L'héritage d'une soumise

Bonjour à toutes et à tous,

Cela fait 1 mois que j'ai repris mes ailes de femme libre de toute soumission. 1 mois que je ne suis plus sous collier et bien que j'en sois nostalgique, cela ne me manque pas.
Bon, je sais que si je le désire, je peux retourner auprès de mes Maîtres et reprendre ma vie de femme soumise sous leurs ordres, mais bon...., ça ne sera pas pareil et je n'en ai pas envie d'autant plus que mon "Maître" est sous les ordres de Maîtresse et que je ne serais plus jamais sa soumise. Tout juste une sœur de soumission. Et d'autant plus que les confidences de Maîtresse sur l'avenir qu'elle prépare pour Erwan ne vont pas l'épargner. Mais rassurez vous, sur ordres, il vous expliquera sa nouvelle vie de soumis.

BREF:
J'ai passé 5 merveilleuses années sous leurs ordres et j'ai tant appris d'eux et sur moi. Ils m'ont faite grandir et murir.
J'ai aussi découvert certaines pratiques qui j'aime aimée, d'autres adorée et une que j'ai détestée. Cette pratique qui m'a dérangé, c'est l'ABDL. Je sais que Maître est ABDL et que j'allais y avoir droit. Et bien avant de me rendre chez eux, je détestais les couches par principe.
Dès le départ, j'ai été mise en couches et j'ai due les utiliser. QUELLE HORREUR!! Je ne voyais que le coté négatif, les odeurs en prime. Dès le tout premier soir chez eux, Maître m'a mit une couche pour toute la soirée et la nuit. Quand j'ai été autorisée a l'enlever, le lendemain, elle était déjà bien pleine et il m'a fallu 30 seconde pour l'enlever et passer sous la douche.
5 Jours plus tard, alors que je dormais encore, Maître est venu me réveiller pour m'ordonner d'aller me doucher à effet immédiat puis de revenir dans la chambre en restant nue. il était 6h30 en pleines vacances d'été. A mon retour, l'horreur: Maître avait préparé 2 couches épaisses accompagnés de 3 insert par couche. Une fois équipée, Maître m'a embrassée et m'a dit que j'étais parfaitement protégée pour 24h minimum. J'ai passée la matinée avec mes couches à l'air et mon collier pour seuls vêtements. Au petit déjeuner, Maître m'a servi 2 grand cafés et un grand verre de jus de fruits. Pas besoins d’être experte pour comprendre l'objectif. Toutes les heures durant cette matinée, j'avais un grand verre d'eau à boire "pour ne pas me déshydrater" selon ses mots. Inutile de dire que ma "petite" vessie a vite été mise à l'épreuve.
Pour l'après midi, Maître a sélectionné dans mes affaire un tee-shirt banal et une jupette. Je la savait courte et volante, mais il n'a eu que faire de mes remarques. Bon ça m'allait bien tant que nous étions chez mes Maîtres, mais évidemment, nous sommes sortis en ville. Ok, mes couches n’étaient pas exhibés à proprement parlé. Mais l'entrejambe de mes couches dépassait légèrement de ma jupette et il m'était impossible de les cacher. En effet, si je tirais sur ma jupe vers le bas, c'est le haut des couches qui apparaissaient car le tee-shirt banal n’était pas assez long. Malin le Maître.
N'importe qui pouvait voir ce que je portais. Ma jupette volante laissait deviner mes couches à qui nous suivait. Ma démarche assurait le mouvement de ma jupe et donc l'exhibition bien malgré moi de mes couches. Maître ne cessait de me rassurer, de me parler, de me faire accepter la situation et bien que la honte d’être vue comme ça ne m'a pas quittée, je n’étais plus aussi humiliée qu'au départ. Le trouble s'insinuait en moi et je commençais même par accepter mes couches. A la fin de cette journée qui aurait due être galère au possible, j'ai finie par trouver une sensation particulière et un rapport aux couches loin de ce que je pensais au départ. Malgré tout, bien que je les acceptaient, j'avais du mal à les apprécier.
Les fois suivantes, je portais les couches sans rien dire. Juste avec le plaisir d’obéir à mon Maître.
Au bout de 3 années sous leurs ordres, j'ai finie par m'habituer à être langée régulièrement et à utiliser mes protections. La honte m'avait quittée mais le plaisir n'était pas venu pour autant. Je me suis installée chez mes Maîtres pour 2 années afin de finir ma scolarité.
Je n'ai pas passer la moindre nuit sans devoir porter des couches d'abord par ordre, puis par habitude. Je ne suis pas devenue énurétique mais j'ai finie par m'habituer à utiliser mes couches la nuit sans avoir à me lever.
A chaque vacances scolaire, je retournais chez ma mère et j’effectuais le trajet en train avec un couche et j'en portais aussi chaque nuit. Et comme déjà expliqué lors d'un post précédant, ma mère a démasqué que j'utilisais des couches. Mon explication de soucis nocturne ont suffit sans que je ne sois persuadée que ça l'a convaincue réellement. Mais elle ne demandait pas plus d'explications et ça m'allait très bien.
Pour ma dernière année scolaire chez mes Maîtres, la cadence du port de couches s'est accélérée et depuis les fêtes de fin d'année 2017, j'en porte en non stop sur ordre de mes Maîtres. Même pour suivre mes cours, je mettais une couche et sans la moindre gêne, honte ou le moindre dégout. Porter une couche était devenu un rituel, une habitude et je peux l'avouer, un plaisir enfin assumé.

