le montrer pour plus d'effet le moment opportun. Entre nous, il était convenu que jamais elle ne m'avertisse de mon cocufiage. Elle est libre de voir qui elle veut, ou elle veut comme elle veut sans avoir a m'en avertir. Il est convenu que bien que mariés dans la vie, Maîtresse ne m'appartient pas alors que moi, je lui appartiens corps et âme. Je pouvais juste me dire que Maîtresse ne me mettait pas en cage de chasteté par hasard et que oui je pouvais prendre pour acquis d’être cocu sans pour autant savoir si c’était vraiment le cas car jamais elle ne me le confirmera si elle n'en a pas envie.
Cette venue m'a permis de confirmer que j'étais bel et bien cocu et certainement depuis un bon moment déjà a la vue de leur complicité affiché.

Au cours de la soirée, les deux amants étaient sur le canapé à s’enlacer, s'embrasser, alors que j'étais face à eux, assis sur une chaise. Ils agissaient comme si je n'étais pas présent. Maîtresse caressait son amant par dessus son pantalon.

Au moins, ça confirmait mon cocufiage. J'étais vexé d’être cocu et de ne pas avoir le droit de toucher ma femme, ma Maîtresse alors que cet homme ne se privait pas...bien au contraire. Maîtresse ne m'avais pas autorisé à la toucher ni même à la voir nue depuis le début de ma chasteté ce qui a eu pour don d'augmenter mon état de manque et d’accélérer mon excitation à la vue de cette scène. Je savais que je pouvais être cocu, mais le voir me rendait jaloux. Non pas de la jalousie de couple, mais de la jalousie d'envie. J'aurai donné cher à ce moment là pour être à la place de cet homme.

Alors que les caresses se faisaient plus précises, Maîtresse a sortie le sexe de son amant pour le lécher, le sucer sans pour autant me regarder. Puis elle m'a ordonné de m'approcher. Après 2 questions du style, "Ça te fait quoi d’être cocu?" ou "Pas trop serré dans ta cage de chasteté?" Évidemment elle n'a pas été déçue par mes réponses. J'étais jaloux de cet homme et dans un état d'excitation maximale. Puis Maîtresse m'a demandé si j'aimerai qu'ils s'occupent aussi de moi. Mon excitation à son apogée, je n'ai pas réfléchi longtemps avant de répondre un grand "OUI, s'il vous plait, Maîtresse". C'est la que ma Maîtresse m'a demandé de réaliser un acte bisexuel, Elle m'a ordonné de sucer son amant.

J'ai marqué un temps d’arrêt et je suis resté sans réactions. Jamais de ma vie, je n'ai touché un homme. Jamais de ma vie, je n'ai imaginé un jour toucher un homme et donc encore moins le sucer et elle le sait. Mais seulement voila, Je suis soumis à ma femme, je suis sous ses ordres et je peux voir dans son regard sa détermination, son attente d’être obéie sans discuter. Maîtresse a ajouté que je n'étais pas féminisé pour rien ce soir la. Elle attendait donc que je me comporte comme telle et que je découvre un nouvel aspect de ma sexualité, de ma vie de soumis.
J'ai regardé cet homme qui, sans rien dire, me faisait signe du doigt de venir. J'ai regardé Maîtresse qui m'a simplement dit "Prends ton temps, nous ne t'obligerons pas. Mais va le sucer!!".
Je me suis installé entre les jambes de cet inconnu, j'ai saisie son sexe à la main. Je le "branlait" très lentement, J'étais hésitant. C'était la première fois de ma vie que j'avais un autre sexe masculin que le mien en main. J'ai à nouveau regardé ma Maîtresse, puis cet homme et a aucun moment, ils ne m'ont dit quoi que ce soit sur le fait de me dépêcher ou qu'il était temps d'y aller. Ils tenaient leur promesse et j'ai senti que je pouvais leur faire confiance.
Une grande inspiration et j'ai léché le sexe de cet homme avant de commencer à le sucer. Je ne pensais qu'a une chose, obéir à ma Maîtresse. Je ne pensais pas à l'acte mais à l'ordre reçu et j'en étais fier. Réussir à obéir à ma Maîtresse sur un tel ordre compensait la pipe que je faisais.
J'ai donc sucé cet homme pendant de longues minutes interminables avant que Maîtresse ne reprenne le relais "pour me montrer comment m'y prendre". Évidemment, une fois la démonstration faite, j'ai repris ma pipe.
Le reste de la soirée a confirmé mes craintes ouvertes avec cette fellation puisque Maîtresse a offert ma virginité toute relative à cet homme. Toute relative car Maîtresse avait déjà usée de ses godes ceintures pour s'occuper de mon anus. Mais être sodomisé par un homme n'a rien à voir avec les substituts phalliques de Maîtresse. Et je dois reconnaitre avoir pris un plaisir immense qui n'a pas échappé à ma femme.

Heureusement qu'elle avait prit la précaution de me mettre une capote sur ma cage de chasteté car le plaisir mêlé au manque m'a fait couler sans m'en rendre compte dans un coït immense. J'ai lâché une quantité de sperme impressionnante dans la capote, fruit d'un mois et demi de cage de chasteté imposé par Maîtresse et d'une sodomie bien faite. J'ai tout de suite pris plaisir à être sodomisé et Maîtresse savait que le manque allait me faire facilement accepter l'acte en lui même. L'amant n'a pas tardé à remplir sa capote à son tour mettant fin à ma première expérience bisexuelle que je n'aurais jamais eu de moi même ne serais ce que quelque heures auparavant.

Maîtresse a récupéré les 2 capotes pleines et m'a ordonné d'ouvrir la bouche. Elle voulait "me montrer ce que c'est, puisque tu as longtemps souhaité que je te le fasse." A peine la bouche ouverte qu'elle n'a pas tardé à me verser les 2 capotes en même temps en prenant bien soin d'essorer les préservatifs pour me remplir la bouche le plus possible. J'étais mal à l'aise avec ce "liquide" en bouche. La tête légèrement penchée en arrière pour en recevoir le plus possible et ne pas renverser, j'ai du vite avaler une petite gorgée pour accueillir le reste. Et là,.....surprise. Alors que je craignais un gout immonde, j'ai découvert un petit gout intriguant. En avalant le reste sans me forcer, j'ai découvert que ce n’était pas mauvais, mais je me suis grillé auprès de ma Maîtresse.
Elle n'a pas manqué de me traiter de "salope" car en une soirée, loin de moi l'idée d'un quelconque rapport avec un homme, j'en suis ressortis avec un coït anal immense ou le joie d'avaler le plaisir de mon partenaire.

Depuis, j'en redemande comme une goulue. J'ai été sous les ordres de ma Maîtresse et de son amant devenu mon Maître.

Cet situation a été interrompue le temps que Pow a passé chez nous sous "mes ordres". soit 1 an et demi de vie avec Maîtresse et moi. L'amant restant tranquillement en retrait.

Depuis peu, Pow a reprit ses ailes et moi,.....ma place de femelle en cage de chasteté.

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Merci Erwan de ta réponse.

[size=150:1wu7saek]Précisions pour les lecteurs : Le contenu de ce message n’est pas fantasmé.[/size:1wu7saek]

J’ai l’immense plaisir de connaître Erwan, sa Maîtresse et j’ai également rencontré Pow.