Surprise dans les toilettes de la fac

Aujourd'hui, je vais à la fac. Rien d'impressionnant puisqu'on est des milliers à arpenter ces couloirs chaque année. En revanche ce qui sort un peu de l'ordinaire aujourd'hui, c'est ce que j'ai trouvé dans les toilettes.
Je suis sorti de mon cours de natation vers 15h, je quitte toujours le complexe en jogging donc avant de reprendre les cours je passe par les toilettes de la fac pour me changer et me remaquiller. Quand j'ai poussé une porte j'ai eu la surprise de tomber nez à nez avec un mec en train de se masturber. Affreusement gênée, je referme la porte et m'excuse. Le mec remonte son caleçon en quatrième vitesse et me rattrape. « Attend faut que je te parle ! »
- T'inquiètes je dirais rien
- Ah super merci ! Mais tu sais, je suis pas un porc.
- Tu fais bien ce que tu veux. Je juge pas.
- Non mais vraiment, je me sens super mal et c'est important pour moi de préciser. Ma copine m'a joué un sale tour. Elle m'a chauffé à fond et au moment de passer à l'action, elle a décidé que ce n'était pas le bon moment et elle est partie. J'arrive pas à ...dégonfler. Je te jure que ça fait super mal.
Je ris malgré moi à son histoire. J'ai effectivement entendu dire que c'était douloureux de bander comme ça sans éjaculer. La tête du pauvre gars, on dirait un enfant à qui on aurait confisqué son jouet. Je pense à la fille, si c'est volontaire comme moyen de torture : chapeau !
- C'est qui ta copine ?
- Tu connais Mélissa ?
Ah ça oui que je la connais. Elle était dans le même lycée que moi, une vraie salope. Je la déteste depuis qu'elle m'a piqué mon copain en première. Du coup j'ai une idée.
- Oui je la connais. C'est pas très gentil de faire ça. Tu veux un coup de main ?
- Euh... C'est un peu inhabituel comme proposition.
- C'est un peu inhabituel de se masturber dans des toilettes de fac.
- Tu comptes faire quoi si j'accepte ?
Je l'entraîne dans les toilettes dont il venait, m'agenouille face à lui et baisse son pantalon puis son caleçon. Mes doigts s'emparent de ses couilles tandis que ma langue court le long de sa verge dressée. Je m'amuse à lécher la longueur avant d'asticoter son gland. Finalement pas plus mal-à-l'aise que ça, le gars attrape ma queue de cheval et commence à me caresser les cheveux. Lorsque je gobe sa bite il guide ma tête pour son plaisir et avec des coups de bassin il me baise la bouche.
Au bout d'une dizaine de minutes il n'a toujours pas juté pourtant je sais que je suis douée. « dit donc, on peut pas dire que tu sois précoce toi ! Va falloir passer aux choses sérieuses». Le gars me regarde un peu interloqué. J'enlève mon débardeur et mon jogging. Pour son plus grand bonheur je porte un string sexy et pas de soutien-gorge. Mon 95C s'exhibe sous ses yeux. « Touche si tu veux ». Il ne se fait pas prier et m'attrape fermement la poitrine, la malaxe, suce mes tétons. Je continu de le branler. Au lieu de le faire frémir, sa bite grossie un peu plus. C'est dingue.
Devant un engin pareil je ne peux pas résister. Je le fais asseoir sur les toilettes et moi sur ses genoux. Je prends sa main pour la guider vers mon intimité pendant que je continue de le masturber. Il me caresse le clito avant de me rentrer un doigt, puis deux. Je commence à mouiller. Je lui enlève son t-shirt pour lui embrasser la bouche et le torse. Une vague de chaleur me transperce et je décide de mettre fin aux préliminaires. Sans prévenir, je m'empale sur son membre. Le gars me regarde, surpris au point qu'il en arrête de me toucher.
L'étonnement ne dure pas et il m'attrape sous les fesses en donnant de gros coups de reins pour s'enfoncer profondément en moi. Il devient dément et frappe de plus en plus fort. Au bout d'un moment il se lève, toujours en moi, et me plaque violemment contre le mur. Je m'accroche en entourant mes jambes autour de lui. Il me défonce littéralement la chatte. Tant mieux pour moi. Il a toujours une main qui s'excite sur mes seins et l'autre qui tire sur ma queue de cheval. Il m'embrasse dans le cou et sur la poitrine, je crois même qu'il m'a mordu.
Au bout d'un moment il s'arrête d'un coup et me lâche. Je vois qu'il va éjaculer. Il ne semble pas savoir quoi faire et je comprends qu'il ne l'a jamais fait avec une fille. Je m'agenouille face à lui et reprend sa bite en bouche. Je le caresse doucement de mes doigts et de ma langue. Il semble se retenir mais je le garde en bouche. Il lâche enfin sa sauce, que j'avale de suite et me léchant les lèvres.
On se rhabille en silence. Je passe mes vêtements « civils » comme initialement prévu : une robe courte en jean plus que largement décolletée et une veste. Lorsque je me penche pour mettre mes escarpins je vois le gars qui reluque mes fesses. Une bosse se forme sous son pantalon. Décidément, il est inépuisable. Je sourie et mime sensuellement le geste de relever ma robe. Mes longues jambes sont nues et il peut voir une partie de mes fesses quand j'ondule des hanches. Il hésite quelques secondes et se re-déshabille en moins de temps qu'il en faut pour dire ouf.
Je me retrouve à quatre pattes par terre. Il me prend en levrette. Sa grosse queue rentre en moi comme dans du petit beurre. Tout en maintenant la force de ses va-et-vient il défait totalement le haut de ma robe pour découvrir mes épaules et mes seins. Je me fait défoncer pour la deuxième fois.
Deux heures et demie se sont écoulées depuis que je suis entrée dans ces toilettes C'est la baise la plus longue de ma vie, et dire qu'il était puceau ! J'ai du foutre qui dégouline le long de ma cuisse : cela va faire drôle dans le métro...
- Au fait moi c'est Mathieu.
- Julie, appelle moi la prochaine fois que tu te sens à l'étroit...
il y a 5 ans

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