Dès le 2ème jour des vacances de février, chez ma mère, j'en portais aussi le jour en plus de la nuit et ça n'a pas échappé à ma mère. Mais je n'étais plus la petite fille ultra timide du début et je savais m’assumer pleinement et c'est ce que j'ai fais auprès de ma mère. J'ai avouée mon penchant ABDL et plutôt que de me traitée de malade, de débile ou autre, ma mère m'a piégée.
elle a mit le doigt sur plusieurs points et m'a mise devant les évidences. Pour faire court, il y a 5 ans, j'étais ultra timide, complexée sur mon physique et je ne portais que des Jean's, baskets, pull.
Mais depuis 4 ans, je ne porte que des jupes ou robes, parfois courtes et sexy (fini les pantalons), j'ai de la lingerie de femme et non de jeune fille. Parfois même, de la lingerie sexy à base de porte-jarretelles et bas. Je suis partie 2 ans vivre en Bretagne, alors que je pouvais rester facilement dans le sud de la France pour finir mes études. Et pour finir, j'ai perdue mon innocence pour devenir une femme affirmée et sans "trop" de complexes (Il m'en reste encore). Ma mère a finie sa démonstration en me demandant: "Il est comment ce garçon? C'est lui qui t'a faite découvrir le plaisir de mettre des couches?"
Bon, elle avait comprit qu'un garçon était derrière tout ça et j'ai joué cette carte de l'amoureux éloigné rencontré pendant les vacances. Mais ma mère en savait beaucoup plus et me l'a fait comprendre. Comme pour mes couches dans ma valise, il y a 4 ans, j'avais laisser mon PC allumé sur mon bureau et un message de Maître était apparent et sans équivoque. Ma mère ne m'a jamais rien dit mais elle me surveillait de très près au cas ou.
Alors j'ai tout avouée a ma mère. Fini de mentir. J'ai expliqué ma vie de soumise à ce merveilleux couple et tout ce que j'ai vécue depuis 5 ans avec eux. y comprit le port de couches qui s'est introduit jusque dans mes voyages chez ma mère.
Pendant plus de 2h, je lui ai tout dit sans langue de bois. Et ma mère a reconnue que bien que ça fasse peur de voir sa fille soumise, ça a eue le mérite d’être ultra bénéfique sur moi et que c'est pour ça qu'elle ne m'a jamais rien dit. Sans rentrer dans les détails, ma mère a apprit que j'étais sexuellement active avec mes Maîtres et que nous nous protégions sans soucis. Ma mère a finie par me dire qu'elle s'y était faite depuis longtemps déjà et que je devais poursuivre cette vie qui me réussit tant.
Ce soir la, ma mère a eue mon Maître au téléphone. ils se sont parlés presque 2h00 dont une partie que je n'ai pas été autorisée à entendre. à son retour, plusieurs choses.
- D'abord, je devais porter mon collier et l'assumer chez ma mère et en dehors comme chez mes Maîtres puisque le voile était levé.
- Ensuite qu'une punition m'attendais a mon retour chez mes Maîtres pour cet "amoureux éloigné" alors que toutes les preuves étaient déjà exposés.
- Ensuite la tenue du lendemain avec une très forte épaisseur de couches (3 couches et 3 inserts) à porter sous une jupe courte alors qu'une copine devait me rejoindre à la maison, qu'elle allait fatalement les voire tout comme mon collier et que j'avais interdiction de mentir sur la raison de ce port de protections. Si je n'ai parlé que de mon coté ABDL, ma meilleure amie l'a bien comprit et ne m'a pas jugée non plus.
- Et pour finir, ma mère s'est proposée pour m'aider à mettre mes couches puisque chez mes Maîtres, ce sont eux qui me les mettent et que seule, je galère à les mettre correctement. Preuve en est, cette fuite matinale qui a salie mon lit ce matin la. J'étais autorisée à refuser ce point, mais en étant raisonnable, ce soucis "pratique" l'a emporté et a éveillé mon coté ABDL fortement prononcé.

Ma mère a sourie de mon statut de jeune soumise assumée devant elle. Sachant que tout ce passait bien pour moi, elle n'a pas eue à redire de ma vie. J'ai donc finie mes vacances de Février avec mon statut affirmé et vécue des vacances d'avril tout aussi librement.

En revanche, ma mère s'est dite surprise d'apprendre la fin de ma soumission fin Mai. Elle ne m'a pas jugée ni critiquée, mais elle pensait que j'aurai poursuivi ma vie auprès de mes Maîtres.

Mais je lui ai expliqué mon point de vu et les raisons de ce choix.

D'abord, je souhaitais laisser mes Maîtres se retrouver entre eux et ne pas rester intrusive dans leur couple. Avoir une femme soumise demande de s'en occuper (Ce que Maître faisait à merveille) mais ça se fait au détriment du couple. Même indirectement ou involontairement. Et pour ce point, ma mère m'a féliciter.
Ensuite, ma région natale me manquais terriblement et bien que j'adore la Bretagne, mais le climat du sud me manquais.
Enfin et surtout, je ne fais pas une croix définitive sur ma soumission, mais si je dois y revenir un jour, ça ce fera avec l'homme qui partagera ma vie. un homme de mon age, de ma région. Mais la encore, il n'y a rien d'écrit, car si ça ne doit pas se faire, alors que je vivrais très bien sans soumission.

en revanche, ma vie de soumise me laisse ce plaisir, " CET HÉRITAGE" d’être devenue ABDL.

Je n'en porte plus en permanence comme sous les ordres de mes Maîtres, mais très régulièrement sans me soucier d’être vue ou démasquée. En revanche, la nuit, pas question de m'en passer pour le moment.

Merci mes Maîtres pour m'avoir permis de vivre tant d'émotions.
il y a 6 ans

Bonjour,
Très beau témoignage.
Bonne continuation. :D
il y a 6 ans

Ma journée avec ma copine,

Comme écrit, lors de ma confession envers ma mère, elle m'a transmit un ordre de mon Maître pour une tenue à porter le lendemain. Si ma mère m'a dit de porter 3 couches et 3 inserts par couches, Maître a précisé par texto que les 3 couches devaient être 2 inspire et 1 princesse pink sur le dessus. La particularité des inspire est d’être très épaisses de nature et de parfaitement gonfler une fois mouillés. En plus, le plastique extérieur est ultra bruyant au moindre mouvement. La pink est quasiment du même acabit.
Pour les inserts, j'ai reçue l'ordre d'utiliser des white max que je ne connaissais pas encore avant ce jour la. Maître m'en avait dit le plus grand bien et je n'ai pas été déçue. En effet, ces inserts ont un volume démesuré et une absorption folle pour des simples inserts.
J'ai vite compris qu'avec un tel volume et de telles couches qu'il me serait impossible de les cacher quelque soit les vêtements que je pourrais porter. Même une jupe longue n’empêcherait pas le bruit des couches. Mais bon, Maître avait déjà sélectionné LA JUPE à mettre et LE HAUT qui allait avec. Mon haut était un chemisier de buste. Il couvre uniquement la poitrine et s’arrête au niveau des cotes. La jupe est une jupe courte type écolière, trop courte pour cacher le bas d'un tel volume et ne montant pas assez haut pour cacher le haut de mes couches.
J'ai bien tentée de négocier auprès de Maître pour "reporter" cette tenue puisque je recevais ma meilleure amie, mais peine perdue. Bien qu'il ne savait pas que j'avais une journée de prévue, il n'a pas changé son ordre d'un iota. Je devais assumer mon coté ABDL.
Nous sommes donc Lundi matin et à 7h, ma mère me réveille car elle travail ce jour la. Je mange tranquillement et file à la douche rapidement pour être propre et prête à être mise dans mon imposant volume. Il est un peu plus de 8h quand je sors de la douche et que ma mère me "speed".
"- Dépêche-toi de venir que je te mette tes couches.
- Çà va maman. Tu ne vas pas t'y mettre toi aussi. J'ai l'impression d'entendre mon Maître.
- Je pars bientôt au travail et je te rappel que tu as choisis d’être soumise. Ce n'est pas ma faute si tu dois porter des couches. Maintenant dépêche toi que je t'aide car sinon elles seront mal mises et je ne veux pas que ma petite fille ai des fuites.
- Mais je rêve, on dirait que ça t'amuse en plus...
- oui je le reconnais. Te sachant en sécurité et entre de bonnes mains, je trouve ça drôle en effet. Maintenant dépêche toi sinon je dis à ton Maître que tu traines des pieds pour mettre tes couches.
- Tu me fais du chantage maintenant?
- Oui on peut dire ça comme ça."

Je n'en rajoute pas et je m'installe pour recevoir ce monstrueux volume que ma mère a déjà préparé. Ma crainte est que ce soit plus épais que dans mes craintes les plus folles. Ce volume me fait étrangement peur.

A peine la première couche et ses 3 inserts placés sous mes fesses que l'impression dépasse déjà ce que j'avais imaginé. Avant de refermer la couche, ma mère me met une très importante quantité de crème partout. La moitié du tube y est passé ou presque. Je suis vraiment surprise et de plus en plus inquiète. Elle ferme ma première couche, place la seconde sous mes fesses, ouvre une large bande sur la première puis elle ferme la seconde couche. Même rituel pour la troisième couche.
A peine debout que je sens tout le poids des couches, pourtant sèches, et l'immense volume qui me tient les jambes écartées. La, c'est sur, ma copine va se foutre de ma gueule surtout que la couche qu'elle verra est une couche rose avec des petites princesse sur le dessus. Je suis morte de honte avant son arrivée. Je mets la jupe et le haut que mon Maître a prévu puis nous sortons de la pièce. A peine sortis de ma chambre que ma mère ferme la porte à clé, qu'elle met dans sa poche. "Comme ça, tu ne changeras pas ta tenue imposée par ton Maître."
GRRRR même ça, il l'a prévu. Il est bientôt 9h et ma mère ne va pas tarder à partir. Elle me tend son téléphone pour que je lise un message de mon Maître à voix haute.
"Ma petite soumise,
Te voila donc bien protégée dans tes belles couches. Tu as remarquée à quel point tu as épais. Sache qu'elles sont aussi ultra absorbante donc, tu peux te laisser aller tranquillement sans risques.
De part l'importante absorption que tu portes, j'ai convenu avec ta mère de ne pas te changer avant mercredi soir voir jeudi matin minimum en fonction de l'état de tes couches. Comme ça, ça lui laissera un peu de répit avec une telle pissouse comme toi.
Sache que si tu ose lui demander ne serait-ce qu'une fois de te changer, ça sera pour te remettre le double. Y comprit pour prendre le train de retour chez moi. Te voila prévenue."

Me voila totalement bloquée et je peux voir un large sourire sur le visage de ma mère.

Il est maintenant bientôt 9h30 et ma mère n'est pas encore partie. Normalement elle part vers 9h, mais elle m'indique avoir décalée d'une heure sa journée de travail. Je ne comprends pas trop, mais ce n'est pas bien grave. Sauf que, 5 minutes plus tard, on sonne à la porte. C'est sans doute Solène qui arrive. Ma mère me laisse le soin d'aller lui ouvrir malgré ma tenue et sans surprise, j'ouvre la porte a ma copine.
A peine m'a t'elle vue qu'elle éclate de rire à la vue de mes couches. Ma mère qui feint de venir voir ce qui se passe salue mon amie. Elle a fait entrer jusqu'au salon. Puis vient le temps des questions.
"- Mais pourquoi tu portes des couches?"
C'est ma mère qui répondra à ma place et visiblement tout était prévu avec mon Maître afin de me faire assumer mon statut de soumise ABDL.
Je craignais le pire, mais le tact de ma mère m'a réconfortée.
"- Elle porte des couches par plaisir. Plutôt que d'en rire, je pense qu'il faut reconnaitre le courage d'assumer ce gout particulier. Et reconnaitre le faite d'assumer en porter malgré ta présence.
- Oui vous avez raison madame, désolée d'avoir rigolé tout à l'heure. Je ne voulais pas me moquer de toi. Mais tu les utilises aussi?
- Évidemment qu’elles les utilisent. À quoi ça sert de porter des couches si elles ne les utilisent pas? C'est la contre partie d'un plaisir particulier.
- ah heu oui, c'est sur.
- Je vais devoir vous laisser toutes les deux. Vous avez sans doute beaucoup de choses à vous dire."

Ma mère est partie au travail et seule face à ma copine, j'ai rapidement eu à faire à plusieurs questions sur mes couches ET mon collier que j'avais complètement oublié. J'ai donc décidée de tout lui dire de A à Z. Sans mensonges, ni oublis. Pendant presque 10 minutes, je lui ai tout avoué de ma soumission à mes Maîtres et donc aux couches. Sa première réaction a été de me dire: " Wouaw, tu veux dire que tu es soumise comme dans 50 nuances de Grey?" J'en ai sourie et je lui ai confirmé que "oui, on peu dire ça comme ça".
Le restant de la journée, se passera sans soucis, sans jugement de sa part bien que parfois, elle sera étonnée par tout ce que je vie depuis 5 ans.
Je sens néanmoins à plusieurs reprises son regard sur mes couches. Par "provocation", je lui propose d'en essayer une. Si elle ne refuse pas catégoriquement, elle ne dit pas oui non plus. Forte de cette incertitude, je tente le coup et je file chercher une couche sauf que....ma chambre est fermée à clé...
Par chance, ma mère a laisser sa clé dans la serrure de sa chambre, serrure identique à la mienne, et j'ai pu librement récupérée une couche et 1 insert dans mes affaires.
Face à Solène, je lui tends cette protection nettement moins épaisse que les miennes et l'invite à la mettre "pour voir ce que ça fait".
Grace à mes Maîtres, j'ai appris à déceler les fameux moments de flottement qui sont des "oui je veux bien, mais je n'ose pas, soit par peur ou par honte". Je décide de la "booster" un petit peu et la voila qui cède et par dans ma chambre pour mettre cette couche.
Après avoir écouté mes indications pour la mettre, elle revient 10 minutes plus tard rouge pivoine, mais la couche sur elle. Bon ok, elle a remit son pantalon sans trop de mal. Mais elle a eue le courage de tester d'en porter une sur le reste de la journée.
Elle n'aura pas réussit à l'utiliser mais elle reconnait que c'est loin d’être horrible à porter tant que ça reste....propre.
Au final, je suis soulagée car avec Solène, ça m'a fait une confidente sur ma vie de femme soumise bien que ça n'ai pas duré et que ma liberté reprise, l'a surpris tout autant que ma mère.
De mon coté, sans rien demander, ma mère, avec l'autorisation de ma Maîtresse, m'a autorisée à enlever ce gros paquet le jeudi soir seulement. Mes couches ont commencés à fuir qu'à partir du jeudi midi. Direction un bon bain qui m'a été accordé par mes Maîtres avant de retourner dans 2 couches avec 2 inserts...jusqu'au lendemain soir.
il y a 6 ans

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